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Bilan neuropsychologique pour Troubles de Mémoire et d'Attention chez l'Enfant - Consultation à LiègeNeuroPsy ADO-ENFANT Liège POTTIER Solenn

NeuroPsychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Solenn POTTIER

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

Bilan neuropsychologique : la clé face aux troubles de la mémoire et attention altérée chez l'enfant ou l'adolescent ?

Pourquoi réaliser un bilan neuropsychologique en cas de troubles de mémoire et d’attention ?

Imaginez une classe. Un élève, regard dans le vague, son stylo suspendu en l'air. Il vient d'oublier l'exercice demandé cinq minutes plus tôt. Sa voisine, elle, sursaute à chaque bruit, passe de la feuille au tableau, du cartable à la fenêtre. Concentration fragile. À la maison, les devoirs virent à l'interminable combat. Est-ce de la distraction banale ? Une crise passagère ? Ou les signaux d'un trouble cognitif plus profond ?

Au cœur de ces incertitudes, le bilan neuropsychologique enfants et adolescents intervient comme une boussole. Pas une baguette magique — mais un outil précieux. Parce qu’un oubli isolé ou un manque d’attention occasionnel, oui, cela arrive à tout le monde. Mais quand la mémoire flanche souvent, quand l’attention vacille sans raison, il est temps de s’interroger. Vous cherchez des réponses ? Vous voulez comprendre ce qui se passe dans la tête de votre enfant ?

Le bilan neuropsychologique va bien au-delà du simple test. C’est une exploration. Un peu comme si on ouvrait une boîte à outils invisible pour regarder comment fonctionne le cerveau, comment il traite, stocke, et restitue l’information. Pour comprendre pourquoi, certains jours, même une consigne simple devient une véritable montagne à gravir.

Pour beaucoup de familles, faire ce pas permet surtout d’en finir avec des questions sans réponses. Mais aussi d’éviter les interprétations trop rapides : “il manque juste d’efforts”, “elle ne veut pas se concentrer”, “avec de la volonté ça ira”. Malheureusement, le cerveau d’un enfant n’est pas un muscle qui obéit. C’est un orchestre complexe, et quand un instrument joue faux — mémoire, attention, logique — tout l'ensemble perd le fil.

C’est là qu’intervient le ou la neuropsychologue spécialiste des enfants et adolescents. Son métier : repérer, comprendre, guider. Parfois, les troubles de la mémoire ou de l’attention cachent une difficulté plus large : un trouble de l’apprentissage, un début de TDAH (trouble déficit de l’attention/hyperactivité), ou un élément plus discret.

Un chiffre choc ? En Belgique, on estime que près de 6 % des enfants d'âge scolaire pourraient avoir un TDA/H, mais beaucoup passent sous le radar. Quid des troubles mnésiques ? On en parle moins, mais ils sont pourtant aussi fréquents. Problème, si on ne les évalue pas à temps, ils peuvent se transformer en un vrai cercle vicieux : perte de confiance, difficultés scolaires, relations tendues à la maison...

À ce stade, peut-être vous demandez-vous : en quoi ce fameux bilan consiste-t-il vraiment ? Quels tests sont utilisés ? Jusqu’où va-t-on dans l’évaluation ? Bonne question, car bien trop de parents confondent ce bilan avec les tests psychométriques standards, comme le simple test de QI chez l’enfant. Ici, on vise autrement : mesurer, mais aussi décoder, comprendre la nature du problème.

Avant d’aller plus loin, gardons en tête cette image : un diagnostic n’est pas une étiquette. Mieux, il s’agit d’un point de départ. Pour aider votre enfant à reprendre le cours, à retrouver sa place sur le chemin de l’apprentissage et de l’épanouissement.

Enfin, mention spéciale à toutes les familles aux alentours de Liège : vous n’êtes ni isolés, ni impuissants. La précocité d'un accompagnement et l'accès à une prise en charge adaptée font toute la différence, ici comme ailleurs.

Comment se déroule un bilan neuropsychologique pour troubles de mémoire et attention ?

Le terme “bilan” impressionne. Mais concrètement, comment cela se passe-t-il pour un enfant ou un adolescent ? Restez avec moi, je vous explique ce parcours étape par étape, sans jargon inutile.

D’abord, tout commence par un entretien approfondi — on appelle cela l’anamnèse. Vous, parents, échangez avec la neuropsychologue. On décortique les plaintes : oublis, perte d’objets, devoirs non terminés, distraction constante. On parle des antécédents médicaux, scolaires, familiaux. Car rien n’est isolé dans la tête d’un enfant. On cherche les causes, mais sans juger.

Ensuite vient la phase de test, qui peut durer une à trois séances selon l’âge et la fatigabilité. Pas question de “piéger” l’enfant. Pas d’examen scolaire ! S’il faut l’expliquer à un jeune : “On va jouer ensemble, voir comment ton cerveau réfléchit.” Cette approche sécurise et permet à l’enfant de donner le meilleur de lui-même.

Quels sont ces fameux tests ? Ils évaluent différents domaines clés :

  • Attention : attention soutenue (tenir bon sur une longue tâche monotone), attention sélective (ne pas se laisser distraire), attention partagée (faire deux choses à la fois).
  • Mémoire : mémoire de travail (retenir à court terme ce qu'on manipule), mémoire à court terme (ex : répéter une suite de chiffres), mémoire à long terme (rappeler une histoire entendue la veille).
  • Fonctions exécutives : flexibilité mentale, inhibition, planification.
  • Profil psychométrique global : estimation du “terrain” intellectuel, notamment pour ne pas confondre retards cognitifs généraux et difficultés ciblées.

Par exemple, un jeune qui ne retient pas ses leçons : s’agit-il d’une mémoire spécifique affectée ? D’une attention qui décroche sans arrêt ? Ou d’une anxiété qui bloque la récupération des souvenirs ? Seul un bilan complet peut faire la différence.

Un détail qui change tout : on ajuste toujours les épreuves à l’âge et à la scolarité. On compare non seulement à l’âge biologique, mais aussi à la classe fréquentée, à l’environnement familial et socioculturel. Un adolescent qui consulte pour la mémoire ne sera pas testé sur les mêmes critères qu’un enfant de 6 ou 7 ans, vous l’imaginez !

Entre chaque test, on propose des pauses, on rassure, on valorise les efforts. Ici, l’humain passe avant l’outil. Car rien de pire qu’un bilan vécu comme une sentence kafkaïenne — le but c’est d’obtenir une photographie fidèle, pas un miroir déformant.

Viens ensuite le temps du compte-rendu. Là, tout s’éclaire. On vous explique, concrètement : “voici ce que votre enfant sait faire, ce qui lui coûte, et pourquoi.” Résultat : vous repartez non pas avec un “verdict”, mais avec un cap, des stratégies, et parfois des conseils pour l'école. Un exemple ? Certains enfants vont avoir besoin d’adaptations simples en classe : consignes écrites, moins de double tâche, temps supplémentaire lors de contrôles…

Un autre point crucial : le bilan n’est jamais figé. Il ne ferme pas de porte. Il ouvre des pistes : vers une rééducation, ou vers une orientation chez d'autres professionnels (orthophonistes, pédopsychiatres, etc.), si besoin. Bref : il replace l’enfant au centre, lui rend une histoire où il n’est pas le coupable, mais le héros d’un nouveau départ.

Pour ceux qui recherchent un premier contact rassurant ou un accompagnement bienveillant, n’hésitez pas à consulter les ressources mises à disposition, par exemple psychologue enfants et adolescents à Esneux ou encore un psychologue enfants adolescents TAG pour explorer des pistes complémentaires en cas d’anxiété associée.

Specialement adaptée aux familles vivant à Liège ou en Belgique, la démarche reste la même : un bilan clair, humain et personnalisé pour comprendre ce qui se passe dans la vie de votre adolescent ou jeune enfant, loin du simple “il manque de concentration”.

NeuroPsychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Solenn POTTIER

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

Quels bénéfices retirer d’un bilan neuropsychologique ?

Pourquoi lancer un bilan mémoire attention pour son enfant ? C’est une décision qui peut sembler lourde de sens, un peu comme entrouvrir une porte sur ce qu’on redoute, mais aussi sur ce qu’on espère. Les bénéfices, pourtant, sont immenses. Les familles racontent : “On avait l’impression d’avancer dans le brouillard… après, tout s’est éclairé.”

Premier apport essentiel du bilan neuropsychologique : valider les inquiétudes, ou au contraire rassurer. Un exemple ? Un enfant décrit comme rêveur, “à la ramasse” à l’école. Parfois, c’est juste une grande fatigue saisonnière, ou un environnement scolaire mal adapté. D’autres fois, il y a bel et bien un trouble spécifique de l’attention ou de la mémoire. Le bilan précise, tranche, objective — bien au-delà du simple ressenti.

Ensuite, il ouvre la voie vers des prises en charge ciblées. Vous souvenez-vous de cette sensation de tourner en rond, quand aucun soutien ne semble vraiment aider ? Là, on sait où appuyer. Si la mémoire de travail fait défaut, par exemple, on oriente vers des ateliers spécifiques, des jeux cognitifs, ou une orthophonie. Si le souci relève du contrôle attentionnel, certains aménagements pédagogiques facilitent grandement le quotidien de l’élève.

Le bilan sert aussi à sortir l’enfant — et la famille — du “cercle du blâme”. Beaucoup vivent des tensions quotidiennes : devoirs qui traînent, oublis à répétition, malentendus avec les enseignants. Une explication neuropsychologique lève ce poids. Non, votre enfant ne “le fait pas exprès”. Oui, son cerveau fonctionne différemment, et il existe des outils pour avancer.

Gain inattendu : le retour de l’estime de soi chez l’enfant ou l’adolescent. Trop souvent, ces jeunes se sentent moins capables, moins intelligents — alors que la racine du trouble n’a rien à voir avec l’intelligence pure. Distinguer le trouble exécutoire d’un trouble intellectuel change tout. On peut être brillant, créatif, mais en réelle difficulté dès qu’il faut mémoriser ou se concentrer.

Iriez-vous faire du vélo avec un pneu crevé ? C'est un peu pareil pour ces enfants — difficile d’apprendre, de suivre, de s’épanouir, si un “pneu cognitif” ralentit tout le parcours. Le bilan, c’est la station de dépannage qui repère et répare ce qui bloque !

Autre bénéfice : la communication restaurée entre familles et équipe éducative. Avec un compte-rendu officiel, l’enseignant ne parle plus seulement à l’enfant, mais comprend ce qui lui complique la tâche. Mettre des mots, pour qu’il y ait moins de maux.

Enfin, le bilan offre à certains enfants l’accès à des aménagements officiels (tiers temps, matériel spécifique, AVS — selon les cas et pays) et à un suivi régulier pour mesurer les évolutions.

Autre point important, pour ceux vivant aux alentours de Liège ou ailleurs : l’accès local à des accompagnements spécialisés se développe. Les écoles et les centres médicaux collaborent plus qu’avant (parfois encore insuffisamment, mais les progrès sont là).

En France et en Belgique, un chiffre évoque l’enjeu : un enfant “mal compris” a 3 à 4 fois plus de risque de développer anxiété ou troubles du comportement en secondaire. Le bilan neuropsychologique, ce n’est donc pas “juste” pour mieux apprendre, mais aussi pour mieux grandir, mieux s’estimer, et éviter des souffrances futures.

Vous hésitez encore ? Un doute subsiste ? Sachez qu’il existe d’autres professionnels mobilisables, par exemple pour savoir si le problème relève d’un trouble du langage ou de l’attention. Un logopède peut aussi vous aider à faire la part des choses.

Autre solution, pour les cas complexes mêlant anxiété et attention : la coordination avec un spécialiste TDAH ou anxiété pour enfants à Liège.

Quels signes peuvent alerter les parents et les enseignants ?

Les signaux ? Ils s’accumulent souvent, mais chacun peut paraître bénin isolément. Voici ce qui, mis bout à bout, peut justifier la demande de bilan neuropsychologique enfant :
– Oublis fréquents : affaires scolaires, rendez-vous, consignes simples.
– Difficulté à rester concentré plus de quelques minutes.
– Besoin de relire ou redemander plusieurs fois les mêmes indications.
– Difficulté à planifier, organiser ses devoirs ou ses loisirs.
– Éparpillement, agitation même en situation calme : le fameux “dans la lune”.
– Baisse soudaine des résultats scolaires, malgré des efforts constants.
– Plaintes régulières des enseignants sur l’attention ou la mémorisation en classe.
– Problèmes d’ordre émotionnel liés à l’école : baisse d’estime de soi, repli, anxiété les jours de contrôle.

Certains enfants compensent longtemps, à force d’acharnement ou de stratégies “débrouille”. Mais la fatigue finit souvent par se faire sentir, surtout à l’adolescence où les apprentissages s’intensifient.

N’oubliez pas non plus que ces troubles peuvent cohabiter avec d’autres difficultés : dyslexie, dyspraxie, anxiété de performance… Un bilan rigoureux sait faire la différence, pour éviter les amalgames.

Des ressources complémentaires, comme celles proposées dans cette consultation en psychologie sur la pression parentale, permettent aussi de désamorcer les culpabilités — pour les enfants… comme pour les parents.

Après le bilan : quels accompagnements possibles et comment soutenir mon enfant ?

D’accord, le diagnostic est posé : trouble de l’attention, trouble de la mémoire, ou difficulté exécutive ciblée. Mais après ? Que faire de ce “dossier” ? Hors de question de rester démuni. Le bilan n’est que la première étape. C’est maintenant que commence réellement l’accompagnement sur-mesure.

Première mission : expliquer le fonctionnement de l’enfant ou de l’adolescent à toute l’équipe entourant l’enfant (parents, enseignants, éducateurs). Cela aide à éviter les malentendus (“il se fiche des cours”, “elle n’écoute pas”). L’enfant retrouve une identité claire, exempte de soupçons ou de reproches injustes.

Ensuite, on établit en général un programme personnalisé. Ce programme peut inclure plusieurs volets :

  • Rééducation cognitive (exercices pour “muscler” la mémoire de travail ou l’attention, jeux cérébraux adaptés à l’âge).
  • Stratégies de compensation : apprendre à utiliser des outils (check-lists, alarmes, schémas mentaux).
  • Conseils de méthodologie scolaire : apprendre à découper les tâches, à faire des pauses efficaces, à gérer la double tâche.
  • Soutien psychologique : seul ou en groupe, pour retisser la confiance et contourner la spirale de l’échec.
  • Parfois, indication vers d’autres professionnels (orthophonistes, ergothérapeutes, psychomotriciens…), surtout si le trouble en masque d’autres ou s’il existe de fortes répercussions quotidiennes.

Mais surtout, l’enfant n’avance plus seul. Il se sent compris. On arrête de lui demander l’impossible (“fais juste un effort !”) et on l’aide avec des solutions concrètes, adaptées à son rythme. C’est là, souvent, que la dynamique familiale se transforme. Un parent qui comprend pourquoi son adolescent oublie tout ne va plus réagir pareil… On chuchote moins de reproches, on propose plus d’encadrement. Et, mine de rien, tout l’équilibre du foyer s’en ressent.

Pour les enseignants aussi, le bilan simplifie la vie. Plus besoin de forcer ou de sanctionner : il s’agit d’adapter, de différencier. Et si cela semble complexe ? Beaucoup de ressources sont partagées entre neuropsychologues, psychologues scolaires et éducateurs. Le mot clé : communication.

Votre enfant a atteint le secondaire, ou aborde des étapes cruciales (examens, orientations) ? Le bilan peut alors être actualisé. Parfois, un suivi régulier va compléter la prise en charge, comme une révision annuelle du parcours. Enfin, pour les lignées familiales où plusieurs enfants présentent les mêmes difficultés, il importe de dépister tôt — l’hérédité pèse souvent, même si chaque histoire est unique.

En résumé : le bilan neuropsychologique n’isole pas. Il relie. Il fédère les efforts, éclaire le parcours, et fend ce voile d’incompréhension. Un peu comme une notice cachée pour mieux comprendre comment “fonctionne” chacun de nos enfants.

Un dernier conseil : n’attendez pas la “cassure”, la phobie scolaire, les longues tensions familiales. Plus l’intervention est précoce, plus le cerveau reste plastique… et plus les progrès sont spectaculaires. Les cabinets spécialisés à Esneux, à Liège et aux alentours offrent un accès rapide à ces bilans. N’hésitez jamais à faire le premier pas — même pour un simple doute suffit de consulter.

FAQ – Questions fréquentes

Comment savoir si mon enfant doit passer un bilan neuropsychologique pour sa mémoire ou son attention ?

Dès que les oublis et les difficultés à se concentrer impactent la vie scolaire ou familiale, cela peut être le signe qu'un bilan est utile. Si l’enseignant ou les proches observent des comportements inhabituels ou persistants, il est souvent conseillé de consulter un spécialiste pour un dépistage.

Pourquoi faire un bilan neuropsychologique avec un spécialiste pour enfants et adolescents ?

Les bilans réalisés par des professionnels formés à la neuropsychologie de l’enfant sont adaptés à leurs particularités développementales. Ils permettent d’éviter les diagnostics erronés et d’orienter l’enfant vers la prise en charge la plus efficace pour booster ses progrès.

Quand faut-il demander ce type de bilan à Liège ou en Belgique ?

Idéalement, dès que les difficultés sont repérées de façon répétée sur plusieurs semaines à l’école ou à la maison (par exemple dès le primaire). Ne pas attendre l’adolescence ou l’échec scolaire, car plus le dépistage est précoce, plus l’intervention porte ses fruits.

Faut-il craindre l’étiquette ou le regard des autres après un bulletin neuropsychologique ?

Non, au contraire : un bilan bien expliqué déstigmatisera l’enfant, en identifiant la cause réelle de ses difficultés. Il favorise l’inclusion, la compréhension de l’équipe éducative et le déploiement d’aides concrètes pour soutenir votre enfant au quotidien.

Références scientifiques récentes

Willcutt EG, "The prevalence of DSM-IV attention-deficit/hyperactivity disorder: A meta-analytic review", Neurotherapeutics, 2012. Synthèse internationale sur la fréquence et l’impact du TDAH chez l'enfant.
Alloway TP, "Working memory and learning: A practical guide for teachers", Sage, 2008. Ouvrage de référence sur le lien entre mémoire de travail et apprentissages scolaires.
Gioia GA, "Assessment of behavioral attention in children using the test of everyday attention for children", Child Neuropsychology, 2002. Étude sur les outils objectifs d’évaluation de l’attention infantile.
Ardila A, "Executive functions: Conceptualization and measurement", International Journal of Psychology, 2018. Article de synthèse sur la mesure des fonctions exécutives chez l'enfant.

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