NeuroPsy ADO-ENFANT Liège POTTIER SolennNeuroPsychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Solenn POTTIER
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
Votre ado a la tête ailleurs. Votre enfant oublie tout, en permanence. Ça vous épuise, parfois, et on finit par se demander si c’est juste la nature… ou s’il y a quelque chose de plus profond. Trouver des réponses claires n’est pas si simple : les oublis, les trous de mémoire, la concentration qui flanche, c’est le quotidien de nombreuses familles. Mais où est la frontière entre “c’est normal, il grandit” et “c’est un vrai problème qui mérite l’attention d’un professionnel” ? Le bilan intellectuel pour troubles de la concentration et de la mémoire fait partie des outils les plus précieux pour éclairer le chemin. Il aide à comprendre, à nommer, parfois à rassurer… et surtout à agir. Découvrez pourquoi cette démarche peut profondément changer le regard sur ses difficultés, et ce qu’elle peut vous apporter, à vous et à votre enfant.
Vous cherchez une approche sur mesure, qui ne juge pas, mais éclaire ? Suivez-nous, on fait le point, sans langue de bois et sans tabou. À Liège et ailleurs, ces questions touchent chaque année des milliers de familles. Pourquoi pas la vôtre ?
On entend souvent : “Ah, il n’écoute jamais !”, “Elle oublie toujours ses devoirs…”, “À l’école, on me dit qu’il rêve en classe”. Ces anecdotes, toute la Belgique les partage. Mais à partir de quand s’inquiéter ? Quand ces oublis deviennent une vraie source d’angoisse, que l’école alerte, ou que votre enfant souffre dans son estime de soi, il est temps de creuser.
Le bilan intellectuel (parfois appelé “test de quotient intellectuel” ou “bilan neuropsychologique”) permet d’aller beaucoup plus loin que le simple constat de difficultés. Ce n’est pas seulement une “note de QI” : c’est un portrait détaillé, nuancé, des capacités intellectuelles, de la gestion de l’attention, de la mémoire de travail et des stratégies que l’enfant utilise, parfois sans s’en rendre compte. C’est un outil de compréhension pour toute la famille.
Imaginez : vous devez monter un meuble Ikea sans notice. C’est exactement ce que vit votre enfant à l’école, quand il a du mal à capter, à retenir ou à trier les informations. Le bilan, lui, c’est la notice personnalisée : il explique pourquoi, pointe les forces, les points de vigilance, et indique comment aider au mieux, à la maison comme en classe.
La démarche est aussi essentielle pour guider l’équipe pédagogique. Un enfant qui cumule les oublis ou les difficultés de concentration peut voir ses difficultés mal interprétées (“paresseux”, “manque de volonté”). Un bilan objectif permet de recréer du dialogue entre la famille, l’école et les professionnels.
Mené par un(e) psychologue spécialisé(e) en enfants et adolescents – comme Solenn POTTIER, neuropsychologue à Esneux – ce bilan s’inscrit souvent dans un vrai parcours : il nourrit la réflexion, dénoue les idées reçues et, très concrètement, ouvre la voie à un accompagnement adapté. Une démarche qui change tout quand votre enfant semble “décrocher” sans que vous compreniez pourquoi.
Concrètement, quelles raisons devraient vous pousser à envisager ce bilan intellectuel ?
Les raisons sont multiples. Le bilan vient alors comme un révélateur : il démêle ce qui relève d’un fonctionnement “ordinaire” ou d’un trouble plus marqué. Un exemple ? Beaucoup d’enfants précoces ou à haut potentiel rencontrent des problèmes d’attention non liés à un manque d’intelligence : ils s’ennuient, zappent, oublient. À l’inverse, certaines difficultés peuvent masquer un trouble spécifique (TDA/H, trouble mnésique, trouble dysexécutif, trouble d’apprentissage…). La nuance est capitale pour agir avec justesse.
Ce qui importe : ne restez pas seul face à vos doutes. Un psychologue enfants adolescents formé dans ce domaine saura poser les bonnes questions, observer sans juger, et accompagner la famille dans tout le processus. Quel soulagement, souvent, pour les parents comme pour l’enfant !
Pas d’âge précis : le bilan s’adresse aussi bien à un enfant d’école primaire qu’à un jeune en secondaire. Mais plus les difficultés sont repérées tôt, plus les bénéfices de la démarche sont grands. Certains enfants commencent à accumuler du retard ou se découragent dès le CP/1ère primaire. D’autres “tiennent bon” jusqu’au collège, puis craquent sous la charge et la complexité.
Vous reconnaissez votre cas ? Sachez que la demande de bilan peut être initiée par la famille, mais aussi à la demande de l’école, d’un médecin, d’un orthophoniste ou tout autre professionnel de santé. L’important est d’agir sans attendre que les problèmes s’enracinent trop profondément.
Découvrez la démarche en détails d’un test de QI à Esneux
Le terme peut impressionner… “bilan intellectuel”, ça sonne sérieux, voire froid. Pourtant, ce processus est tout sauf impersonnel. Mené par un(e) psychologue ayant l’habitude d’accueillir les enfants et les ados, il allie rigueur scientifique, méthode et écoute active. À chaque étape, l’objectif reste d’apporter une vision juste, afin de mieux comprendre la façon de penser, mémoriser, et gérer l’attention chez chacun.
Le terme “bilan intellectuel” recouvre en réalité différentes évaluations :
Le déroulé du bilan intellectuel est standardisé, mais personnalisé à chaque enfant :
Malgré la rigueur du cadre, l’accueil reste profondément humain. C’est souvent l’occasion, pour l’enfant, de vivre une expérience valorisante. On met en lumière ses talents, même là où il/elle ne les percevait pas. Savoir pourquoi “ça coince”, c’est déjà un immense soulagement.
Petite histoire vraie : Jade, 13 ans, fatiguée d’entendre qu’elle “ne fait pas d’effort”, a découvert à travers un bilan une mémoire de travail fragile, compensée par une grande créativité. Ça a changé son rapport à l’école… et à elle-même ! Comme quoi, même un simple “test” peut devenir un levier puissant de changement.
L’un des atouts majeurs ? Le bilan évite l’erreur de diagnostic. Un trouble de l’attention, une anxiété, une précocité intellectuelle peuvent se ressembler… mais réclament des réponses différentes. Mieux vaut un regard croisé, précis, que des suppositions hâtives. Pour en savoir plus sur la nuance entre TDA/H et anxiété, consultez ce article sur le diagnostic différentiel entre TDA/H et anxiété chez l’enfant.
En résumé : le bilan intellectuel n’est pas un jugement, c’est une carte routière : il indique le chemin, les obstacles, les détours possibles. C’est aussi un outil concret pour demander ensuite, si besoin, des adaptations à l’école ou déclencher un accompagnement spécifique auprès d’un professionnel (orthophoniste, ergothérapeute, psychologue…).
Certains parents craignent que le résultat d’un test “colle une étiquette” à leur enfant. Mais c’est l’inverse : poser les difficultés, c’est ouvrir, non fermer. Après un bilan intellectuel, beaucoup de familles témoignent d’un soulagement et d’une nouvelle énergie. Pourquoi ?
Parce que le bilan donne des leviers très concrets pour agir, à la maison comme à l’école :
Le bilan ne donne pas que des scores. Il offre une lecture nuancée des points d’appui. Par exemple, un enfant mal à l’aise à l’oral, mais très habile sur des tâches logiques ou visuelles, pourra reprendre confiance. Pour l’enseignant, cela justifie d’adapter les méthodes : fractionner la consigne, autoriser des supports visuels, temporaliser, varier l’évaluation.
À la maison, on apprend à donner des repères plus structurés, à accompagner sans tension, à valoriser les progrès modestes. L’enfant cesse de se sentir “anormal”. Il prend conscience de ses points forts et, souvent, retrouve confiance en l’avenir.
Ce que le bilan change, c’est aussi le regard sur les parents. Finis les “il n’y a qu’à…”, les conseils culpabilisants. Le rapport écrit met tous les acteurs (famille, médecins, école) sur la même longueur d’onde. On ne baisse plus les bras à la première difficulté. On sait enfin “où agir”.
Consultez ce dossier sur la pression parentale et la déculpabilisation
En savoir plus sur le rôle de la logopédie dans les troubles de l'attention
Peut-on parler de “réussite scolaire” après un bilan ? Oui, si on définit la réussite comme “avancer malgré ses fragilités, grâce à ses propres ressources”. Nombre d’enfants retrouvent le goût d’apprendre, la fierté de finir un exercice seul, et l’envie de persévérer. Un élève “en échec” peut redevenir curieux, moteur, simplement parce que son profil est enfin reconnu et accompagné.
Dans les environs de Liège, ce type de démarche est de plus en plus fréquent. Les équipes pédagogiques des écoles sont souvent sensibilisées à la question et collaborent volontiers. Mais attention : un bilan n’est utile que s’il est bien expliqué. L’accompagnement qui suit la restitution est capital. Le psychologue continue à soutenir parents et enfants dans le temps, par des conseils, nouveaux bilans, ou orientation vers d’autres professionnels (orthophonistes, ergothérapeutes, pédopsychiatres…).
NeuroPsychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Solenn POTTIER
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Se lancer dans un bilan intellectuel, pour de nombreux parents, c’est sauter dans l’inconnu. C’est normal d’hésiter : “Comment va-t-il réagir ?”, “Vont-ils nous juger ?”, “Et si jamais c’était vraiment grave ?”. Mais en réalité, bien préparée, cette étape est porteuse d’apaisement. Voici quelques repères concrets, nés de l’expérience de parents passés par là, pour bien vivre la démarche.
Le psychologue est là pour écouter. Pas pour donner un “verdict”. C’est souvent lors de ce bilan que parents et enfants retrouvent confiance dans leurs capacités à avancer ensemble. Des témoignages ? Un jeune patient, Maxime, 11 ans, expliquait “je croyais que j’étais le seul à être tout le temps dans la lune… Maintenant je sais que mon cerveau marche vite, mais qu’il a besoin de pauses pour bien retenir. Du coup, je ne me trouve plus bête”. Voilà la magie du travail bien conduit.
Les professionnels spécialisés dans le secteur de l’enfance et de l’adolescence aux alentours de Liège connaissent bien ces réalités. Chez Solenn POTTIER, par exemple, chaque famille est reçue dans un cadre sécurisant, sans jugement. On avance au rythme de l’enfant, avec un suivi, si besoin, pour éviter que les résultats du bilan ne restent “lettre morte”.
Dernier conseil : osez parler du processus avec d’autres parents. Bien souvent, on croit être seul à s’inquiéter… alors qu’autour de vous, nombre de familles partagent les mêmes angoisses, les mêmes galères scolaires, les mêmes défis quotidiens. Parler, c’est déjà avancer. Et changer de regard, collectivement, sur la différence.
Vous souhaitez mieux comprendre le rôle du psychologue pour les jeunes ? Consultez cet article sur la psychologie des enfants à Esneux pour plus d’informations.
Comment se passe un bilan intellectuel pour troubles de la concentration chez l’enfant ?
Le bilan débute par un entretien avec les parents, puis une ou plusieurs séances de passation de tests adaptés à l’âge et aux besoins de l’enfant sont réalisées. Le psychologue analyse les résultats, observe les stratégies de l’enfant, et restitue le tout lors d’un entretien accompagnant un compte-rendu écrit personnalisé. Tout se déroule généralement dans un climat bienveillant et rassurant.
Pourquoi réaliser un bilan de mémoire et d’attention avant l’adolescence ?
Plus le bilan est réalisé tôt, plus il permet d’éviter que les difficultés ne s’enracinent et ne minent la confiance de l’enfant. Agir jeune, c’est aussi favoriser une adaptation pédagogique rapide et prévenir le décrochage scolaire.
Faut-il une prescription médicale pour un bilan intellectuel en Belgique ?
Non, il n’est en général pas obligatoire d’avoir une prescription d’un médecin pour consulter un psychologue spécialisé dans ce type de bilan en Belgique. Toutefois, il peut être utile d’informer le médecin traitant, surtout pour une approche pluridisciplinaire.
Quand demander un bilan intellectuel : y a-t-il des signes qui ne trompent pas ?
Quand la concentration, la mémoire, ou l’organisation scolaire posent problème de façon persistante, ou si l’école vous alerte, un bilan s’impose. D’autres signes peuvent motiver la démarche : oublis à répétition, baisse des notes inexpliquée, anxiété en situation d’apprentissage, ou encore un “mal-être” face à l’école.
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Références scientifiques :
Korkman, M., Kirk, U., & Kemp, S. (2001). “NEPSY: A Developmental Neuropsychological Assessment”. Psychological Assessment Resources. Outil fondamental d’évaluation du développement cognitif chez l’enfant.
Meltzer, L., & Krishnan, K. (2007). “Executive Function Difficulties in Children: Impact on Academic Performance and Social Functioning”. European Child & Adolescent Psychiatry. Un article qui analyse le lien entre troubles cognitifs et retentissement sur la scolarité.
Alloway, T.P. (2006). “How does working memory work in the classroom?”. Educational Research and Reviews. Cette étude montre l’impact des troubles de la mémoire de travail sur les apprentissages scolaires.
Wechsler, D. (2016). “Wechsler Intelligence Scale for Children – Fifth Edition (WISC-V)”. Pearson. Manuel de référence pour l’évaluation du QI chez les enfants et adolescents.