Hypnothérapeute STOP Tabac – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0496 55 00 35
Ouvrez les yeux un instant : fumer n’est pas seulement une histoire de nicotine, de gestes ou d’habitudes. C’est souvent un refuge émotionnel. Un peu comme cette couette moelleuse qu’on ramène jusqu’aux oreilles, par réflexe, quand l’orage s’annonce. Derrière chaque cigarette glissée entre vos doigts, il y a, parfois, un tourbillon d'émotions – stress, tristesse, colère, ennui… La cigarette semble apaiser, rassurer. Mais pourquoi ce lien si puissant entre tabac et émotions? Et surtout, comment en sortir ? Explorons ensemble ce cercle, pour mieux comprendre, et enfin s’en libérer.
Le tabac ne piège pas que le corps. Il dialogue avec les tempêtes intérieures. D’ailleurs, il n’est pas rare d’entendre en consultation : “Je fume parce que ça me calme”. Mais derrière ce calme apparent, que se passe-t-il, vraiment, dans notre cerveau ? S’appuyer sur les sciences – sans perdre le fil du quotidien – éclaire la force de ce lien. Ce n’est pas un manque de volonté, c’est un vrai engrenage.
La preuve, les motifs les plus fréquents de consultation chez l’hypnothérapeute à Liège tournent autant autour du stress et des émotions que de la simple dépendance physique. Mme Marcelle Monseur, hypnothérapeute certifiée NGH en Belgique, accompagne justement ces profils, grâce à une pratique thérapeutique professionnelle, respectueuse du patient et de son histoire. Cette approche aide à dénouer les fils, y compris dans les contextes complexes où le tabac sert à gérer l’émotion, bien plus qu’à répondre à un besoin de nicotine.
D’abord, un chiffre : plus de 60% des fumeurs déclarent que le tabac les aide à gérer le stress ou les moments “difficiles” (source locale). Sur le papier, fumer soulage. En vrai ? Le soulagement est souvent momentané, un effet “cache-misère”. Pourquoi ? Parce que la nicotine agit comme un leurre chimique pour le cerveau, déclenchant une sécrétion de dopamine – cette fameuse molécule du bonheur. Problème : ce répit est de courte durée, et le stress ou la tristesse reviennent au galop. Le cercle vicieux s’installe.
Imaginez : journée compliquée au boulot, tension à la maison, actualité anxiogène… On “étouffe”. Fumer devient un réflexe quasi-automatique pour retrouver un peu de contrôle. Mais cela n’enraye pas la vague émotionnelle d’origine. À la longue, le cerveau se “reprogramme” : émotion forte = cigarette. Ce conditionnement est aussi solide qu’un cadenas.
Vous croisez un voisin, cigarette au bec, sous la pluie ? Parfois, ce n’est pas la nicotine, c’est juste la météo intérieure qui déborde.
D’ailleurs, selon certaines études, plus la gestion émotionnelle est fragile, plus il est difficile de s’arrêter sans stratégie adaptée. L’hypnose intervient alors en complément, pour éviter que la simple “suppression” du tabac n’entraîne une déferlante émotionnelle difficile à gérer. C’est pour cette raison que de nombreux fumeurs aux alentours de Liège se tournent vers des professionnels formés à la psychologie du comportement, comme Mme Marcelle Monseur. Elle travaille avec le patient, pas contre ses émotions.
La cigarette n’est pas qu’une habitude : elle cache, détourne, ou apaise des tempêtes émotionnelles invisibles. Quant à la motivation, elle balaye tout sur son passage… sauf si la racine émotionnelle n’est pas traitée. Vous sentez ce sentiment de “vide”, parfois, quand vous essayez d’arrêter ? Ce n’est pas inhabituel, c’est même la norme. Rassurez-vous, il existe des moyens de s’en sortir autrement.
Envie d’aller plus loin sur ce lien étrange entre cerveau et dépendance ? Découvrez aussi comment l’hypnose peut agir sur les automatismes cérébraux du fumeur.
Vous n’êtes ni faible, ni “accro” par plaisir. Les neurosciences ont tranché : nos émotions et le tabac entretiennent, dans le cerveau, une conversation secrète. Dès qu’une émotion inconfortable apparaît (stress, colère, ennui…), votre cerveau, sur le qui-vive, envoie un signal d’alerte. Dans la foulée, le corps réclame la stratégie connue pour “calmer le jeu" — souvent, la cigarette. C’est exactement comme une vieille habitude rituelle (comme regarder son smartphone par ennui)… sauf qu’ici, l’enjeu est bien plus lourd.
En Belgique, des recherches menées à l’Université de Liège ont notamment montré que le cortex préfrontal – le chef d’orchestre de nos décisions et de notre self-control – était souvent débordé chez les gros fumeurs en état de stress. Résultat : les émotions prennent le dessus, la prise de décision se fait par automatisme. Le cerveau “choisit” la solution la plus rapide pour apaiser la tension, c’est-à-dire le geste de fumeur. Dans ce contexte, vouloir arrêter sans soutien émotionnel revient à tenir une digue face à un raz-de-marée.
Autre image : la nicotine, c’est un peu comme un sparadrap sur une plaie jamais guérie. Tant qu’on n’a pas désinfecté – c’est-à-dire compris et apaisé la tempête émotionnelle – il y a risque de récidive. Vouloir arrêter sans outil pour gérer l’anxiété ou le manque peut créer une vraie détresse. C’est une des grandes causes de rechute.
Heureusement, la médecine moderne change de regard. L’arrêt du tabac ne se résume plus à une question de volonté. On s’intéresse enfin au vécu du patient, à son histoire personnelle, à ses émotions. En complément, des approches comme l’hypnose, pratiquées par des hypnothérapeutes certifiés comme Mme Monseur, entrent dans la stratégie globale – pour traiter la racine du besoin, et non le simple symptôme.
Hypnothérapeute STOP Tabac – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0496 55 00 35
En bref : la dépendance émotionnelle est souvent aussi puissante, voire plus, que la dépendance physique ! Plutôt que de diaboliser : essayez d’identifier les déclencheurs émotionnels de vos envies de fumer. Est-ce l’ennui, l’angoisse, le stress d’un rendez-vous, ou cette sensation étrange d’être submergé ?
Vous êtes peut-être sceptique à l’idée de consulter en hypnose. Pas de magie, ni de show : il s’agit ici d’une prise en charge thérapeutique moderne et complémentaire, proposée par des professionnels comme Mme Marcelle Monseur à Liège. Son approche repose sur l’écoute, la sécurité, et la compréhension des déclencheurs émotionnels. L’hypnose donne des outils concrets pour “casser” le conditionnement entre émotion forte et cigarette, puis installer de nouveaux réflexes bien plus sains.
Imaginez : au lieu de vous précipiter vers le tabac quand la pression monte, vous placez une respiration profonde, ou une pause mentale. L’hypnose, c’est apprendre à “recaler” le cerveau, pour éviter l’emballement du réflexe.
C’est aussi un espace sécurisé, où chacun peut “déposer” ce qu’il n’ose pas toujours dire ailleurs : tristesse, peur, colère mal digérée… Ici pas de jugement. Juste une main tendue. C’est ce qui fait la différence avec des méthodes “coup de poing”, trop centrées sur la force brute : elles ne règlent rien, sur le fond.
L’hypnose hypnotique pratiquée en centre médical, et non en spectacle : une autre ambiance. Ce n’est pas un tour de magie. C’est un accompagnement de fond. Mme Monseur, hypnothérapeute certifiée NGH, creuse avec les patients les vrais enjeux émotionnels. Son objectif ? Que la liberté retrouvée dure, sans rechute ni mal-être caché. C’est pour cela aussi que la démarche s’intègre en complément des réponses médicales classiques : chaque personne est considérée dans son ensemble, et non comme un “cas de plus”.
Au cœur de cette prise en charge, l’écoute prime : chaque histoire de tabac est singulière, chaque émotion camouflée derrière la cigarette demande une clé spécifique. Vous traversez un passage difficile en ce moment ? Le tabac prend toute la place dans vos pensées ? Parfois, une rencontre suffit à briser le cercle.
Besoin d’en savoir plus sur l’hypnose moderne et son efficacité ? Consultez cet article sur l’hypnothérapie professionnelle pratiquée à Liège et ses indications.
C’est LE grand défi : arrêter de fumer, oui, mais sans laisser un vide ou une souffrance prendre la relève. Alors, possible ? Oui, avec le bon accompagnement.
Dans la région de Liège, la démarche proposée mêle soutien émotionnel, techniques d’auto-hypnose et remobilisation des ressources personnelles. Beaucoup de personnes qui avaient “tout tenté” (patchs, gommes, volonté pure…) découvrent, parfois avec surprise, qu’en travaillant sur les émotions en profondeur, la porte de sortie devient accessible. Certes, il faut du temps. Les émotions, on ne les range pas dans un tiroir! Mais on apprend à dialoguer avec elles différemment.
Un patient raconte : “Je pensais ne jamais pouvoir passer une journée stressante sans fumer. Mais petit à petit, j’ai trouvé d’autres appuis. Un café, une pause, un message à une amie – et parfois une technique de respiration apprise en séance. Moins de tabac, moins d’angoisse. Jusqu’à l’arrêt complet.”
Ce chemin, vous pouvez le prendre aussi. À votre rythme. L’essentiel est de savoir que vous n’êtes pas seul, et qu’un travail sur fond émotionnel multiplie les chances de réussite sur le long terme. Pas de baguette magique, mais un vrai changement de regard. Un jour, vous réaliserez que la “météo intérieure” s’apaise, même sans allumer cette fameuse cigarette.
Pour ceux qui veulent approfondir, d’autres outils peuvent soutenir le changement, par exemple des techniques de relaxation ou de visualisation. L’essentiel reste l’alliance thérapeutique : on chemine ensemble, étape par étape, vers une liberté retrouvée, émotionnelle et physique. Ce n’est jamais “juste arrêter de fumer” : c’est réparer un lien intérieur, en douceur.
En résumé : pour se libérer d’une addiction émotionnelle au tabac, l’accompagnement personnalisé et la compréhension de soi sont des atouts essentiels. Ni super-héros, ni faiblesse : juste un être humain avec ses tempêtes et ses éclaircies. Et pourquoi ne pas oser la démarche, enfin ?
Vous sentez que votre histoire avec le tabac n’est pas qu’une question de nicotine ou d’habitude ? Voici quelques repères pour commencer à “détricoter” le lien émotionnel, avant même de consulter :
Évitez l’isolement : demandez de l’aide, ou partagez votre projet. Les groupes de paroles ou les séances individuelles, notamment proposées par des praticiens certifiés NGH, peuvent transformer l’expérience. Madame Monseur, par exemple, accueille à son cabinet des fumeurs de tout âge, en centre médical, aux alentours de Liège. Son approche est bienveillante, moderne, tout sauf culpabilisante.
Envie de savoir si l’arrêt est possible sans prise de poids et en préservant son équilibre émotionnel ? Découvrez cet article détaillé sur les clés pour arrêter sans crainte d’effets secondaires.
Enfin, n’oubliez pas : chaque étape compte. Se comprendre, c’est déjà commencer à se libérer. Le changement, grand ou petit, est à la portée de chacun. Même vous qui lisez, ici et maintenant.
Comment expliquer que l’arrêt du tabac réactive parfois de fortes émotions négatives ?
Lorsque l’on arrête de fumer, le cerveau ne dispose plus du “cache-misère” nicotine pour masquer stress ou tristesse ; les émotions remontent à la surface. C’est normal : le tabac servait souvent à apaiser ces ressentis, et il faut apprendre à les gérer autrement. L’accompagnement thérapeutique facilite cette étape de transition, pour éviter le sentiment de débordement.
Pourquoi travailler sur les émotions augmente-t-il les chances de réussite pour arrêter de fumer ?
La dépendance émotionnelle au tabac est très puissante. Comprendre et traiter ses émotions sous-jacentes (anxiété, ennui, colère) réduit les risques de rechute et offre des solutions durables. L’hypnose, pratiquée par un professionnel certifié, adresse ces causes profondes du comportement de fumeur.
Quand faut-il envisager de consulter un hypnothérapeute pour gérer la dépendance émotionnelle au tabac ?
Dès que le lien entre tabac et émotions vous semble envahissant, ou que vos tentatives d’arrêt échouent à cause du stress ou du mal-être. Un professionnel comme Mme Monseur pourra personnaliser l’accompagnement et vous aider à développer d’autres stratégies que la cigarette.
Faut-il avoir essayé d’arrêter seul avant de demander une aide en hypnose ?
Ce n’est pas nécessaire. Si vous sentez que votre envie de fumer s’enracine dans une gestion émotionnelle, il est préférable de bénéficier d’une prise en charge dès le début. L’objectif : transformer l’arrêt en cheminement positif, pas en épreuve de force.
Kassel JD, Stroud LR, Paronis CA. “Smoking, stress, and negative affect: correlation, causation, and context across stages of smoking.” *Psychological Bulletin*, 2003. Résumé : Cette revue analyse le rôle du stress et des émotions négatives dans l’initiation et le maintien du tabagisme.
Hughes JR. “Dependence potential and abuse liability of nicotine replacement therapies.” *Journal of Substance Abuse*, 1993. Résumé : L’étude discute de la dépendance émotionnelle à la nicotine, au-delà de la simple dépendance physique.
Cohen S, Lichtenstein E. “Partner behaviors that support quitting smoking.” *Journal of Consulting and Clinical Psychology*, 1990. Résumé : Les relations sociales et la gestion du stress sont déterminantes dans la réussite de l’arrêt du tabac.
Pereira DB, et al. “Emotional psychological factors influencing smoking behavior.” *Frontiers in Psychiatry*, 2021. Résumé : Les stratégies de prise en charge émotionnelle améliorent les chances de se libérer du tabac de façon durable.