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Sexologue à Liège : vaincre l’éjaculation prématurée et retrouver confiance en soi

Sexologue Charlotte CESSION – proche de Liège

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0491/34.89.76

Sexologue à Liège : vaincre l’éjaculation prématurée et retrouver confiance en soi

L’éjaculation prématurée est l’un des motifs de consultation les plus fréquents chez l’homme adulte en cabinet de sexologie. Tabou, souvent mal compris et source d’anxiété, ce trouble touche jusqu’à un homme sur trois à un moment de sa vie. Si la problématique est très répandue à Liège et dans toute la région francophone, la bonne nouvelle est qu’elle peut être efficacement prise en charge par un ou une sexologue diplômé.e. Découvrez dans cet article complet une approche scientifique, humaine et adaptée à chaque situation. Comment se manifeste l’éjaculation prématurée ? Quelles sont ses causes ? Quels traitements et accompagnements existent en sexologie moderne ? Comment une sexologue peut-elle redonner confiance et sérénité à ceux qui en souffrent ?

Sexologue Charlotte CESSION – proche de Liège

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0491/34.89.76

Comprendre l’éjaculation prématurée

Une définition scientifique et claire

L’éjaculation prématurée (ou précoce) est définie par l’incapacité persistante à contrôler l’éjaculation, survenant systématiquement ou occasionnellement avant ou juste après la pénétration, et ce malgré le désir d’obtenir ou maintenir un rapport sexuel satisfaisant. L’OMS et l’International Society for Sexual Medicine décrivent un temps de contrôle éjaculatoire très court, souvent inférieur à 1 à 2 minutes, et fréquemment accompagné de troubles émotionnels : frustration, culpabilité, perte de confiance en soi et parfois évitement des rapports sexuels.

Différence entre trouble primaire et secondaire

Deux formes principales sont décrites en sexologie :

  • Éjaculation prématurée primaire : présente depuis le début de la vie sexuelle.
  • Éjaculation prématurée secondaire : apparition du trouble après une période de sexualité satisfaisante.
Les causes, l’histoire relationnelle et la prise en charge peuvent ainsi varier.

Fréquence et impact : une souffrance souvent invisible

En Belgique, comme ailleurs, l’épidémiologie révèle que près de 20 à 35% des hommes rapportent avoir souffert du problème au moins une fois. Le ressenti de perte de contrôle est central : même si la durée du rapport n’est parfois pas objectivement courte, la détresse psychologique peut être intense.

Quelles sont les causes de l’éjaculation prématurée ?

Facteurs psychologiques

Les origines sont multifactorielles. Historiquement, on pensait que les causes principales étaient psychologiques : stress de performance, anxiété, expériences sexuelles négatives précoces, manque d’information, problèmes relationnels… Ces facteurs peuvent amplifier le trouble ou l’installer durablement.

Facteurs biologiques

La recherche récente a mis en évidence l’importance de certains mécanismes neurobiologiques : hypersensibilité pénienne, variations dans la transmission de certains neurotransmetteurs (notamment la sérotonine), facteurs génétiques… Contrairement à une idée reçue, ce trouble n’est donc pas « dans la tête » uniquement. Si le problème est ancien et qu’il existe dans tous les contextes (masturbation, rapports, etc.), l’origine organique est envisagée.

Rôle de la relation et de la dynamique de couple

Dans bien des cas, c’est au sein du couple que la problématique prend toute son ampleur. L’absence de communication, une relation conflictuelle ou une routine installée peuvent aggraver le sentiment d’échec. La partenaire est souvent témoin, parfois souffre également, ce qui accentue la pression ressentie par la personne concernée.

L’importance de consulter une sexologue à Liège

Briser la solitude face au trouble

Beaucoup d’hommes hésitent à consulter, par honte ou par crainte de ne pas être compris. Pourtant, consulter une sexologue à Liège tel que Charlotte Cession permet d’aborder la problématique dans un cadre bienveillant, confidentiel et professionnel où la légitimité de la souffrance est reconnue.

Déroulement d’une première consultation

La démarche commence par une anamnèse détaillée : contexte de survenue, nature et évolution du trouble, répercussions sur la vie affective, antécédents, attentes du patient. L’objectif est d’identifier les causes possibles (psychologiques, relationnelles ou biologiques) et de proposer un accompagnement individualisé. Lorsqu’indiqué, une évaluation médicale complémentaire peut être suggérée afin d’écarter une pathologie organique (troubles hormonaux, infections, etc.).

Des outils ciblés pour évaluer la situation

La sexologue utilise des questionnaires validés comme le PEP Questionnaire (Premature Ejaculation Profile) pour estimer la fréquence, la rapidité de survenue, l’intensité du trouble et son retentissement sur la qualité de vie. Elle s’intéresse aussi au ressenti de l’éjaculation lors de la masturbation ou lors de relations de couple.

Les solutions de la sexologue pour l’éjaculation prématurée

L’approche comportementale : retrouver le contrôle

La thérapie comportementale fait partie des stratégies les plus éprouvées en cabinet. Elle comprend :

  • Techniques du start and stop : le patient apprend à reconnaître les sensations annonciatrices de l’éjaculation, à interrompre la stimulation puis à recommencer une fois le contrôle retrouvé.
  • Méthode du squeeze : une pression exercée sur le gland du pénis pendant la stimulation sexuelle afin de retarder l’éjaculation.
  • Pratique de la pleine conscience et training du souffle pour mieux gérer l’excitation et les émotions qui montent rapidement.
Ces exercices, guidés par la sexologue, sont ensuite reproduits à la maison, seul ou en couple. L’accompagnement professionnel est crucial pour adapter les méthodes au vécu du patient.

La parole au cœur de la prise en charge

La consultation sexologique offre un espace de dialogue unique, où le patient peut partager sans crainte ses peurs, ses doutes et l’histoire de sa sexualité. La sexologue, par un questionnement empathique, permet de déconstruire les fausses croyances (« Un homme doit être performant », « La durée seule fait la réussite d’un rapport »...) et d’acquérir une meilleure connaissance de soi et de son désir.

Le rôle incontournable du couple dans la thérapie

Si la personne concernée est en couple, la participation de la/du partenaire est souvent encouragée. Cela facilite l’instauration d’une nouvelle communication, l’expérimentation de positions ou de scénarios sexuels moins stressants, et permet de dédramatiser progressivement le problème. Vous pouvez découvrir plus en détails l’importance de la parole à deux dans l’article Le silence sexuel : quand les couples évitent le sujet par peur de blesser.

Objectif : réinvestir la vie intime avec sérénité

À travers un accompagnement bienveillant, la plupart des patients retrouvent confiance, réduisent leur anxiété et réapprennent à investir leur sexualité sans anticipation systématique de l’échec. Les techniques proposées sont adaptées à chaque histoire, chaque rythme, avec pour ligne directrice la restauration du plaisir et de la complicité dans la rencontre intime.

Les traitements médicaux : dans quels cas ?

Les solutions pharmacologiques

Lorsque la prise en charge psychosexuelle ne suffit pas, la sexologue peut orienter le patient vers un avis médical afin de discuter d’un éventuel traitement médicamenteux. Certains antidépresseurs, administrés ponctuellement à faible dose (comme la dapoxétine), ont montré une efficacité sur l’augmentation du temps de latence éjaculatoire. D’autres traitements locaux (crèmes anesthésiantes) sont également proposés. Cependant, ces options doivent toujours être envisagées dans un cadre global, et en concertation avec la psychothérapie sexuelle, leur effet étant souvent transitoire si les causes profondes ne sont pas travaillées simultanément.

Quand envisager d’autres examens ?

Si le trouble s’accompagne de douleurs, de troubles érectiles ou d’autres symptômes urologiques, la sexologue réfère le patient vers un spécialiste pour un bilan plus approfondi.

L’accompagnement psychosexuel : la force de la prise en charge globale

Restaurer l’estime de soi

L’éjaculation prématurée touche de plein fouet l’identité masculine et la confiance personnelle. Peur de ne pas « être à la hauteur », sentiment d’insécurité dans l’acte sexuel, crainte d’être jugé... La sexologue propose des modules pour travailler spécifiquement l’image de soi, le rapport au corps, la légitimité du plaisir et désamorcer le cercle vicieux de l’échec anticipé.

Le soutien dans le temps

Une évolution sur plusieurs semaines est la norme. La progression passe par des étapes : acceptation, expérimentation sécurisée, confrontation progressive à des situations autrefois évitées. Autant de moments où l’accompagnement professionnel joue un rôle de « tuteur de résilience ».

S’arrêter sur les fausses croyances

Internet et les médias véhiculent de nombreux mythes : « tous les autres hommes durent plus longtemps », « il faut plaire à tout prix par la performance », « l'amour ne vaut que s'il dure ». Une part du travail du/de la sexologue consiste à déconstruire ces normes et à insuffler une vision plus humaine et plus authentique de la sexualité.

L’importance du suivi spécifique aux alentours de Liège

Les sexologues aux alentours de Liège proposent souvent des consultations de suivi afin de s’assurer de la bonne évolution, répondre aux questions au fil du temps, prévenir les rechutes ou proposer de nouveaux exercices adaptés à l’avancée du patient. Cette continuité augmente considérablement le taux de réussite de la prise en charge.

Et la partenaire dans tout cela ?

Comment le couple peut-il s’impliquer ?

Inclure la/le partenaire dans la démarche permet de renforcer l’alliance du couple face à la difficulté et d’éviter la culpabilisation ou les interprétations erronées (« il ne m’aime plus », « je ne suis pas attirante »). Les consultations de couple traitent les aspects maladroits de communication, redonnent envie d’expérimenter sans pression et recréent une complicité souvent altérée. Vous pouvez aussi lire cet article complémentaire sur la thérapie de couple et l’intimité.

Sexologue : alliance, implication et bienveillance

À toute étape, le respect du rythme du couple est primordial. Les exercices sexuels proposés sont expliqués, discutés, et adaptés à l’histoire et à la dynamique conjugale. Outre l’aspect sexuel, ce travail favorise l’émergence de nouveaux rituels amoureux qui dépassent la seule question de la pénétration ou de l’orgasme.

Accepter que « le problème » peut être partagé

Il n’est pas rare que la/ le partenaire, en consultation, exprime ses propres craintes ou attentes. La sexologue accueille ces paroles pour éviter que la souffrance se transforme en reproches, frustration ou conflits de couple.

Éjaculation prématurée : comment redonner sens à sa sexualité ?

Focus sur la sexualité « élargie »

L’un des axes majeurs de la sexologie contemporaine est la décontraction de la relation à la performance. Le plaisir partagé peut s’exprimer dans de nombreux gestes intimes, sans se centrer exclusivement sur la pénétration et l’éjaculation. Cette ouverture – expérimentée en consultation puis dans la vie intime – élargit considérablement le champ du possible et diminue la pression individuelle.

L’éducation et la connaissance du corps

Le patient est invité à (re)découvrir son corps, ses sensations, ses limites et ses ressources par l’auto-observation, le massage, ou certaines pratiques de plaisir en solo. L’objectif ? Apprendre l’écoute de soi, le repérage des signaux de montée de l’excitation, l’aptitude à réguler sa tension érotique.

Favoriser l’acceptation et la patience

La marche vers le changement est progressive. Relativiser les attentes, apprendre à célébrer les petits progrès, valoriser l’effort plus que le « résultat » sont des dimensions clés travaillées en thérapie sexologique, notamment par la redécouverte du désir au sein du couple.

Gérer les rechutes et prévenir la chronicisation

L’accompagnement n’efface pas toute difficulté sexuelle : il enseigne surtout la résilience et la gestion des éventuelles rechutes, afin d’en faire des étapes temporaires et non des échecs définitifs. À chaque nouvelle difficulté, les outils déjà travaillés viennent soutenir la confiance du patient.

Sexologue à Liège : prise en charge intégrée, bienveillance et évolution

Sexologue diplômée, Charlotte Cession accompagne chaque patient dans sa singularité, à travers des méthodes validées, une écoute attentive, et un souci constant d’alléger la souffrance morcelant la vie intime. Les solutions proposées sont multiples et individualisées, du simple conseil informatif à un suivi thérapeutique approfondi, en consultation individuelle ou de couple.

En complément, la plateforme propose des articles dédiés aux troubles sexuels masculins à Liège afin d’offrir l’information la plus complète possible aux patients en quête de réponse.

FAQ – Questions fréquentes

Comment reconnaître une éjaculation prématurée nécessitant une consultation avec une sexologue ?

On parle d’éjaculation prématurée lorsqu’il existe une souffrance liée à une éjaculation trop rapide, se produisant avant ou juste après la pénétration, et impossible à contrôler malgré les efforts. Si cela génère de l’angoisse, de l’insatisfaction ou des difficultés relationnelles, il est conseillé de consulter une sexologue à Liège pour un accompagnement spécialisé et confidentiel.

Pourquoi l’éjaculation prématurée ne se règle-t-elle pas toujours seule avec le temps ?

Dans de nombreux cas, l’éjaculation prématurée s’installe en raison de facteurs complexes (anxiété, habitudes, croyances), et perdure car elle génère du stress à chaque rapport sexuel. Un accompagnement sexologique permet de briser ce cercle vicieux, de comprendre la cause et d’acquérir des outils concrets pour retrouver le contrôle de ses sensations.

Quand faut-il envisager l’aide d’un sexologue pour l’éjaculation prématurée ?

Il est recommandé de consulter dès lors que le trouble devient source de mal-être ou freine la vie de couple, que l’on soit célibataire ou déjà en relation. Plus la démarche est précoce, plus la prise en charge est rapide et efficace, diminuant le risque de complications psychologiques ou relationnelles à long terme.

Faut-il impliquer la partenaire dans la prise en charge de l’éjaculation prématurée ?

L’implication du ou de la partenaire, avec l’accord de chacun, apporte souvent un véritable soutien et améliore l’efficacité de la thérapie. Cela favorise une meilleure communication, dédramatise la situation et permet au couple d’explorer ensemble de nouvelles façons de vivre leur intimité.

Références scientifiques

Rowland DL, et al. Premature ejaculation: definition and measurement. International Journal of Impotence Research, 2017. – Propose une définition internationale et des outils de diagnostic standardisés pour l'évaluation clinique.

Sundaram G, et al. Prevalence and correlates of premature ejaculation in the general population. Journal of Sexual Medicine, 2022. – Étude de prévalence et analyse des facteurs associés à l’éjaculation prématurée en population générale.

McMahon CG, et al. Pharmacological treatment of premature ejaculation. Therapeutic Advances in Urology, 2018. – Revue des thérapies médicamenteuses efficaces dans la prise en charge de l’éjaculation prématurée.

Luo Y, et al. Cognitive behavioral therapy for premature ejaculation: a systematic review. Andrology, 2019. – Analyse systématique des bénéfices des techniques comportementales dans l’amélioration du contrôle éjaculatoire.

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