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Bilan intellectuel et évaluation des fonctions exécutives chez l’adulte : Un guide pour les parents à LiègeNeuroPsy ADO-ENFANT Liège POTTIER Solenn

NeuroPsychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Solenn POTTIER

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

Bilan intellectuel et évaluation des fonctions exécutives chez l’adulte : Pourquoi (et pour qui) c’est essentiel dans le parcours parental ?

Pourquoi un bilan intellectuel adulte est-il aussi crucial pour les parents (ou futurs parents) qu’un test de QI pour les enfants ?

Quand on pense bilan intellectuel, notre esprit image souvent des enfants devant des cubes de couleur ou des petits bonshommes à compléter. Pourtant, ce type d’évaluation ne concerne pas qu’eux. Chose étonnante : nombre d’adultes, parfois déjà parents, passent un bilan cognitif à la faveur d’un questionnement soudain. La mémoire qui flanche au travail. Les mots qui s’emmêlent. Ou cette sensation de “cerveau dans le coton”, comme si tout ralentissait dans la tête. Cela vous parle ?

Autre cas fréquent : les parents qui veulent mieux cerner ce qu’ils transmettent à leurs enfants. Pas qu’une génétique ou une histoire familiale. Mais aussi des outils, des forces, parfois des fragilités... Et là encore, le bilan des fonctions exécutives (on va y revenir) éclaire le paysage. Parce qu’il ne s’agit pas d’un bulletin scolaire pour adulte, mais bien d’un radiographe du potentiel intellectuel ici et maintenant. Un moyen, aussi, de comprendre pourquoi on galère autant à organiser la maison ou à jongler entre les agendas, en parallèle du mental déjà surchauffé par le quotidien parental.

Petit rappel qui change tout : quand un enfant présente des difficultés scolaires, une évaluation des fonctions exécutives peut sauver la suite de sa scolarité. Chez l’adulte, c’est pareil. Rien de trop tardif, rien de figé. Bien au contraire : comprendre son fonctionnement permet de jouer sur ses forces et d’anticiper ses faiblesses. Alors, à quoi ça sert — vraiment ?

C’est ici qu’intervient le tandem gagnant : bilan intellectuel + évaluation des fonctions exécutives. Deux outils qui se complètent (comme un plan et une boussole) pour répondre à mille et une questions. Pourquoi je m’éparpille ? Pourquoi j’oublie toujours où j’ai mis les clés, alors que je retiens le moindre détail au boulot ? Ou encore : pourquoi mon ado me ressemble tant… sur les points où ça bloque ?

Dans un contexte parental, le bilan cognitif chez l’adulte, c’est aussi un pas de côté. Pour s’autoriser à mieux se comprendre. Et pouvoir, ainsi, aider ses enfants avec la bonne posture. Parce que dire « Fais un effort », c’est bien. Mais comprendre ce que veut dire “faire un effort” quand on manque d’organisation, pour soi comme pour eux, ça change toute la donne.

À ceux qui hésitent, rappelons que ces bilans sont réalisés par des spécialistes formés, souvent psychologues ou neuropsychologues. Par exemple, NeuroPsychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Solenn POTTIER (📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux) accompagne autant d’adultes que de jeunes, car les chemins s’entrecroisent. Elle reçoit régulièrement toute une famille, chacun avec ses questions. Une mère anxieuse pour sa mémoire, un père perdu dans les priorités, un adolescent démotivé à l’école : même combat, ou presque.

Vous vous demandez si ces bilans servent vraiment à quelque chose, ou si « ce n’est pas encore une mode » ? Pause. Première statistique : près de 20 % des adultes en Belgique déclarent des difficultés d’attention, de planification ou d’organisation. Mais moins de la moitié fait le lien avec un possible trouble de la cognition ou des fonctions exécutives. En clair : ceux qui consultent bénéficient d’un vrai levier pour reprendre la main. Les autres, malheureusement, roulent parfois toute la vie avec la sensation d’être “trop” ou “pas assez”.

Retenez bien ceci. Un bilan psychologique adulte, surtout dans une région active comme à Liège, n’est jamais un jugement. C’est l’occasion de regarder sous le capot, de comprendre ce qui peut coincer, et où la marge de manœuvre est la plus large possible. À la clé : moins de culpabilité. Plus de solutions. Et, très souvent, un vrai soulagement pour l’entourage. Jusqu’aux enfants eux-mêmes.

Comment se déroule concrètement un bilan intellectuel adulte et pourquoi évaluer les fonctions exécutives en même temps ?

Vous imaginez peut-être un test sur ordinateur, des questions pièges et un score qui tombe comme à l’école ? Détrompez-vous. Un bilan intellectuel, ce n’est pas quelque chose qui vous colle une note sur le front. L’objectif, c’est de cartographier. Trouver la carte routière de votre fonctionnement mental. Et rien ne vaut un accompagnement humain pour réussir ce « diagnostic embarqué ».

Chez un neuropsychologue spécialisé, comme NeuroPsychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Solenn POTTIER à Esneux, le parcours commence toujours par un entretien. On discute. Vous posez vos questions, racontez votre parcours, les difficultés (ou les points forts) qui vous amènent là. Le contexte compte autant que les chiffres.

Vient ensuite une batterie de tests cognitifs adaptés à l’âge adulte : mémoire de travail, raisonnement, attention, vitesse de traitement... Rien à voir avec le mythe du QI “pur” qui vous classe pour la vie ! On regarde plutôt vos “outils internes”. Certains sont affûtés, d’autres un peu rouillés. Il n’est pas rare, par exemple, qu’une personne brillante en gestion de projet peine à retenir trois informations à court terme. Ou qu’un parent parfaitement organisé au travail se sente “submergé” par le moindre changement de planning personnel.

Mais le cœur du bilan, désormais, c’est l’évaluation des fonctions exécutives. Qu’entend-on par là ? Ce sont les “chefs d’orchestre” du cerveau adulte. Imaginez-vous aux commandes d’un cockpit : planification, inhibition (résister à l’impulsion de “parler trop vite” ou de zapper d’un sujet à l’autre), flexibilité, mémoire de travail, organisation pratique… Ces fonctions déterminent notre capacité à agir (ou non) efficacement au quotidien. Être parent, c’est comme piloter un avion dans du brouillard : les fonctions exécutives sont le radar et le plan de vol.

On utilise pour cela des exercices concrets, parfois sur tablette : tâches “temps limité”, consignes à retenir tout en résistant à des distractions, changements de règles en cours de route... Ce n’est pas une torture ! Mais ça révèle souvent des schémas inattendus. Certains adultes découvrent, par exemple, que leur fatigue chronique vient moins d’un problème de sommeil… que d’une surcharge de gestion mentale permanente.

Et si des signaux d’appel sont présents (difficultés majeures, notion de « flottement » permanent), le bilan peut s’enrichir d’autres outils : passation d’échelles anxiété/dépression, tests de personnalité, observation en situation de stress... Car le cerveau n’est jamais une île. Il réagit à la fatigue, aux émotions, à la charge mentale. La vraie puissance du rendez-vous, c’est d’être tout sauf “un test QI lambda”. On tisse une photo d’ensemble, très personnalisée, qui éclaire sur trois plans simultanés : intellect, gestion des émotions, compétences de vie.

Cette démarche s’adresse-t-elle seulement aux parents déjà confrontés à des difficultés dans leur vie familiale ? Pas du tout. Beaucoup de personnes viennent “avant” les vrais ennuis, pour anticiper. Parce qu’un bilan, c’est comme une révision mécanique : mieux connaître ses outils prévient les pannes de parcours. On en ressort, dans la plupart des cas, avec non seulement un rapport pointu mais aussi des recommandations sur mesure. Parfois, la neuropsychologue travaillera de concert avec la famille, les enseignants, le médecin traitant… Si nécessaire.

Un point fort du suivi ? La gestion du fameux “effet miroir”. On observe souvent que la prise de conscience chez le parent (des difficultés comme des points forts) résonne ensuite chez l’enfant ou l’adolescent. Inversement aussi : des parents qui découvrent le TDA/H de leur enfant convoquent alors un bilan pour eux-mêmes, des années après leur propre scolarité. Parfois, tout s’éclaire.

Un chiffre parlant : on estime qu’aux alentours de Liège, près de 60 % des adultes découvrent leurs troubles de l’attention ou de la mémoire à l’occasion du parcours de soins d’un de leurs enfants. Se poser la question, c’est donc déjà avancer. Même s’il y a parfois de la peur, de la honte ou la peur du résultat. Mais, rassurez-vous : aucune étiquette ne tombe après un bilan. Uniquement des clés pour mieux naviguer dans sa vie de parent (et humaine tout court).

En résumé ? Un bilan des fonctions exécutives adulte, c’est comprendre pourquoi on a tel style d’organisation, telle manière de gérer le stress ou la mémoire. C’est, aussi, savoir expliquer à son enfant pourquoi on « oublie parfois les rendez-vous » ou pourquoi « papa ou maman s’éparpille ». Rien ne vaut ce pas de côté, dans une société qui va trop vite et ne laisse pas toujours le temps de se poser.

Qu’apportent les résultats ? Des réponses concrètes pour agir (ou rassurer) dans la parentalité

Vous craignez un jargon incompréhensible ou des résultats qui “cassent l’image” ? Rassurez-vous. Un bilan cognitif adulte bien restitué, c’est une traduction : on met des mots simples sur des mécanismes compliqués. On explique, pas à pas, comment le cerveau “fonctionne” ou “sature”. Et surtout, on apporte des pistes pratiques. C’est là la grande force du métier de psychologue/neuropsychologue chez l’adulte-ado.

Première découverte fréquente : beaucoup de personnes sont surprises, non par les faiblesses, mais par leurs ressources cachées. Marylène pensait avoir “un cerveau perdu” après trois enfants et une reprise d’études ; elle a découvert qu’elle compensait depuis toujours par une organisation hors du commun, la fameuse “charge mentale” féminine. Eric, cadre dynamique toujours débordé, réalise qu’il surcompense un trouble de l’attention jamais diagnostiqué jeune.

Moralité ? Les bilans intellectuels permettent de relativiser. Ce n’est jamais un couperet, mais un socle pour comprendre ses propres stratégies. Résultat : on se sent moins coupable, on comprend que « tout le monde n’a pas les mêmes outils internes ». Vous êtes du style “planning au mur” et post-it partout dès qu’une réunion d’école approche ? Ce n’est pas un défaut, mais peut-être une façon très intelligente de compenser des petits manques d’attention soutenue… et ça, c’est précieux de le comprendre. On arrête de se juger.

Plus concrètement : chaque conclusion donne lieu à des recommandations adaptées. Outils pour mieux mémoriser au travail. Conseils pour organiser son agenda familial. Techniques antistress, applications numériques (ou au contraire, astuces déconnectées). Parfois, le professionnel guide vers une rééducation neuropsychologique, ou recommande un suivi complémentaire (coaching parental ou psychothérapie). La démarche ne s’arrête jamais uniquement au “constat”.

Et parce que tout est lié, le bénéfice rejaillit sur la famille. Il n’est pas rare que des parents partagent le rapport (ou son résumé) avec les enseignants de leur enfant. Résultat : chez eux aussi, on ajuste les attentes. On dédramatise. Un parent qui explique qu’il compense sa mauvaise mémoire par l’humour, c’est toujours mieux qu’un parent tendu ou rigide qui impose ses propres insécurités. Un enfant sent tout.

On observe même des cercles vertueux : une difficulté, une fois nommée chez le parent, permet de déminer bien des tensions avec l’adolescent. David racontait, lors d’un bilan, à quel point il “pétait un câble” dès que son ado refusait de planifier ses devoirs. En comprenant sa propre rigidité exécutive, il a changé d’attitude… et le climat familial s’est adouci.

Envie d’en lire plus sur l’accompagnement parental ? L’article “Consultation en psychologie : la pression de la parentalité, apprendre à se déculpabiliser” est une ressource précieuse pour comprendre ces mécanismes.

Parfois, le bilan intellectuel adulte permet même de révéler de véritables troubles cognitifs ignorés : troubles de l’attention (avec ou sans hyperactivité), haut potentiel intellectuel “camouflé” (même à 40 ou 50 ans). Voire des signes précoces de pathologies, détectés à temps. Ces situations sont rares, mais elles existent, et le repérage est toujours bénéfique.

En fin de parcours, bien souvent, ce sont les enfants qui en profitent le plus. Un parent moins stressé, mieux compris, c’est une maison apaisée. Parfois, même, l’enfant lui-même bénéficie directement d’un accompagnement ciblé (différencier TDA/H et anxiété chez l’enfant : ne pas se tromper de diagnostic). Le lien parent-enfant se renforce.

N’oublions pas ceux qui, une fois l’adolescence passée, restent “à la croisée des chemins”. L’adulte qui sort d’un burn-out, d’un divorce, d’un changement de travail ou d’un deuil peut aussi se sentir “brouillé” dans sa façon de penser. Là encore, le bilan offre un GPS fiable.

En somme : des résultats concrets, transmis avec pédagogie et chaleur humaine. Et une façon moderne d’en finir avec la honte ou la culpabilité de “mal faire”, surtout en matière de parentalité ou d’éducation.

Quand, pour qui, et dans quels cas demander un bilan intellectuel ou une évaluation des fonctions exécutives à Liège ou en Belgique ?

Pas simple de s’autoriser à demander un bilan psycho-cognitif. Pourtant, bien souvent, le besoin apparaît clairement… mais on n’ose pas. Pourquoi ? Par peur du jugement social (“Ce n’est pas pour moi”), par croyance (“Je suis trop vieux pour ça”), ou parce qu’on s’imagine une démarche uniquement “médicale”.

Pourtant, les motifs sont variés (et universels) :

  • Vous avez le sentiment de procrastiner sans cesse, même hors du travail ?
  • Vous oubliez fréquemment des choses importantes à la maison ou pour vos enfants ?
  • Le multitâche vous épuise, là où d’autres semblent tout gérer sans effort ?
  • La charge mentale familiale vous submerge (au point de ne plus trouver de “plaisir” à gérer le quotidien) ? Ou vous ressentez des tensions croissantes avec l’adolescent qui ne vous “comprend plus” ?
  • Vous remarquez chez votre enfant ou ado des difficultés scolaires récurrentes, et vous sentez des points communs avec votre propre trajectoire ?
  • Vous préparez une réorientation, une reprise d’études… et craignez d’être “largué” ?
  • Un médecin, un thérapeute, un enseignant vous a parlé de “cognitions”, de “fonctions exécutives” ou d’un éventuel diagnostic à explorer ?
  • Ou simplement, vous ressentez l’envie de mieux vous connaître pour accompagner vos enfants avec plus de sérénité ?

Ces profils sont EXACTEMENT ceux qui bénéficient le plus d’un bilan sur-mesure. Et il n’y a pas d’âge limite : du jeune adulte post-bac, au parent quadra ou quinqua, chacun bénéficie des apports du regard professionnel. Surtout que la parentalité moderne, exigeante dans ses standards et parfois isolante, met à rude épreuve nos capacités mentales. Connaître ses atouts permet d’oser demander de l’aide, ou d’aménager son quotidien.

Point important : la démarche ne nécessite pas d’ordonnance médicale. Le plus souvent, un simple appel suffit pour prendre rendez-vous. Certains lieux (notamment Esneux Medical, Mme Solenn Pottier ou d’autres structures pluridisciplinaires) proposent des bilans spécifiquement pensés pour les parents, voire pour les fratries entières.

Pour ceux qui résident en Belgique, des dispositifs d’aide financière existent parfois, notamment dans le cadre de la prévention santé parentale. Renseignez-vous auprès des mutuelles ou du centre PMS le plus proche.

Notons aussi que, selon les cas, le bilan peut ouvrir vers d’autres formes d’accompagnement. Orientation vers une psychologue pour adolescents si un trouble est repéré chez l’un des enfants, vers un logopède (trouble de l’attention ou du langage)… Ou encore vers un groupe de parole parental.

Dernier message essentiel : même si vous habitez “hors grande ville”, il existe aujourd’hui de nombreuses offres aux alentours de Liège. Y compris de la téléconsultation pour les premières étapes de bilan, avant la venue en présentiel pour tous les tests vraiment nécessaires.

Alors, osez. Le bilan intellectuel, l’évaluation des fonctions exécutives adulte… ce n’est plus réservé à une élite, ni synonyme de faiblesse. C’est, au contraire, une démarche de force et de lucidité. Humaine, accessible, bienveillante.

Une (petite) histoire vraie, à méditer…

Séverine, maman de trois enfants, enchaînait les oublis. “Le sac de gym du mercredi… le carnet de liaison… l’argent pour la sortie scolaire ! J’ai cru que je devenais folle”, témoigne-t-elle. Et de finir par crier sur son aîné qui “n’écoute jamais”. Bilan en main, elle découvre une fragilité de la mémoire de travail, une surcharge d’attention “parentale” en mode survoltage. Aujourd’hui, la maison a changé : on colle les rappels, on s’organise ensemble, et on ose demander de l’aide. “Le diagnostic a cassé la spirale de la honte. Je ne suis pas paresseuse : juste, mon cerveau est plus souple pour certaines choses que pour d’autres. Je peux enfin le dire à mes enfants.”

FAQ – Questions fréquentes

Comment se déroule un bilan intellectuel adulte chez un neuropsychologue ?
Un bilan intellectuel adulte comprend un entretien approfondi, des tests personnalisés adaptés à l’âge, une évaluation des fonctions exécutives et une restitution orale claire. Tout est pensé pour identifier vos points forts et axes de progression, jamais pour juger. Vous repartez avec un rapport détaillé et des recommandations concrètes pour améliorer votre quotidien parental.

Pourquoi est-il utile de réaliser une évaluation des fonctions exécutives quand on est parent ?
Parce que les fonctions exécutives pilotent l’organisation, la gestion du temps et la flexibilité au quotidien. Identifier ses forces et faiblesses permet de mieux comprendre ses réactions et de trouver des outils adaptés pour accompagner ses enfants avec plus de sérénité. Cela contribue également à dédramatiser les difficultés rencontrées.

Quand faut-il demander un bilan intellectuel ou une évaluation des fonctions exécutives ?
Dès que vous ressentez des troubles de l’attention, une surcharge mentale, des difficultés d’organisation ou des oublis fréquents qui impactent votre vie familiale ou professionnelle. Même sans symptômes “graves”, ce bilan peut offrir des réponses utiles pour la prévention et l’accompagnement parental.

Faut-il une ordonnance ou être malade pour réaliser un bilan cognitif adulte ?
Non, aucune ordonnance n’est nécessaire. Il suffit de prendre rendez-vous auprès d’un professionnel spécialisé, même sans dossier médical particulier. La démarche est totalement personnalisée et accessible à tous les adultes désireux de mieux comprendre leur fonctionnement intellectuel, particulièrement dans un contexte parental moderne.

Références scientifiques :
- Diamond, A. "Executive Functions", Annual Review of Psychology, 2013. Résumé : Cette revue propose une synthèse des connaissances sur les fonctions exécutives et leur rôle dans la vie quotidienne adulte et enfantine.
- Barkley, R. A. "Attention-Deficit Hyperactivity Disorder: A Handbook for Diagnosis and Treatment", Guilford Press, 2015. Résumé : Cet ouvrage de référence détaille l’évaluation des fonctions exécutives et leur implication dans le TDA/H chez l’adulte et l’enfant.
- Henry, J. D., & Crawford, J. R., "The short-form version of the Depression Anxiety Stress Scales (DASS-21): Construct validity and normative data in a large non-clinical sample", The British Journal of Clinical Psychology, 2005. Résumé : Un outil utilisé pour compléter l’évaluation cognitive globale, notamment chez les parents en situation de stress.
- Gioia, G. A., Isquith, P. K., Guy, S. C., & Kenworthy, L. "Behavior Rating Inventory of Executive Function–Adult Version (BRIEF-A)", Psychological Assessment Resources, 2000. Résumé : Présentation d’un instrument reconnu pour l’évaluation des fonctions exécutives chez l’adulte dans la vie courante.

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