AcupunctureAcupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0471 49 75 81
On sort d’une longue journée à Liège, on a couru, courbé l’échine au boulot, pris le bus trempé sous la pluie, monté trois étages à pieds parce que l’ascenseur est une fois de plus en panne… Et le soir venu, malgré la fatigue accumulée, impossible de fermer l’œil. Qui n’a jamais râlé face à cette injustice ? Comme une blague cruelle : alors qu’on ne rêve que d’un lit, le mental, lui, s’enflamme. Ça rumine, calcule, repense, s’inquiète, revoit la journée…
Si vous êtes d’aux alentours de Liège, ce scénario vous est peut-être familier. Pourtant, scientifiquement, c’est logique : la fatigue physique n’amène pas toujours le sommeil, loin de là ! C’est plutôt contre-intuitif, mais le cerveau fatigué ne signifie pas cerveau apaisé. La machine corporelle se fatigue, mais la machine mentale reste branchée jusqu’à tard – surtout si l’on subit du stress, des douleurs, ou des dérèglements hormonaux.
Les médecins du sommeil le disent : un excès d’activité durant la journée n’est pas synonyme de nuit paisible. Pire, le surmenage déclenche souvent le cortisol (l’hormone du stress), qui agit comme un expresso pris à 22h. Résultat ? Le corps réclame de l’énergie pour “gérer l’urgence”, même lorsque celle-ci n’existe plus. « Combien de fois avez-vous ressenti votre cœur qui battait plus vite dans le silence de la chambre ? » C’est exactement le dilemme de notre époque moderne : le cerveau tourne, le corps sature, le sommeil se dérobe.
L’acupuncture, dans tout ça, propose une autre lecture. Elle considère le corps non comme une addition d’organes, mais comme un réseau où circulent des flux d’énergie. La fatigue “classique” – vient d’une usure mécanique. Mais la fatigue persistante accompagnée d’insomnie, elle, relève souvent d’un déséquilibre profond dans ces flux. Autrement dit, si la rivière d’énergie est perturbée, le moulin (votre cerveau, votre corps) ne peut plus trouver le calme nuit venu. D’où l’idée : peut-être ce n’est pas la fatigue physique qui manque, mais un relâchement des tensions invisibles.
Curieux ? La science moderne commence seulement à décortiquer ces liens. Plusieurs études prouvent que la relaxation nerveuse et l’équilibre hormonal sont plus importants que l’épuisement musculaire pour permettre l’endormissement. Le sommeil, en fait, c’est une fenêtre qui ne s’ouvre que quand le cerveau en reçoit le signal. Ce signal dépend de beaucoup plus de choses que la sensation de jambes lourdes ou de dos cassé en rentrant à la maison… « Mécaniquement, on est sur les rotules. Mais intérieurement, c’est l’effervescence. »
acupuncture et insomnie : la médecine traditionnelle chinoise s’intéresse au “feu du mental” comme facteur-clé de l’insomnie. À méditer, non ?
Vous avez déjà remarqué comme, parfois, après la journée la plus banale, le sommeil vient — et d’autres fois, la plus exténuante vous laisse éveillé toute la nuit ? Question de chimie, pas de mathématiques. À ce stade, il faut parler hormones, neurotransmetteurs, et… énergie interne.
Au niveau scientifique, trois acteurs majeurs influencent notre endormissement : la production de mélatonine, la désactivation du cortex préfrontal (la “machine à penser”), et l’équilibre sympathique/paraysympathique. Si l’un de ces trois patine, le sommeil ne vient plus, ou alors par saccades. Mais il y a aussi d’autres ingrédients insidieux. Stress résiduel, inflammation légère, souci digestif chronique… Tous ont un rôle.
Dans la tradition de l’acupuncture, on diagnostique régulièrement chez les patients d’à Liège une hyperactivité interne qui prend source dans le “Shen” : comprendre, une agitation de l’esprit, que la médecine occidentale assimile à l’anxiété latente ou micro-stress insidieux. Ce Shen ne se calme pas simplement avec l’épuisement physique. Il se calme quand l’énergie du cœur, du foie et surtout des reins s’apaise. Pourquoi ces organes ? Parce que selon la médecine chinoise, ils gèrent la circulation d’informations vitales entre le corps et l’esprit.
Les neurosciences vont dans le même sens. Elles montrent aujourd’hui que des déséquilibres du système nerveux autonome expliquent pourquoi, sous fatigue, l’endormissement est retardé. Quand le sympathique (mode “alerte”) domine le parasympathique (mode “repos”), impossible d’accrocher le sommeil. Voilà pourquoi on peut être vidés… mais toujours en “standby”.
Des chercheurs comme Irwin MR (JAMA, 2015) prouvent aussi qu’une inflammation chronique légère du corps (souvent due à un mode de vie stressant, alimentation acidifiante, manque d’exercice doux) bloque la production naturelle de mélatonine. C’est un cercle vicieux : plus on traîne une inflammation silencieuse, plus le cerveau reste aux aguets la nuit.
Et si, en plus, s’ajoutent des douleurs diffuses (banales lombalgies, raideurs, migraines, inconfort digestif…), le message de “danger” circule en continu dans la moelle épinière. On connaît tous cette sensation de “chiffon froissé” au fond de soi, quand, malgré la fatigue, le calme ne vient pas. C’est là aussi que l’acupuncture intervient, en cherchant à apaiser les circuits d’alarme et à relancer une détente profonde.
Prendre rendez-vous pour une séance, c’est parfois poser la première pierre pour sortir de cette spirale. Petite info : dans la pratique, beaucoup de patients observent une amélioration progressive, séance après séance, même si parfois le premier effet est subtil. À ce stade, patience et régularité jouent leur rôle. Rome ne s’est pas faite en un jour… ni le sommeil paisible, surtout après des années “sous tension”.
Vous vous reconnaissez ? Vous n’êtes pas seuls. En Belgique, on estime qu’une personne sur trois lutte avec le sommeil au moins une fois par semaine. Le chiffre grimpe encore pour ceux vivant en zone urbaine, comme à Liège.
Les patients découvrent alors que derrière la façade du “je suis juste crevé”, se cache parfois un cocktail de micro-inflammations, de nerfs à vif, et de tensions diffuses. L’acupuncture, à travers ses aiguilles millimétriques, vise à effacer ces bruits de fond invisibles. Non, elle ne force pas l’endormissement : elle donne au cerveau le feu vert pour lâcher prise, enfin.
Le mot « acupuncture » intrigue. On l’associe très vite à l’exotisme ou à “quelque chose de mystérieux qui calme”. Mais, concrètement, qu’est-ce qui se passe dans notre corps sur la table d’un cabinet ? Pourquoi des millions de personnes dans le monde en font la clé de leur sommeil retrouvé, du Canada à la Chine, en passant par la Belgique ?
L’acupuncture, telle que pratiquée par Katty Lhermitte, repose sur un principe simple : agir sur les circuits énergétiques (les méridiens) et sur des points précis en surface de la peau pour obtenir une réaction profonde du système nerveux. Vous imaginez une télécommande à distance ? Ici, on envoie une information corrective à toute la central nerveuse, via des points très spécifiques, étudiés depuis 2000 ans, et validés aujourd’hui par des scanners cérébraux (IRM fonctionnelle).
Plusieurs méta-analyses scientifiques montrent que deux ou trois séances suffisent parfois à relancer le sommeil chez des insomniaques chroniques. Oui, vous avez bien lu ! Et ce, sans somnifère, sans risque d’accoutumance. L’aiguille d’acupuncture, lorsqu’elle stimule le point Shen Men (porte de l’esprit), produit une calme agréable, souvent une sorte de flottement. Dans d’autres cas, des points comme “San Yin Jiao” ou « Tai Chong » apaisent la sphère émotionnelle et digèrent les résidus de stress.
Pourquoi cela marche ? Parce que ces points dialoguent avec deux centres nerveux : l’axe hypothalamo-hypophysaire (qui gère la relaxation et la production de mélatonine) et l’axe nerveux vague (le “frein” du système nerveux autonome). Rapidement, le corps passe du mode “urgence” au mode “veilleuse”. Vous sentez le déclic, souvent dès la fin de la séance : paupières lourdes, souffle plus lent, pensées qui ralentissent leur course infernale.
Précision : le protocole en acupuncture n’est jamais standard. Il dépend de vos antécédents, de vos symptômes, de vos émotions, et même de la langue (oui, la langue). Par exemple, si la “langue” tire sur le rouge et montre des fissures, on sait que le feu interne empêche le sommeil. On choisira alors des points pour rafraîchir l’énergie du cœur. À l’inverse, si la langue est pâle et humide, on stimulera les reins et la rate. À chaque profil, une carte sur-mesure.
Pour en savoir plus sur les bénéfices spécifiques de l’acupuncture sur les troubles du sommeil, découvrez cet article détaillé sur l’insomnie et les séances d’acupuncture. Les retours sont éloquents : les patients témoignent d’une baisse des réveils nocturnes, d’un sommeil plus “profond”, et d’un réveil (enfin) restaurateur.
Pour une meilleure qualité de sommeil grâce à l’acupuncture, beaucoup redécouvrent la saveur d’une nuit complète. Une patiente rapporte même : “Je rêvais de dormir, mais chaque soir le stress me poursuivait sous la couette. Après trois séances, je me suis réveillée pour la première fois sans cette boule au ventre.” Comme quoi, parfois, la solution n’est pas dans les somnifères… mais dans la réinformation du corps.
L’acupuncture intervient aussi là où d’autres traitements échouent : sur l’agitation nerveuse, les palpitations, les réveils à heure fixe (2h, 3h du matin, le fameux “pic du foie”), et sur la gestion du “trop-plein” de la journée. On ne force pas l’endormissement : on prépare le terrain, on débroussaille les obstacles, et on laisse la biologie naturelle reprendre la main.
Le saviez-vous ? Plusieurs sportifs de haut niveau consultent aujourd’hui pour “gérer le sommeil de récupération”, car le mental, même rodé à l’effort, peine parfois à s’éteindre. C’est l’un des secrets des performances durables : dormir vraiment. Pour comprendre pourquoi de plus en plus d’athlètes utilisent l’acupuncture pour cette gestion, lisez cet autre article sur le sujet.
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Il y a sommeil et sommeil. D’un côté, le manque de sommeil lié au mode de vie (coucher tardif, écrans, rituels capricieux). De l’autre, ce vrai “blocage” : impossible de dormir, même vidé, même après une journée intense. Si vous sentez que c’est ce second type de problème qui vous touche, l’acupuncture peut faire la différence.
Mais dans quels cas consulter ? Quelques signes doivent vous alerter :
– Endormissement difficile chaque soir (même exténué)
– Réveils nocturnes fréquents ou à heure fixe (ex : 2h ou 3h du matin)
– Sensation de ne jamais être reposé au réveil (malgré 7-8 heures de sommeil)
– Agitation mentale, pensées en boucle, anxiété latente
– Douleurs diffuses ou tensions chroniques nocturnes (crampes, tensions nuque/épaules, nervosité corporelle)
– Stress physique ou psychique non soulagé par la détente habituelle
Vous pouvez aussi consulter si vous avez déjà tout essayé : tisanes, huiles essentielles, relaxation… et que le problème persiste. L’acupuncture intervient souvent là où le travail sur “l’extérieur” (environnement, habitudes) a montré ses limites.
De plus, on observe dans la région liégeoise que l’accélération de la vie quotidienne, la pression professionnelle, et le climat social anxiogène ont renforcé ces troubles. Difficile d’éteindre le mental quand la vie quotidienne ressemble à une course. C’est d’autant plus vrai en Belgique, où les rythmes sont parfois plus “secs” et le climat rarement propice à la “décompression naturelle”.
Si vous souffrez de douleurs chroniques (articulaires, tendinites, migraines, douleurs digestives…), n’hésitez pas à lire cet article sur l’acupuncture et les douleurs articulaires. Parfois, traiter la douleur permet enfin le repos.
D’autres indications : syndrome prémenstruel agité (SPM), ménopause, sevrage de somnifères, phases de vie à stress élevé (deuil, séparation, charge mentale extrême). Ces motifs reviennent en boucle dans les cabinets d’acupuncture, notamment chez Katty Lhermitte. Dans tous ces cas, l’examen énergétique guide la sélection des points, bien au-delà de la plainte principale — un soin vraiment personnalisé.
Vous vous demandez si l’acupuncture est adaptée à votre trouble du sommeil ? Consultez aussi cette page dédiée à l’insomnie et acupuncture à Liège pour des conseils ciblés, ou prenez directement contacte auprès du cabinet d’Esneux.
Et pour ceux dont le sommeil est “pourri” à cause d’un mental trop envahissant, la charge mentale, ou la rumination (typiquement chez les soignants, aidants ou professions sous pression), voici un guide précieux sur la prévention de l’épuisement psychologique.
Dernier point : inutile d’attendre que le trouble du sommeil devienne invivable pour agir ! Dans la tradition chinoise, la meilleure médecine prévient avant de guérir. Un cycle de plusieurs séances, coordonnées selon la saison et votre état énergétique, offre une stratégie fine et durable. Parfois, il suffit d’amorcer la détente, de “dégeler” le cerveau, pour faire sauter le verrou du mauvais sommeil.
N’attendez pas que l’insomnie dégénère ou s’installe. Agir tôt, c’est éviter la prolongation du cercle vicieux : mauvaise nuit, journée difficile, stress accru, encore moins de sommeil… Et ainsi de suite.
Comment l’acupuncture aide-t-elle vraiment à dormir mieux ?
L’acupuncture aide à équilibrer le système nerveux et à relancer la production de mélatonine, favorisant un endormissement naturel. Elle réduit le stress et l’anxiété qui maintiennent l’esprit en alerte la nuit.
Pourquoi suis-je fatigué mais incapable de dormir, même après une journée épuisante ?
Parce que la fatigue physique ne suffit pas quand le mental est agité ou quand des tensions (stress, douleurs, inflammations) persistent dans le corps. L’acupuncture agit sur ces tensions invisibles pour permettre au cerveau de “lâcher prise”.
Quand consulter une acupunctrice pour mes troubles du sommeil ?
Dès que vous notez des difficultés d’endormissement répétées, des réveils nocturnes fréquents, ou une fatigue persistante le matin malgré plusieurs heures de sommeil. Il vaut mieux consulter avant que l’insomnie ne s’installe durablement.
Faut-il arrêter les autres traitements si je commence l’acupuncture pour le sommeil ?
Non, l’acupuncture s’intègre très bien dans un parcours global. Vous pouvez poursuivre vos médicaments ou autres thérapies tout en initiant un suivi en acupuncture, sous supervision médicale le cas échéant.
Références scientifiques
1. Irwin MR, et al. “Cognitive Behavioral Therapy vs. Tai Chi for Late Life Insomnia and Inflammatory Risk: A Randomized Controlled Comparative Efficacy Trial”. Sleep, 2015. Cette étude montre une réduction de l’inflammation et une amélioration du sommeil par des approches corps-esprit.
2. Feng, Y., et al. “The efficacy of acupuncture in the treatment of insomnia: A systematic review and meta-analysis”. BMC Complementary Medicine and Therapies, 2022. Montre l’efficacité supérieure de l’acupuncture comparée aux contrôles pour divers types d’insomnie.
3. Huang W, Kutner N, Bliwise DL. “Autonomic Activation in Insomnia: The Case for Acupuncture”. Journal of Clinical Sleep Medicine, 2011. Malgré la fatigue, l’hyperactivité du système nerveux parasympathique peut être corrigée par l’acupuncture.
4. Sarris J, et al. “Effects of acupuncture on sleep quality and insomnia in anxiety disorders: a systematic review and meta-analysis”. Sleep Medicine, 2021. L’acupuncture, en complément des approches psychologiques, améliore la qualité du sommeil reproductiblement.
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