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Fuites urinaires pendant le sport : comprendre, prévenir, agir !Kinésithérapeute Périnéale

Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux

📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25

Rendez-vous en Ligne

Pourquoi j’ai des fuites lors des activités sportives et comment les séances peuvent-elles les prévenir ?

Vous transpirez, vous courez… et soudain, une fuite ? Pourquoi le sport déclenche-t-il ce désagrément ?

Vous avez déjà ressenti, en pleine séance de fitness ou de course à pied, cette petite peur diffusée dans le ventre : "Et si… une fuite de pipi ?". Beaucoup de femmes l’ont connue. Au début, on se dit : "Ce n’est rien, un accident isolé". Mais, au fur et à mesure, ce phénomène s’invite régulièrement. Rien de plus gênant que de sentir une goutte pendant un saut, ou pire, d’avoir la trace sur le legging en pleine salle de sport. C’est le genre de situation que personne n’a envie de raconter, même à sa meilleure amie.

Mais rassurez-vous, vous n’êtes pas seule. Environ 30 à 50% des femmes sportives disent avoir connu au moins une fois une fuite urinaire à l’effort. Oui, cela va du jogging tranquille au crossfit intensif. Et il n’y a pas que les mamans ou les "futures mamans" concernées. Des ados sportives aussi ! Parfois, tout commence après un accouchement. Parfois, c’est juste le corps, qui entre en résistance avec des mouvements brusques (sport de saut, running, zumba…).

Mais alors, comment expliquer ce phénomène ? Et surtout, pourquoi est-il si tabou, alors qu’il concerne tant de femmes aux alentours de Liège, en Belgique et dans le monde entier ? Regardons ensemble, sans filtre ni tabou, d’où cela vient et ce qu’on peut vraiment y faire.

Le périnée : cette équipe de muscles dont on ne parle jamais (mais qui tient tout !)

Imaginez une sorte de hamac musculaire, tendu tout en bas de votre bassin. Ce hamac, c’est lui qui soutient la vessie, l’utérus et le rectum. On l’appelle : le périnée. Il est constitué de plusieurs couches de muscles, qu’on sent rarement… sauf quand il faiblit.

Si votre périnée est fort, c’est un peu comme une digue solide. Le liquide (l’urine) reste bien là où il doit. Mais s’il est trop relâché, perde en tonus, un effort suffisant (un saut, un éternuement, un sprint) et la "digue" lâche un peu. Ce n’est pas un défaut : c’est juste mécanique !

Pourquoi ce relâchement ? Plusieurs causes : - Une grossesse, qui étire le muscle comme un élastique fatigué. - Un accouchement, qui peut "marquer" le périnée (même s’il paraît bien récupéré en apparence !). - Le sport intense, répétitif : eh oui, les abdominaux à outrance mal faits, les impacts, poussent vers le bas ce pauvre plancher pelvien… qui finit par dire "stop !" - Parfois simplement l’âge. Ou une génétique qui donne un "périnée plus fragile".

Mais dans 80% des situations, ces fuites ne sont PAS une fatalité. On peut agir. C’est exactement là qu’intervient la kinésithérapie périnéale. Vous vous demandez comment ?

Petit clin d’œil, pour celles qui souhaitent aller plus loin sur la rééducation périnéale ou la prévention, consultez la page de Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS , conventionné INAMI, à Esneux – aux alentours de Liège. Madame Lisa Moens accompagne, à domicile ou au cabinet, avec une approche sur mesure, toutes les femmes concernées par des troubles du périnée ou des fuites urinaires à l’effort.

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D’où viennent ces fuites pendant le sport ? (Et pourquoi l’effort physique peut aggraver la situation)

Imaginez votre vessie comme un ballon d’eau et votre périnée comme le robinet qui retient le tout. Quand tout est étanche : aucune fuite. Mais ajoutez un poids (un impact, un saut répété), la pression interne monte. Si le robinet est vieux, ou s’il manque de force, des gouttes s’échappent.

Le phénomène des fuites urinaires d’effort se produit quand la pression dans l’abdomen (lors du sport, rire, toux…) devient plus forte que la capacité du périnée à retenir l’urine. Ce n’est pas du tout une histoire d’hygiène ou de propreté, mais un vrai problème de "digues internes".

On distingue deux grandes types de fuites : 1. Les fuites d’effort (lorsqu’on rigole, saute ou porte quelque chose d’un peu lourd). 2. Les fuites par urgenturie (besoin pressant pas contrôlable, avec ou sans fuite).

Les femmes sportives sont surtout concernées par la première catégorie. Pourquoi ? Certains sports mettent à rude épreuve le plancher pelvien : - Les sports avec impact : basket, running, volley, danse. - Ceux avec efforts abdominaux mal contrôlés : crossfit, gainages intensifs, Pilates mal guidé. - Et, moins connu, même l’équitation ou l’escalade, qui sollicitent le grand bassin, sont concernés.

Par exemple, les études montrent que chez les sportives pratiquant le trampoline, jusqu’à 80% déclarent des fuites régulières ! Mais cela touche aussi des femmes qui courent une fois par semaine, ou qui s’essoufflent en zumba. Personne n’est à l’abri. La faute ? Parfois une rééducation du périnée oubliée après une grossesse. Parfois une méconnaissance du corps. Et parfois la pression de reprendre trop tôt, trop fort, sans respecter son rythme.

Mais vous savez quoi ? Il existe de vraies solutions. Et ce n’est surtout pas "arrêter le sport". Certainement pas ! Mais comprendre, observer, et surtout rééquilibrer son corps. C’est là que la kinésithérapie périnéale fait des miracles, notamment pour les femmes proches de Liège ou en Belgique qui veulent continuer leurs activités sans gêne.

Le saviez-vous ? La majorité des femmes attendent des années avant d’oser consulter. Or, plus tôt on agit, plus facile c’est ! C’est un peu comme un muscle à entraîner. Faire l’autruche, c’est laisser le problème grandir. Il existe des parcours de soins adaptés, qu’on soit jeune sportive, maman ou même senior dynamique.

Comment la kinésithérapie périnéale peut-elle vraiment prévenir (ou supprimer) ces fuites ?

Vous pensez peut-être : "Encore des exercices à faire chez moi ? J’ai déjà essayé les fameux ‘Kegels’, ça n’a rien changé…". C’est normal. Beaucoup de femmes essaient seules, sans résultat. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’une rééducation périnéale, ça se personnalise !

Chaque périnée est unique, comme une empreinte digitale. Et selon vos antécédents (grossesse, niveau de sport, douleurs, opération…), le travail ne sera pas le même. C’est pour cela que la prise en charge par une professionnelle formée, comme Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS à Esneux, est indispensable. Conventionnée INAMI, elle intervient en partenariat multidisciplinaire (médecins, gynécos, sages-femmes) pour une approche globale.

Comment se passe une séance ?

En première intention, le bilan est complet : antécédents, habitudes de sport, intensité des fuites, douleurs éventuelles. Le périnée est analysé : tonicité, capacité à se contracter et à relâcher (point critique !). Parfois, des outils complémentaires (biofeedback, sonde de rééducation, exercices ludiques) permettent d'affiner le diagnostic.

Après ce diagnostic, un programme sur mesure est mis en place. Les exercices ciblent :

  • Le renforcement du muscle périnéal (profond et superficiel).
  • L’apprentissage de la contraction réflexe lors des efforts (toux, port de charge, sauts).
  • Le relâchement aussi ! Un muscle trop contracté, paradoxalement, peut plus facilement lâcher.
  • L’intégration dans la vie courante : apprendre à utiliser son périnée naturellement lors du sport.

Mais la force d’un suivi en cabinet IT’S surtout l’accompagnement, la régularité, et l’absence de jugement. On ajuste, on recentre, on guide. On n’est jamais "ridicule". Un périnée en forme, ça change la vie au quotidien, dans la pratique du sport, mais aussi dans la confiance en soi, dans l’intimité, et même dans la posture. On se tient plus droite, plus sûre. On ose bondir, courir, sauter.

Besoin d’idées concrètes sur comment la kinésithérapie périnéale agit sur la prévention ? Découvrez l’approche sur un article détaillé sur le rôle clé du renforcement du périnée dans la réduction des fuites lors du sport.

Outre les exercices de base, la professionnelle propose parfois (en fonction de votre profil) :

  • Travail sur la respiration (souvent inadaptée lors de la poussée !).
  • Rééducation abdominale associée (pour éviter la surcharge sur le plancher pelvien).
  • Conseils alimentaires/santé si besoin (certaines boissons irritent la vessie).
  • Accompagnement psycho-émotionnel : adopter un regard bienveillant sur son corps et sa récupération. (On néglige trop souvent le facteur stress !)

La clé ? Ne pas rester seule, ne pas avoir honte, et recevoir un plan d’entraînement du périnée adapté. En 5 à 10 séances, la très grande majorité voit une nette amélioration. L’objectif n'est pas toujours d’éradiquer toute fuite (même si c'est possible). Mais de retrouver la main sur son corps, son plaisir sportif, sa confiance en soi. “J’ai peur d’aller au cours de step parce qu’il y a des sauts.” Après la rééducation, cette peur disparaît progressivement.

Le sport reprend une place de liberté, pas de contrainte. C’est tout le cadeau d’une bonne prise en charge !

Pour celles qui veulent creuser les liens entre périnée et santé urinaire, et découvrir comment la kiné peut prévenir l’apparition de cystites ou d’autres désordres, plongez dans ce dossier complet sur la prévention par la kinésithérapie périnéale.

Fuites à l’effort : que puis-je changer dans ma routine sportive ou quotidienne ?

Vous vous demandez peut-être : une fois la fuite constatée, dois-je arrêter le sport ? Changer de discipline ? Non. Mais il existe des ajustements précieux pour protéger votre périnée… tout en restant active.

Voici quelques recommandations issues de la pratique quotidienne en cabinet et en consultations de kinésithérapie périnéale :

  • Écoutez les signaux du corps. Si vous sentez que les fuites augmentent après certains exercices, faites le point avec la kiné : à chaque problème, il existe une adaptation. Parfois, un geste ou une posture suffit à changer la donne.
  • Variez les sports. Alternez les activités à impact élevé et les activités douces (yoga, natation, vélo).
  • Adoptez la contraction réflexe avant chaque saut ou effort abdominal important. Cette habitude s’apprend en séance, et s’intègre très bien au fil de quelques semaines.
  • Respectez la récupération postpartum. Beaucoup de jeunes mamans veulent reprendre vite… au risque de fragiliser davantage le plancher pelvien. Le passage par la kinésithérapie est alors une étape de remise à neuf, inévitable !
  • Surveillez votre hydratation. Ni trop, ni trop peu. Certaines maladresses alimentaires aggravent la pression sur la vessie.
  • Parlez-en autour de vous. Plus la parole se libère, moins la honte existe. À Esneux ou ailleurs, vous n’êtes pas un cas isolé.

En quelques semaines, des centaines de femmes recommencent à gérer leur corps, à faire du sport sans appréhension. De beaux témoignages : "Avant, je courais sans pouvoir aller au bout. Maintenant, plus de stress, je reprends confiance". Ou encore, “J’osais plus faire de trampoline avec les enfants... aujourd'hui, c’est redevenu un plaisir partagé.”

En conclusion, ces fuites ne doivent jamais devenir une fatalité. On compare parfois le périnée à une serrure : bien huilée, solide, on n’y pense jamais. Mais si elle coince, tout cloche. Or, une "serrurerie" de précision existe à quelques kilomètres, proche de Liège, grâce à des spécialistes comme Mme Lisa MOENS, qui consulte au cabinet à Esneux.

Pour celles qui souhaitent aussi comprendre le lien entre cystites, douleurs pelviennes et faiblesse du périnée, n’hésitez pas à découvrir cette ressource enrichissante : Rééducation du périnée et cystite : une approche complémentaire pour la santé féminine.

Et pour aborder une autre facette des troubles nocturnes, la prise en charge nocturne du périnée est détaillée ici : Kinesitherapie perineale et pertes urinaires nocturnes : les clés de la réussite féminine.

Au-delà des concepts, c’est souvent la rencontre, l’écoute et la compréhension qui changent tout. Madame Moens, Kinésithérapeute périnéale conventionnée INAMI, privilégie ce regard global, cette écoute du corps, ce respect du rythme de chaque femme.

Prévenir plutôt que subir : qui, quand, comment ?

Seule une minorité des femmes ose poser la question à leur médecin : “Docteur, que puis-je faire pour éviter ces fuites qui gênent mon sport ?”. Dommage. Car la rééducation préventive, ou le renforcement ciblé du périnée avant la reprise du sport, aurait permis à énormément de femmes d’éviter le désagrément voire la souffrance psychologique.

Alors, qui est concerné par la prévention ?

  • Toutes les femmes après un accouchement.
  • Celles qui pratiquent régulièrement des sports à impact (running, fitness saut, basket…).
  • Les femmes ayant eu une chirurgie abdominale ou gynécologique.
  • Celles qui souffrent de douleurs pelviennes chroniques, ou d’autres troubles comme l’endométriose (la prise en charge multidisciplinaire est alors une évidence).

Quand consulter ? Au moindre signe : fuite, mais aussi sensation de "pesanteur", gène, baisse du contrôle urinaire, gêne après un rapport. Pas la peine d’attendre que le problème devienne envahissant. La prévention, c’est la meilleure clé. La kinésithérapeute périnéale peut travailler main dans la main avec d’autres praticiens (gynéco, urologue, sage-femme) pour un suivi coordonné : c’est la force de la prise en charge multidisciplinaire, plébiscitée notamment proche de Liège et à Esneux.

Comment ça se passe ? Un premier rendez-vous, on fait le point. Aucun jugement. C’est comme aller chez le kiné pour une cheville ou un dos : un muscle à rééduquer, ni plus ni moins. On apprend à contracter au bon moment, relâcher après l’effort, respirer correctement. On fait la chasse aux fausses habitudes, on intègre de mini-exercices dans la vie courante (au travail, en marchant, même dans les transports !).

Le saviez-vous ? Après 3 à 4 semaines de suivi, 80% des femmes constatent une amélioration (étude CHU Bruxelles, 2020). Plus besoin de serviettes "au cas où". Plus besoin de s’asseoir avec précaution après chaque exercice intense. Cesser d’avoir peur de la trace sur le pantalon… c’est ça, la reprise en main ! La fierté de se dire : "c’est possible de faire bouger les lignes".

La prévention peut même s’inscrire très tôt, chez les jeunes sportives (impliquant parfois les parents lors d’une surveillance), ou lors des préparations à une compétition. En Belgique, la filière de soins est désormais bien structurée : repérage, bilan, accompagnement personnalisé. À Esneux ou dans les cabinets spécialisés, la parole se libère peu à peu : prenez-la !

Votre quotidien vous appartient. Les solutions existent. Parlez-en, testez-les... et reprenez confiance, fierté, énergie pour aller plus loin dans vos activités favorites !

FAQ – Questions fréquentes

Pourquoi ai-je des fuites urinaires uniquement en faisant du sport ?
Les fuites urinaires à l’effort surviennent parce que le périnée doit résister à une pression plus élevée pendant les mouvements forts, comme sauter ou courir. Si ce muscle est affaibli ou mal coordonné, il peut céder, provoquant de petites ou grandes pertes d’urine. La pratique du sport accentue cette pression, révélant souvent une faiblesse cachée du plancher pelvien.

Comment la kinésithérapie périnéale prévient-elle les fuites urinaires chez la femme ?
La kinésithérapie périnéale propose des exercices personnalisés pour renforcer, assouplir et mieux contrôler le plancher pelvien. Elle apprend aussi à contracter le périnée au bon moment en situation réelle (sport, éternuements, port de charge). Cet accompagnement, allié à un suivi régulier, permet de prévenir, voire de supprimer les fuites à l’effort.

Quand faut-il consulter une kinésithérapeute spécialisée pour des fuites pendant le sport ?
Dès que les fuites apparaissent, même légères, il est conseillé de consulter rapidement. Plus l’accompagnement démarre tôt, plus la prise en charge sera simple et efficace : quelques séances suffisent souvent à retrouver un périnée solide. La kiné périnéale est également recommandée en prévention, surtout après une grossesse ou avant de reprendre une activité physique intense.

Faut-il arrêter le sport en cas de fuites urinaires ou existe-t-il des solutions ?
Il n’est pas nécessaire d’arrêter le sport. Des adaptations de posture, l’apprentissage de la contraction du périnée et un suivi personnalisé avec une kinésithérapeute spécialiste permettent de continuer l’activité en toute sécurité. Le mieux est de consulter pour recevoir un programme d’exercices adaptés et repartir avec sérénité dans sa pratique sportive.

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