NeuroPsy ADO-ENFANT Liège POTTIER SolennPsychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0456/87.15.00
L’estime de soi. On en parle souvent chez les adultes, mais chez les enfants et les adolescents ? C’est LE moteur invisible qui façonne toute leur croissance, par petites touches. Un enfant qui s’aime et croit en lui, ose avancer. Un ado dépassé par le doute, c’est un moteur qui cale à chaque virage. Le manque d’estime de soi ne fait pas que piquer un peu, comme une piqûre de moustique après une dispute à l’école. Il s’infiltre. Agit sur les amitiés, les notes, le sommeil, l’image corporelle… C’est un caillou dans la chaussure. Parfois, c’est toute la chaussure qui manque.
Renforcer l’estime de soi, ça change tout. Soudain, le regard dans le miroir s’adoucit. Levons un instant le voile sur ce grand mot : c’est simplement la manière dont l’enfant ou l’adolescent se voit, s’évalue. Est-ce qu’il se traite comme il traiterait un ami précieux ? Ou alors, est-ce que la moindre erreur allume tout de suite la sirène rouge de la critique intérieure ?
Des études montrent qu’un niveau élevé d’estime de soi chez les jeunes est fortement lié à une meilleure santé mentale au long cours. Moins d’anxiété, moins de dépression, et davantage d’aptitude à s’adapter aux petits (et grands) défis du quotidien. L’enfance et l’adolescence constituent donc le terrain de jeu idéal pour poser des bases solides. C’est là, dans les premières années, que se construit le « je » du futur adulte.
Certains enfants, pourtant, avancent dans la vie comme s’ils marchaient sans boussole. Chaque échec, même minuscule — une moins bonne note, un commentaire maladroit d’un copain, une réprimande à table — prend le poids d’un boulet. Ils doutent, hésitent. Leur confiance fond comme neige au soleil. Ce sont des situations qui vous parlent ? Peut-être vivez-vous cela au quotidien, dans les couloirs d’une école à Liège ou dans le salon familial après une journée difficile.
Et n’allez pas croire que cela ne concerne que les « timides ». Parfois, celui ou celle qui bombe le torse en classe, qui prend le devant dans les jeux, le fait… justement pour cacher ce manque d’assurance. Sous l’écorce forte, il y a parfois un cœur fragile.
Mais bonne nouvelle : tout cela n’est pas figé dans le marbre. Bien accompagnés, enfants ou ados peuvent apprendre à se voir autrement. Changer de regard, c’est le début d’une liberté nouvelle. Comme si un voile se levait.
Peut-être vous demandez-vous : « Mais d’où ça vient, ce manque d’estime de soi ? » Certains facteurs sont très concrets : moqueries, harcèlement, mauvaises expériences scolaires. D’autres sont très doux, presque invisibles : manque d’encouragement, attentes trop hautes, comparaison constante avec les frères et sœurs. Familiales, scolaires, sociétales, les causes s’entremêlent.
Le manque de confiance chez l’enfant, à la maison ou à l’école, c’est aussi comme un virus. Il peut contaminer un groupe entier. Un enfant qui doute, c’est parfois toute la dynamique familiale qui vacille. Les parents se sentent souvent impuissants, cherchant ce mot, ce geste qui remettra les compteurs à zéro. Et pourtant… Cela se travaille.
À Liège ou aux alentours de Liège, il y a des professionnels, des lieux d’écoute. Ils accompagnent, guident et soutiennent. Ce sont des phares quand la tempête pointe à l’horizon. Les consultations en psychologie font souvent leur petit miracle, à force de bienveillance et d’outils adaptés. Alors, pourquoi attendre que le mal-être s’ancre, quand des solutions existent ?
Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0456/87.15.00
Une consultation en psychologie, c’est un peu une bulle de sécurité. Un espace où l’enfant ou l’adolescent peut, sans crainte d’être jugé, déposer ses peurs, ses doutes, ses fantômes du quotidien. Lorsqu’on pense à la psychologie, on imagine parfois des mots compliqués, des analyses interminables. En réalité, pour les jeunes, c’est souvent beaucoup plus concret et vivant : jeux de rôle, dessins, discussions, exercices de respiration…
À Esneux, par exemple, Mme Lara Tresalli (psychologue spécialisée dans l’enfance et l’adolescence) adapte chaque séance à l’âge, à la sensibilité, au vécu de chaque enfant. C’est un accompagnement sur mesure, qui se nourrit de bienveillance et de patience. On avance par étapes.
Alors, pourquoi cette démarche fait-elle la différence sur l’estime de soi ?
D’abord, parce qu’elle offre un soutien extérieur. Parfois, entendre une parole rassurante d’un tiers, neutre et formé, aide à faire émerger d’autres perspectives. Là où la famille s’essouffle, la psychologue pose d’autres questions, ouvre des portes nouvelles. Elle décortique les schémas limitants. Montre que la petite voix critique dans la tête n’est pas une vérité absolue. Ce processus est rarement instantané, mais a un vrai impact.
Ce travail se nourrit d’outils et d’exercices spécifiques : carnet des réussites, jeux d’identification des émotions, photolangage, méthodes de relaxation. Chaque outil vise un objectif précis : renforcer la connaissance de soi, reconnaître ses qualités et ses besoins, relativiser ses échecs.
Imaginez une jeune fille de 12 ans qui n’ose plus lever la main en classe après une réponse mal accueillie. Durant les séances, elle découvre qu’elle n’est pas « nulle », qu’une erreur ne définit pas toute sa personnalité. La psychologue l’aide aussi à nommer ses ressources intérieures. Progressivement, elle ose à nouveau… C’est cela, un accompagnement qui transforme.
La relation de confiance qui se tisse lors des consultations est un facteur clé. L’enfant n’a pas besoin de performer, il peut être lui-même, dans ses forces et ses fragilités. À force d’être accompagné dans ce parcours, il apprend à se donner le droit à l’erreur, à la lenteur, au doute. C’est tout sauf anodin.
Autre point fort, la prise en compte du contexte global. La psychologue ne travaille pas uniquement sur l’ici et maintenant. Elle tient compte de l’environnement scolaire, familial, amical. Les difficultés de concentration, les troubles de l’attention, les tensions avec les camarades sont ainsi abordés, de manière transversale. Parfois, une discussion avec les parents permet d’ajuster certaines dynamiques familiales sans culpabiliser qui que ce soit.
Et puis, il y a le suivi. Contrairement à une conversation ponctuelle, la consultation en psychologie permet de créer un fil rouge. On revient sur les progrès, on observe les rechutes, on ajuste les objectifs. Un peu comme une séance de musculation pour l’esprit, la volonté, l’estime de soi.
Mais toute cette approche ne s’improvise pas. Il existe des méthodes validées scientifiquement, des repères précis sur lesquels s’appuyer : travaux de Carl Rogers sur l’acceptation de soi, stratégies cognitivo-comportementales, valorisation du renforcement positif. Chaque consultation, à Liège ou en Belgique, est aussi structurée que chaleureuse.
Vous vous dites peut-être : « Très bien, mais quels sont les signes qui montrent qu’une consultation pourrait aider ? »
Pas besoin d’attendre que la situation dégénère. Au contraire, plus on agit tôt, plus les bénéfices seront visibles sur la durée. Curieux d’en savoir plus sur l’approche psychologique chez les jeunes ? Consultez par exemple cet article complet sur la prise en charge psychologique des enfants et adolescents. Et pour ceux qui s’interrogent sur l’impact des troubles de l’attention sur la confiance, il existe aussi des ressources précises : Les psychologues spécialisés offrent une bouée face aux troubles du comportement à découvrir ici.
Vous imaginez peut-être la psychologie comme un long monologue, allongé sur un divan. En réalité, les consultations avec un psychologue pour enfants ou adolescents, ça bouge, ça vit. C’est interactif, parfois même ludique. Rien de mieux pour dépasser la crainte ou le stress d’une consultation !
Première étape : identifier ce qui nourrit l’estime… et ce qui la grignote. Le psychologue pose des questions, observe, invite à réfléchir : « Qu’est-ce qui te fait sentir fier de toi ? », « Quand as-tu été content de toi dernièrement ? », ou encore « Peux-tu me donner trois qualités qui te plaisent chez toi ? » Pour certains enfants, ces questions sont difficiles. Mais, doucement, à force de petits pas, le regard change. Ce travail d’auto-évaluation est essentiel.
Puis viennent les outils concrets. Le carnet des réussites, par exemple : chaque semaine, l’enfant note trois succès, même minuscules (avoir osé parler à quelqu’un de nouveau, finir un dessin, demander de l’aide à son professeur…). Rien n’est trop petit, car tout compte. Ce carnet devient, peu à peu, un miroir positif, où l’enfant apprend à se regarder sans filtre négatif.
Le jeu de rôles est aussi très utilisé. On s’exerce à dire non, à exprimer une opinion, à argumenter sans peur. Ces « petits ateliers d’affirmation » sont de précieux laboratoires d’essai où l’enfant se découvre de la force. C’est un peu une salle d’entraînement : on muscle le courage, la capacité à dire « je » face aux autres.
Zoom sur un autre pilier : la gestion des pensées négatives. L’enfant apprend à repérer ces phrases assassines (« Je n’y arriverai jamais », « Je vais encore tout gâcher ») et à les questionner. Est-ce une réalité, ou seulement une impression ? Ce travail se rapproche de ce que l’on retrouve dans les thérapies cognitivo-comportementales (ou TCC). On déconstruit les croyances limitantes. On met en lumière les distorsions de pensée. C’est parfois déstabilisant, mais toujours utile.
Dans certains cas, on aborde le passé : une séparation familiale, un déménagement, une amitié rompue. Ces événements laissent des traces. Parfois, l’enfant n’a jamais pu nommer ce qu’il ressentait. La psychologue aide à mettre des mots sur les émotions. Comme on démêle une pelote de laine emmêlée.
Enfin, la valorisation du renforcement positif. À chaque progrès, on souligne : « Tu as osé faire ceci, c’est courageux. Tu as essayé, même si c’était difficile. » Un compliment sincère, ça pèse lourd. Bien plus qu’on le croit.
Évoquons la vie de tous les jours. L’enfant qui, avant, fuyait le regard du prof, ose maintenant poser une question devant toute la classe. L’ado qui se cachait sous une capuche aborde enfin les autres à la récré. Cela peut paraître anodin, mais ce sont des tournants cruciaux. Comme construire une maison, brique après brique.
Il ne faut pas oublier le rôle des parents et de la famille. Le psychologue, c’est un guide, mais l’accompagnement continue à la maison. Les séances peuvent inclure des conseils parentaux concrets : favoriser l’écoute sans juger, encourager l’autonomie, aider l’enfant à trouver sa voie sans imposer la perfection.
Et en cas de doute, n’hésitez pas à solliciter une consultation. Pour les parents qui se sentent dépassés, qui veulent trouver des mots adaptés, certains articles peuvent être de vrais soutiens, comme cette réflexion sur la pression de la parentalité et l’importance de se déculpabiliser.
Pour ceux qui veulent aller plus loin dans la compréhension des troubles liés à la confiance, l’article « Comment renforcer confiance en soi et attention des enfants » offre d’autres stratégies concrètes à tester au quotidien.
Pas question ici d’une approche standardisée, à la chaîne. Chaque enfant est unique, chaque histoire mérite une oreille neuve. La psychologue expérimentée commence souvent par un temps d’observation : quelles sont les forces de l’enfant ? Ses passions ? Ses peurs, cachées ou visibles ? On s’intéresse non seulement à ce qui ne va pas, mais aussi à ce qui va bien. Car la confiance naît toujours de là où l’on se sent fort.
En fonction de la personnalité (plus timide, extravertie, créative, sportive…), de l’âge, mais aussi du contexte familial et scolaire, l’accompagnement s’ajuste. Pour certains ados, les mots sont difficiles : la psychologue proposera alors des dessins, des jeux de cartes sur les émotions. Pour d’autres, très intellectuels ou cérébraux, on passera plus par des discussions, des débats.
Le secret ? Toujours écouter, jamais imposer. Avancer au rythme du jeune, même s’il faut parfois revenir en arrière. C’est dans ce respect que la confiance s’enracine, doucement mais sûrement.
Ce n’est pas un sprint, mais une randonnée à travers les paysages parfois accidentés de la jeunesse. Parfois, il faudra grimper. Parfois, accepter de se reposer. Au fil des séances, pourtant, la transformation s’opère. Un enfant terrorisé par les contrôles au collège découvre qu’il peut réussir. Un ado moqué pour sa différence comprend que sa valeur n’est pas négociable. Ces victoires-là ont le parfum de la liberté.
Et pour ceux qui auraient encore des doutes : il n’est jamais trop tard, ni trop tôt pour consulter. Les spécialistes sont formés pour intervenir tant à la maternelle qu’au lycée, et disposent d’une boîte à outils toujours plus large (relaxation, jeux interactifs, exercices d’affirmation de soi, ateliers parents-enfants…).
Parler d’estime de soi, c’est bien. Mais mesurer concrètement ce qui change, c’est encore mieux. Après quelques semaines, parfois quelques mois, que constate-t-on chez un enfant ou un adolescent qui a franchi la porte d’une psychologue spécialisée ?
Parmi les signaux positifs, on observe souvent :
Des parents témoignent aussi d’une ambiance familiale plus sereine. Les tensions autour des devoirs diminuent. Les moments de partage redeviennent agréables. C’est toute une chaîne qui se remet en mouvement, une fois la mécanique de l’estime relancée.
Parfois, c’est au sein de l’école que le changement se fait sentir. Un professeur remarque que l’enfant participe davantage. Les copains choisissent de nouveau celui qui, hier encore, s’excluait des jeux à la récréation.
On pourrait croire que ces progrès sont magiques. Mais ils reposent en réalité sur un travail commun : psychologue, enfant, parents avancent ensemble. Il arrive même que ce nouveau regard positif rejaillisse sur les frères et sœurs… ou sur les parents eux-mêmes, qui prennent conscience de l’importance de l’estime dans leur propre vie.
Est-ce que tout est toujours facile ? Non. Parfois, il y a des rechutes, de la lassitude, une envie de lâcher prise. Mais la différence, après un accompagnement adapté, c’est que l’enfant possède de nouveaux outils pour s’ajuster. Il sait que la tempête ne dure jamais. Qu’un échec n’est pas une fin, mais un détour possible.
Pour aller plus loin, vous pouvez lire un autre article sur la gestion de l’anxiété chez l’enfant et l’ado, ou encore sur le soutien lors de la phobie scolaire et l’accompagnement psychologique.
En conclusion, renforcer l’estime de soi n’est pas un luxe, mais un besoin : une boussole précieuse pour avancer dans la vie, quelle que soit la tempête, quel que soit l’âge. À Liège et dans toute la Belgique, il existe des professionnels pour guider ce processus avec le sérieux et la chaleur nécessaires. Oser entrer dans un cabinet de psychologie, c’est déjà, pour beaucoup, la preuve d’un premier courage. Le reste suivra.
Comment savoir si mon enfant manque d’estime de soi ?
Certains signes, comme la dévalorisation fréquente, la peur d’essayer, ou le besoin constant de validation extérieure peuvent indiquer un manque d’estime de soi. Si votre enfant évite les nouveaux défis ou se fait souvent du mal verbalement, il peut être utile de consulter un psychologue spécialisé. N'hésitez pas non plus à observer les changements dans ses relations ou ses résultats scolaires.
Pourquoi consulter un psychologue à Liège pour l’estime de soi des enfants ?
Un psychologue formé peut proposer un accompagnement personnalisé, adapté aux réalités de la région et aux problématiques locales. À Liège, des professionnels comme Mme Lara Tresalli s’appuient sur des méthodes éprouvées pour aider les jeunes à reconstruire une image positive d’eux-mêmes et améliorer leur quotidien. Cela peut prévenir de nombreux troubles ultérieurs.
Quand commencer un travail sur l’estime de soi chez l’adolescent ?
Il n’y a pas d’âge "idéal" : plus tôt l’enfant ou l’adolescent est accompagné, plus il pourra renforcer la confiance en lui sur le long terme. Au moindre doute ou en cas de difficultés scolaires ou relationnelles, il est judicieux de consulter rapidement. Un soutien précoce facilite les progrès et limite l’ancrage des croyances négatives.
Faut-il une prescription médicale pour consulter un psychologue pour enfant ?
Non, la plupart du temps, il n’est pas nécessaire d’avoir une prescription médicale pour prendre rendez-vous avec un psychologue spécialisé enfants et adolescents à Liège. Vous pouvez contacter le professionnel directement pour discuter de votre situation et organiser une première rencontre. Cela permet d’agir vite, sans démarches administratives complexes.
Harter, S. “The Development of Self-Representations during Childhood and Adolescence”, Annals of Child Development, 1990. – Synthèse clé sur la construction de l’estime de soi et ses étapes développementales.
Mruk, C. J. “Self-Esteem and Positive Psychology: Research, Theory, and Practice”, Springer, 2013. – Ouvrage de référence sur la psychologie positive et le modèle d’accompagnement de l’estime de soi chez l’enfant et l’adolescent.
Orth, U., Robins, R. W. “Understanding the Link Between Low Self-Esteem and Depression”, Current Directions in Psychological Science, 2013. – Lien démontré entre estime de soi et santé mentale chez les jeunes.
Rubin, K. H., Bukowski, W. M., & Parker, J. G. “Peer Interactions, Relationships, and Groups”, Handbook of Child Psychology, 2006. – Importance des relations sociales dans la construction et la consolidation de l’estime de soi en milieu scolaire.