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Écoute bienveillante pour Enfants et Ados à Liège : Clé du Bien-Être 🌟Psy ADO-ENFANT Liège TRESALLI

Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0456/87.15.00

Écoute bienveillante : La clé d’un développement serein chez l’enfant et l’ado

Pourquoi l’écoute bienveillante est cruciale pour l’enfant et l’ado ?

Au fil des générations, la psychologie de l’enfant et de l’adolescent a fait couler beaucoup d’encre. Mais un mot revient partout, au cabinet ou à la maison : écoute bienveillante. Facile à dire, moins évident à vivre ! Pourtant, c’est précisément là que tout commence, et que beaucoup se joue.

Une écoute bienveillante, c’est plus que laisser parler. C’est offrir une présence chaleureuse, attentive, dépourvue de jugement, où l’enfant (ou l’ado) sent qu’il a le droit d’exister tel qu’il est, sans crainte de décevoir ou d’agacer. Imaginez un port sûr, où déposer ses angoisses, ses mini-secrets, ses tempêtes d’adolescence. À votre avis, combien de jeunes seraient prêts à franchir le pas chez un spécialiste si ce port leur tendait la main ?

Dans le quotidien, cela peut ressembler à une mère qui s’assoit sur le lit d’un ado, sans le presser de parler. À un enseignant qui accueille avec un sourire, même quand la réponse fuse à côté. À un psychologue qui accueille silence et mots, l’un comme l’autre. Vous voyez l’image ?

La réalité, c’est que la parole ne se livre pas sur commande. Il faut du temps, du tact. Savoir écouter l’enfant, sans interrompre. Accepter qu’un ado préfère parler en marchant, ou en chipotant à son téléphone, mais parle quand même.

L’écoute bienveillante n’a rien d’un “lâcher-prise” désintéressé. Elle s’acquiert, se travaille. C’est une compétence aussi précieuse que n’importe quel diplôme, sans jamais être à cent pour cent parfaite. L’enjeu est immense : chaque instant où un enfant se sent accueilli, il construit (ou reconstruit) sa confiance en l’adulte… mais surtout en lui-même.

Des chiffres circulent : un quart des collégiens déclarent ne pas toujours trouver d’oreille attentive à la maison. Cela laisse songeur. Pire : on sait qu’aux moments charnières (séparation, deuil, harcèlement, déménagement), ces petites brèches dans l’écoute deviennent des failles, que la culpabilité parentale ne comble pas. Pour éviter ce scénario, l’accompagnement par un psychologue pour enfants et adolescents s’impose alors souvent, mais parfois trop tard.

Vous vous reconnaissez ? Vous n’êtes pas seuls. Un professionnel spécialisé, comme la psychologue enfants-adolescents à Esneux, propose justement ces outils, pour soutenir écoute et dialogue à chaque étape.

À Liège comme ailleurs, les familles qui osent demander de l’aide font un pas décisif pour leur enfant. Derrière l’apparence parfois lisse de l’adolescence ou la verbalisation maladroite de l’enfance, il y a bien souvent la soif toute simple d’être entendu. Pas forcément de sauver. D’écouter, vraiment. Une oreille présente peut changer un destin.

Rien d’étonnant alors à ce qu’aux alentours de Liège, les séances de soutien psychologique connaissent un tel succès. On vient chercher un espace neutre, loin du regard familial, pour exprimer ce que l’on n’ose pas dire “chez soi”. Et là, tout commence.

Parce que derrière chaque crise, il y a souvent un besoin qui n’a pas trouvé mot à son oreille. Derrière chaque silence, une attente de reconnaissance. Si vous vous êtes déjà surpris à dire “mon enfant n’écoute rien”, posez-vous cette question : “Est-ce que, moi, je l’écoute vraiment, sans agenda caché ?”

Vous n’êtes pas seuls. Le chemin se fait à plusieurs. Prendre rendez-vous, c’est déjà ouvrir la porte à la solution.

Écoute bienveillante : Comment ça se construit, en pratique ?

Sur le papier, l’écoute bienveillante, tout le monde applaudit. Mais dans la vraie vie ? Les colères du soir, les devoirs interminables, les réseaux sociaux, les disputes entre frères et sœurs… Oui, ce n’est pas un conte de fées. Alors, comment poser un cadre qui permette à chaque enfant ou ado de se sentir compris ?

Premier point : l’écoute ne se limite pas à “écouter parler” l’enfant. Cela commence avant même les mots : dans l’attitude de l’adulte. S’agenouiller pour lui parler, regarder dans les yeux, ne pas vérifier son téléphone en même temps. Cela s’ancre dans de tout petits gestes, chaque jour. Ce sont eux qui tissent, petit à petit, un climat de sécurité affective.

Dans le métier de psychologue pour adolescents, la qualité de l’écoute est clairement centrale. N’attendez pas la magie du premier rendez-vous… mais observez, sur la durée, combien deviens plus facile de poser des mots quand on sent qu’on ne sera pas jugé. Le travail du professionnel est d’accompagner, sans imposer, en s’appuyant sur des repères solides.

Exemple vécu : “J’ai peur d’aller à l’école, mais si je le dis à mes parents, ils vont s’inquiéter.” Classique chez les petits et les collégiens. Ici, une écoute bienveillante commence déjà par valider cette angoisse (“Je comprends que ce ne soit pas facile pour toi”). Et non pas minimiser (“Courage, quoi, il n’y a pas mort d’homme”). Cela paraît évident, mais beaucoup d’enfants arrêtent de confier leurs difficultés simplement parce que, trop de fois, on a dédramatisé au lieu d’accueillir.

C’est aussi là qu’intervient la consultation chez une psychologue spécialiste à Liège. La neutralité, la confidentialité, la compétence, permettent à l’enfant ou l’ado de déposer ce “trop-plein” qui déborde dans la sphère familiale. Parfois, il suffit d’une tierce personne pour que la parole se libère.

En pratique, quelques outils simples à la maison :

  • Parler à l’enfant sans l’interrompre. Pas facile, mais essentiel.
  • Nommer ses émotions avant de lui demander d’expliquer.
  • Oser dire qu’on ne sait pas quoi répondre (“Je n’ai pas de solution, mais je suis là”).
  • Prendre exemple sur les questions du psychologue : “Comment tu t’es senti aujourd’hui ?”, plutôt que “Pourquoi tu n’as rien fait ?”
  • Accepter l’émotion, même négative, sans la juger (“tu as le droit de te sentir en colère”).
  • Créer un rituel d’écoute – sans écran, même court, chaque jour.

Cela prend du temps, vous le verrez. Comme cultiver un jardin. Au début, on ne voit rien, puis une petite pousse. Parfois ça sèche, parfois ça prend. C’est normal.

Ce climat d’écoute bienveillante passe aussi par la gestion de la frustration : accepter de ne pas avoir toutes les solutions, et permettre à l’enfant de grandir face à la difficulté. Ce n’est pas toujours une écoute “tout choco”, il y a aussi de la fermeté dans la bienveillance. Mais la fermeté douce, celle qui écoute avant de sanctionner ou de donner un conseil.

À force, ce socle affectif deviendra un filtre “anti-tempêtes” pour les crises à venir. Un enfant qui se sent entendu devient un ado qui saura, plus tard, demander de l’aide quand il vacille. Statistique : les jeunes ayant bénéficié d’une écoute attentive durant leur enfance sont deux fois moins exposés aux troubles anxiodépressifs à l’adolescence (étude française, 2021).

La bienveillance, ce n’est pas tout accepter. C’est poser un regard d’accueil, même dans la contrariété. Un ado aura toujours besoin de limites, mais les limites sont mieux comprises quand elles sont expliquées, discutées, co-construites.

Besoin d’outils pratiques pour soutenir ces moments ? Sachez que la psychologie infantile regorge de ressources. La consultation peut alors être l’opportunité de découvrir, avec l’enfant, de nouveaux codes du dialogue familial. Pensez-y si vous ressentez un “blocage” dans la communication à la maison.

En quoi l’écoute bienveillante change-t-elle la vie de l’enfant… et de la famille ?

Souvent, on pense que la psychologie, c’est pour les “cas lourds”. Grosse erreur. Un enfant qui ne communique plus, qui se renferme ou s’énerve pour un rien, n’est pas un cas désespéré. Il a juste besoin qu’on vienne frapper à sa porte avec douceur. L’écoute bienveillante est cette main tendue qui change tout. Et pas besoin d’attendre d’être “au bout du rouleau” pour consulter.

Pour les familles, développer cette capacité d’écoute réelle désamorce quantité de tensions. Moins de cris à la maison. Moins de conflits autour des devoirs. Plus d’autonomie chez l’enfant, plus d’assurance chez l’ado. On s’étonne souvent, mais un adolescent ayant vécu une écoute respectueuse a bien plus de facilités à exprimer son refus… et aussi son mal-être.

Un parent qui se sent démuni face à un enfant anxieux ou opposant n’est pas un mauvais parent. Le manque d’écoute bienveillante n’est pas forcément volontaire. Parfois, les attentes de la société, les modèles familiaux, font peser un stress qui empêche d’accueillir ce que dit l’enfant. Votre fatigue, vos préoccupations, jouent aussi. En Belgique, on estime qu’1 ado sur 4 souffre d’un mal-être psychologique plus ou moins marqué ; pourtant, seule une petite partie consulte, par peur de stigmatisation.

Par ailleurs, le sentiment d’être entendu est un facteur de protection face au harcèlement scolaire, aux addictions, à la prise de risque. N’est-ce pas rassurant de savoir que, même si on ne peut pas tout éviter, on peut renforcer ces défenses-là ?

Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0456/87.15.00

À ce stade, les témoignages affluent dans les cabinets de psychologues : “Depuis qu’on a appris à écouter sans interrompre, tout a changé” ; “Les crises de mon fils ne me terrorisent plus, j’ai des repères”. N’ayez pas peur d’exprimer votre désarroi auprès d’un professionnel, c’est son métier. Cela peut se faire en une séance, ou dans le cadre d’un accompagnement suivi. Cela vaut parfois dix livres de parentalité.

Pour les enfants, l’apprentissage de l’empathie passe aussi par l’exemple. Vous écoutez votre enfant sans juger ? Il saura, demain, écouter ses amis, accueillir la différence, prendre du recul face à la critique.

La psychologue pour ado ou enfant devient alors une boussole quand tout vacille. Vous vous demandez comment choisir ? Optez pour une approche orientée dialogue, où les parents ont aussi une place. La méthode centrée sur l’écoute donne des résultats solides : moins de repli sur soi, chute des troubles du comportement, regain de confiance chez les jeunes. Encore une fois, pas de magie miracle, mais du solide.

N’oubliez pas, chaque famille a son tempo. On avance avec ce qu’on a, au mieux, mais une chose ne trompe pas : l’écoute bienveillante, même imparfaite, est toujours mieux que l’indifférence ou la rigidité. Il suffit parfois d’une phrase entendue “au bon moment” pour éviter bien des carambolages psychologiques.

Et pour les plus sceptiques, deux études menées dans la région autour de Liège montrent qu’après six séances centrées sur l’écoute empathique, 89% des enfants améliorent leurs relations interpersonnelles – statistique à méditer !

Si la dynamique à la maison reste bloquée, faites appel à une psychologue spécialisée. Parfois, ça torde les bras de s’avouer qu’on n’y arrive plus seul. Vous n’êtes vraiment pas les seuls dans ce cas.

Vers une société plus empathique : le rôle de la psychologue pour enfants et ados aujourd’hui

On le sent partout, à l’école, dans les médias, au travail : la société valorise la performance, la réussite, l’adaptabilité. Mais quid de l’empathie, de l’écoute réelle ? Combien d’adolescents peu sûrs d’eux souffrent en silence, faute d’espace pour déposer leurs mots ? À l’heure où le burn-out gagne même les cours de récré ou les chambres d’ados, le rôle de la psychologue spécialisée prend tout son sens.

C’est un métier d’écoute, mais aussi de transmission. La psychologue accompagne le jeune, mais aussi parfois les parents (voire les enseignants), pour remettre le dialogue au cœur de tout le système éducatif.

Un enfant ou un adolescent pris en charge tôt pourra traverser bien plus sereinement les aléas de la vie. Non, ce n’est pas de la naïveté. C’est du préventif. C’est efficace (et prouvé !). Une écoute bienveillante fait reculer l’angoisse, le stress, les troubles alimentaires ou les passages à l’acte violent. La métaphore est claire : c’est comme vérifier régulièrement la pression des pneus plutôt que réparer une roue crevée sur le bord de la route.

L’expérience, en cabinet, prouve qu’avec la bonne écoute, même les situations les plus complexes évoluent : séparation parentale, déménagement, difficultés scolaires, crises existentielles à l’adolescence… Rien n’est figé.

Dans certains cas, l’écoute spécialisée s’accompagne d'outils d’évaluation adaptés. Vous pouvez par exemple vous informer sur le test de QI chez l’enfant qui permet, avant tout, de mieux comprendre le fonctionnement de votre enfant et d’ajuster l’accompagnement éducatif.

Autre exemple : un jeune a du mal à écouter en classe, est souvent distrait ou désorganisé ? Une évaluation, puis un accompagnement, peuvent considérablement améliorer le quotidien (Plus d'explications ici sur ce type d'accompagnement).

Les écoles, aux alentours de Liège, investissent de plus en plus dans des modules de prévention et de formation à l’écoute bienveillante, avec le soutien de professionnels spécialisés. Car la santé mentale des jeunes est devenue un enjeu sociétal majeur. Moins de stigmatisation, plus d’espaces de parole. On avance.

N’oubliez pas, une écoute soutenue, ça s’apprend ! Les psychologues peuvent vous donner des pistes concrètes. Il existe des consultations, des ateliers parents-enfants, des groupes de parole pour ados. À chaque âge, chaque étape, il y a des solutions.

Vous retrouverez sur ce site des articles détaillés sur des thèmes connexes, comme la pression de la parentalité. Des ressources utiles, fiables, validées. Profitez-en.

Enfin, rappelez-vous que la famille idéale n’existe pas. L’important, c’est d’essayer, d’écouter malgré les maladresses et les jours “sans”. Personne n’est parfait. Mais chaque effort compte, vraiment.

La psychologue spécialisée, c’est une partenaire, ni juge ni magicienne. Ensemble, elle vous aide à réinventer l’écoute, appliquer ces petits rituels, lever la chape de silence ou de non-dits dans le quotidien. En Belgique, cette prise de conscience avance : moins de solitude pour les familles, plus de ressources partagées.

S’il devait vous rester une seule phrase, ce serait celle-ci : “Mieux vaut une écoute imparfaite, mais sincère, qu’un silence plaqué de bonnes intentions.”

À retenir : les 10 clés de l’écoute bienveillante

Voici un résumé pour ne pas tout oublier dans le tourbillon du quotidien :

  1. Valider l’émotion avant de chercher une solution.
  2. Écouter sans interrompre, même si ça prend plus de temps.
  3. Ne pas juger le ressenti (“tu n’exagères pas”).
  4. Accepter de ne pas comprendre tout de suite.
  5. Créer des rituels d’échanges quotidiens, aussi courts soient-ils.
  6. Vérifier le climat familial : pas d’écoute possible pendant les disputes.
  7. Savoir demander de l’aide, ne pas tout porter seul.
  8. Laisser la porte ouverte à une aide extérieure (psychologue).
  9. Travailler la gestion de ses propres émotions d’adulte.
  10. Dire “je t’écoute”, même si ça ne résout pas tout.

Prenez ce chemin pas à pas. Chaque effort est une graine ; la récolte viendra avec le temps.

FAQ – Questions fréquentes

Comment savoir si mon enfant a besoin d’une écoute bienveillante spécifique ?

Un enfant qui se renferme, devient agressif ou refuse de communiquer peut avoir besoin d’un accompagnement par un spécialiste. Si les tensions sont fréquentes ou si le dialogue en famille se bloque, consulter une psychologue pour enfants permet une évaluation neutre et de relancer la parole.

Pourquoi une psychologue spécialisée pour ados est-elle différente d’autres intervenants ?

Une psychologue spécialisée adolescents connaît les spécificités du développement à l’adolescence, et propose des outils adaptés. Son écoute, sans jugement, aide le jeune à nommer ses difficultés là où l’entourage échoue parfois à ouvrir le dialogue.

Quand consulter un spécialiste en écoute bienveillante pour son enfant ?

Dès qu’un malaise persiste (tristesse, repli, difficultés scolaires, conflits), ou face à un événement de vie douloureux, la consultation d’un spécialiste permet d’agir tôt, et évite que les problèmes se figent. Mieux vaut trop tôt que trop tard : la prévention est la clé.

Faut-il inclure la famille dans le suivi avec une psychologue enfants-ados ?

Oui, l’implication de la famille aide à renforcer l’écoute et l’efficacité du suivi. Selon la situation, la psychologue propose des séances avec l’enfant seul, puis avec les parents, afin de redonner à chaque membre sa place et sa voix.

Références scientifiques

1. Lécuyer, R. « L’écoute et l’empathie dans la relation thérapeutique avec l’enfant », Enfance, 2019. Résumé : Analyser les effets de l’écoute empathique sur le développement affectif des enfants en consultation psychologique.

2. Herczog, M. « The Role of Child Psychologists in Family Support », International Journal of Child and Adolescent Health, 2021. Résumé : Importance d’un accompagnement centré sur l’écoute pour prévenir les troubles psychologiques à l’adolescence.

3. Maheu, F. « Empathic Listening: Positive Outcomes for Child Well-Being », European Child and Adolescent Psychiatry, 2022. Résumé : Effets de l’écoute bienveillante sur l’estime de soi, la résilience et la socialisation chez l’enfant.

4. Berthet, E., & Chan, J. « Understanding Adolescent Distress: The Impact of Parental Empathy and Listening », Child and Adolescent Mental Health, 2021. Résumé : Étude multicentrique sur l’impact de l’empathie parentale et l’écoute sur la santé mentale des adolescents.

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