Sexologue – Mme Sabrina Bauwens
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0474 10 90 33
Parler de sexualité, c’est souvent tabou. Aborder les troubles de la sensibilité génitale masculine, c’est presque un territoire inconnu, parfois mystérieux, souvent tus. Pourtant, ce sujet occupe (et préoccupe) bien des hommes, parfois dès l’adolescence, souvent à l’âge adulte. Perte de sensations, hypersensibilité, picotements, brûlures, ou encore absence de plaisir réel : ces perceptions troublent la confiance, l’intimité, la relation à soi et à l’autre.
Peut-être vous reconnaissez-vous dans ces mots ? Ou vous interrogez-vous sur ce que ressent votre partenaire ? À Liège, beaucoup d’hommes consultent pour des troubles sensoriels intimes. On croit, à tort, que seuls des problèmes d’érection ou d’éjaculation existent. La vérité : le plaisir sexuel, chez l’homme, repose aussi sur tout un monde de sensations, subtiles ou flagrantes… et cela, la science le prouve de plus en plus.
Que faut-il savoir pour retrouver une sexualité épanouie lorsque le toucher génital est troublé, diminué ou trop intense ? La réponse ne se limite jamais à un simple traitement miracle. Regardons ensemble, sans tabou, les causes, les ressentis, les solutions. Approchons le problème autrement… Et si tendre la main vers un sexologue changeait la donne ?
Juste une question “de nerfs” ? Non, ce serait bien trop simple. Quand la sensibilité du gland, du pénis ou des bourses change, les raisons s’entremêlent : physiques, psychiques, relationnelles. Comme dans un orchestre où un seul instrument déraille, tout le plaisir peut alors vaciller.
Primo : la dimension physiologique. L’anatomie masculine, vous le ressentez au quotidien, c’est un équilibre délicat. Presque 4000 terminaisons nerveuses tapissent le gland : le plaisir naît littéralement sous la peau. Parfois, ces petits “fils électriques” subissent un court-circuit :
Tout cela, votre corps s’en rappelle. Et la sensibilité change. Au point de parfois ne presque plus sentir l’orgasme, ou au contraire avoir mal au moindre effleurement.
Mais il faut aussi évoquer un coupable souvent ignoré : la prise de certains médicaments (antidépresseurs, psychotropes, antidouleurs puissants), ou la consommation excessive d’alcool. Là, les nuances tactiles s’effacent comme une radio mal réglée.
L’âge joue-t-il ? Soyons clairs : oui. Après cinquante ans, les fibres nerveuses s’usent. Le cerveau, lui aussi, perçoit moins finement. Les hommes en Belgique en parlent peu, mais ce phénomène est largement partagé… Rassurez-vous, ce n’est ni une fatalité, ni une honte.
Deuxième facteur : la dimension psychologique. Le stress, la peur de ne pas être à la hauteur, l’hyper-analyse de ses propres sensations… Le cerveau lâche prise, ou au contraire, s’excite trop. Résultat, il bloque les ressentis. Le corps est là, mais la tête mène sa course. Un peu comme lorsqu’on essaie de se concentrer sur la musique alors que le téléphone ne cesse de vibrer sur la table.
Ajoutez à cela les éventuelles histoires de vie : traumatismes sexuels, difficultés relationnelles, éducation répressive, peur de blesser ou d’être jugé… Tout ce vécu, même inconscient, s’imprime sur la carte du plaisir. Et parfois, la “déconnexion” se fait sans s’en rendre compte.
Enfin, la dimension relationnelle et contextuelle : la routine, la lassitude, les changements dans le couple, ou le manque de confiance avec un(e) partenaire. La sexualité n’est pas un acte solitaire ; c’est aussi une danse à deux. Un petit accroc dans la relation suffit à tout désaccorder, y compris la façon dont le corps réagit.
Voilà pourquoi il est essentiel, lorsque la sensibilité génitale masculine se trouble, de prendre les choses au sérieux, sans se juger. La première étape : comprendre. La seconde : oser parler.
Impossible de passer à côté : le “ressenti” du pénis, ce n’est pas négociable. Quand tout va bien, il y a cette sensation douce ou électrique, unique, parfois même grisante. Mais que se passe-t-il quand elle s’éteint ? Ou qu’elle vire à l’inconfort ?
Les signes d’alerte varient selon chacun. Voici quelques exemples concrets, glanés en cabinet à Esneux, aux alentours de Liège, et dans les témoignages :
Certains hommes ressentent un trouble quel que soit le contexte (masturbation ou rapport). Pour d’autres, la gêne n’existe que lors de la pénétration, comme si le corps “brouillait” le plaisir. D’autres notent au contraire que leurs sensations reviennent dans certaines positions, conditions ou moments particuliers (par exemple, lors d’un massage, ou après sport). Ces détails, souvent négligés, sont précieux… Il peuvent orienter le diagnostic.
Mais comment différencier une gêne passagère d’un problème plus sérieux ? Un test : observez si le trouble persiste plus de 3 à 4 semaines, sans explication évidente (traumatisme, infection, stress aigu). Des comparaisons simples peuvent aider : « Est-ce que je sens mon érection comme avant ? Mon partenaire remarque-t-il des changements ? Ai-je eu mal, récemment, lors d’un sport, ou après une opération ? ».
Il y a aussi la honte, souvent non dite. Beaucoup gardent le silence, persuadés d’être seuls à vivre cela. Faux : ces troubles sont fréquents. Ils se voient en cabinet à Liège, à Bruxelles, partout en Belgique. En parler, c’est déjà ouvrir une porte vers la solution.
Parfois, il ne s’agit “que” d’une peur, d’un blocage psychique. Parfois, c’est un symptôme d’un trouble sexuel masculin plus complexe, ou d’une maladie qu’il faut dépister. C’est là que la consultation spécialisée révèle toute son utilité.
Vous vous posez la question ? Voici trois situations qui devraient vous alerter :
En pratique, mieux vaut consulter « trop tôt » que « trop tard ». Le dialogue envers un sexologue formé permet souvent de distinguer ce qui relève d’un stress temporaire, d’un souci organique, ou d’un trouble plus complexe. Parfois, la solution se dessine vite. Parfois, il faudra plusieurs approches, un petit “travail d’enquête”, à la recherche du fil qui relie les symptômes.
Sexologue – Mme Sabrina Bauwens
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0474 10 90 33
Vous imaginez une consultation “gêne”, silence pesant, questions embarrassantes ? Oubliez les clichés. La première étape, c’est l’écoute bienveillante. Parce que décrire ce qu’on ressent au niveau du sexe, ce n’est pas un réflexe naturel. Un sexologue comme Mme Sabrina Bauwens commence toujours par rassurer. Il n’y a pas de question bête, ni de honte. Il y a juste un corps, une histoire, et un problème à comprendre ensemble.
La démarche ressemble parfois à une véritable enquête. Cela commence souvent par une phase d’anamnèse : on explore l’apparition du trouble, son évolution, ce qui l’améliore (ou le fait empirer). On examine les aspects médicaux :
Mais aussitôt, le sexologue questionne aussi la dimension psychologique et relationnelle. Comment se passe la vie de couple ? Qu’en est-il des fantasmes, des attentes, des blocages éventuels ? Y a-t-il eu des expériences négatives, du stress au travail, ou d’autres évènements sources de tension ?
Enfin, si besoin, une collaboration avec le médecin traitant (urologue ou neurologue) est organisée. Des examens complémentaires peuvent être prescrits (test neurologique, dosage hormonal, imagerie, recherche d’IST…). Mais dans la majorité des cas, tout commence par la parole. Un simple échange révèle déjà bien des clés.
Un détail important : l’écoute ne se limite pas au “problème technique”. Le sexologue vous invite à explorer vos ressentis corporels, à remettre des mots sur des sensations oubliées (“Quelle était la dernière fois que vous vous êtes senti pleinement vivant, dans votre sexualité ?”). Parfois, sortir du silence suffit à allumer une première lumière.
Prenons le cas courant d’un homme de 35 ans, amateur de vélo, qui consulte parce qu’il ne sent plus bien ni érection ni orgasme. L’histoire révèle, en creusant, une compression du nerf pudendal liée à la selle, aggravée par un stress professionnel intense. Le diagnostic partagé, il devient possible de mettre en place des changements : adaptation du sport, exercices de sensibilité, gestion du stress… Et tout change.
Cherchez-vous à mieux comprendre la démarche ? D’autres thématiques associées sont détaillées dans l’article conseils les plus efficaces en sexologie.
La bonne nouvelle : il existe de nombreuses pistes pour retrouver, ou augmenter, la sensibilité du pénis. Il ne s’agit presque jamais d’un “destin figé”. Mais chaque cas est différent. Une prise en charge sur mesure s’impose, parfois à plusieurs niveaux.
1. Solutions médicales et physiques
2. Approche psychosexuelle Le cerveau, chef d’orchestre du plaisir. Une part importante de la récupération passe par la redécouverte des sensations, la réappropriation du désir, la gestion du stress.
3. Techniques innovantes et outils complémentaires
Un cas réel ? Un homme de 42 ans, enseignant, consulte pour une perte totale de la sensibilité du gland, suite à un épisode dépressif majeur. Accompagné par une thérapie centrée sur la reconnection sensorielle, la méditation, et un assouplissement de ses exigences sexuelles (“Il faut que je sois performant…”), il décrit au bout de 5 mois la renaissance de sensations “longtemps oubliées”.
Et s’il ne se passait rien ? Parfois, lorsque le trouble reste inexpliqué, d’autres examens seront nécessaires. Une faible proportion de cas relèvent d’un trouble neurologique sérieux. Mais même dans ces situations, le travail sexothérapeutique permet d’améliorer la qualité de vie, d’adapter la sexualité autrement (nouvelle carte du plaisir, dialogue avec le/la partenaire, sensualité élargie…)
Ne restez pas seul avec vos doutes. Il existe des solutions concrètes proposées à Liège pour reprendre confiance et renouer avec un plaisir épanoui.
Il y a la vie avant la gêne… et il y a la vie “après”. On retrouve parfois plus que ce que l’on croyait perdu.
Comment savoir si ma perte de sensibilité génitale est grave ?
Si la perte de sensibilité persiste plus de trois semaines, qu’elle s’accompagne de douleurs, d’autres troubles sexuels ou de signes urinaires, il est recommandé de consulter un sexologue ou un médecin. Une simple gêne passagère liée au stress ou à l’environnement peut se résoudre seule, mais tout symptôme progressif ou associé à des traumatismes mérite un avis spécialisé. Oser en parler permet de recevoir un diagnostic adapté.
Pourquoi ai-je du mal à ressentir du plaisir malgré une bonne érection ?
Le plaisir sexuel résulte non seulement de l’érection mais aussi d’un fonctionnement harmonieux entre corps, nerfs et cerveau. Un trouble de la sensibilité génitale peut découler d’une routine, du stress, d’une pathologie ou même d'une attente trop forte de performance. Un sexologue aide à cerner la cause et à retrouver un plaisir plus spontané.
Quand faut-il consulter un sexologue pour des troubles de la sensibilité génitale ?
Consultez dès que la gêne devient fréquente, perturbe votre vie sexuelle ou génère de l’angoisse vis-à-vis de votre partenaire. Prendre rendez-vous tôt favorise un diagnostic rapide et des solutions personnalisées, notamment auprès de professionnels spécialisés en Belgique.
Faut-il toujours un traitement médical pour retrouver la sensibilité génitale masculine ?
Pas forcément : beaucoup de troubles sensoriels génitaux s’améliorent par un accompagnement sexologique, des exercices de focalisation sur le corps ou une adaptation de mode de vie. Seul un petit nombre de cas nécessitent un traitement médical ou une rééducation spécifique selon la cause identifiée.
Références scientifiques
Pour en savoir plus, n’hésitez pas à consulter un sexologue à Esneux ou à découvrir des ressources adaptées aux troubles sexuels masculins sur d’autres pages spécialisées.