Kinésithérapeute PérinéaleKinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25
Ce n’est pas un sujet qui s’aborde aisément à l’heure du café. Vous imaginez, dire à vos amies : “J’ai de petites fuites urinaires depuis la ménopause, tu connais quelque chose ?” Et pourtant, l’incontinence urinaire chez la femme post-ménopausée est tout sauf rare. Presque une femme sur deux en souffre tôt ou tard… Mais peu osent en parler. Pour beaucoup, la gêne reste. Un mal caché, un secret gardé. Pourtant, il existe des solutions concrètes, accessibles et efficaces. La kinésithérapie périnéale en fait partie. Oublions les tabous ; laissez-moi vous raconter comment la consultation chez un kinésithérapeute périnéale spécialisé, comme Lisa MOENS, peut vous aider à protéger ce précieux capital qu’est votre périnée. Si vous avez entre 50 et 70 ans (voire plus), que la ménopause est derrière vous, et que vous habitez à Esneux ou proche de Liège, cet article devrait vous parler. Bienvenue dans un voyage au cœur d’une rééducation féminine qui n’a rien de superflu.
Commençons par ce qui paraît évident… et qui ne l’est pas. Le périnée, vous visualisez ? C’est ce hamac de muscles situé entre votre pubis et le coccyx. Il soutient la vessie, l’utérus et le rectum comme un panier tiendrait de délicats œufs. On y pense peu. Jusqu’à ce que quelque chose craque. Après la ménopause, ce “panier” voit ses fibres s’affaiblir. Pourquoi ? À cause de la chute des oestrogènes. Oui, cette fameuse hormone féminine qui fait la pluie et le beau temps du corps tout entier, et… du périnée aussi ! Le tissu musculaire qui compose votre plancher pelvien perd peu à peu sa tonicité. Moins ferme, moins réactif. C’est comme un trampoline sur lequel on aurait trop sauté : il se détend, il vibre, mais il ne rebondit plus aussi haut. Conséquence ? À chaque éternuement, crise de rire ou effort, un peu d’urine peut s’échapper. Gênant n’est-ce pas ?
L’incontinence urinaire n’est pas inéluctable, mais elle guette. Une étude récente menée en Belgique a montré qu’au-delà de soixante ans, près de 45% des femmes souffrent, de manière régulière, de pertes involontaires. Un chiffre qui grimpe encore si l’on compte les pertes occasionnelles, les petites gouttes après l’effort ou les nuits trop arrosées. On accuse la vieillesse, la paresse, ou simplement le temps qui passe. Mais savons-nous qu’une prise en charge précoce fait souvent la différence ? On peut prévenir, freiner, et parfois même, stopper l’incontinence naissante. Il ne s’agit pas que d’une affaire d’antivieillissement ; il s’agit de confort au quotidien, de qualité de vie.
Pire, la perte de tonicité du périnée ne se limite pas aux seules fuites urinaires. D’autres petits désagréments pointent souvent le bout du nez : sensation de lourdeur pelvienne, descente d’organes, gènes lors des rapports, infections à répétition. Pourtant, peu de femmes pensent à consulter. Par pudeur, par méconnaissance. Encore moins savent qu’une kinésithérapie périnéale adaptée peut leur éviter bien des désagréments. C’est là tout l’enjeu d’une bonne information : vous donner le choix, l’envie, le courage de consulter.
Vous vous reconnaissez ? Vous ressentez déjà de petites pertes ? Parfois, sans raison ? Ou alors toujours en éternuant, ou en portant un pack d’eau ? Rien n’est perdu ! Offrez à votre périnée une deuxième jeunesse, avec une professionnelle habituée des troubles féminins. Celle qui connaît la musculature intime sur le bout des doigts, qui parle à votre rythme, qui prend le temps d’expliquer. Mais que fait vraiment la kinésithérapie périnéale en cabinet ou à domicile auprès des femmes après la ménopause ?
Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25
Imaginez une séance adapté exactement à votre problématique. En toute discrétion. Pas de salle de sport bruyante, ni de machine de torture. Juste vous, une professionnelle à l’écoute, un cabinet rassurant. Chaque consultation commence par une phase d’écoute : on parle de votre vie, de vos habitudes, de vos craintes aussi. Il n’y a pas de honte à ressentir. Parce que chaque histoire est différente, la prise en charge sera sur-mesure.
En général, le kinésithérapeute périnéale conventionné INAMI comme Lisa MOENS travaille toujours en collaboration avec votre médecin, parfois avec une sage-femme, un gynécologue, voire avec une sexologue en cas de besoin. C’est la fameuse “approche multidisciplinaire”. Elle permet de ne laisser aucun angle mort. On se sent écoutée, entourée, comprise. Et jamais jugée. Lors de la première séance, on réalise un bilan périnéal. Pas d’inquiétude, tout se passe en douceur. On évalue la force musculaire, le tonus, les capacités de contraction et de relâchement. Parfois, des questionnaires ou petits tests viennent compléter l’examen physique. C’est un peu comme un point de départ, un état des lieux avant les travaux.
Ensuite, place à la rééducation à proprement parler. Là, fini les idées reçues ! Ce ne sont ni des abdos à la “Rocky”, ni du fitness. Non, c’est doux, précis, ciblé. Le travail du périnée, ce sont des exercices simples, lents, parfois même amusants. L’objectif ? Vous apprendre à contracter le bon muscle, au bon moment, sans forcer. C’est souvent là que le bât blesse : la plupart des femmes “poussent” au lieu de “retenir”. Un peu comme si on voulait stopper une fuite d’eau… en ouvrant le robinet du mauvais côté ! Le professionnel vous guide avec patience, corrige vos gestes, vous encourage. Certains exercices se font en position allongée, d’autres debout, parfois en respiration profonde pour détendre la ceinture abdominale. À la maison, quelques minutes par jour suffisent pour prolonger les bienfaits.
La consultation peut inclure selon les cas :
Ce protocole est totalement personnalisé. Certaines femmes progressent vite, d’autres plus doucement. L’important, c’est la régularité. Les résultats ? On observe déjà des améliorations au bout de quelques séances. Les fuites diminuent. Les sensations de contrôle reviennent. Certaines patientes témoignent qu’elles ont pu reprendre la marche sportive, le yoga, ou simplement rire sans crainte. Un joli succès, souvent vécu comme une petite victoire sur le temps qui passe. Car non, la ménopause ne signe pas la fin du bien-être intime.
Sachez aussi que la kinésithérapie périnéale peut venir en aide en prévention, avant même que les pertes urinaires ne pointent. Un atout majeur pour toutes celles qui souhaitent vieillir sereinement, tout en conservant une vie intime épanouie. Il n’y a aucune contre-indication majeure ; c’est naturel, sans médicaments. Parfois, la rééducation s’accompagne d’un suivi nutritionnel ou d’un coaching de réadaptation globale. En effet, l’alimentation joue aussi sur votre confort urinaire, et votre masse musculaire générale reste précieuse. Prête à tenter l’aventure ?
Vous souhaitez approfondir votre compréhension de la vie sexuelle féminine et ses liens avec le périnée ? Découvrez notre article complémentaire : Consultation sexologue pour anorgasmie féminine.
Vous vous demandez : “C’est efficace, ces exercices ? Ce n’est pas foutraque, comme on disait autrefois ?” Question légitime. Les méthodes ont bien évolué depuis les années quatre-vingt. Oubliez l’image du coussin à bascule ou de la simple contraction en soupirant dans un coin. Aujourd’hui, la kinésithérapie périnéale est un domaine pointu, scientifiquement évalué, où chaque geste a un but. Parlons cœur du sujet.
Dans un cabinet moderne, le kinésithérapeute conventionné INAMI combine plusieurs approches. D’abord, les contractions volontaires. On apprend à muscler le périnée, mais aussi à le relâcher vraiment. Beaucoup de femmes pensent contracter mais ne font qu’enfoncer le clou. La bonne contraction périnéale, c’est comme “aspirer une petite bille dans le vagin”, puis la faire remonter dans l’abdomen, sans se crisper, sans retenir sa respiration. C’est subtil, avec une vraie sensation de maîtrise.
Ensuite, on trouve le biofeedback. Ce terme technique désigne un appareil qui mesure, grâce à un capteur (tout petit !), la force de vos contractions en temps réel. L’écran s’allume, un chiffre grimpe – c’est très concret et ludique. On visualise les progrès séance après séance. De plus, cette technique permet de “dédramatiser” ce que l’on ne sentait plus. Un peu comme si le GPS de votre corps vous indiquait où tourner pour éviter la fuite…
Il existe aussi l’électrostimulation périnéale. Vous craignez la douleur ? Rassurez-vous, elle est indolore. Elle sert, par petits courants localisés, à stimuler les fibres musculaires endormies ou abîmées par le temps. L’objectif est de faire “reprendre la vigueur” là où il y avait fatigue. Cela convient bien aux muscles profonds, difficiles à contracter pour certaines. La séance dure quelques minutes, encadrée de bout en bout par la kinésithérapeute périnéale.
À cela, s’ajoute le travail global sur l’hygiène de vie et les postures des gestes quotidiens. Saviez-vous qu’elle vous apprend comment éviter la poussée abdominale (par exemple, quand vous vous levez d’un fauteuil ou portez un enfant) pour préserver votre périnée au long cours ? Elle vous donne aussi de multiples conseils personnalisés : apprendre à répartir la pression abdominale, bien vider la vessie, choisir des activités compatibles avec un plancher pelvien fragilisé. C’est tout un art, celui de la rééducation fonctionnelle féminine.
Le tout, dans une ambiance rassurante, sécurisante. La relation de confiance prime. Souvent, des peurs ou des croyances bloquaient la consultation. Certaines patientes sont très émues lors des premiers progrès. Elles racontent qu’elles se sont senties revivre. Ce n’est pas anodin. Peut-être vous aussi ? Aux alentours de Liège, les demandes augmentent d’année en année.
Et la technologie continue d’accompagner la pratique : applications mobiles avec rappels pour exercices, vidéos d’entraînement, Carnet de suivi numérique… on n’arrête plus le progrès ! Mais l’essentiel reste l’humain, ce contact direct, ce regard, cette écoute. Ici, la solution n’est pas “générale”. Elle sera toujours la vôtre. Le duo patiente-kinésithérapeute fait la réussite. Grâce à l’accompagnement adapté, adieu la fatalité des fuites urinaires post-ménopausiques. Car en prévention comme en traitement, la kinésithérapie périnéale au féminin a fait ses preuves, multiples études à l’appui.
Vous êtes concernée par d’autres troubles féminins, notamment dans votre couple suite à une ménopause difficile ? Vous pouvez aussi consulter les conseils dispensés dans cet article : Thérapie de couple à Liège : renforcer l’intimité sexuelle.
Enfin, la prise en charge permet aussi d’éviter la spirale négative : fuite urinaire, perte de confiance, isolement, baisse de désir, troubles gynécologiques à répétition. Un cercle vicieux. Un découragement. Quand parfois l’image de soi vacille, la prise en charge globale vous aide à retrouver équilibre et optimisme. “J’ai cru que je devais vivre avec... et en fait non”, confient des patientes proches de Liège après quelques séances à Esneux. Il n’y a ni âge, ni situation impossible. Osez franchir le pas, dans un espace qui vous comprend, où chacun prend son temps, dans la douceur et le respect.
Mme Lisa MOENS est une Kinésithérapeute périnéale conventionnée INAMI, installée en cabinet à Esneux, tout près de Liège. Sa pratique ? Une prise en charge “à taille humaine”, bien loin des grandes structures impersonnelles. Ici, la consultation est rythmée par l’écoute, la douceur et la compétence. Son approche combine expertise du périnée féminin, techniques validées et ouverture vers d’autres spécialités si nécessaires. Ce n’est pas qu’une question d’exercices ! C’est aussi l’accompagnement dans toutes les facettes de la vie intime autour de la ménopause.
Quelques exemples concrets : une femme ménopausée consulte, car elle a remarqué des pertes urinaires lors d’un voyage sportif dans les Ardennes. Après quelques tests et discussions, il s’avère que son rythme de vie, parfois stressant, amplifiait le symptômes. En quelques séances, non seulement le contrôle urinaire s’améliore, mais elle retrouve la sérénité pour voyager. Dans d’autres cas, la patiente vient après un accouchement tardif. La rééducation du périnée s’avère déterminante pour éviter, à court et long terme, une descente d’organes ou une gêne lors des rapports. Et que dire des femmes souffrant de douleurs post-ménopausiques, tels que ceux liés à l’endométriose, ou d’une sécheresse vaginale douloureuse ? Là aussi, la prise en charge kiné périnéale fait la différence, en lien avec le médecin traitant ou le gynécologue.
L’accompagnement ne s’arrête pas à la porte du cabinet. Lisa MOENS propose, lorsque c’est nécessaire, des séances de kinésithérapie périnéale à domicile. Idéal pour celles dont la mobilité est réduite ou qui préfèrent la tranquillité de leur foyer. Les rendez-vous sont pris dans le respect de votre emploi du temps et de vos besoins. Chaque évolution est consignée. Les progrès sont suivis pour adapter les séances. Ce travail d’équipe, vous et la thérapeute, construit la réussite sur la durée.
Une fois la rééducation achevée, un plan de prévention sur mesure vous est souvent remis. Des astuces, des exercices, une routine adaptée à votre âge, à votre morphologie, à votre mode de vie. Les patientes apprécient cette dimension “pratique”, à mi-chemin entre la consultation médicale et le coaching bien-être. “C’est un peu comme apprendre à marcher de nouveau, mais pour son périnée”, résume une habituée du cabinet proche de Liège.
L’approche multidisciplinaire de Lisa MOENS s’appuie sur :
Dans tous les cas, la dimension humaine et empathique reste au premier plan. On se sent soutenue, comprise, libre de s’exprimer sans honte ni tabou. Il va sans dire qu’un secret professionnel absolu encadre chaque échange. Vous pouvez prendre rendez-vous, en toute confidentialité, pour un premier bilan, un suivi, ou simplement une série de conseils personnalisés adaptés à votre âge et à votre situation. Car la rééducation fonctionnelle du périnée, c’est bien plus qu’un simple exercice physique : c’est une reconquête, parfois une redécouverte de soi. Si vous cherchez une praticienne passionnée aux alentours de Liège, spécialisée dans la prévention des pertes urinaires après la ménopause, le cabinet de Lisa MOENS à Esneux saura vous accueillir avec compétence et bienveillance.
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Si vous constatez des pertes urinaires, même petites, ou un inconfort intime (sensation de poids, baisse de sensation, gênes lors de la toux ou du sport), il est conseillé de prendre rendez-vous. Un premier bilan permet de prévenir l’aggravation. La consultation n’est jamais trop tôt – ni trop tard !
Le plancher pelvien se fragilise avec la chute des oestrogènes après la ménopause, augmentant le risque de fuites et de descentes d’organes. La rééducation améliore le maintien, le contrôle urinaire et la confiance en soi au quotidien.
Les premiers effets s’observent souvent dès les premières semaines, à raison d’une à deux séances par semaine et d’exercices réguliers à domicile. La progression varie selon la motivation et l’état initial, mais la majorité des femmes soulagées rapportent des progrès notables rapidement.
Oui, une ordonnance de votre médecin traitant ou gynécologue est nécessaire pour débuter la rééducation, permettant ainsi une prise en charge partielle par l’INAMI. Pour toute question, la Kinésithérapeute périnéale conventionnée INAMI Lisa MOENS vous explique la démarche exacte lors d’un premier contact.