Hypnothérapeute STOP Tabac – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0496 55 00 35
Arrêter de fumer… Souvent, la décision tranche comme une lame. Mais la réalité, sur le terrain, se construit à petits pas. Si vous lisez ces lignes, c’est peut-être avec l’envie d’enfin donner un coup de pied à cette habitude collante. Oui, la volonté compte. Mais l’entourage ? Il agit comme un levier ou une barrière, c’est selon. À Liège, le sevrage tabagique prend un visage particulier, où la vie sociale, les amis, la famille, les collègues jouent un rôle central. Parlons-en sans détours. Qu’est-ce qui, autour de vous, pèse dans la balance ? Et pourquoi n’est-on jamais vraiment “seul” à arrêter de fumer ?
Ce qui se passe dans la tête, tout le monde le sait en théorie. Mais dans la pratique quotidienne, l’environnement social dicte des petits choix, des automatismes, des tentations. On va voir comment cela se traduit, physiquement et mentalement, pour ceux qui tentent, jour après jour, de s’éloigner de la cigarette aux alentours de Liège. Et parce que l’accompagnement change tout, vous découvrirez aussi comment une hypnothérapeute certifiée NGH comme Mme Marcelle Monseur, à Esneux, propose une prise en charge moderne, tournée à la fois vers le patient… et son environnement.
On croit souvent que la dépendance au tabac, c’est juste une histoire de nicotine ou de force mentale. Erreur… D’ailleurs, si c’était si simple, il n’y aurait presque plus de fumeurs en Belgique. Mais vous, vous avez sûrement déjà vécu ce paradoxe : une envie tenace de “griller” une cigarette dans certains lieux ou avec certaines personnes. Un simple café partagé, une pause au bureau, une fête entre amis… Chaque situation sociale crée des automatismes, parfois invisibles mais tenaces.
Prenons un exemple concret, typique à Liège : le traditionnel apéro en terrasse, place du Marché. Ici, la cigarette fait presque partie du décor. Beaucoup l’ont expérimenté : contrôler la gestuelle, l’inconfort du “non-fumeur” alors que les autres allument, l’impression de rompre un rituel collectif. L’environnement social, c’est donc un fil invisible, qui “tire” vers le tabac sans qu’on s’en rende compte.
La science l’explique bien : les proches, collègues, partenaires amoureux, parents sont tous des miroirs. Selon le Pr. West (University College London), la probabilité d’arrêter de fumer augmente de 67% si l’entourage proche arrête simultanément. À l’inverse, un foyer où le tabac circule librement double le risque de rechute. Pourquoi ? Par contagion comportementale. On copie, on partage, on cède… ou on résiste ensemble !
Vous voyez où je veux en venir ? Pour réussir, il faut craquer le “code social” autour de soi aussi, pas seulement l’habitude individuelle. C’est pour cela qu’un accompagnement thérapeutique, comme celui proposé par l’hypnose, travaille sur ces deux fronts : l’individu ET ses relations.
Imaginez : vous décidez d’arrêter, motivé au maximum. Mais dès le lundi, machine à café du bureau. L’odeur de clope, le bruit du briquet, les rires, l’invitation à sortir “fumer une petite”. Lutte intérieure : j’y vais ou j’y vais pas ? L’hypnose, ce n’est pas magique. Mais elle permet de “reprogrammer” ce qui déclenche l’acte (le geste, l’envie, la pensée).
Mme Marcelle Monseur, hypnothérapeute certifiée NGH et expérimentée, pratique une approche où l’on cible justement les “nœuds sociaux” du sevrage. Par une série de séances, elle aide le patient à repérer – puis défusionner – les déclencheurs sociaux du tabac. Concrètement :
L’hypnose offre ainsi des outils efficaces pour se dissocier d’une gestuelle ou d’un souvenir associé à la cigarette. On remplace alors, peu à peu, la “pause clope” par une “pause bien-être” personnelle. C’est un peu comme changer la bande-son d’un film : l’ambiance reste, mais le message est différent. À long terme, cela protège du risque de rechute, même si l’entourage continue à fumer.
En ce sens, consulter à Esneux n’est pas seulement une démarche isolée. C’est ouvrir une porte à la compréhension de son propre environnement. Mme Monseur n’impose rien : elle propose, écoute, ajuste. Parce que sortir du tabac, ce n’est pas couper avec tout son cercle, c’est apprendre à l’habiter autrement. En somme : renforcer “l’immunité sociale” face à la cigarette. Vous êtes tenté d’essayer ? Lisez les témoignages ou demandez-lui directement comment elle aborde la question.
Au fil des protocoles, l’hypnose apprend au cerveau à vivre le tabac comme un choix extérieur, non plus une pulsion intérieure. Cela aide à ne plus se sentir “hors-jeu” dans les groupes où la cigarette persiste. Et si d’autres se mettent aussi à arrêter ? L’effet boule de neige accélère la guérison. Cette stratégie prouvée figure désormais parmi les recommandations scientifiques (voir l’analyse sur le cerveau et le tabac).
Hypnothérapeute STOP Tabac – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0496 55 00 35
Vous le sentez, parfois : certains groupes nous tirent vers le haut, d’autres vers le bas… Le tabac fonctionne un peu comme un remue-ménage social. Famille, travail, amis – chaque sphère pose ses défis.
Avec la famille, l’affectif domine. Vous arrêtez, mais un proche continue de fumer : l’envie plane, les discussions s’enflamment, parfois même la culpabilité (“tu vas nous casser l’ambiance ?”). Au travail, c’est souvent l’intégration sociale qui pèse. Dire “non merci” à une pause clope peut isoler. Parmi les amis, on redoute parfois de devenir “moralisateur”.
Alors, comment s’entourer quand on arrête de fumer ?
L’accompagnement professionnel, comme celui de l’hypnose à Esneux, permet de mieux anticiper ces scénarios. Mme Marcelle Monseur échange souvent avec ses patients sur leurs réalités concrètes : repas familiaux, pression des collègues, fêtes de quartier… Parfois, les solutions sont toutes simples. Parfois, il faut ruser, voire casser certains codes.
Mais attention, ce n’est pas à sens unique. Un sevrage réussi peut aussi inspirer autour de soi. De nombreux patients relatent ce phénomène : “Depuis que j’ai arrêté, deux de mes amis se sont lancés !” C’est la magie du collectif. L’environnement social, bien compris, devient alors un moteur.
Et si la pression venait non pas de l’extérieur, mais de la peur de perdre sa place dans le groupe ? Cela, c’est le travail de fond de l’hypnothérapie, expliquer que votre valeur n’est pas liée à la cigarette. Forgez une identité de non-fumeur solide et fière. L’impact, sur le long terme, est vraiment palpable (lire les clés de la réussite à Liège).
On ne va pas se mentir. Liège, c’est une identité, une ambiance à part. Les terrasses du Carré l’été, les bars la Nuit du 15 août, les fêtes estudiantines... Ici, la socialisation passe souvent par la cigarette. Mais la Ville se bouge : campagnes de prévention, espaces sans fumée, relais d’associations, points info partout aux alentours de Liège. Arrêter de fumer, c’est devenu un projet collectif, pas juste un acte isolé.
La soif de changement se sent dans la région. De plus en plus de jeunes s’emparent du sujet. Les initiatives fleurissent dans les quartiers : marche “sans tabac”, ateliers bien-être, groupes d’entraide sur les réseaux sociaux locaux. Le CHU de Liège propose même, parfois, des parcours d’accompagnement global.
Mieux encore : des professionnels de santé s’y impliquent très activement. Comme Mme Marcelle Monseur, qui reçoit dans son cabinet à Esneux (non loin de la ville), avec une pratique centrée sur l’accompagnement du patient ET de son environnement. Hypnothérapeute certifiée NGH, elle travaille dans la transparence et la collaboration avec les médecins et tabacologues locaux. Un vrai plus pour ceux qui ne veulent pas être “étiquetés” ou diagnostiqués, mais écoutés dans leur réalité.
En Belgique, l’offre d’aide au sevrage ne cesse de se diversifier. Les équipes multidisciplinaires collaborent de plus en plus. L’hypnose, reconnue aujourd’hui comme une méthode efficace, trouve donc pleinement sa place “dans le paysage”. Un témoignage capté lors d’un atelier : “J’avais peur d’être jugé, ou que les autres pensent que je faisais du cinéma. Mais à Esneux, je me suis senti compris. Il y a autre chose qu’une méthode : c’est l’écoute, l’adaptation au moment et au contexte.”
Un chiffre, pour finir de vous convaincre : l’arrêt du tabac augmenté de 40% quand on s’inscrit dans un accompagnement structuré incluant un suivi émotionnel des relations sociales (source : BMC Public Health, 2022). Oui, à Liège, on peut réussir à changer son quotidien, surtout si on ose “embarquer” son entourage avec soi. Vous n’y croyez pas encore ? Venez tester par vous-même ou piochez des conseils dans cet article récapitulatif sur le site.
Arrêter de fumer, il ne suffit pas d’y penser. Cela se bâtit, comme une maison, pierre après pierre, autour et à l’intérieur de soi. Ce n’est pas “contre” le groupe, mais bien “avec” le groupe – quitte à le transformer doucement. Acceptez que certains mettront plus de temps à suivre, d’autres peut-être jamais… mais vous, vous montrez la voie. Ce petit caillou dans la chaussure sociale, c’est parfois la meilleure façon de créer le déclic autour de vous.
À retenir : le sevrage tabagique ne se joue jamais seul. Plus l’entourage coopère, plus la démarche a de chances d’aboutir. Un accompagnement professionnel moderne et bienveillant (comme celui proposé à Esneux) peut faire toute la différence, en transformant le regard qu’on porte sur soi et sur ses proches. L’environnement social ? Un moteur, s’il est bien compris et apprivoisé.
Comment l’entourage peut-il favoriser l’arrêt du tabac à Liège ?
L’entourage joue un rôle majeur : encouragement, tolérance et entraide augmentent les chances de réussir son sevrage. Être soutenu réduit significativement les risques de rechute, surtout lors des moments “sociaux” à risque.
Pourquoi l’hypnose fonctionne sur le plan social pour arrêter de fumer ?
L’hypnose aide à dissocier les automatismes sociaux du tabac en reprogrammant le cerveau, ce qui facilite la gestion des situations où les autres fument encore. Elle permet aussi de renforcer la confiance, rendant le sevrage plus solide face à la pression sociale.
Quand consulter un professionnel de santé pour arrêter de fumer en Belgique ?
Il est conseillé de consulter dès que la motivation devient sérieuse ou que la dépendance sociale semble trop difficile à gérer seul. Un accompagnement professionnel, comme celui d’une hypnothérapeute certifiée, peut proposer des solutions adaptées à chaque contexte de vie.
Faut-il parler de son arrêt du tabac à ses proches ?
Oui, il est important d’échanger avec son entourage pour expliquer sa démarche et demander du soutien. Cela permet de limiter les situations à risque et d’obtenir de l’aide lorsque la tentation est forte.
West, R. "Social influences on smoking cessation", Tobacco Control, 2017. Rôle déterminant du groupe familial et social sur le maintien ou l’abandon du tabac.
Stead, L. F., et al. "Social support as an aid to smoking cessation", Cochrane Review, 2021. Synthèse sur l’importance du soutien social dans la réussite du sevrage.
Robinson, J.D., "Cues and social triggers in smoking relapse", Health Psychology, 2019. Analyse de l’impact des automatismes sociaux sur la rechute tabagique.
BMC Public Health, "Efficacy of combined social and professional support in smoking cessation", 2022. Données chiffrées sur les bénéfices d’un accompagnement structuré et collectif lors du sevrage tabagique.