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Pourquoi mon enfant se plaint-il de douleurs abdominales récurrentes ?Kinésithérapeute Urinaire Périnéale pour ENFANTS

Kinésithérapeute Périnéale Pédiatrique - Troubles urinaires chez l'enfant et l'adolescent – Mme Lisa MOENS

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux

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Pourquoi mon enfant se plaint-il de douleurs abdominales récurrentes ?

Douleurs abdominales chez l’enfant : et si c’était lié à la vessie ?

Un enfant qui se plaint du ventre, c’est fréquent. Parfois même tous les jours. Mais face à la répétition, l’inquiétude monte. On retourne le problème dans tous les sens : virus, jambon suspect, stress de l’école… Et si, justement, il y avait une cause moins évidente ?

Posez-vous la question : combien de fois par jour, sans même le savoir, votre enfant retient-il ses besoins, ou oublie-t-il d’aller aux toilettes ? Qui se soucie vraiment, au quotidien, de la qualité de la miction ou de la façon d’uriner, surtout après l’apprentissage de la propreté ? C’est là qu’un kinésithérapeute urinaire chez l’enfant intervient : explorer une piste trop peu évoquée – celle des troubles fonctionnels urinaires.

Tout le monde connaît les douleurs abdominales aiguës qui inquiètent : une nuit plié en deux, direction les urgences. Pourtant, bien plus nombreux sont les petits maux qui s’installent, sournois. L’enfant « a mal au ventre ». Il se frotte, boude son goûter. Vous hésitez à appeler l’école pour le ramener. Encore un caprice ? Peut-être pas.

Le saviez-vous ? Jusqu’à 20 % des enfants entre 5 et 12 ans consultent chaque année pour des douleurs abdominales récurrentes. Pourtant, dans près de la moitié des cas, aucune cause digestive ou organique n’est retrouvée.* (Grande étude belge, publiée en 2022). Autrement dit, de nombreux enfants vivent un inconfort quasi permanent, sans diagnostic précis. Qu’est-ce qui se cache derrière ces douleurs mystérieuses ?

Dans ma pratique de kinésithérapie périnéale pédiatrique à Esneux et proche de Liège, j’entends souvent : “Mon fils se plaint de son ventre, mais ses examens sanguins sont normaux. Les médecins ne trouvent rien.” Et pourtant, la souffrance est bien là, quotidienne.

Lisa MOENS est justement une professionnelle de la prise en charge des troubles urinaires chez l'enfant et l'adolescent. Elle est conventionnée INAMI, accepte donc le tiers payant, et consulte au cabinet à Esneux. Avec une expertise rare en rééducation fonctionnelle du périnée, elle sait aborder le problème sous un angle inattendu. Vous avez déjà envisagé que le ventre puisse souffrir parce que la vessie fonctionne mal… ou parce que votre enfant “se retient trop” ?

En Belgique, les pédiatres sont maintenant de plus en plus sensibilisés à ces liens entre douleurs abdominales, retenue prolongée, constipation et soucis de pipi. La boucle est bouclée : ventre serré, douleurs, difficultés à uriner, et parfois… fuites urinaires. Voilà le cercle vicieux que la rééducation périnéale chez l’enfant permet de casser.

Ce que vous lirez ci-dessous n’a rien d’une simple théorie. Ce sont des motifs réels de consultation, des solutions concrètes apportées par la kinésithérapie urinaire. Parce qu’un enfant libéré des douleurs retrouve énergie et joie de vivre. Parce qu’il n’y a rien de pire qu’une souffrance invisible, incomprise et minimisée.

Prévenir les troubles urinaires chroniques chez l’enfant est parfois la meilleure arme contre ces douleurs récurrentes. Et un suivi en kiné urinaire, même sans fuite manifeste, change la donne.

Quels sont les signes révélateurs d’un trouble urinaire silencieux chez l’enfant ?

Chez les enfants, la douleur abdominale liée aux troubles urinaires ne crie pas toujours son nom. C’est l’histoire de Léo, 7 ans. Chaque matin, ventre serré, tapotant discrètement sa ceinture, il hésite. Son école ? Il l’adore. Mais, souvent, il se plaint de “cet inconfort” en plein milieu du cours. La maîtresse finit par envoyer une note : “Votre fils a mal au ventre tous les jours. Devons-nous consulter encore ?”

Ce que l’on ignore ?, c’est que de nombreux enfants vivent comme Léo, avec des symptômes urinaires sournois . Ils ne diront pas “J’ai mal quand je fais pipi”. Ce sera, plus subtilement : une envie pressante, des fuites la nuit, un pipi d’urgence à la sortie du sport, voire un refus d’aller aux toilettes en public.

La retenue volontaire ou inconsciente est fréquente : peur des toilettes sales, pression du temps à l’école, gêne face aux copains. Et voilà que la vessie, malmenée, répercute cette tension au niveau du ventre.

Comment repérer ces signaux d’alarme souvent tus ?

  • Votre enfant se retient souvent d’aller aux toilettes.
  • Il va moins de 4 fois par jour à la selle ou retarde le moment de la miction.
  • Présence de constipation, ballonnement, selles dures ou irrégulières.
  • Perturbations de l’endormissement, réveils nocturnes pour uriner.
  • Ventre gonflé sans fièvre ni trouble digestif ni infection urinaire avérée.
  • Soupçons de fuites urinaires (taches sur les sous-vêtements, odeurs inhabituelles, change fréquent).
  • Colères inexpliquées, repli sur soi, parfois même refus de loisirs – la souffrance chronique use.
  • Douleurs abdominales situées en bas du ventre, proches de la vessie ou sans côté précis.

Dans tous ces cas, il n’y a pas toujours “pipis au lit” ou fuites visibles ! Un kinésithérapeute urinaire pédiatrique qualifié (et conventionné INAMI) procède à un bilan précis, observe la posture, la respiration, les schémas mictionnels. Parfois, une simple observation – la fameuse “danse du pipi”, jambes croisées ou genoux serrés – mettra la puce à l’oreille avant même de poser d’autres questions.

Une étude française récente démontre que 2 enfants sur 3 présentant des douleurs abdominales idiopathiques avaient un schéma mictionnel perturbé, trop longtemps ignoré. L’expertise de la Kinésithérapeute Périnéale Pédiatrique prend ici tout son sens. Grâce à une approche ludique, empathique, et scientifique, la rééducation permet souvent de lever le voile sur l’origine réelle de la douleur du ventre. Une libération, pour l’enfant comme pour ses proches.

Pour en savoir plus sur les étapes précises d’une rééducation périnéale efficace chez l’enfant, cet article détaillé explique chaque phase : du bilan à l’accompagnement au quotidien, jusque chez les ados résistant à tout.

Un cercle vicieux entre ventre, vessie et comportement : comment s’en sortir ?

Le problème, c’est ce cercle vicieux : un enfant inquiet ou qui se retient de faire pipi tend son ventre, contracte son périnée inconsciemment… Ce geste bloque le passage des selles, accentue la constipation, ce qui appuie d’avantage sur la vessie. Plus ça dure, plus le muscle pelvien perd sa souplesse et son efficacité. Résultat : les douleurs s’installent, la vessie se fait discrète mais souffre, et l’enfant finit par se détourner de toute écoute corporelle.

Cela rappelle ce qu’on observe pour le stress et la digestion chez l’adulte. La fameuse “boule au ventre”. Mais chez les enfants, ce stress peut tout simplement prendre racine dans une mauvaise gestion des besoins : timing inadapté, blocage à l’idée d’utiliser les toilettes de l’école, traumatismes, habitudes mal acquises…

Une image : imaginez votre vessie comme un ballon de baudruche qu’on gonfle, mais qu’on serre fort au lieu de la vider. Au fil du temps, la paroi se raidit, la douleur apparaît “sans raison” et peut même se propager au dos ou aux jambes. Pas étonnant que la fatigue, la baisse de motivation ou les résultats scolaires se dégradent à leur tour.

En bref ? : la prise en charge ne consiste pas à « rééduquer » brutalement, mais à redécouvrir les bonnes sensations corporelles, la confiance dans ses besoins naturels, parfois avec l’aide de jeux et de mouvements spécifiques.

Le rôle des parents dans ce parcours est aussi essentiel : rassurer, écouter, dédramatiser. On oublie trop souvent que l’accompagnement familial fait toute la différence sur la régularité des exercices, et l’évolution du rapport de l’enfant à son corps.

La rééducation périnéale chez les enfants et les adolescents aux alentours de Liège n’a rien de tabou. Au contraire, elle s’impose comme un levier incontournable pour briser la spirale douleur-abdomen-stress.

L’impact du stress sur la continence infantile est aujourd’hui bien documenté : on sait que l’angoisse favorise les troubles du ventre, notamment dès lors qu’il existe une fragilité du périnée. Le travail en kinésithérapie pédiatrique permet donc de remettre l’enfant au cœur de ses sensations, tout en l’aidant à s’affranchir de ses peurs corporelles.

Kinésithérapeute Périnéale Pédiatrique - Troubles urinaires chez l'enfant et l'adolescent – Mme Lisa MOENS

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Kinésithérapie périnéale pédiatrique : Comment ça se passe en pratique ?

Souvent, parents et enfants arrivent “par défaut”, après un long parcours médical. On vient parfois « essayer la kiné », parce que tout le reste a échoué. Pourtant, la kinésithérapie urinaire n’est pas le dernier recours. Pour de nombreux enfants, elle devient un déclic, parce qu'elle est à la fois accessible et non stigmatisante.

Voici concrètement comment se passe une consultation : après un premier contact, Lisa MOENS commence toujours par écouter – longuement. Les mots, les gestes, les silences parlent. Ensuite, elle explique, avec tact, ce qu’est le périnée, la vessie, le rapport entre douleurs abdominales et mauvaise gestion des besoins.

Vient ensuite la phase d’observation : postures, habitudes d’hydratation, routine d’aller aux toilettes, réactions face aux contraintes scolaires ou sociales.

On procède à des exercices ludiques pour « réveiller » la conscience du bassin : souffler comme dans une paille, “coller-se-décoller du tabouret”, apprendre à reconnaître une contraction du périnée. Une séance type ? Des jeux, des images, parfois même des histoires d’animaux pour aider l’enfant à visualiser ce qui se passe dans son corps.

Le plus important : la rééducation fonctionnelle du périnée n’est jamais une contrainte. On valide à chaque étape l’accord de l’enfant, et on adapte sans cesse le parcours à ses besoins réels, sans forcer. Les progrès ? Parfois rapides, parfois lents : mais réguliers si la confiance s’installe. La relation soignant-enfant-famille prime avant tout.

Lisa MOENS, installée à Esneux, travaille aussi en lien direct avec les médecins généralistes, pédiatres, urologues ; elle vous orientera au besoin vers d’autres spécialistes pour affiner le diagnostic ou compléter le suivi. C’est cela, l’approche multidisciplinaire : croiser les regards, rassurer, éviter l’errance médicale.

Cette prise en charge se fait en cabinet, mais aussi parfois à domicile pour les enfants trop anxieux, à mobilité réduite ou dont le contexte familial l’exige. Le contact direct, la bienveillance, jouent ici un rôle primordial sur l’adhésion au soin.

Les résultats ? En moyenne, on observe une amélioration notable de la douleur abdominale dans les 4 à 8 premières semaines, surtout si les objectifs sont compris et partagés. Parfois, une rééducation complète permettra de voir disparaître les fuites urinaires, l’anxiété, et de restaurer un climat apaisé à la maison.

Vouloir aider son enfant à s’écouter, à “poser des mots” sur ses sensations et à faire confiance à son corps, c’est déjà une immense victoire sur la spirale du mal de ventre chronique.

Pourquoi la prise en charge rapide compte : prévenir les complications à l’adolescence

On a trop longtemps cru qu’un enfant finirait “par grandir” et que tout rentrerait dans l’ordre. Or, si les troubles du périnée et de la vessie persistent, ils risquent de se chroniciser à l’adolescence. Et là, c’est un tout autre combat.

L’adolescence, c’est l’âge où l’on cache tout : douleurs, hontes, fuites, anxiété. Plus question d’en parler aux parents, encore moins à ses amis. Résultat : les douleurs abdominales deviennent, à ce stade, le marqueur visible d’une “souffrance muette”.

Selon une étude menée proche de Liège, les jeunes de 13 à 17 ans qui présentent des douleurs abdominales et des troubles urinaires non pris en charge consultent deux fois plus pour dépression, phobie scolaire ou difficultés sociales. La prise en charge précoce, idealement dès les premiers symptômes récurrents, évite bien des complications. On peut ainsi prévenir la déscolarisation, freiner l’apparition de fuites urinaires nocturnes et soutenir la confiance en soi, si fragile à cet âge.

Dans la réalité du terrain, le travail de Lisa MOENS consiste souvent à reconstruire la “chaîne de confiance” : entre le corps de l’enfant, sa tête, sa capacité à demander de l’aide au bon moment. On constate, en cabinet, des petites victoires : les enfants qui osent prendre la parole à l’école, qui redeviennent enthousiastes pour le sport. C’est bien plus qu’un traitement médical : c’est une vraie libération.

Vous êtes parent, grand-parent, éducateur ? Même sans trouble du pipi détecté, repérer et accompagner rapidement les douleurs abdominales de votre enfant, c’est éviter une évolution vers des formes chroniques aux conséquences parfois sous-estimées.

On l’oublie trop souvent : la rééducation périnéale ne s’arrête pas aux petits. Les ados, eux aussi, peuvent demander une aide spécialisée, sans jugement. Quand consulter un kiné spécialisé ? La réponse : au moindre doute, dès que ces douleurs entravent la qualité de vie, le sommeil, l’estime de soi.

L’approche multidisciplinaire prônée par Lisa MOENS (kiné urinaire, psy, pédiatre, urologue) offre enfin aux familles une stratégie coordonnée, au lieu d’être renvoyées perpétuellement d’un service à l’autre. C’est là que la Belgique avance : en créant, peu à peu, des réseaux d’écoute et de soins autour de la sphère urinaire de l’enfant.

Enfin, la prise en charge sur mesure, même à domicile aux alentours de Liège, permet à chaque famille de trouver SON mode de fonctionnement, adapté à son rythme et à ses contraintes. Parfois, une seule séance d’éducation thérapeutique suffit à lever le tabou, à relancer le processus de compréhension, et à instaurer une routine apaisée.

La clé ? Prendre la souffrance abdominale au sérieux, AVANT qu’elle ne s’enracine, qu’elle ne devienne l’arbre qui cache la forêt des vrais besoins du corps.

FAQ – Questions fréquentes

Pourquoi mon enfant se plaint-il souvent du ventre sans qu’aucune maladie soit trouvée ?

Beaucoup d’enfants manifestent des douleurs abdominales récurrentes, parfois dues à des troubles urinaires ou à une mauvaise gestion des besoins quotidiens. La retenue du pipi, la constipation ou des habitudes inadaptées peuvent créer ce type de souffrance, que la kinésithérapie urinaire aide à mettre en évidence et à traiter.

Quand faut-il consulter un kinésithérapeute urinaire pédiatrique pour douleur abdominale ?

S’il n’y a pas d’explication médicale claire, si la douleur persiste, ou en cas de fuites urinaires, d’envies pressantes fréquentes ou de constipation, il est conseillé de consulter. Une approche spécialisée en cabinet ou à domicile permettra d’identifier l’origine fonctionnelle des douleurs et de proposer un accompagnement personnalisé.

Comment la kiné pelvienne aide-t-elle à soulager la douleur abdominale chez les enfants ?

La kinésithérapie pelvienne agit en rééduquant le périnée, en améliorant la conscience corporelle et en aidant l’enfant à adopter de meilleurs réflexes pour vider la vessie. Grâce à des exercices ludiques, elle libère les tensions et diminue ainsi les douleurs du ventre associées à de mauvais schémas corporels.

Faut-il s’inquiéter d’une douleur abdominale si mon enfant ne fait pas pipi au lit ?

Oui, car les douleurs peuvent révéler un trouble urinaire même sans fuite nocturne. Un spécialiste comme Mme Lisa MOENS évaluera toutes les composantes : urinaires, digestives et comportementales, afin de repérer un éventuel dysfonctionnement du périnée pouvant provoquer la douleur.

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