Stop tabacHypnothérapeute STOP Tabac – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0496 55 00 35
Vous êtes nombreux, à Liège et dans toute la région, à vouloir arrêter de fumer. C’est un saut dans l’inconnu, un peu comme retirer les petites roues d’un vélo pour la première fois. Pourtant, ceux qui essaient se prennent souvent les pieds dans deux ou trois pièges, posés par de fausses croyances. Ces “idées reçues” peuvent vous freiner, saboter votre motivation… ou simplement vous faire passer à côté de solutions efficaces comme l’hypnose. En consultation, je m’entends souvent dire : “On m’a dit que ce n’était pas possible si on était stressé”, ou bien “Je vais forcément grossir après”, ou encore “L’hypnose, c’est pour les faibles !”. Tiens donc.
Il est temps de tout remettre à plat. Pas de grandes leçons, simplement des faits entrelacés avec l’expérience du terrain, car ici, chaque tentative d’arrêter le tabac ressemble à un chemin personnel, jamais tout droit, souvent semé d’embûches mentales. Prêt·e à découvrir ce qu’on ne vous a jamais vraiment dit ? Suivez-moi, on démonte ensemble trois mythes qui mériteraient la poubelle – bien plus vite que votre prochain paquet.
On la trouve partout, cette phrase. Dans la bouche d’un collègue, d’un médecin, ou sur des forums. “Il suffit de vouloir.” Comme si la volonté était une baguette magique qu’on pouvait agiter à loisir ! La réalité, illustrée par les études en addictologie, c’est que la dépendance à la cigarette fonctionne bien plus comme une toile d’araignée – collante, invisible la plupart du temps, mais très solide.
La nicotine agit sur le cerveau comme un interrupteur qui s’est coincé sur “j’en veux encore”. Au fil des années, ce mécanisme s’installe avec constance. Résultat : la volonté, c’est important, bien sûr, mais ce n’est qu’une pièce du puzzle. Bien des patients motivés s’y cassent les dents à répétition. Et c’est normal. Parfois, vous voulez vraiment arrêter, mais le corps, lui, crie famine… ou se rebelle à la première contrariété.
Dans ma pratique d’hypnose à Esneux (et je ne suis pas la seule en Belgique), je rencontre beaucoup de personnes convaincues qu’elles “manquent de volonté” alors qu’il leur manque surtout… des outils adaptés. Les recherches scientifiques montrent que les approches modernes (hypnose, TCC, etc.) agissent sur d’autres leviers que la volonté brute. Ils travaillent sur l’ancrage, l’automatisme, la gestion émotionnelle. Dit plus simplement : l’hypnose aide à court-circuiter les automatismes inconscients, ce qui redonne un coup de pouce inestimable à la volonté.
Cette approche personnalisée aide à déminer les déclencheurs du tabac (stress, ennui, associations quotidiennes). À Esneux et aux alentours de Liège, je croise sans cesse des fumeurs qui ont retrouvé espoir en découvrant qu’ils pouvaient travailler différemment. L’hypnose n’est pas la solution magique, mais elle permet de redonner du pouvoir là où la volonté seule patine.
L’une des peurs les plus courantes. On dirait un passage obligé : finir par remplacer la cigarette par une montagne de biscuits, puis regarder son jean rétrécir. Mais ce schéma, c’est aussi une idée reçue. En réalité, vous êtes nombreux à me demander : “Comment éviter de prendre du poids quand j’arrête ?”, souvent dès le premier rendez-vous.
C’est vrai, le risque de prise de poids existe. Mais il n’est ni mécanique, ni systématique. Seuls 30 à 40% des ex-fumeurs prennent un peu de poids dans l’année suivant l’arrêt, le plus souvent 2 à 3 kilos (source : Inserm). Et beaucoup compensent en bougeant plus ou en adaptant leur alimentation. Mais surtout, ce phénomène n’est pas une fatalité !
Pourquoi ? D’abord, votre métabolisme change un peu après l’arrêt : la nicotine booste la dépense calorique. Mais c’est aussi le changement d’habitudes et le stress qui incitent à grignoter. L’astuce, c’est donc d’anticiper les “ruses du cerveau” qui poussent à remplir le vide. En hypnose, on travaille sur ces automatismes, pour transformer l’envie de fumer… en autre chose. Pas forcément une barre chocolatée.
Souvent, ce que vous redoutez, c’est ce vide au creux de la main ou de l’estomac ; on a l’impression de “perdre quelque chose”. Mon approche (et celle de nombreux collègues certifiés NGH) consiste à recréer de nouveaux rituels : souffle, respiration, ancrage corporel. C’est aussi l’occasion d’introduire de la pleine conscience dans ses journées, ce qui réduit les envies de compenser par la nourriture.
Besoin de conseils personnalisés sur ces scénarios ? Je vous invite à consulter : Arrêter de fumer sans grossir : les clés de la réussite à Liège
Pour aller plus loin, l’hypnose ne remplace pas le suivi médical (bilan sanguin, accompagnement psychonutritionnel si besoin), mais elle s’intègre dans une démarche globale. Car personne n’a envie de changer un problème pour un autre. À chaque étape, il existe des solutions “à la carte”, et c’est en travaillant en équipe avec le patient qu’on évite le piège du grignotage compensatoire.
Vous retrouvez alors l’énergie d’avancer, sans craindre de perdre le contrôle sur votre poids. Rappelez-vous : on peut très bien arrêter de fumer sans changer de silhouette. C'est bien plus fréquent qu'on ne le pense !
Cette idée reçue a encore la vie dure. “L’hypnose c’est du spectacle”, “Ça marche si on y croit”, “Moi, on ne m’hypnotise pas !” Ces phrases, on les entend (trop) souvent. Elles sont à côté de la plaque. Pour le dire simplement, l’hypnothérapeute n’a ni baguette magique ni superpouvoir. Mais un savoir-faire reconnu et sérieusement encadré. D’ailleurs, Mme Marcelle Monseur, installée à Esneux depuis plusieurs années, est hypnothérapeute certifiée NGH (National Guild of Hypnotists) : une certification internationale de référence, qui met l’accent sur la prise en charge thérapeutique moderne.
L’hypnose utilisée aujourd’hui en cabinet, c’est d’abord une démarche professionnelle et complémentaire de la médecine classique. Pas de gesticulations : il s’agit d’accompagner la personne, jamais de la manipuler. Ce sont des techniques validées par la recherche qui activent des mécanismes naturels (focus, relaxation, visualisation, suggestions ciblées) afin d’influencer les comportements “en pilote automatique”. Le patient reste pleinement acteur de ses choix, simplement guidé pour activer une partie de ses ressources.
De plus en plus d’études démontrent que l’hypnose peut augmenter significativement le taux de réussite du sevrage tabagique, comparée à l’arrêt “sans aide”. Elle n’est pas magique, mais elle offre du concret : désamorcer l’autosaboteur intérieur, renforcer la confiance, anticiper les rechutes, court-circuiter les automatismes. C’est en cela qu’elle s’intègre parfaitement dans une prise en charge multimodale, avec le médecin traitant ou le tabacologue.
D’ailleurs, ce n’est pas réservé à une catégorie de personnes “réceptives”. Beaucoup de ceux qui doutaient repartent avec l’impression de s’être surpris eux-mêmes : “Je pensais que ça ne marcherait pas pour moi !”. Comme quoi, le cerveau aime explorer ses propres ressources, même chez les plus cartésiens. Pas besoin non plus d’y croire dur comme fer, il suffit d’être ouvert à l’expérience. Et si ce sujet vous intrigue, vous aimerez lire cet article sur les alternatives efficaces à la cigarette.
L’hypnose médicale : c’est rigoureux, c’est humain, c’est adapté à chaque histoire. Rien à voir avec les clichés du voyant sous chapiteau. La clé, c’est la relation de confiance, et de vrais outils thérapeutiques au service de votre liberté.
Hypnothérapeute STOP Tabac – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0496 55 00 35
Arrêter de fumer, ce n’est pas une autoroute : plutôt un sentier forestier, parfois clair, parfois boueux, parfois plein de ronces. Personne ne devrait se sentir nul ou coupable s’il rechute. Ce n’est pas l’échec qui compte, c’est ce qu’on en fait. Prendre rendez-vous avec un hypnothérapeute certifié, c’est déjà s’autoriser à explorer d’autres voies, autrement, à son rythme.
Certains fument 20 cigarettes par jour, d'autres trois, parfois seulement le soir ou lors d’un apéro. Chacun a ses déclencheurs, ses fragilités et ses ressources. C’est ça qui rend chaque prise en charge unique. Le déclic, parfois, ne vient pas là où on l’attend.
L’accompagnement proposé par Mme Marcelle Monseur, hypnothérapeute certifiée NGH, illustre cette approche moderne, centrée sur la personne. Le rendez-vous commence souvent par une analyse individuelle du parcours tabagique, puis un travail sur les motivations. On met en lumière les schémas récurrents, les automatismes du quotidien. On cible ensemble les pires moments (stress, solitude, fête), et on prépare un plan de route personnalisé.
La séance d’hypnose, ensuite, s’adapte au rythme du patient : certains changent vite, d’autres ont besoin de deux ou trois consultations pour sentir l’évolution. Il n’y a pas de règle absolue. Ce qui compte, c’est l’adaptabilité et la bienveillance – le chemin se construit à deux, pas à pas. En complément, il est parfois utile de consulter : Arrêter de fumer à Liège : l’hypnose, une solution naturelle et moderne
Et pour ceux ou celles qui veulent creuser l’influence du cerveau dans ce processus, je vous suggère : Arrêter de fumer par l’hypnose à Liège : secrets du cerveau révélés. C’est un parcours qui valorise le courage d’oser, et qui propose des outils réutilisables pour d’autres situations, pas juste pour la cigarette.
Pourquoi est-il important de déconstruire les idées reçues sur l’arrêt du tabac à Liège ?
Parce que ces fausses croyances freinent la motivation et l’accès à des solutions efficaces comme l’hypnose. En cassant ces mythes, on facilite une démarche d’arrêt personnalisée et adaptée à chacun.
Comment éviter de prendre du poids en arrêtant de fumer ?
L’idéal est d’anticiper les comportements compensatoires par une approche globale mêlant hypnose, conseils nutritionnels et activités physiques. Un suivi professionnel aide à transformer les routines sans compenser avec la nourriture.
Faut-il croire à l’hypnose pour que cela fonctionne contre le tabac ?
Pas besoin d’être convaincu à 100 %, il suffit d’avoir l’envie d’essayer : les techniques d’hypnose modernes s’appuient sur la suggestion et la mobilisation des capacités internes. La motivation principale, c’est le désir d’arrêter, même si on est sceptique au départ.
Quand consulter un hypnothérapeute certifié à Esneux ou aux alentours de Liège ?
Dès que la dépendance au tabac devient pesante, même après plusieurs tentatives infructueuses. L’accompagnement individualisé aide à cibler les déclencheurs et à augmenter vos chances de réussite.
1. Elkins, G. R., Rajab, M. H., & Marcus, J. (2006). "Hypnotherapy for smoking cessation: a randomized trial". International Journal of Clinical and Experimental Hypnosis, 54(3), 303-315.
Étude démontrant que l’hypnothérapie augmente les taux de réussite du sevrage tabagique par rapport à la prise en charge standard.
2. Barnes, J., Dong, C. Y., McRobbie, H. et al. (2019). "Hypnotherapy for smoking cessation". Cochrane Database of Systematic Reviews.
Revue systématique qui conclut que l’hypnose, en complément d’autres techniques, peut améliorer les chances de succès de l’arrêt du tabac.
3. Spielberger, C.D., et al., (2017). "Anxiety and Smoking Cessation: Combined Psychotherapy and Hypnosis". Journal of Smoking Cessation, 12(2), 85-92.
Article montrant que la gestion de l’anxiété par l’hypnose diminue le risque de rechute lors de l’arrêt du tabac.
4. Carmody, T. P. & al. (2008). "Hypnosis for Smoking Cessation: A Randomized Trial". Nicotine & Tobacco Research, 10(5), 811–818.
Travail clinique sur l’intérêt de l’hypnose comme outil complémentaire pour des patients motivés à stopper le tabac.