Sexologue Mme BauwensSexologue – Mme Sabrina Bauwens
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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Vous sentez une appréhension, voire de la panique, à l’idée de la pénétration ? Vous n’êtes pas seule, ni “hors-norme”. Bien au contraire. Ce sujet, discret, traverse énormément de vies – parfois en silence, parfois en creux dans le couple. Certaines osent en parler à leur compagne ou compagnon, d’autres gardent tout pour elles. Pourquoi tant de malaise ? Pourquoi la simple idée d’un rapport sexuel “complet” génère-t-elle autant d'angoisse, de blocages physiques, de larmes, ou une douleur à peine nommée ? En Belgique, dans nos cabinets de sexologie, la question revient sans cesse. Pourtant, le tabou persiste.
Ça commence souvent tôt. Première expérience sexuelle “ratée” ou douloureuse, croyances familiales ou culturelles, voire traumatismes passés… Les raisons varient, mais le résultat se retrouve dans nos quotidiens. Le corps se crispe, ou même “se ferme”. Impossible d’aller plus loin. Ce n’est pas “dans la tête”, ni un type de “caprice” – arrêtons de banaliser ! Et si, justement, consulter une sexologue à Esneux ou aux alentours de Liège changeait la donne ?
Parlons-en simplement, comme on parle d’une peur du vide, de l’eau ou des chiens. Sauf qu’ici, la dimension intime complique. On s’isole. On se juge. Ou on se sent “cassée”. Parfois, le couple se brise sur ce non-dit, à coup de “Tu ne veux jamais”, “Tu n’aimes pas”, “Tu te forces”. Stop. Il est temps de comprendre ce qui se joue, avec bienveillance.
Mais la crainte de la pénétration, c’est quoi ? On parle de vaginisme, parfois de dyspareunie, ou plus largement de troubles de l’anxiété sexuelle. Il existe mille nuances, autant de vécus. Certaines femmes évitent la sexualité. D’autres cherchent toutes les stratégies pour “faire comme si”. Et vous ? Peut-être vous reconnaissez-vous dans ces mots – ou dans ces silences.
Des chiffres ? Selon une étude publiée en 2017 (Gindi et al., JAMA), environ 16 % des femmes âgées de 18 à 44 ans ont, un jour, ressenti une douleur ou une forte peur au moment de la pénétration. Ce n’est donc pas rare ! Mais le vécu est, lui, toujours singulier.
Alors, quelles sont les causes de cette peur ? Comment l’expliquer à votre partenaire ? Quels chemins pour sortir de cette impasse ? Enfin, quand consulter un-e sexologue, et à quoi sert vraiment une consultation ?
Dans cet article, nous allons déplier le sujet… patiemment et sincèrement. Pour que, peut-être, les barrières tombent – ou du moins, se fissurent. Et si, ensemble, nous faisions sauter le verrou du silence ?
Vous vous demandez sûrement : “Pourquoi moi ?” Ou, “J’ai tout essayé, rien ne fonctionne…” Pour comprendre la peur de la pénétration, il faut ouvrir plusieurs portes. Il y a rarement une seule réponse. Le corps, le psychisme, l’histoire personnelle, tout s’entremêle. Et, soyons clair, ce n’est pas “dans votre tête”.
Derrière ce blocage sexuel, se cachent souvent des causes multiples et parfois imprévues. Passons-les en revue.
Première cause évoquée en consultation : la crainte d’avoir mal, ou la certitude que ça va “mal se passer”. On parle d’anxiété de performance aussi – un peu comme cette peur qu’on ressent avant un examen ou un entretien d’embauche. Sauf que là, l’enjeu, c’est l’intimité…
Parfois, le blocage vient d’expériences passées difficiles – une agression sexuelle, mais pas seulement ! Un simple contact douloureux ou gênant, à la puberté par exemple, peut laisser des traces. Grandir dans une éducation très stricte ou culpabilisante vis-à-vis de la sexualité joue aussi sur la construction de nos désirs et de nos peurs.
Côté émotion, la honte, la peur du jugement ou de la déception peuvent amplifier la phobie de la pénétration. À force, des pensées récurrentes (“Je ne suis pas normale”, “Mon/ma partenaire va me quitter”) hantent l’esprit. Le stress chronique s’installe. Et le cercle vicieux se met en route : plus on prévoit un rapport, plus on anticipe la difficulté, plus on se contracte… et moins ça fonctionne.
Parfois, la sexualité a été vécue, dans une relation passée, comme une obligation. Le corps “se souvient” et se protège. L’angoisse remonte alors à des raisons inconscientes, profondément ancrées.
Mais il existe bien d’autres causes, et elles ne concernent pas “seulement” les femmes. Chez certains hommes, une peur d’“entrer” (érection instable, peur de n’être pas à la hauteur…) bloque aussi le passage à l’acte. Même si le sujet est moins discuté, il existe.
Pour explorer les causes psychologiques et retrouver un espace de dialogue, une consultation en sexologie peut proposer des outils concrets, adaptés à chacun. On en reparlera plus loin.
Et les causes physiques, alors ?
Avancées médicales obligent : on sait aujourd’hui que certains troubles “organiques” expliquent, chez certaines femmes, la douleur à la pénétration. Le vaginisme est le plus connu : le corps, par réflexe incontrôlé, contracte ses muscles au moment où la pénétration s’annonce. Mais aussi, infections non traitées, sécheresse vaginale (après accouchement, sous pilule ou en période de ménopause), troubles hormonaux, endométriose, lésions ou malformations des organes génitaux… Chaque détail compte.
Et parfois, c’est le médecin gynécologue qui alerte sur la dimension psychologique du blocage. La boucle est complète : l’écoute de la souffrance personnelle, les pistes de traitement médical, et la recherche d’un apaisement global.
Attention, enfin, au rôle des médicaments : certains antidépresseurs, anxiolytiques, traitements hormonaux modifient la lubrification ou la sensibilité. Ne pas négliger ce facteur ! Une sexologue saura vous guider vers la bonne prise en charge.
Une dernière cause, sous-estimée : le manque de connaissance du corps. De nombreuses femmes découvrent tardivement leur anatomie. Ce “trou noir” nourrit toutes les craintes et questions : “Vais-je être assez large ?”, “Mon partenaire va-t-il sentir quelque chose ?”, “Et si je saigne ?”… Là encore, on comprend mieux pourquoi la première consultation chez la sexologue rassure tant.
Vivre avec cette peur, qu’elle vienne du corps ou de l’esprit, impose une fatigue permanente. À l’image d’une pièce où on n’ose jamais entrer, sous prétexte qu’elle est pleine de pièges. Le quotidien s’organise parfois pour éviter tout rapport, ce qui pèse, à la longue, sur la confiance en soi et l’équilibre du couple.
Heureusement, personne n’est condamné à subir.
Sexologue à Liège : prise en charge du vaginisme : un exemple concret, une prise en charge globale.
Et si, au fond, on arrêtait tous de croire qu’il faut “juste se détendre” ? Si la peur de la pénétration était entendue comme un signal du corps, une alarme bien plus subtile que ce qu’on imagine ?
On parle beaucoup de “sexologie”, mais peu de personnes savent ce qui se passe vraiment dans une consultation. Certains songent à une thérapie, d’autres à un vrai “examen médical” intime, d’autres encore pensent que seule la parole compte. La réalité ? Un peu de tout ça, mais surtout, une prise en charge adaptée à votre histoire.
Mise en situation : vous prenez rendez-vous, fébrile, chez une sexologue à Liège. Qu’allez-vous y trouver ?
D’abord, la première rencontre. Une heure dédiée à ouvrir le dialogue. Pas de jugement. Pas de diagnostic à l’emporte-pièce. On commence par l’écoute : “Quels sont vos ressentis ?”, “Depuis quand sentez-vous ce blocage ?”, “Comment vivez-vous la sexualité dans votre couple ?”. Pas de questions intrusives, juste un espace pour dire ce qu’on n’a dit nulle part ailleurs.
Parce que non, vous ne serez pas “forcée” de quoi que ce soit. La sexologue n’impose rien : elle accueille, explique, et propose des outils. Des outils concrets. Parfois, quelques exercices de respiration ou de visualisation, pour apprivoiser l’anxiété. Parfois, un programme progressif – par exemple, s’habituer à toucher certaines parties de son corps, sans enjeu, juste pour retrouver la confiance et la curiosité. On avance par étapes, sans pression. Comme pour apprivoiser une pièce sombre, petit à petit, en allumant des bougies.
Parfois aussi, la sexologue travaille en équipe avec un-e gynécologue ou un-e kiné spécialisé-e en rééducation périnéale. Ce travail d’équipe sécurise : on ne laisse rien au hasard.
Vous venez seule ? Il arrive que le ou la partenaire soit invité·e plus tard, pour aider à recréer un dialogue. Mais rien ne s’impose. Chacun va à son rythme. Un couple peut aussi consulter ensemble, surtout s’il existe une incompréhension ou une usure sur ce sujet.
Côté outils : la parole, mais pas seulement. Vous pourrez apprendre des exercices d’auto-exploration, ou même vous initier à de petits rituels de détente à la maison. La pédagogie prend une grande place : comprendre l’anatomie, désamorcer les peurs avec le réel. Parfois, la sexologue propose une “reconnaissance corporelle” : il s’agit d’un apprentissage progressif, respectueux, pour que chaque sensation, chaque geste redevienne naturel.
Dans certains cas (vaginisme sévère, douleurs persistantes), la sexologue oriente vers des exercices utilisant des dilatatateurs vaginaux, toujours accompagnés de conseils pour éviter l’angoisse et la suradaptation. Rien n’est “magique” – il s’agit de reprendre contact avec son être, sans urgence.
Un outil majeur, trop souvent sous-estimé : la communication sexuelle. Oser parler à son ou sa partenaire, exprimer ses besoins, ses craintes (“Je préfère, pour l’instant, juste les caresses”, “Je n’aime pas me sentir forcée”) : cela change toute la dynamique. La sexologue offre souvent un “traducteur”, pour dépasser la peur du rejet ou de l’incompréhension.
Le temps de la thérapie n’est pas figé : cela peut prendre quelques séances, plusieurs mois, ou juste servir à débloquer un point précis. Mais la clé, c’est d’oser demander de l’aide, de s’autoriser à sortir de la solitude.
Ne minimisez pas votre souffrance : beaucoup affirment, après consultation, “J’ai enfin compris que je n’étais pas anormale. J’ai pu mettre des mots.” Ce n’est pas du vent. La première pierre d’une sexualité “libérée” commence par l’écoute, la vôtre et celle de l’autre.
Pour voir un exemple de parcours sexologique, consultez : Prévenir les douleurs sexuelles féminines : accompagnement personnalisé
À quoi s’attendre concrètement ? À une parole simple, honnête, sans faux-semblant. Parfois, à des pleurs. Parfois, à un grand soulagement. Souvent, à l’apaisement. N’est-ce pas, au fond, ce que vous espérez avant tout ?
Conseils de sexologue pour surmonter les blocages sexuels : 10 conseils clés.
Sexologue – Mme Sabrina Bauwens
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Vous pensez peut-être : “Je devrais pouvoir gérer ça seule”, “Je ne veux pas en parler au médecin”, “C’est sûrement temporaire”. Halte aux croyances. Rien n’est plus douloureux que d’avancer, seule, dans ce chemin semé d’embûches. Voici, sans tabou ni discours “bien-pensant”, ce qui aide et ce qui freine.
Première règle : écoutez-vous, vraiment. Ne vous forcez jamais. Le forçage aggrave le blocage. C’est comme essayer d’ouvrir une porte récalcitrante à coups de pied – on ne fait qu’abîmer la serrure.
Deuxième règle : osez nommer ce que vous ressentez. Mettez des mots, même maladroits, sur vos sensations (“Ça me brûle”, “J’ai peur que ça n’arrive pas”, “Je me sens bloquée”). Tenir un carnet, noter ce que vous ressentez avant-pendant-après un rapprochement intime, aide à clarifier.
Troisième règle (souvent négligée) : informez votre partenaire, s’il ou elle est prêt·e à entendre. Vous n’êtes pas obligée de “rendre des comptes”, mais verbaliser évite les malentendus. Beaucoup de partenaires vivent mal ce rejet, le prennent pour eux (“Elle ne m’aime plus”, “Je ne suis pas désirable”) et multiplient, sans le vouloir, les maladresses. Un dialogue, même maladroit, vaut toutes les devinettes.
Conseils pratiques : essayez la relaxation, la respiration profonde, un bon bain chaud avant, ce que vous voulez. Réduisez la pression du “résultat” : donnez-vous le droit de stopper, de ne pas aller jusqu’au bout, de préférer le plaisir sans pénétration. Beaucoup de couples découvrent, dans ce contexte, d’autres formes de sensualité et d’éveil. Ce n’est pas “moins bien”, c’est juste différent.
A éviter absolument : les lubrifiants irritants (certains sont agressifs), l’automédication à base d’alcool (faux ami) ou encore les vidéos pornos ultra-performantes (elles aggravent parfois le sentiment de “ne jamais être à la hauteur”). Votre rythme, c’est le bon.
Evitez aussi de consulter à la chaîne sans confiance. Si le premier professionnel ne vous convient pas, changez (médecin traitant, gynécologue, sexologue). L’important, c’est la qualité de l’écoute, pas le diplôme sur le mur.
Enfin, sachez que rien ne sert de vous comparer. Les réseaux sociaux pullulent de récits de sexualités “idéales”. La réalité, c’est que des milliers de femmes, chaque jour, se débattent avec cette peur. Ce n’est pas une question de volonté, ni d’amour.
Un jour, peut-être, vous oserez franchir ce cap – ou du moins, avancer d’un pas. Et ce sera déjà beaucoup. Parce que la sexualité, ce n’est pas “réussir” un exploit, mais créer, petit à petit, un espace où le plaisir et la sécurité cohabitent.
Si vous ressentez le besoin d’en parler à un professionnel aux alentours de Liège, pensez à la consultation en sexologie. Croyez-le ou non : le simple fait de faire le premier pas allège, souvent, le poids de la peur.
Et si la clé, c’était juste de s’offrir le luxe d’être comprise, écoutée… sans jugement ?
On pense souvent, à tort, que la peur de la pénétration n’impacte “que soi”. Mais le couple, lui aussi, vacille à bas bruit. Le non-dit crée du silence, parfois une colère rentrée, parfois de la tristesse ou de la jalousie, parfois même une incompréhension profonde. Combien de femmes racontent “Je sais qu’il m’aime, mais il ne comprend pas. Il voudrait que ça file droit.” Ou, côté homme : “J’ai peur de la blesser, alors je n’ose plus rien proposer.”
La consultation de couple en sexologie existe précisément pour ça : aider à renouer le dialogue, à désamorcer les peurs croisées, et à trouver un nouvel équilibre. Il ne s’agit jamais de “désigner un coupable”. Il s’agit, au contraire, de sortir de la recherche de la “faute”, pour travailler sur l’accueil des émotions de chacun.
Prendre le temps de partager ses doutes (“Et si jamais rien ne changeait ?”, “Est-ce qu’il/elle va me quitter ?”), ses colères (“J’en ai marre de toujours faire semblant”) permet souvent d’apaiser. Dans ce contexte, la sexologue sert parfois de “passeur”, de traductrice des émotions. Le couple retrouve alors, peu à peu, le chemin d’une sexualité créative, non réduite à la pénétration. Le plaisir réinventé… ça existe, croyez-le.
Parfois, l’aide extérieure ne fait pas tout d’un coup. Mais le fait d’oser ouvrir la porte change la dynamique. Chacun comprend l’autre, prend du recul, réinvestit l’intimité différemment. Et parfois, le rapport à la pénétration change, non pas sous la contrainte, mais par envie réelle.
Bien sûr, ça demande de la patience. Cela suppose aussi d’accepter les moments de doute, voire les tensions. Mais, la majorité des couples accompagnés en sexologie repartent avec de nouvelles clés, et surtout, la conviction de ne plus être seuls face au problème.
Pour approfondir ce volet, découvrez : Rendez-vous en sexologie et thérapie de couple et communication sexuelle dans le couple à Liège
Au fond, la sexualité à deux n’est jamais “fixée”. C’est un jardin à cultiver. Même en cas de peur, même en cas de blocage, on peut, ensemble, inventer de nouvelles façons d’être bien. Le plus dur est parfois de commencer la conversation.
Peur de la pénétration ? Ce n’est pas la fin du désir, ni la fin du couple. Le jour où la sexualité n’est plus “imposée”, mais choisie, le désir retrouve doucement sa place. Parler, c’est déjà s’autoriser à rouvrir la porte.
N’oubliez jamais : personne ne réussit “par miracle”. Chacun avance à son rythme.
Comment savoir si ma peur de la pénétration nécessite une consultation en sexologie ?
Si cette peur provoque de l’anxiété régulière, empêche vos rapports ou altère la qualité de votre vie sexuelle ou de couple, il est recommandé de consulter. La sexologue aide à mettre des mots sur votre ressenti, à comprendre l’origine du blocage et à vous proposer une prise en charge respectueuse.
Pourquoi n’arrive-t-on pas à “se détendre” tout simplement ?
Parce que le blocage n’est pas qu’une question de volonté ou de relaxation : il s’agit souvent d’un ensemble de facteurs psychologiques, corporels et émotionnels mêlés. Vouloir se détendre à tout prix met plus de pression et aggrave souvent la panique du corps.
Quand faut-il consulter une sexologue ?
Dès que la peur de la pénétration devient handicapante dans votre quotidien, que ce soit à titre individuel ou pour le couple, n’attendez pas : la consultation peut éviter l’isolement et amorcer le changement, même si ce n’est que pour “essayer”.
Faut-il toujours venir en couple pour une sexothérapie liée à la pénétration ?
Non, la démarche peut être individuelle ou en couple, selon votre histoire et votre envie d’avancer. Parfois le chemin commence seule, parfois à deux : la sexologue saura s’adapter à votre situation.
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Gindi, R. M., et al., “Prevalence and correlates of pain during intercourse: United States, 2011–2015”, JAMA, 2017. Étude américaine sur la prévalence et les déterminants psychosociaux et physiques de la douleur à la pénétration.
Brotto, L. A., et al. “A brief mindfulness-based cognitive behavioral intervention improves sexual functioning in women with provoked vestibulodynia: Results of a randomized controlled trial”, The Journal of Sexual Medicine, 2012. Démonstration de l’efficacité des thérapies adaptées à la peur de la pénétration.
Nunns, D., et al., “Guideline for the management of vulvodynia”, British Journal of Dermatology, 2010. Consensus sur la gestion globale (biopsychosociale) des troubles sexuels féminins douloureux.
Khandheria, M. T., & Hensel, D. J., “The impact of sexual dysfunctions on relationships: Individual, partner, and couple perspectives”, Current Sexual Health Reports, 2021. Revue sur le retentissement relationnel et émotionnel des troubles liés à la pénétration.