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Évaluation neuropsychologique du TDAH chez l’enfant : comprendre pour mieux accompagner son adolescentNeuroPsy ADO-ENFANT Liège POTTIER Solenn

NeuroPsychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Solenn POTTIER

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0488 49 13 49

Évaluation neuropsychologique du TDAH chez l’enfant : comprendre pour mieux accompagner son adolescent

Imaginez-le : votre enfant, turbulent, distrait, rêveur, ou au contraire sans une seconde de répit, qui peine à canaliser son énergie. Les enseignants en parlent. La famille s’inquiète. Vous, parent, jonglez entre doutes et espoirs. Faut-il s’en alarmer ? Est-ce simplement son caractère ou un trouble sous-jacent ? L’évaluation neuropsychologique devient alors un phare dans la tempête : elle éclaire le fonctionnement du cerveau, décortique les mécanismes cachés derrière les comportements du quotidien et, surtout, offre un plan d’action adapté. Découvrons ensemble, étape par étape, ce que recouvre une évaluation sur-mesure du TDAH (Trouble Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité) chez l’enfant ou l’ado, aux côtés d’une neuropsychologue spécialisée. Un itinéraire précieux, balisé de repères concrets, pour (re)dynamiser la confiance et le bien-être familial.

Pourquoi demander une évaluation neuropsychologique pour un enfant suspecté TDAH ?

On ne le répétera jamais assez : le TDAH ne se résume pas à « mon enfant bouge trop ». C’est un handicap invisible, qui touche la capacité à se concentrer, à planifier, à retenir des informations ou à freiner ses impulsions. En Belgique, si près de 5 à 7% des enfants d’âge scolaire en présentent les signes, tous ne consultent pas. Pourtant, une évaluation neuropsychologique peut changer la donne.

Premier atout : la précision du diagnostic. Car oui, beaucoup de difficultés scolaires ne sont pas liées à l’intelligence mais à des troubles exécutifs, souvent confondus avec une simple « fainéantise » ou un «manque de volonté». Un adolescent qui oublie toujours ses affaires, peine à finir ses devoirs ou explose au moindre imprévu peut, en réalité, être prisonnier d’un cerveau plus réactif que réfléchi. La neuropsychologue pour enfants décortique justement toutes ces facettes pour éviter les étiquettes injustes.

Autre point fondamental : le respect de la singularité. Chaque profil TDAH est unique. Certains enfants remuent dans tous les sens, d’autres semblent absents ou rêvassent sans cesse ; certains combinent ces deux versants. Avec une neuropsychologue à Liège, l’évaluation creuse en profondeur : tests de mémoire de travail, vitesse de traitement, inhibition, attention sélective... ce n’est pas «un test unique» mais un bilan fin, qui valorise la personnalité de votre enfant.

Enfin, l’impact sur le moral. Prendre rendez-vous pour une évaluation, c’est aussi protéger l’estime de soi de son enfant. Mieux comprendre «pourquoi je n’y arrive pas alors que je veux bien faire ?», c’est déculpabilisant. Beaucoup de familles repartent soulagées : «Non, ce n’était pas de la mauvaise volonté !». Certains retrouvent même le sourire devant leurs propres victoires, expliquées par la neuropsychologue.

Pour les parents, c’est aussi une façon de redevenir acteur. Comprendre, c’est agir. Les tests et bilans deviennent des outils – pas des sentences, mais un tremplin vers plus de réussite et moins de conflits à la maison.

Vous vous posez encore des questions ? Consultez ici un guide dédié au TDAH et à l’anxiété chez l’enfant, pour ne pas confondre diagnostics ni passer à côté d’une aide précieuse.

Comment se déroule une évaluation neuropsychologique du TDAH chez l’enfant ?

Dans la pratique, tout commence souvent par un entretien approfondi. Les parents s’attendent parfois à une « batterie de tests » qui effrayerait l’enfant. En réalité, le premier rendez-vous vise à mettre à l’aise : «Que remarquez-vous à la maison ? À l’école ? Depuis quand ces difficultés existent-elles ?» La neuropsychologue recueille les informations clés sur le quotidien de l’enfant, ses points forts, ses décrochages et ses efforts.

Ensuite, vient la phase des tests standardisés. C’est une étape rassurante. Oui, certains enfants sont nerveux. Pourtant, beaucoup se prennent au jeu : mémoriser, barrer, relier, se surpasser. Durant plusieurs séances (parfois une, souvent deux à trois), la neuropsychologue spécialisée évalue différentes fonctions : attention, inhibition, mémoire de travail, planification, gestion des émotions... Un point à rappeler : il ne s’agit pas de classer mais de comprendre ce qui bloque ou ce qui fonctionne. Un trouble de l'attention ne s'exprime pas de la même manière chez chaque enfant !

Le but : établir un véritable « profil neuropsychologique ». Imaginez un tableau de bord, qui détaille la gestion de l’attention soutenue, le passage d’une tâche à l’autre, la résistance à la distraction ou les stratégies de contournement que l’enfant a déjà mises naturellement en place.

Certaines familles s’interrogent : «Pourquoi tant de tests différents ?» Parce qu’il faut exclure d’autres troubles, — la dyslexie, un trouble anxieux, ou un simple décalage de maturité. Toute la subtilité de l’évaluation réside là : bien distinguer le TDAH d’autres problématiques proches.

Une fois tous les tests passés, la neuropsychologue rédige un compte-rendu détaillé. Ce document est accessible : il éclaire les forces et faiblesses de l’enfant, sans vocabulaire trop technique. Parents, enseignants, parfois même l’enfant lui-même, peuvent y piocher des pistes concrètes pour avancer.

Exemple vécu : Léa, 10 ans, oubliait toujours ses cahiers, pleurait pour ses devoirs et semblait dans la lune. Après évaluation, on a mis en lumière des fragilités en mémoire de travail et inhibition cognitive. Armée de ce diagnostic, Léa a pu bénéficier d’un accompagnement sur-mesure et regagner confiance peu à peu.

Besoin de repères pour une évaluation complète ? Découvrez ce qu’apporte un psychologue enfants et adolescents aux familles et aux enseignants aux alentours de Liège.

Quels bénéfices majeurs pour l’enfant et la famille après un bilan TDAH ?

Bien plus qu’un simple constat, l’évaluation neuropsychologique ouvre la voie à une prise en charge personnalisée et efficace. Pour l’enfant, c’est une étape de clarification. Il comprend enfin ce qui se passe dans sa tête, pourquoi il réagit «différemment» des autres. Cela donne du sens à ses difficultés scolaires et comportementales. L’enfant ne se sent plus « bizarre », ni « moins intelligent » — il apprend qu’il possède simplement d’autres modes de fonctionnement.

Du côté des parents, cela abaisse la pression familiale. On le sait, vivre avec un enfant TDAH c’est… sportif. Les conflits s’accumulent : oublis, retards, agitation, impulsivité. Sans comprendre l’origine, on en vient parfois à douter de soi en tant que parent. L’évaluation offre un «décodage» du comportement de chaque enfant, et suggère des ajustements concrets. Adapter les consignes, fractionner les tâches, adapter les horaires, ou aménager l’environnement — autant de stratégies discutées en consultation.

À l’école, le bilan sert de fondation au projet pédagogique individualisé. Les enseignants gagnent un dossier objectif, à montrer lors des Conseils de classe ou pour demander des aménagements : temps supplémentaire, place devant la classe, consignes orales répétées, etc.

Un autre bénéfice : l’accès à une prise en charge pluridisciplinaire. La neuropsychologue oriente parfois vers la psychomotricité, la logopédie, voire un suivi en psychologie des émotions. Un vrai «coup de pouce» pour sortir de l’impasse. D’ailleurs, de nombreux enfants retrouvent goût à l’école dès lors qu’ils sentent que les adultes comprennent leur vécu.

Restons factuels : une évaluation ne «guérit» pas le TDAH. Mais elle permet de mettre en place les bonnes stratégies, sans attendre que la situation se détériore. Plus tôt le bilan est posé, mieux l’enfant construit sa confiance et son autonomie.

Un chiffre : selon l’INSERM, un suivi adapté, amorcé avant 12 ans, réduit de près de 40 % le risque de décrochage scolaire chez les enfants hyperactifs. Mieux vaut donc agir tôt !

Vous souhaitez savoir si votre enfant présente un TDAH, ou comment réagir ? Posez vos questions à NeuroPsychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Solenn POTTIER.

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

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Pour aller plus loin, découvrez le rôle clé de la logopédie en cas de trouble de l’attention ou du langage.

L’accompagnement après le diagnostic : comment aider vraiment un enfant avec TDAH ?

Voilà, le bilan est posé. Et maintenant ? Beaucoup de familles se sentent perdues. Mais pas de panique : un diagnostic n’est pas une sentence, c’est une boussole. Tout un plan d’action se dessine, en collaboration entre la famille, l’école, la neuropsychologue et parfois d’autres intervenants spécialisés.

La première étape, ce sont les aménagements pratiques. L’enfant a-t-il besoin d’un coin calme pour ses devoirs ? Faut-il fractionner l’apprentissage, instaurer des routines stables, ou élaborer des outils visuels (planning, check-lists…) ? Les stratégies d’accompagnement sont discutées, testées, ajustées. Ce que la neuropsychologue propose, c’est du « cousu main » !

Le rôle des parents est crucial. Loin de chercher à « guérir » le TDAH (car il s’agit d’un fonctionnement neurologique, souvent durable), on trouve comment valoriser ses points forts. Certains enfants, une fois débloqués sur l’organisation ou la gestion du temps, excellent là où on ne les attend pas : créativité, humour, passion, énergie… Le TDAH n’est pas qu’un frein, mais aussi une autre façon de voir le monde.

Parfois, la collaboration d’un(e) logopède à Liège ou d’un orthophoniste se révèle judicieuse, en fonction des difficultés associées (langage, lecture, écriture). La famille n’est jamais seule. La passation de tests QI et QI chez l’enfant peut aider à préciser les aptitudes et capacités cognitives sous-jacentes, pour affiner le suivi.

Du côté de la scolarité, un dialogue ouvert est essentiel. Avec un bilan interdisciplinaire entre la neuropsychologue et les enseignants, on allège la pression scolaire et on évite bien des conflits. Si besoin, un Projet Individuel d’Apprentissage (PIA) est mis en place, reconnu en Belgique. Les enseignants sont alors mieux armés pour différencier leurs approches pédagogiques.

Il arrive, certes plus rarement, que l’on pose la question d’un traitement médicamenteux (ce point relève de la consultation médicale spécialisée, pas de la neuropsychologue seule). Mais il doit toujours s’accompagner d’un suivi global, jamais isolé.

Dans les faits, beaucoup d’enfants TDAH, une fois reconnus et compris, s’autorisent à croire en leur potentiel. C’est toute la différence entre stagner dans l’incompréhension et avancer grâce à un regard positif et bienveillant. Prendre conscience de ses difficultés, c’est leur donner un nom mais aussi ouvrir le champ à la réussite scolaire, sociale, et familiale.

Vous doutez encore de l’utilité d’un tel suivi ? La neuropsychologue pour enfants joue un vrai rôle de « chef d’orchestre », coordonnant les interventions, guidant la famille, et stimulant la motivation de l’enfant. Un accompagnement régulier permet de réviser, adapter, et célébrer chaque petite victoire. Ce n’est pas magique, mais c’est pragmatique – et, surtout, humain.

Quels critères pour choisir une neuropsychologue spécialisée TDAH à Liège ou alentours ?

Vous cherchez LA bonne adresse ? La relation de confiance prime. Privilégiez un(e) professionnel(le) formé(e) en neuropsychologie de l’enfant et de l’adolescent, avec expérience avérée en trouble de l’attention. Une bonne neuropsychologue veille à la confidentialité, à la clarté du compte-rendu, et à l’accompagnement familial.

Visez la proximité pour plus de praticité : une neuropsychologue à Esneux, aux alentours de Liège, c’est moins d’absences à l’école, moins de contraintes logistiques – et un investissement dans le suivi au long cours. N’hésitez pas à demander quelles batteries de tests sont utilisées, ou comment les comptes-rendus sont transmis aux enseignants. La collaboration avec d’autres professionnels – logopèdes, psychomotriciens, pédopsychiatres – est aussi bon signe.

Enfin, fiez-vous à votre ressenti. Pour l’enfant, le feeling compte autant que la compétence. La séance ne sera bénéfique que si votre enfant se sent respecté, reconnu, encouragé. De nombreux jeunes témoignent qu’ils ont «apprécié faire les tests», car ils ont enfin pu expliquer, à leur rythme, leurs difficultés du quotidien.

Vous avez peut-être déjà cherché une consultation en psychologie pour déculpabiliser. N’attendez pas que la situation s’enlise : la prévention, c’est déjà la solution.

FAQ – Questions fréquentes

Pourquoi demander une évaluation neuropsychologique TDAH pour mon enfant ?

L’évaluation permet de comprendre les difficultés spécifiques de l’enfant et d’éviter les malentendus. Elle identifie les points forts et fragilités pour proposer un accompagnement adapté, à l’école et à la maison.

Comment se prépare un enfant à passer des tests neuropsychologiques TDAH ?

Il suffit de rassurer l’enfant avant la séance, en expliquant qu’il n’y a «pas de mauvaises réponses», seulement des jeux et exercices pour mieux comprendre sa façon de penser. Inutile de réviser ou stresser, tout est adapté à son âge.

Quand faut-il envisager un bilan neuropsychologique pour suspicion de TDAH ?

Dès que des difficultés d’attention, d’organisation, d’agitation ou des conflits scolaires persistants apparaissent, un bilan auprès d’une neuropsychologue est indiqué. Plus l’évaluation est précoce, plus le soutien sera pertinent et efficace.

Faut-il refaire régulièrement une évaluation TDAH chez l’enfant ou l’adolescent ?

Il n’est pas nécessaire de refaire le bilan chaque année. Une nouvelle évaluation peut être utile en cas de changement important (entrée au secondaire, difficultés nouvelles, suivi de traitement) pour ajuster l’accompagnement aux besoins actuels.

Références scientifiques

Barkley, R. A., Fischer, M., Smallish, L., & Fletcher, K. (2006). Young adult outcome of hyperactive children: Adaptive functioning in major life activities. Journal of the American Academy of Child & Adolescent Psychiatry. Ce suivi longitudinal dévoile l’impact du TDAH à l’adolescence sur le parcours professionnel, social et scolaire, et l’importance des interventions adaptées.

Willcutt, E.G., Doyle, A.E., Nigg, J.T., Faraone, S. V., & Pennington, B.F (2005). Validity of the executive function theory of ADHD: A meta-analytic review. Biological Psychiatry. Synthèse de 83 études confirmant le lien entre troubles exécutifs et difficultés scolaires chez l’enfant TDAH.

Rommelse, N. N. J., et al. (2009). Neuropsychological measures in ADHD: A search for endophenotypes. Neuroscience & Biobehavioral Reviews. La recherche met en avant la complémentarité des tests neuropsychologiques pour cerner la diversité des profils TDAH en clinique.

American Academy of Pediatrics (2019). Clinical Practice Guideline for the Diagnosis, Evaluation, and Treatment of Attention-Deficit/Hyperactivity Disorder in Children and Adolescents. Pediatrics. Référence incontournable pour les bonnes pratiques d’évaluation et de prise en charge du TDAH chez l’enfant et l’ado.

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