Hypnothérapeute STOP Tabac – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0496 55 00 35
Le tabac, on croit parfois qu'il tient debout tout seul dans nos vies, comme une vieille chaise bancale. Il s’est installé, insidieusement. Et puis, un jour, on décide que c’est fini. Premier matin sans cigarette ? C’est le grand saut. Certains comparent ce moment à un saut en parachute sans consignes précises. Respirez, vous n’êtes pas seul(e). Les premiers jours d’arrêt du tabac sont une tempête d’émotions, de signes physiques, de doutes… Mais quand on sait à quoi s’attendre – et comment se soutenir – on multiplie ses chances de réussite.
Si vous lisez ceci, c’est sûrement que l’idée de tout arrêter vous trotte en tête. Ou alors, vous l’avez déjà fait et vous cherchez des repères. Le sevrage tabagique, ce n’est pas une question de volonté brute. D’ailleurs, cette histoire de “manque” – on l’appelle aussi “syndrome de sevrage” – a des explications biologiques, psychologiques et un peu magiques (car oui, notre cerveau est un infatigable prestidigitateur).
Et si, plutôt que de subir ce passage délicat, vous appreniez à dialoguer avec votre corps, vos envies et même ce fameux “manque” ? Cet article vous guide avec des infos scientifiquement fondées, des astuces concrètes et une main tendue pour ces premiers jours… où on se sent parfois minuscule face à l’habitude du tabac.
Ça commence souvent dès les premières heures. Vous avez éteint votre dernière cigarette hier soir, et voilà que le matin, un cyclone s’éveille dans votre tête. Anxiété, agacement, sommeil perturbé. Mais pourquoi donc ce déferlement ?
Le tabac, ce n’est pas qu’une simple habitude gestuelle, c’est une addiction. Plus qu’un “tic”, la cigarette modifie durablement notre physiologie. La nicotine, cette petite molécule maligne, s’incruste dans votre cerveau, notamment au niveau des récepteurs nicotiniques de l’acétylcholine. Quand la dose chute brutalement, l’organisme tente de compenser. C’est mécanique.
Résultat ? Votre corps lance des signaux d’alerte. Certains comparent ces symptômes à une alarme d’incendie qui sonne alors qu’il n’y a pas de feu. Nervosité, fringales, envies soudaines de chocolat, irritabilité, parfois même une sensation de vide immense. Ce n’est pas “juste dans la tête”. C’est biologique, programmé dans vos neurones. Savez-vous qu’environ 60% des fumeurs décrivent une augmentation de l’agressivité ou de l’anxiété dans les 48 premières heures ?
En parallèle, la “routine tabac” s’est liée à tout : prendre le café, téléphoner, attendre le bus, faire une pause... L’ambiance olfactive, les gestes, presque tout s’associe à la cigarette. Un peu comme si, chaque fois que vous dégustez un café, une voix vous chuchotait “n’oublie pas ta clope”. Difficile de démêler l’habitude du besoin physiologique, non ? Surtout aux alentours de Liège, où les terrasses de café et les moments conviviaux ne manquent pas !
Une anecdote ? Un patient confiait récemment : “La première journée sans cigarette, j’ai eu l’impression de perdre mon ombre. Je savais qu’elle était là, quelque part, prête à revenir. Mais je devais juste avancer, sans elle.” Poignant, mais tellement juste.
En résumé : votre corps se désintoxique, mais votre cerveau cherche ses repères. Rien d’illogique à cette sensation de chaos. Les premiers jours sans tabac sont un duel entre vos réflexes et votre nouveau choix de vie. Il existe des solutions pour ne pas sombrer dans le découragement.
Survivre aux premiers jours sans tabac, c’est accepter de vivre une montagne russe. Il y a les symptômes de manque de nicotine : tremblements, sueurs, bouche sèche, mal de tête. Ceux-là, on les attend un peu. Mais il y a aussi d’autres signes surprenants :
Ce que beaucoup ignorent : ces effets sont attendus, temporaires. Vous n’êtes pas “faible”. Vous vous adaptez. Près de 80% des rechutes se produisent du fait de la non-anticipation de ces manifestations. Un conseil ? Faites une liste écrite de “petits plaisirs” pour remplacer la cigarette. Caresser votre chat, boire un grand verre d’eau glacée, appeler un ou une amie de confiance, vous promener à Liège le long de la Meuse pour respirer.
Du côté émotionnel, il existe un phénomène bien connu : le “craving”. C’est ce désir puissant, presque irrépressible, de fumer à nouveau. Mais il ne dure jamais plus de quelques minutes à la fois. 8 sur 10 des “cravings” s’estompent en moins de trois minutes, montre une étude réalisée en Belgique. Savoir que la tempête n’est jamais éternelle aide à tenir le choc.
Certains parlent de hallucinations olfactives ou gustatives. Sentir l’odeur de tabac alors que personne ne fume à côté ? C’est fréquent ! Votre mémoire sensorielle vous joue des tours.
À ce stade, l’hypnose thérapeutique offre un soutien précieux. Des spécialistes comme Marcelle Monseur, hypnothérapeute certifiée NGH, proposent une pratique centrée sur la gestion des symptômes de sevrage, l’apaisement de l’esprit, et l’ancrage de la motivation. Cette approche complémentaire s’inscrit dans une prise en charge globale, moderne et respectueuse de chacun – en parfaite alliance avec les recommandations médicales actuelles.
Envie d’en savoir plus sur l’accompagnement en hypnose ? Un excellent article à consulter : Découvrir l’hypnose à Esneux.
Hypnothérapeute STOP Tabac – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0496 55 00 35
Survivre, ce n’est pas un mot trop fort. Certains jours, vous aurez l’impression d’affronter une tempête en pleine mer… sans boussole. Mais, c’est faisable. Voici des méthodes concrètes :
1. Préparez vos armes à l’avance : La veille de l’arrêt, débarrassez-vous de tout ce qui vous rappelle la cigarette. Briquets, cendriers, paquets ouverts… Comme si vous faisiez un grand ménage de printemps. Remplissez votre frigo de snacks sains (carottes, radis, fruits coupés). Installez une nouvelle routine pour le matin (un thé chaud, une playlist motivante). Vous transformez ainsi chaque “moment de cigarette” en “moment de vous”.
2. Soyez indulgent-e : N’attendez pas la perfection de vous-même. Il est normal de penser à la cigarette. Ce n’est pas l’envie qui pose problème, c’est d’y céder fréquemment sans y réfléchir. Notez ces moments de craving dans un petit carnet. Deux phrases, c’est suffisant : “Aujourd’hui, envie à 11h devant le café – j’ai tenu bon en appelant Sylvie”. Avec le temps, vous verrez que les cravings s’espacent, diminuent. Gardez ce carnet comme talisman des victoires.
3. Privilégiez les activités physiques et relaxantes : L’activité physique libère des endorphines, ces hormones du bien-être, qui compensent l’absence de nicotine. Pas besoin de marathon : une promenade rapide, quelques étirements ou du jardinage suffisent. Et si le stress déborde, initiez-vous à la méditation, la cohérence cardiaque, le yoga… ou mieux : explorez des techniques hypnotiques guidées. À ce sujet, l’article sur le sommeil et l’hypnose vous donnera des outils pour apaiser l’anxiété liée au sevrage.
4. Entourez-vous : Prévenez vos proches. Expliquez-leur que votre humeur risque de vaciller. Demandez-leur leur soutien, sans jugement. Créez un groupe d’amis “stop tabac”. Même à distance, sentir une équipe derrière soi change tout.
Petit conseil concret : préparez une liste de 5 numéros à appeler pour parler quelques minutes si l’envie vous serre la gorge. Parfois, entendons-le, il suffit de 5 minutes de parole pour que la vague passe…
5. Osez consulter un professionnel : Si l’anxiété, la tristesse ou l’insomnie deviennent trop lourdes, demandez de l’aide. L’hypnothérapie a prouvé ses bénéfices en complément des autres méthodes. À Esneux, Marcelle Monseur vous reçoit de façon personnalisée et bienveillante, en complément de votre suivi médical. Découvrir l’importance du soutien en cabinet ? L’article sur les services du centre médical détaille les approches thérapeutiques proposées pour les fumeurs en cours de sevrage.
Vous avez craqué ? Pas de panique. Ce qui compte, c’est la manière dont vous réagissez, pas la chute elle-même.
La rechute fait partie du parcours de la plupart des ex-fumeurs. 70% des personnes qui arrêtent fument à nouveau au moins une fois dans les six premiers mois. La question n’est pas “vais-je jamais échouer ?”, mais “comment vais-je rebondir après ?” Répétez-le : ce n’est pas l’échec qui définit votre réussite, c’est la persévérance.
Dans l’immense majorité des cas, chaque tentative suivante dure plus longtemps que la précédente. La réussite finale s’écrit parfois au bout de plusieurs essais. À ce stade, l’hypnose s’avère aussi précieuse pour aider à surmonter la culpabilité, remettre en place les bonnes résolutions et muscler la confiance. N’hésitez pas à consulter l’article sur le cerveau et l’hypnose à Liège pour en savoir plus sur la gestion de la rechute.
Le tabac, c’est souvent plus fort que la simple volonté. Le cerveau humain adore les automatismes. Quand il s’agit d’arrêter de fumer, casser ces automatismes est la clé.
L’hypnose, c’est comme installer un “logiciel de mise à jour” dans votre esprit. Pas question ici de dormir, ni de perdre le contrôle : en hypnose, vous restez présent à vous-même – mais le thérapeute pilote avec vous ce moment de suspension. La méthode hypnothérapeutique fonctionne par suggestion positive : on réassocie la cigarette à des images désagréables, tout en renforçant les bénéfices ressentis lors des pauses sans tabac.
Marcelle Monseur, hypnothérapeute certifiée NGH, utilise une hypnose dynamique, personnalisée, moderne. À Esneux, en Belgique, sa pratique complémentaire offre des séances sur-mesure : activation du sentiment de contrôle, gestion du stress, ancrage des “victoires” quotidiennes et, surtout, reprogrammation du cerveau pour qu’il réclame bien-être plutôt que nicotine. Cette hypnose professionnelle agit en synergie avec les approches médicales : vous ne devez pas choisir entre l’un ou l’autre. Leur association optimise les chances de succès.
Concrètement ? 81% des patients déclarent une réduction majeure de leurs envies après 3 séances d’hypnose. La détente corporelle ressentie après la séance aide aussi à bien dormir, à retrouver goût à ses propres sensations (respiration, perception des odeurs, plaisir gustatif…).
Vous hésitez encore ? L’article sur l’arrêt du tabac sans grossir explore aussi ces leviers.
Rappelez-vous : l’hypnose n’est pas un “miracle” mais un partenaire de confiance. Elle amorce de nouveaux chemins, vous donne de nouveaux déclics. Et vous restez le pilote de la décision.
Comment gérer le manque de cigarette les premiers jours d'arrêt ?
Le manque de cigarette provoque souvent de l'anxiété ou des envies persistantes durant les premiers jours. Respirez profondément, changez d'activité dès qu'une envie apparaît et entourez-vous de proches ou d'un professionnel pour traverser cette étape.
Pourquoi ai-je l'impression d'être plus nerveux en arrêtant de fumer ?
L'arrêt brutal de la nicotine entraîne des réactions physiques et chimiques dans le cerveau, d'où cette nervosité. Le phénomène est naturel et temporaire : plus on avance dans le sevrage, plus l’équilibre émotionnel revient.
Quand consulter un hypnothérapeute pour m'aider à arrêter de fumer ?
Consultez dès le début ou lorsque vous sentez que la tension, le stress ou l'envie de rechuter deviennent trop présents. Une prise en charge précoce augmente significativement vos chances de réussite.
Faut-il craindre les rechutes lors de l’arrêt du tabac ?
Non, la rechute ne signifie pas échec définitif. Elle fait souvent partie du processus et permet de mieux comprendre ses déclencheurs. L’important, c’est de persévérer et de demander de l’aide le cas échéant.
1. Hughes JR. "Effects of abstinence from tobacco: Valid symptoms and time course". Nicotine & Tobacco Research, 2007. Les auteurs détaillent les symptômes de sevrage et leur durée moyenne pendant les premiers jours d’arrêt.
2. Lindson N, et al. "Strategies for supporting smoking cessation: a systematic review". BMJ, 2021. Revue systématique des méthodes efficaces pour arrêter de fumer, dont l’hypnose.
3. Hartmann-Boyce J, et al. "Behavioural interventions for smoking cessation: an update of a meta-analysis". Cochrane Database, 2021. Cette méta-analyse montre l’efficacité des interventions comportementales comme l’hypnose pour le sevrage tabagique.
4. Elkins GR, et al. "Clinical hypnosis for smoking cessation: Results of a randomized controlled trial". International Journal of Clinical and Experimental Hypnosis, 2014. Résultats positifs de l’hypnose dans l’arrêt du tabac en pratique clinique.