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Addiction au sexe : retrouver l'équilibre avec une sexologue à Liège

Sexologue Charlotte CESSION – proche de Liège

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0491/34.89.76

Addiction au sexe : comment retrouver un équilibre durable avec une sexologue ?

À l’ère d’internet et des réseaux sociaux, la sexualité s’affiche, se démultiplie et devient parfois envahissante pour certains. L’addiction au sexe, désormais reconnue comme un trouble du comportement, touche de nombreuses personnes, hommes comme femmes, adolescents ou adultes. Mais que cache ce besoin persistant d’expériences sexuelles, parfois au détriment de la vie privée, professionnelle ou émotionnelle ? Comment retrouver un équilibre sans renoncer à sa vie intime ? Une sexologue spécialisée propose un accompagnement individualisé et scientifique, pour comprendre, désamorcer et transformer le rapport à la sexualité.

Qu’est-ce que l’addiction au sexe ?

L’addiction au sexe, appelée également trouble du comportement sexuel compulsif ou « hypersexualité », se caractérise par la perte de contrôle sur ses pulsions sexuelles, un désir irrépressible de rapports ou de pratiques sexuelles, et la poursuite de ces comportements malgré leurs conséquences négatives. Ce n’est pas simplement avoir une libido élevée, mais bien vivre une souffrance psychique, émotionnelle et relationnelle importante.

L’addiction au sexe peut s’exprimer par :

  • Des fantasmes, envies et pensées sexuelles envahissantes
  • L’incapacité à réduire ou arrêter les comportements problématiques malgré les efforts fournis
  • Le recours fréquemment à des rapports, à la consommation de pornographie ou à la masturbation pour soulager des tensions, de l’anxiété ou une humeur dépressive
  • Des conséquences négatives sur la vie sociale, professionnelle, familiale ou de couple

Selon l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), le trouble du comportement sexuel compulsif est maintenant reconnu dans la classification internationale des maladies (CIM-11), mettant en lumière l’importance de l’accompagnement et d’un diagnostic professionnel.

Pourquoi consulter une sexologue ?

Si l’addiction au sexe est souvent synonyme de honte, de secret et d’isolement, il est essentiel de rappeler que ce trouble relève d’un mécanisme psychologique complexe, et non d’un manque de volonté. Consulter une sexologue permet :

  • D’identifier les déclencheurs et maintenir le comportement problématique
  • De comprendre l’origine de la souffrance : anxiété, trauma, estime de soi défaillante, solitude…
  • De bénéficier d’outils concrets et de stratégies personnalisées pour reprendre le contrôle de ses choix
  • De restaurer la confiance et la communication dans le couple
  • De travailler sur l’équilibre entre plaisir, relation à soi et respect de l’autre

Une telle démarche, loin de juger le désir ou la sexualité, accompagne chacun à réinventer un rapport apaisé à l’intime.

Sexologue Charlotte CESSION – proche de Liège

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0491/34.89.76

Reconnaître les signes d’une addiction au sexe

Le repérage des signes d'une addiction au sexe est souvent difficile, en raison de la stigmatisation et du silence qui entourent ce trouble. Voici quelques indicateurs fréquemment rapportés en consultation :

  • Envahissement de la pensée : Difficulté à “penser à autre chose”, présence constante de fantasmes ou d’envies sexuelles qui empêchent de se concentrer.
  • Compulsion : Incapacité à différer ou à éviter certains comportements, sensation de soulagement uniquement après la pratique.
  • Pertes de contrôle : Avoir promis d’arrêter telle ou telle pratique et transgresser cette promesse, même si le désir n’est pas toujours présent.
  • Isolement social : Recul des relations amicales, familiales ou professionnelles au profit des conduites sexuelles.
  • Souffrance et culpabilité : Sentiment d’échec, de honte ou de perte d’estime de soi, persistant après chaque épisode.
  • Situation à risque : Prise de comportements à risque pour la santé ou la sécurité personnelle (partenaires multiples sans protection, lieux anonymes, etc.).

Il est important de noter que, comme l’explique la sexologue Charlotte Cession, chaque histoire est singulière : l’intensité, la fréquence et l’impact varient selon les personnes.

L’addiction au sexe : un trouble complexe et multifactoriel

Contrairement à certaines idées reçues, l’addiction au sexe ne résume pas l’individu à ses actes. Elle révèle souvent un “mal-être” plus profond : volonté de fuir une douleur morale, recherche de récompenses immédiates, difficulté à gérer le stress ou l’anxiété. Plusieurs facteurs de risque sont reconnus par la recherche scientifique :

  • Facteurs psychologiques : Antécédents d’abus, traumatismes, troubles anxieux ou dépressifs, carence affective, besoin compulsif de reconnaissance ou de réassurance.
  • Facteurs biologiques : Déséquilibres neurochimiques impliquant la dopamine et la sérotonine, similaires à ceux retrouvés dans d’autres addictions comportementales.
  • Facteurs sociaux et culturels : Exposition précoce à la sexualité via internet ou des médias, vécu familial et modèles parentaux.
  • Troubles associés : L’addiction au sexe est souvent associée à d’autres troubles, comme les addictions à l’alcool, au jeu ou aux écrans, mais aussi à des difficultés relationnelles ou à l’anxiété sociale.

L’aspect multifactoriel de ce trouble explique la nécessité d’un accompagnement global, où la sexologue s’appuie sur différentes approches validées (entretiens motivationnels, thérapies comportementales et cognitives, intervention sur le couple ou l’estime de soi) pour proposer un soin sur mesure.

Le rôle de la sexologue dans la prise en charge – approche et étapes clés

La prise en charge d’une addiction au sexe s’articule selon un déroulement précis, où chaque étape est pensée pour répondre aux besoins individuels :

1. L’accueil sans jugement

Le premier rendez-vous avec une sexologue – que ce soit à Liège, à Esneux ou ailleurs “aux alentours de Liège” – est avant tout une écoute. Le professionnel recueille le récit de vie, les attentes du patient, ses difficultés, mais aussi ses ressources, dans la confidentialité et l’absence totale de jugement sur les pratiques ou désirs exprimés.

2. La clarification du trouble

Il s’agit de comprendre si le comportement sexuel problématique relève d’un trouble avéré, ou d’une difficulté passagère liée à une période de stress ou de bouleversement personnel, comme une rupture ou une pression professionnelle. Cette phase examine les pensées automatiques, les émotions impliquées, les conséquences observées, et l’histoire de vie sexuelle.

3. L’élaboration d’un plan personnalisé

La sexologue propose des axes de travail adaptés, visant à réduire l’impact envahissant, à restaurer l’équilibre avec les autres sphères de la vie, et à soutenir le (re)développement d’une sexualité apaisée. Les entretiens peuvent inclure l’analyse des déclencheurs, le travail sur la gestion des émotions (stress, angoisse, solitude), le renforcement de l’estime de soi, et la mise en place de stratégies pour “désamorcer” les épisodes compulsifs.

4. Soutien et accompagnement du couple

L’addiction au sexe perturbe souvent la relation amoureuse. Le ou la partenaire peut se sentir trahi, délaissé ou impuissant(e). La sexologue aide à re-créer le dialogue, mettre des mots sur les ressentis, rétablir la confiance et réinventer l’intimité. Un accompagnement de thérapie de couple à Liège peut être proposé.

5. Travail sur la prévention de la rechute

Les stratégies anti-rechute portent sur l’identification des situations à risque (solitude, stress, accès facilité à internet), l’apprentissage de techniques de relaxation ou de re-focalisation de l’attention, et l’élaboration d’objectifs concrets de changement sur la durée. La sexologue Charlotte Cession propose aussi parfois un suivi en collaboration avec un psychiatre ou un autre professionnel de santé, en cas de trouble anxieux ou dépressif associé.

Des outils concrets pour (re)trouver l’équilibre

Plusieurs outils sont fréquemment proposés et adaptés au contexte de chaque personne :

  • Journal de bord : Repérer les situations précises où le comportement compulsif se déclenche, les émotions associées et les “raccourcis” mentaux qui poussent à l’acte.
  • Techniques de pleine conscience et de gestion émotionnelle : Apprendre à différencier les envies physiologiques des besoins compensatoires (ennui, angoisse, besoin de réconfort).
  • Mise en place de nouvelles routines : Occuper les moments de vulnérabilité (soirées, solitude, écrans) par des activités agréables non sexuelles, sport, lecture, création, sorties…
  • Travail sur l’estime de soi : Revisiter l’image de soi, l’histoire personnelle, la capacité à mettre ses limites et à s’écouter.
  • Communication de couple : Oser parler des attentes, des peurs, des besoins de chacun, parfois sous forme de médiation guidée.

L’objectif est toujours de réconcilier satisfaction personnelle, vie affective, désir, et respect de soi.

La place de la pornographie et des nouvelles technologies

La banalisation de la pornographie en ligne, l’accès facilité à tout type de contenu sexuel, le développement d’applications de rencontres ont modifié notre rapport à la sexualité. La sexologue constate qu’80 à 90 % des personnes consultant pour addiction au sexe évoquent un usage excessif ou problématique de contenus numériques. L’addiction à la pornographie, bien que distincte, s’inscrit souvent dans un schéma global d’hypersexualisation et d’instantanéité (en savoir plus ici).

La surconsommation de pornographie peut entraîner :

  • Un retrait social ou affectif
  • Des troubles de l’érection ou de l’orgasme “hors écran”
  • Une difficulté à ressentir du plaisir dans la vraie vie
  • Des attentes irréalistes vis-à-vis de ses partenaires
  • Un isolement progressif et une perte de motivation générale

Un accompagnement spécialisé permet alors de retrouver du sens, en travaillant non pas sur la “privation” mais sur la diversification et la qualité des expériences, l’ancrage émotionnel et la satisfaction relationnelle.

Sortir du silence et rompre l’isolement

L’une des étapes les plus difficiles reste de briser le mur du silence, de l’auto-jugement ou de la culpabilité. De nombreuses personnes se sentent “fausses”, “anormales”, voire coupables de leur comportement, alors que l’addiction au sexe est un trouble aujourd’hui reconnu et soutenu par des prises en charge efficaces, notamment en Belgique, où les consultations spécialisées se développent.

Il est fondamental de rappeler qu’il n’existe aucune honte à vivre ce type de difficulté. Oser demander de l’aide est au contraire un acte de courage et d’amour de soi. Les témoignages recueillis par la sexologue Charlotte Cession montrent que la verbalisation du problème, en présence d’un professionnel formé, est déjà un premier levier de transformation. Mieux compris, accompagné avec bienveillance, le trouble peut s’apaiser et laisser place à une vie sexuelle épanouie et équilibrée.

Se reconstruire : restaurer l’estime de soi et l’intimité

Le processus de guérison va bien au-delà de la simple extinction des comportements problématiques. Il s’agit aussi de reconstruire le lien à soi, à ses émotions, à ses désirs, sans se juger. Les consultations permettent :

  • D’apprendre à se respecter, à dire non, à faire des choix conscients
  • De repérer les schémas source de souffrance et de réorienter l’énergie vers des projets, des passions, des relations
  • De réinventer sa sensualité, son plaisir, à deux ou pour soi
  • De ranimer la confiance, l’audace, la sécurité intérieure.

L’accompagnement sexologique vise ainsi à restaurer une intimité authentique, stable et joyeuse, où la sexualité redevient un choix et une source de bien-être, non plus une fuite ou une obligation.

Consultation pour addiction au sexe : à quoi s’attendre ?

Lors de la première séance, la sexologue Charlotte Cession propose une évaluation complète de la situation : contextes dans lesquels les conduites surviennent, histoire de vie, attentes, ressources et freins. Un point est fait sur les éventuels antécédents psychologiques ou psychiatriques. Par la suite, les séances se centrent sur :

  • La psychoéducation sur le trouble et ses mécanismes
  • L’élaboration de stratégies individuelles (contrats, exercices, défis progressifs)
  • Le soutien dans les moments de vulnérabilité ou de rechute
  • Le travail avec le partenaire ou la famille si besoin

Le rythme des séances varie selon la situation, mais elles visent toujours à amener progressivement vers une autonomie et un mieux-être au long cours. Un relais peut être organisé avec d’autres professionnels si une approche pluridisciplinaire est nécessaire.

Bien vivre sa sexualité : vers un équilibre durable

Retrouver une sexualité saine, satisfaisante et équilibrée requiert un vrai projet de transformation, loin des fausses idées de “privation” ou de “contrôle total”. La sexologue travaille sur la redéfinition du plaisir : apprendre à savourer l’instant, à diversifier ses sources de bien-être, à valoriser la lenteur, la tendresse, la connexion émotionnelle. Plusieurs articles de fond illustrent comment surmonter la baisse de libido et réenchanter le désir.

Une démarche gagnante se fonde sur trois axes :

  • L’écoute de soi et de ses besoins : Différencier envies, compulsions et vrais désirs profonds
  • L’ouverture à d’autres plaisirs : Amour, amitié, projets artistiques, sport, méditation, découverte de soi…
  • La communication authentique au sein du couple, pour lever la peur du jugement et explorer ensemble de nouvelles formes d’intimité.

Accepter d’avancer pas à pas, de se tromper, de rechuter parfois, mais toujours avec bienveillance et sans censure, c’est la clé d’un réenchantement durable de sa vie sexuelle.

Zoom : Motifs fréquents de consultation et retours d’expérience

Parmi les nombreux motifs de consultation, ceux fréquemment retrouvés par la sexologue Charlotte Cession incluent :

  • L’alternance entre périodes d’abstinence et épisodes de “craquage” incontrôlable
  • Un sentiment de double vie ou de mal-être existentiel
  • Une souffrance de couple (rupture imminente, perte de confiance, désinvestissement affectif)
  • L’impression que “rien d’autre n’a plus d’importance que le sexe”
  • Des difficultés à s’intéresser à d’autres activités, à se relaxer ou à vivre dans l’instant présent
  • L’envie d’explorer sa sexualité différemment, sans pulsion, ou d’associer plaisir et respect de soi

Les témoignages recueillis montrent que le bénéfice majeur du parcours d’accompagnement réside dans la libération de la honte, la reconnexion avec ses valeurs et ses désirs profonds. Même dans les situations complexes, il est possible de “faire la paix” avec soi-même et d’ouvrir la porte à une sexualité choisie, assumée, joyeuse.

Pour prolonger la réflexion sur les différentes problématiques de la vie intime, la psychologue Charlotte Cession publie régulièrement des articles spécialisés sur la vie de couple, la sexualité et l’écoute de soi.

Quand et comment prendre rendez-vous ?

Oser consulter une sexologue n’est jamais simple, surtout lorsque l’on souffre d’une problématique intime, taboue ou jugée inavouable. Il n’y a pourtant pas de “mauvais” moment pour demander de l’aide. Dès que le comportement sexuel vous échappe, que la souffrance envahit votre quotidien, ou que des conséquences concrètes apparaissent (isolement, anxiété, rupture), la démarche vers un professionnel s’impose comme une solution rassurante et efficace.

L’accès aux soins est facilité aux alentours de Liège : les consultations sexologiques sont accessibles, confidentielles et respectueuses, sur place ou par vidéoconsultation si besoin. La priorité de la sexologue est d’instaurer un climat de confiance, où chaque situation peut être accueillie, comprise, et travaillée en profondeur.

FAQ – Questions fréquentes

Comment reconnaître une addiction au sexe ?

L’addiction au sexe se traduit par une perte de contrôle, des pensées sexuelles envahissantes, et la continuation de comportements problématiques malgré les conséquences négatives. On parle d’addiction lorsque la sexualité prend le dessus sur les autres domaines de la vie et génère une souffrance persistante.

Pourquoi consulter une sexologue pour l’addiction au sexe ?

La sexologue propose une écoute bienveillante, un diagnostic précis du trouble, et des outils personnalisés pour reprendre le contrôle de sa vie sexuelle. Elle aide à comprendre l’origine de la difficulté et à restaurer l’équilibre avec soi-même et son entourage.

Faut-il être en couple pour consulter une sexologue pour ce motif ?

Non, la consultation sexologique peut tout à fait être individuelle ; elle s’adresse aussi bien aux personnes célibataires qu’en couple. Le travail peut aussi s’effectuer en duo si la difficulté impacte la relation amoureuse.

Quand consulter une sexologue pour l’addiction au sexe ?

Dès que le comportement devient source de souffrance, de honte, de perte de contrôle ou de conflits dans la vie sociale, professionnelle ou de couple, il est conseillé de consulter. Plus la prise en charge est précoce, plus le retour à l’équilibre est rapide.

Références scientifiques

Kafka, M. P. “Hypersexual Disorder: A Proposed Diagnosis for DSM-V.” Archives of Sexual Behavior, 2010. Résumé : Cet article propose une définition clinique de l’hypersexualité comme trouble du contrôle des impulsions sexuelles.

Reid, R.C., Garos, S., & Carpenter, B. N. "Reliability, Validity, and Psychometric Development of the Hypersexual Behavior Inventory in an Outpatient Sample of Men." Sex Addict Compulsivity, 2011. Résumé : Présente un inventaire pour le diagnostic de l’addiction sexuelle et analyse ses implications psychologiques.

Grubbs, J.B., et al. “Self-Reported Addiction to Pornography in a Nationally Representative Sample: The Roles of Use, Perceived Addiction, and Moral Incongruence.” J Behav Addict., 2020. Résumé : Étudie la prévalence de la dépendance à la pornographie et ses liens avec la souffrance psychique.

Karila, L. et al. "Sexual addiction or hypersexual disorder: Different diagnostic concepts." World J Biol Psychiatry, 2014. Résumé : Cet article compare les critères de l’addiction sexuelle et du trouble hypersexuel, et souligne l’importance d’une prise en charge adaptée.

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