Psychologue – Mme Diane Perrot
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0456 66 34 69
💻 RDV en Ligne : Mme Diane Perrot. Psychologue agréée par la Commission des Psychologues, Diane Perrot exerce à Esneux, tout près de Liège, et accompagne adultes et adolescents confrontés à des transitions de vie, de l’anxiété, du burn-out*, des deuils ou des troubles émotionnels familiaux, dans une approche intégrative profondément humaine.
Prêt(e) à en découvrir plus ? À mettre des mots sur ces fameuses chaînes invisibles ? À ouvrir, peut-être, une porte vers votre propre liberté intérieure ? C’est parti.
Vous arrive-t-il parfois de vous demander : « Pourquoi est-ce que je réagis toujours comme ça, malgré moi ? » Ou bien : « Est-ce que c’est moi… ou bien ma famille… qui parle en moi ? » Si la question vous traverse, rassurez-vous. Vous n’êtes pas seul, ni “bizarre”. Il s’agit là d’une réalité universelle. Nul ne naît vierge. On hérite toujours, sans le vouloir, des bagages émotionnels de notre histoire, souvent dès la naissance, parfois même avant.
Certains schémas se transmettent, génération après génération, comme des airs de piano appris sans partition. Ces modèles — de communication, de rapport à soi, au conflit, à la réussite, à l’émotion… — se logent au plus profond de nous, bien souvent de façon inconsciente.
En psychologie, on parle parfois d’héritage transgénérationnel. Jean, 43 ans, habitant aux alentours de Liège, a longtemps reproduit le même schéma d’évitement familial que son père. « À chaque tension, je me murais dans le silence. Puis un jour j’ai compris : ce n’était pas vraiment moi, mais une habitude apprise. » À tout cela s’ajoute le poids du contexte : famille recomposée, maladie, burn-out parental, conflits larvés… Chacun peut alors prendre des rôles (“le fort”, “la sauveuse”, “l’enfant rebelle”) qui finissent par coller à la peau sans plus vraiment nous convenir.
Pourquoi est-ce si difficile d’y échapper ? Eh bien, le cerveau adore l’automatisme. Répéter, même si cela fait souffrir, c’est rassurant : au moins, on connaît la chanson. Rompre le schéma, tenter un pas de côté, semble risqué. Peur de perdre l’amour familial, peur de l’inconnu, crainte de ne plus être “à la hauteur”. Résultat : on s’étrangle dans des manières de faire qui ne nous ressemblent pas vraiment.
C’est là tout le pouvoir d’un accompagnement psychologique bienveillant. Prendre conscience n’est pas tout. Il s’agit aussi de se donner le droit de traverser la peur du changement. D’être accompagné pour tenter d’autres chemins. La psychologie intégrative propose des outils pour dénouer, petit à petit, ces fils emmêlés.
Et vous, quels sont les scénarios dont vous aimeriez enfin sortir ?
Psychologue – Mme Diane Perrot
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💻 RDV en Ligne : article dédié à la psychologie intégrative à Liège.
Parfois, on entend des gens dire : “Ça ne sert à rien, on ne peut pas changer sa famille.” Certes, on ne réécrit pas le passé. Mais on peut – vraiment – apprendre à ne plus subir ces automatismes. Sortir des vieux schémas, c’est s’offrir la possibilité d’un renouveau. Plus de liberté, moins de culpabilité. Parfois, même une réconciliation. Avec soi. Avec les autres…
Voyons ensemble, concrètement, ce que vous pouvez en attendre.
Toute famille est un système. On y \"joue\" un rôle. Sauf que parfois, vous ne l’avez pas choisi ! L’enfant “parfait”, la “colonne” sur qui tout repose, la sœur qui fait rire pour cacher le malaise… À force, on s’y perd. Grâce à l’accompagnement, chacun peut peu à peu retrouver sa juste place. Pas celle imposée, mais celle choisie. Les angoisses baissent. On respire mieux. Littéralement.
Marie, jeune adulte venue en consultation à Liège, me l’a confié : “Pour la première fois, je n’ai plus peur de dire non à ma mère. Je me sens sage-femme de ma propre vie.”
2. Oser l’émotion vraie
Dans beaucoup de familles, certaines émotions sont interdites : la colère, la tristesse, la peur… Le schéma : “On ne doit pas pleurer. On doit rester fort.” Sauf que, surprise, on garde tout en soi… et ça explose ailleurs (burn-out, crise de panique, somatisations, conflits). Oser exprimer, c’est se donner l’autorisation de vivre sans masque.
3. Rendre à chacun ce qui lui appartient
Ce n’est pas un slogan, c’est fondamental ! Un client m’a dit : “Je portais la déprime de ma mère comme si c’était à moi. En fait, c’est son histoire, pas la mienne !” Plus on pose des mots sur les nœuds familiaux, plus on leur rend leur juste place. Le passé reste le passé. Aujourd’hui, c’est vous qui écrivez votre présent.
4. Prévenir les répétitions
Un enfant qui a grandi avec un parent dépressif risque, inconsciemment, de casser toute joie par peur de trahir. Une adulte, elle, a rompu trois fois ses relations de couple, persuadée sans raison qu’elle “mérite” l’abandon. Ces répétitions, souvent douloureuses, peuvent être enrayées par le travail thérapeutique.
On ne « guérit » pas de sa famille. Mais on ne se laisse plus dévorer par elle. Vous ressentez peut-être cette force en vous quand, après une crise, vous reprenez la main sur vos choix. C’est cela, la thérapie intégrative, version liberté.
Besoin d’un coup de pouce pour aller plus loin ? Découvrez notre dossier sur la confiance en soi.
Changer, ce n’est pas devenir quelqu’un d’autre. C’est, enfin, devenir soi-même. Étrange sensation, au début, qu’on me décrit souvent : “Tout est pareil, mais tout est différent.” Peu à peu, on cesse la guerre contre soi. On s’accorde le droit de rater, de réussir aussi. On ose dialoguer plutôt que fuir. Certains conflits familiaux vont parfois jusqu’à s’apaiser, car chacun trouve sa place plus sereinement.
Vous vous dites que ce n’est pas si simple, que “dans votre famille” c’est différent, voire impossible. C’est faux. Ce qui compte, ce n’est pas d’être parfait, mais d’oser commencer. Vous avez peur de trahir ? C’est habituel. Presque un passage obligé. Mais la trahison, c’est surtout celle de vos besoins. Laissez donc place, doucement, à ce qui veut advenir.
Pour certains, l’impact se mesure aussi sur le corps : moins de tensions, de crises d’angoisse, de troubles du sommeil. D’autres constatent une meilleure estime d’eux-mêmes, une image corporelle plus apaisée. On est moins “en lutte”, donc moins fatigué. La vie, tout simplement, s’allège.
Ce travail se fait souvent à petits pas. On commence par une rencontre, puis le temps révèle, dénoue, éclaire. Mme Diane Perrot utilise à la fois des outils de la thérapie systémique, de l’approche cognitivo-comportementale et du soutien émotionnel centré sur la personne. Son engagement : vous aider à rompre avec le poids du passé, mais sans rien imposer. Ce n’est pas “un protocole”, c’est un compagnonnage, là où vous en êtes.
Prenez rendez-vous, à Esneux, en ligne ou par téléphone, pour aborder vos problématiques de transition, de famille, de burn-out, ou d’anxiété chronique. Dans ce cabinet, on vient déposer son histoire, sans jugement, dans la confidentialité la plus stricte.
Un mot, pour finir, sur la prévention. Mieux comprendre ses propres fonctionnements, c’est aussi mieux transmettre à ses propres enfants. On évite d’enfermer la génération suivante dans les mêmes carcans. Vous ne savez pas où commencer ? Les premiers pas sont parfois les plus vertigineux, mais aussi les plus porteurs.
Pour aller plus loin sur “Comment affirmer son identité à Liège”, consultez également cet article complémentaire.
Diverses ressources sont aussi disponibles en Belgique, notamment à Liège, où l’on trouve des professionnels comme Mme Diane Perrot, spécialisée dans l’accompagnement des adultes et adolescents traversant ce type de transition.
Ce travail, parfois discret, modifie pourtant en profondeur les équilibres familiaux. Les bénéfices dépassent l’individuel. On parle ici de générations qui, petit à petit, s’offrent le luxe d’une vie allégée du poids des non-dits et des peurs héritées.
Pour vous sentir moins seul/e sur ce chemin, n’hésitez pas à consulter l’article : Pourquoi consulter une psychologue systémicienne pour améliorer les relations familiales ?
Retenez-le : on ne choisit pas sa famille, mais on peut choisir de vivre autrement. Aujourd’hui. Avec, parfois, le soulagement de se sentir enfin “chez soi”… en soi.
Comment savoir si je suis prisonnier d’un schéma familial toxique ?
Ce n’est pas toujours évident à détecter seul. Mais si vous ressentez des répétitions négatives dans votre vie relationnelle, une culpabilité excessive envers votre famille ou si certains comportements “automatiques” vous font souffrir, il peut s’agir d’un schéma familial pesant. Un entretien avec une psychologue intégrative permet une première mise en lumière.
Pourquoi la psychologie intégrative est-elle adaptée pour sortir de schémas familiaux ?
Parce qu’elle mixe les outils de différents courants, la psychologie intégrative offre un accompagnement sur-mesure, tenant compte de votre histoire unique et des enjeux familiaux. Elle aide à lier émotions, comportements et récits familiaux pour vous permettre de choisir, enfin, votre propre voie.
Faut-il consulter seul ou en famille pour rompre ses schémas familiaux ?
Cela dépend de l’objectif : beaucoup trouvent de grands bénéfices à travailler d’abord en individuel, pour bien comprendre et s’affranchir de leurs propres mécanismes. Mais dans certains cas, un travail familial, même ponctuel, peut permettre de dénouer certains nœuds plus collectivement.
Quand consulter pour éviter de transmettre ses schémas à ses enfants ?
Dès que vous sentez que le passé familial empiète sur votre vie ou votre parentalité, il est précieux de consulter. Plus vous prenez conscience tôt de vos héritages, plus vous limitez la transmission de schémas négatifs à la prochaine génération. Il n’est jamais “trop tôt” tandis que tôt… c’est souvent libérateur !
Bowen, M., "Family Therapy in Clinical Practice", Jason Aronson, 1978. Résumé : Une référence de base sur la notion de schémas intergénérationnels et la thérapie familiale systémique.
Nichols, M.P., Schwartz, R.C., "Family Therapy: Concepts and Methods", Pearson, 2013. Résumé : Propose une lecture pratique des dynamiques familiales et d’outils d’analyse applicables dans la clinique actuelle.
Siegel, D.J., "The Developing Mind: How Relationships and the Brain Interact to Shape Who We Are", Guilford, 2012. Résumé : Ce livre explique comment les interactions familiales laissent des empreintes sur notre cerveau et notre fonctionnement émotionnel adulte.
Fishbane, M.D., "Facilitating Relational Resilience: Clinical Applications of a Relational Approach", Family Process, 2013. Résumé : Présente des stratégies cliniques fondées sur l’attachement pour aider adultes et adolescents à dépasser leurs héritages familiaux négatifs.