Sexologue – Mme Sabrina Bauwens
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0474 10 90 33
La ménopause. Pour de nombreuses femmes, ce mot sonne comme un carrefour. Il évoque la fin d’un chapitre, parfois la peur du vide, souvent son lot d’incertitudes. À Liège et partout en Belgique, ce moment de vie chamboule tout, jusqu’à l’intimité la plus profonde. Perte du désir, douleurs pendant l’amour, image de soi, anxiété vis-à-vis du couple… La question revient en boucle dans les consultations : “Retrouverai-je du plaisir ? Ma sexualité a-t-elle encore sa place ?”. Pourtant, il existe des solutions, et la rencontre avec un(e) sexologue spécialiste de la ménopause peut changer la donne. Prête à faire le point sur votre intimité ? Alors plongez dans cet article : il est fait pour vous, mais aussi pour celles que vous accompagnez ou soutenez dans ce cap parfois tempétueux.
Arrêtons-nous un instant. Savez-vous quand débute “vraiment” la ménopause ? Ce n’est pas juste la dernière règle. C’est un long voyage, débutant parfois à la quarantaine, avec son cortège de symptômes. Bouffées de chaleur, troubles du sommeil, irrégularité des cycles. Mais il y en a d’autres, plus discrets, plus intimes : baisse de la libido, sécheresse vaginale, diminution de la sensibilité. On n’en parle pas. Ou si peu.
Or, la sexualité des femmes ménopausées n’est pas vouée à s’effacer. Il serait injuste, et surtout faux, de penser “c’est normal, c’est l’âge”. Ces transformations hormonales – surtout la chute des œstrogènes – influencent la physiologie sexuelle de différentes manières :
Les études récentes soulignent un point essentiel : la ménopause impacte la sexualité, mais chaque femme la vit différemment. Certaines n’ont qu’une gêne passagère, d’autres traversent des mois difficiles. Parfois, l’absence d’informations aggrave inutilement la situation. À Liège, beaucoup consultent tardivement, faute d’avoir été informées.
Souvent, les femmes n’osent pas parler de ces troubles à leur médecin ou à leur gynécologue. Honte, tabous, impression que “c’est écrit quelque part qu’il faut faire avec”. Arrêtons ce gâchis silencieux. La sexologie a beaucoup évolué : des consultations ciblées existent, des stratégies sont recommandées, le couple peut aussi être inclus dans la démarche.
Et vous, où en êtes-vous ? Vous sentez-vous écoutée, comprise, soutenue ? Peut-être pas. Mais il n’est jamais trop tard. Avec l’aide d’un(e) professionnel(le) spécialisé(e) en ménopause et sexualité, comme Sabrina Bauwens, sexologue à Esneux, un accompagnement bienveillant s’ouvre à vous.
Petite anecdote, pour dédramatiser. Yvette, 54 ans, confiait lors d’une consultation : “Mon mari me taquine sur mes ‘vagues de chaleur’. Mais ce qui m’inquiète, c’est de ne plus rien ressentir. Je me disais que tout était fini… Jusqu’à ce qu’une amie me parle d’une sexologue.J’avais presque oublié ce que signifiait ‘prendre soin de soi’ dans ce domaine. Maintenant, je revis un chapitre inédit de ma vie de femme.”
Loin d’être une fin, la ménopause peut devenir une transition féconde. Mais, pour cela, il faut dépasser l’isolement, trouver les bons mots, et s’entourer des bons professionnels.
Vous hésitez à franchir le pas ? Peut-être craignez-vous de ne pas être comprise, ou de tomber sur un médecin “technique”, peu attentif à votre vécu. Heureusement, une nouvelle génération de sexologues place l’écoute et la personnalisation au cœur de la démarche, notamment pour accompagner la ménopause. Mais à quoi ressemble un rendez-vous avec une sexologue à Liège pour ces questions-là ? Faites tomber les idées reçues : il ne s’agit ni de jugements, ni de généralités, ni d’« exercices embarrassants » imposés d’emblée. C’est d’abord un espace d’écoute où chaque vécu est unique.
C’est souvent en toute simplicité. Vous arrivez avec ce que vous ressentez : vos doutes, vos peurs, vos questionnements, parfois vos colères aussi. La sexologue vous aide à démêler :
Un bon sexologue fait parfois office de miroir : il reflète ce qui, en vous, mérite d’être entendu et reconnu. Il adapte les conseils selon votre réalité. Toutes les solutions sont envisagées, jamais imposées. Parfois, un traitement médical très simple suffit ; d’autres fois, des petits exercices à la maison, des lectures, ou encore des séances de thérapie de couple. Le dialogue, c’est la clé.
Sur le plan concret, voici à quoi ressemble une consultation pour une femme en période de ménopause :
Le grand changement ? Ce n’est plus vous qui vous adaptez à la “norme”, mais la prise en charge qui s’adapte à votre singularité. À Liège et aux alentours de Liège, les professionnels expérimentés comme Sabrina Bauwens ont l’habitude : chaque femme repart avec une compréhension nouvelle de son corps et de ses désirs.
L’approche est aussi globale que possible. On parle médecine, certes, mais aussi émotions, confiance en soi, souvenirs du passé, attentes du futur. Certains thèmes sont parfois surprenants pour les patientes : “J’ignorais que parler de ma première fois avait un lien avec mes douleurs d’aujourd’hui !”, s’étonnait une cliente l’an dernier.
Le saviez-vous ? Selon une large enquête européenne, près de 60% des Européennes en période de ménopause s’estimaient “pas ou mal informées” sur les impacts sexuels. Pourtant, seulement 1 femme sur 10 ose en parler spontanément à son médecin. Alors, pourquoi attendre ? Un rendez-vous peut suffire à débloquer la situation, ou au moins à ouvrir de nouvelles pistes de réflexion.
Pour approfondir ces aspects, vous pouvez aussi lire cet article consacré à la thérapie de couple en sexologie, publié sur le site Esneux Medical. Il aborde concrètement comment reprendre confiance à deux et surmonter les différences de rythme ou de désir au sein du couple, en particulier après 50 ans.
Le plus important, c’est de ne pas rester seule avec ses questions. La sexualité après la ménopause n’est pas un tabou : c’est un terrain à explorer, parfois à redessiner.
Vous avez tout essayé ? Lubrifiants du commerce, discussions embarrassées, même la recherche en ligne de “remèdes naturels pour retrouver le désir”. Rien n’a marché vraiment ? Rassurez-vous : il existe beaucoup de solutions, parfois très simples, parfois un peu plus techniques mais toujours accessibles. L’important, c’est que chaque femme trouve ce qui lui correspond – il n’y a aucune méthode universelle. Le chemin se construit pas à pas.
Voici quelques exemples de ce que propose une sexologue expérimentée à Liège :
Petit chiffre parlé : saviez-vous que plus de 70% des femmes qui utilisent régulièrement des hydratants vaginaux notent une nette amélioration de leur confort sexuel au bout de deux à trois semaines ? Une mesure toute simple peut parfois sauver un couple !
Il faut aussi écouter la “musique intérieure” de votre désir : d’où vient-il, comment évolue-t-il, selon vos émotions, votre stress, vos bonheurs ? Parfois les causes du blocage ne sont pas que biologiques : fatigue, soucis familiaux, atmosphère à la maison. La sexologue aide à remettre tout à plat, à comprendre, à reconstruire peu à peu un équilibre. C’est comme réaccorder un instrument, jusqu’à ce que la mélodie reprenne ses couleurs.
Parfois, il arrive aussi que la baisse de désir masque d’autres souffrances : pression au travail, dépression naissante, sentiment d’isolement après le départ des enfants… La démarche sexologique propose alors un regard “global”, pas seulement focalisé sur l’organe génital. On prend soin de tout l’ensemble, pour que le désir se réveille là où il dort.
Sexologue – Mme Sabrina Bauwens
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0474 10 90 33
Un conseil souvent oublié : la patience. Quand on a souffert des mois ou des années, il faut accepter que la rééducation de la sexualité prenne du temps. Mais chaque petite victoire compte : regagner une minute de plaisir, ne plus ressentir de douleur, oser regarder son corps avec tendresse, retrouver le rire à deux dans la chambre à coucher… Tous ces signes sont de vrais progrès, même s’ils semblent minuscules.
Pour celles qui souhaitent aller plus loin dans la démarche, cet exemple sur les mythes et réalités autour du point G remet en question beaucoup d’idées reçues sur la sexualité féminine après 50 ans. Un texte à consulter pour balayer les complexes et dédramatiser : chaque femme a sa propre façon de “fonctionner”, et il n’y a jamais d’âge pour explorer ses sensations (ni pour changer d’avis sur le plaisir !).
Si vous vous sentez concernée par certains symptômes, ou tout simplement curieuse de mieux comprendre votre situation, vous pouvez consulter ce dossier sur l’anorgasmie féminine publié sur consultations-liege.be. Il détaille les causes fréquentes et propose des pistes concrètes pour retrouver l’orgasme, même après des années de difficultés.
On ne le dit jamais assez : la sexualité à la ménopause, ce n’est pas un problème à réparer, mais une histoire à réinventer. Les couples heureux le savent parfois d’instinct. Ils apprennent à cultiver un nouveau plaisir, fait de tendresse, de lenteur, d’écoute de soi et de l’autre. La précipitation, la pression de “faire plaisir à tout prix” n’a plus sa place.
Ainsi, beaucoup découvrent des émotions insoupçonnées. On ose plus facilement parler de ses envies, on se libère d’une certaine pudeur. Les échanges deviennent moins compétitifs, moins axés sur la performance et plus sur la recherche du bien-être partagé. Il n’est pas rare d’entendre en thérapie : “Pour la première fois, j’ai senti que mon compagnon cherchait vraiment à me comprendre, pas juste à aller vite. Cela a tout changé.”
Renouveler la vie sexuelle, c’est aussi oser s’autoriser : achats ludiques, lecture à deux d’un livre érotique, massages sensuels, discussions sur ce qui plaît et ce qui ne plaît plus. La créativité est une alliée précieuse. Plus question de rester figée dans les anciens schémas : on expérimente, on rit, on se surprend soi-même. Les conseils d’une sexologue sont faits aussi pour ça : rassurer, encourager, donner des idées.
Il ne faut pas hésiter, enfin, à consulter en couple. Parfois, les partenaires ont des inquiétudes qu’ils taisent : peur de blesser, peur d’être “moins désirable”, peur de ne plus satisfaire. Or, un simple entretien avec une sexologue à Liège peut lever beaucoup de malentendus : “Je n’osais pas lui dire que j’avais mal, je faisais comme si tout allait bien”, raconte une patiente. “Aujourd’hui, je sais que je peux parler, et il comprend.”
L’explication scientifique : le cerveau sexuel évolue avec le temps. Avec la ménopause, il s’adapte, il apprend à fonctionner autrement. Cela n’enlève rien à la capacité d’aimer, ni à la joie d’être touchée, ni au fantasme. Le désir change de manière de se manifester, mais il ne disparaît pas à moins de s’éteindre par résignation. La bonne nouvelle, c’est que le désir se réveille souvent dès qu’on lui redonne la parole, dans un contexte bienveillant et sans pression.
Pour aller plus loin sur la communication sexuelle dans le couple et renforcer la complicité, cette page de conseils pratiques offre des pistes très concrètes pour recréer de la confiance, apprendre à dire “j’aime” ou “je n’aime pas”, sans juge ni crainte de blesser l’autre.
Dernier conseil de sexothérapeute : la sexualité post-ménopause n’a rien d’obligatoire ! Ce qui compte, c’est la liberté de choisir. Il n’existe aucune norme, aucun “devoir conjugal”. Beaucoup de femmes, une fois entendues en consultation, décident simplement de s’accorder un vrai temps de pause, sans culpabilité, avant d’accueillir la libido si elle revient. Un chemin déculpabilisant, libérateur. L’essentiel, c’est le respect de soi et des propres besoins – c’est la base de toute relation équilibrée, avec soi ou avec l’autre.
Comment aborder la sexualité avec son médecin ou sa sexologue quand on traverse la ménopause ?
Commencez par exprimer simplement vos sentiments, sans tabou ni gêne, lors de la consultation. La plupart des soignants sont aujourd’hui formés à l’écoute bienveillante et savent orienter vers la prise en charge la plus adaptée. N’ayez pas peur de mentionner tout symptôme ou question, même si cela semble “anodin”.
Pourquoi la sécheresse vaginale apparaît-elle à la ménopause, et peut-on la traiter efficacement ?
La sécheresse provient principalement de la chute des œstrogènes, qui diminue la lubrification naturelle du vagin. Heureusement, il existe des traitements locaux, des soins hydratants et des lubrifiants performants qui apportent rapidement un soulagement et permettent de retrouver une sexualité confortable.
Faut-il consulter une sexologue en cas de baisse du désir ou de douleurs lors des rapports après 50 ans ?
Oui, un accompagnement professionnel permet d’identifier précisément les causes (hormonales, psychologiques, relationnelles) et de trouver des solutions sur-mesure. Il n’y a aucune honte à consulter, la ménopause se travaille souvent mieux en équipe avec les bonnes personnes.
Quand la sexualité après la ménopause retrouve-t-elle un équilibre satisfaisant ?
L’équilibre varie selon chaque femme : parfois après quelques semaines d’adaptation, parfois cela demande plusieurs mois. Avec un accompagnement personnalisé, il est possible de retrouver du plaisir et une belle complicité à tout âge.
1. Graziottin, A. "Menopause and sexuality: key issues in premature menopause and beyond", *Endocrine*, 2019.
Résumé : L’article décrit l’impact de la ménopause naturelle et prématurée sur la sexualité et l’importance des traitements personnalisés.
2. Parish, S.J., & Cretella, L.M. "Sexual Medicine for the Menopausal Woman: Sexual Function, Dysfunction, and Therapeutic Options", *Obstetrics & Gynecology Clinics*, 2015.
Résumé : Cette revue propose une synthèse claire sur les troubles sexuels liés à la ménopause et les thérapies associées.
3. Kingsberg, S.A., & Woodard, T. "Female Sexual Dysfunction: Focus on Low Desire", *Obstetrics and Gynecology*, 2015.
Résumé : L’étude met en lumière les causes, symptômes et traitements de la baisse de désir sexuel chez les femmes, notamment après la ménopause.
4. Wierman, M.E., et al. "Sexual function and hormone therapy in postmenopausal women", *Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism*, 2010.
Résumé : Analyse détaillée des liens entre hormones, traitements, et qualité de la vie intime après la ménopause.