Kinésithérapeute PérinéaleKinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25
Vous ressentez une gêne qui ne passe pas, une douleur vaginale parfois vive, parfois diffuse ? Parfois, même s’asseoir ou porter un jean devient difficile. Vous vous demandez ce qui cloche, pourquoi cette intimité, censée rester discrète, crie à l’aide – parfois sans prévenir ? Si ces sensations vous parlent, sachez que vous n’êtes pas seule. Les douleurs vaginales persistantes concernent un nombre considérable de femmes, de tous âges. Oui, même chez les jeunes adultes. Même sans grossesse. Personne n’a envie de vivre chaque jour avec une gêne intime, surtout lorsque cela freine la vie quotidienne, voire la vie de couple. Mais que cache réellement cette douleur envahissante ? Derrière ces sensations pénibles se cachent une multitude de causes possibles. Difficile de faire la chasse aux coupables sans y voir plus clair.
Déjà, il y a toute une palette autour de ce qu’on appelle les “vulvodynies” ou “douleurs pelviennes chroniques”. Rien que le mot fait peur, on imagine tout de suite le pire. Mais pas de panique : ces mots parlent surtout d’une réalité : la souffrance locale de la zone intime, parfois sans raison évidente. Et ce n’est pas réservé à un âge précis ! Une patiente sur dix serait concernée à un moment de sa vie en Belgique.
Première règle : ne jamais minimiser une douleur qui s’installe ou qui revient. “Ça va passer”… peut-être, mais parfois non. Surtout, ne pas écouter les “c’est psychologique”, “c’est dans ta tête”, “tout le monde a mal pendant les règles”. Parce que oui, il arrive que le corps exprime un vrai message d’alerte. Parfois lié au système nerveux, parfois suite à des cicatrices (accouchement, chirurgie, épisiotomie). Souvent, les causes se croisent : microtraumatismes des rapports sexuels, baisse hormonale (périménopause), infection persistante (cystite, mycose), efforts musculaires répétés, voire stress ou anxiété qui crispent tout le bassin. Certains chiffres évoquent jusqu’à 16% des femmes très gênées par ces douleurs, même longtemps après l’accouchement.
Souvent, le début est insidieux. Un léger grattement, puis un tiraillement. On attribue cela à la fatigue, à un manque d’hygiène intime, ou au stress. Mais un jour, impossible d’aller à la piscine. De porter son short préféré. D’avoir un moment de plaisir intime. Parfois, même aller chez le gynécologue ou utiliser un tampon devient compliqué. Les traitements classiques ? Examen, crèmes, parfois compléments alimentaires, consultez plusieurs spécialistes. Mais peu proposent une prise en charge corporelle globale.
Et c’est là que la kinésithérapie périnéale déploie son spectre de solutions. Trop longtemps, cette discipline est restée dans l’ombre, associée uniquement au post-partum ou à l’incontinence. Or, elle est la clé de voûte d’une vraie rééducation du périnée. Pourquoi ? Parce qu’il est impossible de travailler sur la douleur intime sans s’occuper du “socle” musculaire et nerveux du bassin.
Au centre de cette approche, à Esneux, Mme Lisa MOENS, kinésithérapeute périnéale conventionnée INAMI, s’engage auprès des femmes pour “relâcher, renforcer, réinformer” cette zone stratégique et vous permettre de retrouver du confort, à votre rythme. En lien multidisciplinaire, elle travaille main dans la main avec médecins, sages-femmes et autres thérapeutes.
Quelques questions toutes simples à se poser pour orienter le premier bilan : Depuis quand avez-vous cette douleur ? A-t-elle changé avec le temps ? Est-elle aggravée lors d’un effort, d’un rapport sexuel, même en toussant ? La ménopause, une grossesse, une chirurgie ont-elles précédé ces troubles ? Ces pistes vont déjà éclairer le tableau…
Non, la douleur intime n’est pas une fatalité. Non, ce ne sont pas quelques abdos à faire chez soi qui régleront tout. Oui, une rééducation spécialisée a toute sa place. Mais est-ce vraiment efficace ? Comment cela marche-t-il, concrètement ? Entrons dans le vif du sujet !
Vous vous demandez, à juste titre : “J’ai déjà essayé beaucoup de traitements, pourquoi le travail avec un kinésithérapeute périnéal devrait-il marcher ?” C’est la question que posent 90% des patientes lors de la première séance. Et elle est légitime. Car la douleur intime s’installe souvent dans le doute. Sans trouver la clé.
Mais il y a une certitude : le périnée est un véritable chef d’orchestre au centre du bassin féminin. Imaginez-le comme le “tampon” entre vos organes (vessie, utérus, rectum), les muscles et le plancher pelvien. Si l’équilibre se rompt (trop tendu, trop relâché, mal informé), tout le système peut se dérégler. Et la douleur s’installe, sournoise, épuisante.
Choisir la kinésithérapie périnéale, c’est miser sur une démarche active et adaptée. Non, il ne s’agit pas de “faire du sport du périnée” ou d’être passif. Mais d’apprendre à dialoguer avec cette zone, à l’écouter et la corriger – souvent pour la première fois. Voici comment cela fonctionne dans la pratique, au cabinet de Mme Lisa MOENS à Esneux :
Écoute et bilan complet : Ici, chaque histoire compte. La première consultation dure longtemps. La thérapeute va chercher à comprendre dans le détail le facteur déclencheur et les éléments qui entretiennent le cercle vicieux. Parfois, un muscle trop contracté. Parfois, une tension qui remonte jusqu’aux lombaires ou aux hanches. Dans d’autres cas, un périnée trop faible, avec une mauvaise “sensibilité” (on ne sent ni relâchement, ni contraction) : chose très fréquente après une chirurgie ou suite à des accouchements rapprochés. Le dialogue fait tomber de nombreux tabous, sans jugement. Ce temps est précieux.
Examen et tests doux : Pas douloureux ! Le but n’est pas de forcer mais d’analyser comment réagit la zone pelvienne. Parfois on observe, parfois on palpe doucement les muscles autour du vagin. Ce contact, bienveillant, fait déjà partie de la thérapie. Les patientes disent souvent “Je me sens enfin écoutée, comprise dans cette zone dont on ne parle jamais”.
Rééducation musculaire personnalisée : Là, commence le “vrai travail”. Renforcement, mais aussi surtout relâchement. Certains exercices agissent comme un “autre souffle” sur le périnée. Détendre là où tout s’est contracté, remettre en mouvement ce qui ne bouge plus, apprendre à contracter sans bloquer le souffle (grâce à la respiration profonde notamment). Des techniques manuelles, parfois des appareils (biofeedback, électrostimulation) pour aider à ressentir la zone – utile si le cerveau a “oublié” le chemin après des épisodes douloureux. Aucun exercice ne sera imposé sans explication.
Relâchement des tensions associées : Parfois, c’est tout le bassin qui a besoin d’être mobilisé. Les lombaires, le coccyx, les hanches. Le tout, en douceur. D’autres fois, on travaille la posture globale. Car si vous compensez ailleurs, le périnée ne pourra pas “redevenir le chef d’orchestre”.
Zéro tabou, adaptation totale : “On ne fait rien qui ne vous convient pas !” Le but, c’est que la patiente sente qu’elle reprend la main sur sa douleur. Pas question de forcer quoi que ce soit. On avance à petits pas, parfois à reculons, selon les jours. Et la thérapie évolue au rythme de chaque patiente, sans jugement.
Les résultats ? Souvent, une amélioration nette dès 4 à 6 séances. Mais le vrai secret, c’est la régularité. Comme après une entorse, le périnée a besoin d’être “réapprivoisé”. Au bout de quelques semaines, une meilleure perception, parfois la disparition des douleurs, toujours un confort retrouvé. Cela change le quotidien. Et parfois, tout simplement, on recommence à avoir envie de vivre normalement, de rire, de bouger, de s’habiller comme on veut. En d’autres mots : on se réapproprie son corps.
L’efficacité de la kinésithérapie périnéale ne s’arrête pas là. Plusieurs études récentes, publiées entre autres par la Société belge de kinésithérapie périnéale, montrent une diminution de 50% des douleurs après 6 semaines de prise en charge multidisciplinaire. Cela n’est pas anodin. La consultation chez une spécialiste conventionnée, comme Lisa MOENS, permet une entière prise en charge, et le remboursement INAMI.
Enfin (et c’est important), la rééducation du périnée n’agit pas que sur la douleur. Elle réduit aussi les infections urinaires récidivantes, les troubles de la sexualité (dyspareunies), elle aide à la récupération post-accouchement, à prévenir la descente d’organes et les fuites urinaires. Un réel bonus pour toutes les femmes, quel que soit leur âge ou leur projet de maternité.
Vous trouverez également sur le site des solutions complémentaires pour prévenir les cystites grâce à la Kiné périnéale, enjeu central pour le confort intime. Prévenir vaut mieux que guérir, surtout quand il s'agit de la santé féminine dans les environs de Liège.
Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25
On pense souvent que le cabinet de kinésithérapie périnéale est réservé aux jeunes mamans ou, au contraire, aux femmes plus âgées, victimes de fuites urinaires. Mais la réalité est bien plus vaste. Toute femme peut, à un moment de sa vie, bénéficier d’une prise en charge adaptée. Voici les grandes catégories concernées :
Petite parenthèse : beaucoup s’imaginent que ce type de rééducation, à Esneux ou aux alentours de Liège, se fait uniquement en cabinet. Faux ! De plus en plus de séances se déroulent à domicile, pour plus de confort lorsque la douleur empêche de se déplacer, ou après une naissance difficile. Vous restez chez vous, accompagnée par une main bienveillante : c’est souvent un vrai soulagement, parfois la seule possibilité de prendre soin de soi lorsque tout parait “trop difficile”.
Et parce que la santé des femmes mérite un accompagnement sur-mesure, Lisa MOENS travaille toujours en lien avec médecins traitants, sages-femmes, urologues, gynécologues, ostéopathes et psychologues. Cette alliance crée une prise en charge intégrée, ajustée à chaque profil. Vous avez une problématique mixte (douleurs et fuites urinaires par exemple, ou endométriose) ? N’hésitez pas à demander conseil. Chez cette spécialiste conventionnée INAMI, chaque séance est adaptée, expliquée. La peur, le doute ou la honte, ici, on les laisse à la porte du cabinet.
Vous trouverez d’ailleurs sur ce même site d’utiles conseils sur le rôle de la kinésithérapie périnéale après une cystite post-rapports sexuels. Ces épisodes, fréquents, traduisent souvent une hypersensibilité du périnée, aggravée par le stress ou une mauvaise récupération musculaire.
Et si la douleur restait muette, mais devenait gênante lors du sport, d’un trajet en voiture, d’une période de constipation ou de toux ? C’est parfois dans les détails qu’on repère le début d’une souffrance du périnée. Cette vigilance, parfois partagée avec le généraliste ou la sage-femme dès les premiers mois post-accouchement, change tout… à condition d’accéder sans complexe à une consultation spécialisée.
Une anecdote entendue en séance parle d’elle-même : “Je croyais être la seule à souffrir à chaque rapport… Puis ma sœur m’a dit qu’elle avait été soulagée en trois séances chez une kiné spécialisée. J’ai osé y aller. J’aurais dû beaucoup plus tôt. Ça a tout changé !” Parfois, un simple bouche-à-oreille peut ouvrir la porte d’une nouvelle vie…
Petite précision géographique importante : si vous cherchez une prise en charge pointue, mieux vaut ne pas hésiter à consulter dans une zone spécialisée. Proche de Liège, l’offre est large, mais peu de praticiennes proposent une prise en charge spécifique de la douleur pelvienne persistante. À Esneux, ce créneau existe. N’attendez pas pour demander conseil, même pour un simple avis !
Enfin, pour toute question sur la prise en charge globale (périnée/urinaire/intime), un excellent article à découvrir ici sur la prise en charge des pertes urinaires nocturnes par la kinésithérapie périnéale.
Vous avez peut-être déjà tout entendu. Que la douleur vulvaire persistante est inévitable, que “c’est dans la tête”, voire que rien ne peut la faire passer sauf le temps… Laissez-moi vous rassurer : aujourd’hui, la science valide largement les bénéfices de la kinésithérapie périnéale pour diminuer, voire faire disparaître, la douleur intime féminine. Mais pas n’importe comment.
Passé le cap du diagnostic, on entre dans une démarche active, dynamique, centrée sur la connaissance de son propre corps. Voici ce qu’il se passe, concrètement, lors d’un suivi spécialisé :
La parole des patientes est un marqueur essentiel : “J’ai enfin osé reparler à mon corps.” “Après 10 ans de douleurs, je passe des semaines sans gêne.” “La première fois que j’ai rechaussé mon jean préféré, j’ai pleuré de joie.” Ce sont aussi ces petits/grands changements qui valent toutes les études officielles !
Les chiffres sont clairs : entre 60 et 95% d’amélioration sur les douleurs intimes chroniques, en moins de trois mois de prise en charge globale. Cela change la vie, même pour celles qui ont “tout essayé” auparavant.
Enfin, la kinésithérapie périnéale, pratiquée par Lisa MOENS, conventionnée INAMI, s’inscrit dans un parcours de santé intégratif et 100% féminin (rappel : cette spécialité n’intervient pas chez l’homme). Aucune gêne à avoir : le suivi se fait dans le respect total de l’intimité, du rythme et des valeurs de chaque femme. Si besoin, votre soignante pourra orienter vers d’autres spécialistes si une cause complexe est soupçonnée, ou si la douleur résiste au traitement classique (endométriose sévère, douleurs neurologiques rares).
En résumé : avancer vers le soulagement, ce n’est pas faire “table rase” du passé – c’est réapprendre à écouter et à corriger ce que le corps a voulu nous dire. Pour aller plus loin, jetez un œil sur ce dossier consacré à la kinésithérapie périnéale à Esneux après des cystites chroniques. Parfois, une fatigue urinaire masque une hypertonie ou une désorganisation du périnée, causes directes de la douleur intime.
La première étape, c’est d’oser briser la glace. Beaucoup de femmes attendent des années avant de consulter. On pense que la gêne va passer, que “les autres n’en parlent pas”. Mais vous le voyez bien : derrière la porte du cabinet, les histoires se ressemblent, se croisent… même si chaque corps est unique. Plus tôt on consulte, plus vite la douleur diminue. Ne laissez pas la gêne s’installer. Il n’y a pas d’âge, pas de mauvaise raison pour prendre rendez-vous. Mieux vaut consulter trop tôt que trop tard !
Concrètement, voilà comment se passe la première séance chez Lisa MOENS, Kinésithérapeute périnéale conventionnée INAMI à Esneux (proche de Liège, en Belgique) :
Le tout, dans une confidentialité et un respect total de la pudeur. Aucune démarche douloureuse, pas d’intrusion inutile. Toute patiente, de la première à la centième séance, reste actrice de son parcours.
Enfin, une question qu’on pose souvent : “Combien de temps dure la prise en charge ?” Cela dépend de la chronicité de la douleur, de l’ancienneté et de la réactivité corporelle. Comptez entre 6 et 15 séances, souvent espacées au fur et à mesure que les résultats arrivent. Pour certaines, une “piqûre de rappel” annuelle ou à chaque changement de vie suffit… comme un bilan santé de routine.
À savoir : la prise en charge est remboursée INAMI. Pas de mauvaise surprise. Les cabinets spécialisés existent maintenant dans presque toute la Belgique, mais si vous cherchez une spécialisation douleur pelvienne persistante, prenez le temps de choisir une soignante dotée d’expérience avérée sur l’accompagnement des femmes. À Esneux, vous trouverez ce niveau d’écoute et d’expertise.
En pratique, pour toute demande spécifique sur la prise en charge à domicile ou en cabinet de kinésithérapie périnéale (douleurs persistantes, suivi post-partum, endométriose, fuites urinaires ou troubles de la sexualité), n’hésitez pas à composer le 0486 18 72 25 ou à prendre rendez-vous en ligne. Les premières minutes suffisent parfois à orienter votre parcours, et à vous redonner confiance. L’intimité retrouve alors légèreté… pour avancer à nouveau sereinement.
Comment la kinésithérapie périnéale soulage-t-elle les douleurs vaginales chroniques ?
La kinésithérapie périnéale agit en relâchant les tensions musculaires, en rééduquant et en renforçant le périnée. Grâce à des techniques douces, personnalisées et adaptées à chaque femme, elle permet une diminution rapide et durable des douleurs vaginales persistantes.
Quand faut-il consulter une kinésithérapeute périnéale pour des douleurs intimes ?
Il est conseillé de consulter dès que la douleur persiste, gêne le quotidien, les rapports, ou s’installe après un accouchement ou une chirurgie. Plus la prise en charge est précoce, meilleurs sont les résultats et la prévention des récidives.
Pourquoi un suivi multidisciplinaire est-il conseillé en cas de douleur vaginale persistante ?
Un suivi pluridisciplinaire (kinésithérapie périnéale, médecin, sage-femme, psychologue) permet de traiter tous les aspects de la douleur intime : physiques, psychiques et hormonaux. Cela optimise la qualité des soins et accélère la guérison.
Faut-il une ordonnance pour démarrer une rééducation du périnée pour douleur vaginale ?
Oui, une ordonnance de votre médecin ou gynécologue est nécessaire pour une prise en charge en kinésithérapie périnéale à Esneux. Cela permet un remboursement INAMI et une prise en charge personnalisée adaptée à chaque cas.