📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
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Ça parait anodin, un enfant qui fait pipi au lit ou qui ne parvient pas à se retenir à l’école. Pourtant, derrière ces petits accidents, il y a parfois de vraies montagnes à franchir. Pour l’enfant. Pour sa famille. Pour tous ces parents qui se demandent s’ils sont seuls, et qui cherchent à comprendre : pourquoi lui, pourquoi si longtemps ? Et surtout, comment l’aider de façon bienveillante, sans transformer le quotidien en parcours du combattant.
La kinésithérapie périnéale enfant, c’est l’un de ces outils vraiment efficaces, mais peu connus, pour accompagner les familles quand la continence se fait attendre. C’est tout un monde d’écoute, d’exercices, de conseils et de soutien ! Pourtant, combien de familles hésitent encore à consulter ? Parce que parler de pipi, ce n’est pas facile. Parce que, parfois, on s’accuse d’avoir raté quelque chose.
Dans cet article, on va lever les tabous. Mettre des mots, des chiffres, des images concrètes sur un sujet sensible. On va parler continence, développement, émotions et solutions, centré sur ce qui se passe entre l’enfant, son corps, sa vessie… et toute la famille ! Vous découvrirez pourquoi la kinésithérapie urinaire chez l’enfant et l’adolescent mérite d’être connue. Et comment, proche de Liège, un cabinet comme celui de Lisa MOENS, conventionné INAMI, contribue chaque jour à transformer le quotidien d’enfants et de parents, à la maison ou en séance.
On croit que c’est rare. En fait, les troubles mictionnels de l’enfant sont courants : on estime qu’entre 10 et 20 % des enfants de 5 à 7 ans font régulièrement pipi au lit. En Belgique, cela concerne des dizaines de milliers de familles. Ça vous surprend ? Pourtant, chaque classe d’école compte au moins un ou deux enfants concernés, même parmi les plus « grands ».
Ces troubles urinaires ont de multiples visages : énurésie nocturne (pipi au lit), incontinence diurne (fuites le jour), urgenturies (envie pressante irrépressible), mais aussi constipation associée, infections urinaires et douleurs. Parfois, l’enfant court aux toilettes en catastrophe. Parfois, il évite d’y aller, de peur d’être moqué. Souvent, il n’ose pas en parler.
Pourtant, le développement de la maîtrise des sphincters (l’appareil qui permet de retenir et de relâcher l’urine) suit un cheminement variable selon chaque enfant. Les troubles mictionnels peuvent avoir de nombreux facteurs :
Concrètement ? L’enfant vit avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête. Chaque sortie scolaire, chaque nuit, chaque moment à l’école peut devenir une épreuve. Ce n’est pas seulement une « histoire de pipi » : l’estime de soi, l’intégration sociale, la confiance dans le corps sont en jeu.
Beaucoup de familles se demandent : « Y’a-t-il vraiment quelque chose à faire, à part attendre que ça passe ? » La réponse est clairement oui. La kinésithérapie urinaire pédiatrique a révolutionné la prise en charge des troubles de la continence chez l’enfant.
Pourquoi ? Parce que ce n’est pas qu’une question d’exercices. La Kinésithérapeute Périnéale Pédiatrique - Troubles urinaires chez l'enfant et l'adolescent – Mme Lisa MOENS propose un accompagnement global, basé sur la compréhension, l’écoute, la motivation et la participation active de l’enfant et de ses proches.
Au-delà du simple « apprentissage du pot », la kiné urinaire offre :
La différence ? L’enfant redevient acteur. On ne le gronde plus. On ne punit pas. On explique, on rassure, on valorise chaque progrès, si minime soit-il. Le parent devient allié, complice – plus le gendarme du pot.
Ce chemin peut se faire en cabinet ou à domicile. Lisa MOENS, par exemple, intervient à Esneux mais aussi dans toute la région, en tenant compte du contexte familial, scolaire, voire des besoins particuliers (trouble moteur associé, trouble neurodéveloppemental). Elle travaille en lien avec l’équipe pluridisciplinaire : médecin, pédiatre, psychologue, parfois ergothérapeute ou orthophoniste.
Lisez aussi cet article complet sur les étapes clés d’une rééducation périnéale chez l’enfant qui fait pipi au lit pour mieux comprendre la progression thérapeutique.
Envie de chiffres ? Les publications scientifiques montrent que plus de 70 % des enfants bénéficient d’une nette amélioration, souvent dès les premières semaines, quand la prise en charge est adaptée et personnalisée. Et c’est une prise en charge remboursée (INAMI), ce qui lève un autre poids du quotidien.
Vous hésitez à pousser la porte d’un cabinet de kinésithérapie urinaire pour enfants ? Vous ne savez pas bien à quoi vous attendre ? On vous explique tout, étape par étape, sans tabou mais avec réalité. Parce que comprendre le déroulement, c’est déjà gagner en sérénité.
Tout commence par l’accueil. Ici, pas de jugement, ni de phrases toutes faites. Lisa MOENS – conventionnée INAMI, spécialisée en périnéologie pédiatrique – prend le temps d’écouter l’enfant, de laisser parler les parents, de poser les questions qui libèrent : « Depuis quand ? Comment vit-il ses “accidents” ? Qu’est-ce qui marche ou pas à la maison ? » On s’autorise à déculpabiliser. On explique la mécanique du pipi comme on raconterait une histoire, pour que l’enfant se sente acteur et non spectateur impuissant.
Le bilan est global. On observe la posture, la façon de s’asseoir, de respirer, le rythme des boissons, parfois le calendrier mictionnel que la famille aura rempli. On demande aussi : comment ça se passe à l’école ? Y a-t-il des constipations, des douleurs ou des peurs associées ? On regarde tout, car tout est lié.
Quand tout le monde repart du premier rendez-vous, en général, il y a déjà un peu de souffle. Le petit ou la petite se dit : « Ce n’est pas que de ma faute. Il y a des solutions. Je ne suis pas seul.e. » Et chez les parents, un sourire revient. Parce que, pour une fois, le problème ne se réduit pas à un “vous laissez faire”, mais à “on va avancer ensemble”.
La suite, ce sont des séances régulières, espacées selon les besoins (parfois une fois par semaine, parfois plus, parfois moins). Ce peut être au cabinet à Esneux, ou à domicile pour certains enfants qui en ont besoin (handicap, phobie… voire logistique compliquée). L’idée, c’est l’adaptation, pas le dogme.
D’ailleurs, cette approche ludique de la rééducation périnéale est souvent décrite dans les témoignages : jeux de balles, dessins pour symboliser la vessie, exercices soufflés comme une chasse au dragon. Eh oui, parfois, on chasse le monstre du pipi nocturne ensemble !
Et si besoin, Lisa MOENS travaille en réseau avec les autres professionnels de santé du secteur aux alentours de Liège. Car certains enfants ont besoin d’une prise en charge multidisciplinaire, surtout lorsque le trouble urinaire est associé à d’autres défis : difficultés d’apprentissage, anxiété, maladie chronique. L’objectif reste toujours : permettre à l’enfant de retrouver confiance en son corps, et à la famille de retrouver la sérénité de nuits (et de journées) sèches.
On croit souvent que la rééducation périnéale ne concerne « que » la vessie et le sphincter. Mais, en vérité, c’est une aventure qui touche tout le quotidien familial. Parce qu’un pipi au lit, c’est parfois un secret bien gardé, qui abîme la confiance. Parce que les phrases maladroites (“Mais enfin, tu es grand.e maintenant !”), même dites sans malveillance, laissent des traces. Parce qu’on finit, parfois, par régler le réveil à 2 h du matin – pour éviter l’inondation, mais au prix de nuits hachées pour tout le monde.
Avec la kinésithérapie périnéale pour pipi au lit, les bénéfices s’étendent BIEN au-delà de l’enfant :
La kiné urinaire fonctionne comme un GPS familial. Après des mois de navigation à vue, le cap redevient lisible. Chez Lisa MOENS, cette mission a pris encore plus d’écho ces dernières années, avec un afflux de familles touchées par l’anxiété post-covid, les troubles du rythme scolaire, les nouveaux modes de vie. Certains enfants de 6, 8, 12 ans arrivent inquiets, refermés… et repartent, quelques semaines plus tard, capables de verbaliser leur ressenti. Une véritable métamorphose.
En Belgique, l’accès à ce type de soin a été démocratisé. Aujourd’hui, il n’est plus réservé aux cas “graves” : dès que l’inconfort apparaît, que la famille souffre, le cabinet d’Kinésithérapeute Périnéale Pédiatrique - Troubles urinaires chez l'enfant et l'adolescent – Mme Lisa MOENS à Esneux propose une réponse douce, personnalisée, multidisciplinaire. C’est un atout immense pour la région, proche de Liège, où peu de spécialistes sont encore formés à cette approche totalement centrée sur l’enfant.
Bon à savoir : la prise en charge est conventionnée INAMI et donc remboursée (selon les conditions légales belges). Vous pouvez en discuter lors de la prise de rendez-vous, par exemple via le Rendez-vous en Ligne !
Envie d’aller plus loin ? D’autres articles explorent comment aider un enfant anxieux face à ses troubles urinaires, ou comment prévenir les rechutes. Retrouvez par exemple l’impact du stress sur la continence infantile – vous verrez que la dimension émotionnelle reste centrale dans chaque accompagnement réussi.
Comment savoir si mon enfant a besoin d’un suivi en kinésithérapie urinaire pédiatrique ?
Si votre enfant présente des fuites urinaires fréquentes, a du mal à rester sec le jour ou la nuit après 5 ans, ou vit mal ses accidents, il est conseillé de consulter. Un bilan précoce permet de repérer les besoins précis et d’entamer une prise en charge adaptée, souvent ludique et peu contraignante.
Pourquoi la rééducation périnéale fonctionne-t-elle aussi bien chez les enfants ?
Parce que la kinésithérapie urinaire travaille sur la conscience corporelle, la motivation et les habitudes de vie, tout en intégrant la dimension émotionnelle. En associant l’enfant et ses parents, on obtient rapidement des progrès concrets et durables, avec moins de stress et plus d’autonomie.
Quand consulter un kinésithérapeute spécialisé à Esneux pour troubles urinaires chez l’enfant ?
Il ne faut pas attendre que la situation devienne pesante. Dès les premiers signes de gêne, d’accidents répétés ou de retentissement sur le moral ou les relations sociales, un rendez-vous chez un spécialiste comme Lisa MOENS permet de dédramatiser et de trouver des solutions individualisées.
Faut-il poursuivre la kinésithérapie longtemps pour obtenir des résultats chez l’enfant ?
La durée varie selon l’origine du trouble et l’implication de la famille, mais la plupart des enfants observent une nette amélioration après quelques séances. Plus l’accompagnement est adapté, plus les progrès sont rapides ; le suivi peut s’arrêter dès les objectifs atteints, en toute simplicité.
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