AUDIKA Appareils Auditifs – proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 04 268 18 67
Imaginez la scène : vous rentrez chez des amis ou de la famille pour une soirée tranquille. Rapidement, la télévision occupe la pièce, et le volume grimpe si haut qu’il devient difficile de discuter. Souvent, une personne malentendante s’en défend : « C’est la télé qui parle bas ! ». Mais pour beaucoup d'autres, le niveau sonore devient un supplice. Ce phénomène, anodin en apparence, cache un problème bien réel : la difficulté à entendre mène souvent à augmenter inconsciemment le son du téléviseur. Ce comportement gêne l’entourage, déclenche des conflits familiaux, voire pousse certains à l’isolement. Signe typique de perte auditive, ce symptôme conduit chaque année de nombreux patients à consulter un audioprothésiste, notamment aux alentours de Liège.
Ce comportement est en réalité une alerte parmi d’autres. Il témoigne de la manière dont une baisse d’audition peut s’installer, impacter la vie quotidienne et progressivement affecter la qualité relationnelle. Derrière ce geste souvent banalisé de « mettre le son plus fort », se cache tout le parcours vers une solution auditive adaptée. Or, il existe désormais des réponses innovantes, scientifiques et personnalisées pour retrouver une meilleure écoute sans gêner les autres. C’est ce que nous vous proposons d’explorer dans cet article approfondi, centré sur la science et l’expérience humaine de ce problème fréquent.
La perte auditive, en particulier liée à l’âge (presbyacousie), touche près d’une personne sur trois après 65 ans en Belgique. Beaucoup n’en prennent conscience qu’au fil du temps, lorsque les proches remarquent que la télévision est « beaucoup trop forte » alors que la personne concernée ne ressent aucune gêne. Pourquoi ?
Lorsque l’oreille perçoit moins bien, le cerveau reçoit un signal atténué. Pour compenser – souvent sans s’en rendre compte – la personne augmente le volume. La télévision devient alors un baromètre familial : si plusieurs personnes dans une même pièce se plaignent du bruit alors qu’une seule ne l’entend pas assez, c’est un indice clé d’une possible déficience auditive.
Plusieurs motifs de consultation sont directement liés à ce constat : désaccords récurrents dans le couple, conflits parent-enfant, ou tout simplement peur de déranger ses voisins – notamment dans des appartements à Liège ou ailleurs en Belgique. Ce « symptôme télévisuel », loin d’être anodin, a donc une portée sociale et médicale importante.
Augmenter le volume de la télévision de façon excessive ne relève pas que d’une fâcheuse habitude. La littérature scientifique abonde d’études démontrant les effets indésirables de la perte auditive non corrigée : fatigue cognitive, repli sur soi, anxiété sociale, voire déclin cognitif chez les personnes âgées (cf. preuves scientifiques sur le déclin cognitif).
Le quotidien se transforme alors : besoins de sous-titrage, difficulté à suivre une conversation dans le bruit, dépendance à la télécommande, perte progressive du plaisir à regarder la télévision en famille. À la longue, nombre de malentendants diminuent leurs interactions et s’isolent (voir « Isolement silencieux » sur consultations-liege.be).
La perception auditive dans le bruit subit particulièrement les effets d’une baisse d’audition. Or, la télévision combine le langage parlé, une musique de fond, parfois des effets sonores ; elle se situe donc dans une gamme de fréquences que l’oreille peut perdre en premier (fréquences aiguës). De plus, dans les familles, chacun n’occupe pas la même distance de l’écran : le malentendant s’en éloigne rarement, mais petit à petit, il augmente le son pour compenser la perte.
Ce phénomène a été documenté chez les personnes âgées et chez celles souffrant de surdité partielle, qui sous-estiment souvent leurs difficultés auditives. C’est notamment pour mieux comprendre ces situations que la recherche universitaire a développé des protocoles de test spécialisés sur l’écoute de la télévision comme indicateur d’une surdité débutante.
Si cette situation vous évoque quelque chose, sachez que ce n’est pas une fatalité : les progrès de la correction auditive permettent aujourd’hui d’y remédier discrètement et efficacement.
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Face à une plainte aussi fréquente que « la télé est trop forte », la première étape consiste à réaliser un test auditif rigoureux, soit chez un ORL, soit chez un audioprothésiste compétent. Ces examens permettent de quantifier précisément les fréquences touchées, la compréhension dans le silence et dans le bruit (rôle vital des appareils auditifs). Pour en savoir plus sur la démarche de test, l’article comment tester mon acuité auditive détaille les étapes.
Une fois la déficience confirmée, la pose d’un appareil auditif est indiquée. Les modèles actuels offrent des bénéfices majeurs pour la télévision :
Un utilisateur équipé d’un appareil moderne retrouve le plaisir d’écouter la télévision « à un volume normal », sans créer d’inconfort chez ses proches. La confidentialité est préservée, la vie familiale harmonisée, et le sentiment d’isolement diminue.
Certaines personnes ne souhaitent pas nécessairement porter un appareil auditif toute la journée, mais souhaitent profiter d’options pour la télévision. Il existe désormais des systèmes de transmission sans fil, adaptables sur les appareils auditifs récents : boîtiers TV streamer, boucle magnétique, casque infrarouge. Ces accessoires projettent le son directement vers les prothèses, personnalisant le volume sans déranger l’entourage.
En Belgique, de nombreux audioprothésistes proposent l’essai gratuit de ces solutions pendant plusieurs semaines. Un suivi personnalisé permet d’affiner les réglages : amplification de la parole, neutralisation des bruits gênants ou ajustement automatique selon l’émission visionnée.
Admettre qu’on entend moins bien n’est pas toujours évident. En moyenne, il faut sept ans entre les premiers symptômes et la première consultation. L’un des freins majeurs reste la peur du jugement, l’apparence esthétique ou le coût. Pourtant, plusieurs études longitudinales démontrent aujourd’hui que « retarder la correction » multiplie les risques de dépression, d’isolement social et de perte cognitive accélérée (études récentes 2024).
La modernité des dispositifs, leur discrétion grandissante, ainsi que le remboursement partiel par les mutuelles – notamment à Liège – facilitent de plus en plus ce parcours. Le rôle de l’accompagnant familial est décisif : écouter sans juger, encourager la démarche, proposer un rendez-vous d’information. Les audioprothésistes travaillent également à déconstruire les préjugés sur les appareils, comme détaillé dans cet article sur les mythes des appareils auditifs.
Le volume excessif du téléviseur n’est souvent que la partie émergée de l’iceberg. Voici d'autres signes d’alerte associés :
Quand ces symptômes s’accumulent, il devient urgent de consulter. Le parcours de soin peut débuter par un bilan auditif simple, auprès de votre médecin traitant, ORL, ou d’un audioprothésiste près de chez vous. Pour ceux qui se posent des questions précises sur les étapes du parcours, différents articles sur consultations-liege.be détaillent le moment opportun pour consulter.
L’installation d’un appareil auditif bien adapté apporte un bénéfice quasi immédiat : le niveau du téléviseur diminue, la communication s’améliore, la participation aux échanges familiaux redevient naturelle. De nombreux patients témoignent d’une « redécouverte du plaisir d’entendre », de la musique, des dialogues, des documentaires… Parfois, c’est aussi tout un pan de la culture télévisuelle (jeux, films, séries) qui devient plus accessible.
Sur le plan scientifique, ces améliorations sont évaluées par des questionnaires de satisfaction, des échelles de qualité de vie, et parfois même par des tests cérébraux mettant en évidence une reprise d’activité dans les zones du cerveau associées à la compréhension de la parole (perte auditive et mémoire).
Le cercle vertueux est enclenché : moins de conflits, moins de stress, et des relations retrouvées. On observe également une baisse du repli sur soi, avec un retour au plaisir de partager des moments devant la télévision sans discorde.
Chaque oreille est unique. Le réglage des appareils auditifs doit prendre en compte la configuration de la pièce, la nature du téléviseur, la qualité de son, mais aussi le type d’émission le plus souvent regardée. Certains appareils disposent même de programmes spécifiques « télévision », ajustant l’équilibre entre graves et aigus pour restituer la clarté des voix. En cas d’acouphènes associés, des solutions combinées existent, comme abordé dans l’article acouphènes et appareils auditifs.
C’est cette personnalisation qui fait toute la différence dans la réussite à long terme de l’appareillage. Des ajustements réguliers sont recommandés, plus fréquents la première année, puis annuels ensuite, afin d’adapter l’audition à l’évolution naturelle de la cochlée.
On pense souvent – à tort – que porter un appareil auditif sert uniquement à « mieux entendre les voix ». En réalité, de nombreux bénéfices indirects sont observés :
D’après une étude parue en 2020 (voir références scientifiques), la correction précoce des troubles de l’audition a un impact mesurable sur le bien-être global, la qualité de vie et les relations familiales, en particulier lorsque le déclencheur a été la plainte du volume de la télévision.
Finalement, la démarche vers un appareillage ne se limite pas à l’audition individuelle. Elle s’inscrit dans une dynamique collective, où chacun retrouve son confort d’écoute, le plaisir de partager, et la sérénité du foyer. Pour en savoir plus sur cet accompagnement, découvrez l’article sur la fatigue liée à l’écoute.
En réduisant drastiquement le volume sonore nécessaire d’un téléviseur, l’appareillage contribue aussi à une diminution de la pollution sonore dans l’environnement domestique. C’est un bénéfice souvent méconnu, mais qui soulage petits et grands, notamment en habitat collectif ou en résidence sénior.
Certaines émissions intègrent désormais des pistes audio spéciales « aide auditive », à activer via la télécommande. Les fabricants TV collaborent de plus en plus avec les sociétés d’appareillages pour proposer des solutions de synchronisation amplifiant la compréhension sans accroître les décibels ambiants.
Dans la région de Liège, les professionnels de l’audioprothèse et de l’ORL mettent largement en avant l’intérêt d’un diagnostic précoce et d’un appareillage adapté. Le pôle de santé de Esneux, proche de Liège, propose des bilans sur rendez-vous et adapte la prise en charge selon l’âge, le type de trouble auditif et les attentes culturelles et sociales du patient.
Les dispositifs de mutualisation belge permettent la prise en charge partielle ou totale des équipements, selon un protocole médical validé. Pour en savoir plus, n’hésitez pas à solliciter un rendez-vous en audiologie à Esneux.
La télévision excessive, ce « signal d’alerte sonore » dans de nombreux foyers, ne doit jamais être banalisée. C’est un marqueur simple, quotidien, accessible, d’une possible déficience auditive avançant souvent masquée. Grâce aux avancées scientifiques, aux appareils auditifs personnalisés et aux options de connectivité, il est aujourd’hui possible de retrouver le plaisir d’une écoute claire, sereine et partagée. La démarche vers la correction auditive n’est pas seulement une affaire individuelle : elle impacte la vie familiale, sociale et cognitive.
Il n’est jamais trop tôt pour agir : interroger son audition, questionner le volume de sa télévision, consulter, c’est offrir à soi-même – et à son entourage – la promesse d’un quotidien plus harmonieux et d’un plaisir retrouvé devant ses émissions favorites.
Quand l’oreille perçoit moins bien certaines fréquences, surtout les aiguës, on a tendance à augmenter le volume sans même s’en rendre compte. Ce comportement compense temporairement la perte d’audition, mais gêne l’entourage dont l’ouïe est préservée. C’est un signe fréquent d’une baisse auditive à surveiller.
Les appareils auditifs modernes, ou les systèmes de transmission sans fil, diffusent directement le son du téléviseur dans l’oreille, permettant ainsi d’entendre clairement à volume réduit. Une adaptation personnalisée par un audioprothésiste vous garantit un confort d’écoute sans déranger les autres.
Dès que des proches constatent que le volume habituel du téléviseur vous semble insuffisant, il est recommandé de faire un bilan auditif. Plus la correction est précoce, meilleurs sont les résultats sur votre qualité de vie et votre santé cognitive.
Il est conseillé de porter l’appareil auditif toute la journée afin de stimuler l’ensemble du système auditif, mais l’usage ciblé pour la télévision est courant. Certains dispositifs disposent d’un « mode TV » pour optimiser l’écoute lors de vos émissions préférées.
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Découvrez aussi sur le vécu quotidien et les solutions en surdité mal comprise et notre article sur l’accompagnement pluridisciplinaire des acouphènes à Liège.