Kinésithérapeute Urinaire Périnéale pour ENFANTS📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25
Vous ne vous y attendiez peut-être pas. Pourtant, de nombreux enfants et adolescents sont concernés par des troubles urinaires. Ce n’est pas un mythe. En Belgique, on estime que jusqu’à 10 % des enfants de plus de six ans font encore occasionnellement pipi au lit. Au collège ou à l’école primaire, personne n’en parle à voix haute… mais dans beaucoup de familles, la question taraude et inquiète.
La réalité, c’est que la kinésithérapie urinaire et la rééducation du périnée ne sont pas réservées aux adultes. Loin s’en faut. Les enfants souffrent aussi de fuites, d’urgences à la toilette, voire d’accidents nocturnes. Un sujet délicat, qui touche à l’intimité, mais qui a des solutions concrètes.
Alors, pourquoi est-il devenu impensable de laisser ces jeunes sans suivi à proximité de Liège ? Car le nombre de consultations pour ces problématiques a explosé. Et pour cause : le regard sur le corps évolue. On ose enfin chercher de l’aide.
Imaginez une batterie de téléphone. On croit parfois qu’elle tiendra jusqu’au bout de la journée sans recharge, alors qu’en réalité, elle s’essouffle. C’est pareil pour le périnée. Trop sollicité ou mal coordonné, il faiblit – et l’enfant finit par « fuir ».
Heureusement, des solutions existent. À Esneux, proche de Liège, la kinésithérapeute urinaire pédiatrique Lisa MOENS propose un suivi sur-mesure, conventionné INAMI. Spécialiste du périnée chez l’enfant et l’adolescent, elle travaille main dans la main avec les pédiatres, urologues et les familles. Son objectif : accompagner l’enfant, identifier les causes des troubles, et mettre en place des exercices adaptés dès les premiers signes.
Ce n’est ni honteux, ni rare. Un pipi au lit avant 4-5 ans, c’est courant ; après, il est temps de s’en préoccuper. Mais pas de panique : la rééducation fonctionne. Parfois, en quelques séances, l’enfant retrouve confiance. Parfois, il faudra plus longtemps, mais jamais sans espoir.
Pourquoi est-ce crucial ? Parce qu’un enfant gêné par des accidents urinaires peut perdre confiance, décliner des invitations, se replier sur lui-même. Il suffit d’un mot, d’une moquerie, pour que naisse une vraie blessure. Pour les adolescents, la difficulté s’accentue : voyages scolaires, premières soirées, socialisation… Le périnée, ce héros silencieux, doit être soigné et entendu dès le plus jeune âge.
Très peu de parents le savent, mais une approche multidisciplinaire est recommandée pour traiter ces problématiques. En effet, la kinésithérapie seule ne suffit pas toujours. Parfois, il faut aussi agir sur le comportement, la gestion du stress ou l’alimentation.
Pour tout savoir sur la kinésithérapie urinaire chez l’enfant à Liège, découvrez ce que la spécialiste Lisa MOENS peut apporter à vos proches.
Vous vous demandez peut-être : « Mais que fait réellement un kinésithérapeute urinaire chez l’enfant ? ». Oubliez l’image de la rééducation en blouse blanche, froide et distante. Ici, tout commence par une écoute bienveillante. D’ailleurs, la première séance ressemble plus à une discussion qu’à un examen médical – l’enfant, lui, sent d’emblée que ce n’est pas une consultation comme les autres.
Avant d’aller plus loin, la prise en charge débute par une exploration attentive des habitudes. On pose des questions : « Quand vas-tu aux toilettes ? », « As-tu déjà eu peur d’un accident en classe ? », « Est-ce qu’il y a des moments où tu retiens ton envie pour ne pas sortir ? ». Il n’y a pas de mauvaise réponse. Chaque enfant a son histoire, et chaque trouble urinaire raconte quelque chose.
Le cœur du suivi, c’est d’abord la compréhension. Parfois, une simple modification dans la routine quotidienne suffit : boire plus d’eau le matin, éviter certains aliments irritants… Parfois, il faudra aller plus loin. C’est là qu’intervient la fameuse rééducation fonctionnelle du périnée.
Cette rééducation, c’est quoi ? Un peu comme un entraînement sportif pour un muscle oublié. Beaucoup d’enfants (et d’adultes !) ignorent tout de ce plancher pelvien, qui ressemble à un trampoline caché dans notre bassin. Or, ce « trampoline » doit être souple – ni trop mou, ni trop contracté –, sinon la fuite guette.
Lisa MOENS, kinésithérapeute conventionnée INAMI à Esneux, utilise des jeux, des images, parfois des outils ludiques pour rendre l’apprentissage plus amusant. Pourquoi un ballon ? Parce qu’il sert à visualiser le « petit ascenseur » du périnée. On apprend à contracter au bon moment, à relâcher quand il faut – comme un chef d’orchestre qui module son orchestre.
Plusieurs séances sont souvent nécessaires, surtout si l’habitude de « retenir » ou de filer au petit coin en catastrophe s’est installée. Vous seriez surpris de voir à quel point une mauvaise posture, ou un simple blocage émotionnel, peut dérégler la machine.
Un autre atout : le suivi se fait souvent en cabinet à Esneux, mais peut aussi avoir lieu à domicile, là où l’enfant se sent rassuré. Et la famille ? Elle ne reste pas sur le banc : l’implication parentale est un pivot essentiel, pour soutenir l’enfant et l’aider à progresser à son rythme.
La rééducation s’inscrit en général dans une démarche globale. Vous serez parfois amené à consulter d’autres professionnels – psychologues, pédiatres, diététiciens – pour aborder tous les facteurs de risque. C’est ainsi que la prise en charge pluridisciplinaire déploie ses bienfaits.
Pour lire une approche différente, découvrez l’article sur le rôle des parents lors de la rééducation périnéale pédiatrique.
Ou l’art de soigner là où on n’attendait pas d’être malade ! Le périnée, ce grand oublié, mérite parfois autant d’attention qu’une entorse à la cheville. Et chez l’adolescent, il joue un rôle clé dans la confiance en soi, l’image corporelle, la préparation à la vie adulte.
Tout cela, toujours science en main. Les données scientifiques sont claires : la rééducation périnéale précoce réduit significativement les rechutes, les pertes nocturnes, les angoisses liées à l’école et à la socialisation.
Quand consulter ? Ce n’est pas toujours évident. Les motifs sont variés et souvent banalisés à tort. Petite liste non exhaustive des signes qui doivent alerter les parents :
Personne n’aime évoquer cela à table, et pourtant… Ces troubles impactent profondément la vie quotidienne. Un chiffre à retenir : entre 3 et 10 % des jeunes seraient concernés selon l’âge, et le problème a souvent des racines multiples : morphologiques, comportementales, psychologiques.
Prenons l’exemple de Lucie, 8 ans, à Esneux. Après trois infections urinaires en six mois, sa maman tourne en rond : « On fait quoi maintenant ? ». Le pédiatre conseille un bilan périnéal chez une kiné spécialisée. Là, on découvre que Lucie retient systématiquement parce qu’elle n’ose pas demander la clé des toilettes à l’école. La boucle est bouclée : c’est moins une maladie, qu’un trouble fonctionnel à dénouer.
Le rôle du suivi périnéal, c’est de lever ces verrous. Avec douceur. Avec humour parfois. Avec une boîte à outils scientifique, toujours. Vous savez ce qui rassure vraiment ? L’écoute sans jugement, la possibilité de « réapprendre » le pipi, comprendre que l’on n’est ni paresseux, ni sale, ni bizarre.
Lisa MOENS, kinésithérapeute urinaire pédiatrique conventionnée INAMI proche de Liège, intervient sur les troubles suivants : énurésie nocturne, fuites diurnes, hyperactivité ou hypoactivité vésicale, contractions inappropriées du sphincter, douleurs périnéales ou pelviennes, et accompagnement particulier des enfants anxieux ou porteurs de handicaps.
Sa démarche conjugue pédagogie (expliquer les choses simplement), ludisme (utiliser des jeux de rôle ou de visualisation), et bienveillance. Les progrès sont souvent rapides : les petits osent reparler de leurs sensations, les plus grands prennent confiance dans leur capacité à contrôler « ce qui échappait ».
On oublie souvent que certains symptômes sont secondaires. Que la fuite peut masquer une angoisse, une pression intérieure, une difficulté d’apprentissage. Le périnée, c’est aussi le reflet des émotions : installons du stress, et voilà que tout s’embrouille là-dessous.
Si ce panorama vous parle, un rendez-vous chez Lisa MOENS à Esneux ou un suivi des pertes nocturnes peut tout changer – parfois en quelques séances.
La clef : agir tôt, ne pas attendre l’adolescence pour consulter. Beaucoup d’adultes regrettent de ne pas avoir eu cette chance… Aux alentours de Liège, les professionnels sont formés, l’accueil est chaleureux, et la confidentialité respectée.
Pour ceux qui veulent approfondir, une lecture intéressante sur l’aide à l’enfant anxieux face aux troubles urinaires est accessible en ligne.
La première consultation, c’est souvent le grand saut dans l’inconnu. L’enfant arrive, timide. Les parents, parfois embarrassés, accumulent les questions silencieuses. Pas de panique : le lâcher-prise est au bout du chemin.
Première étape : le dialogue. On prend le temps d’écouter, d’observer les habitudes, sans jugement. On rassure : « Tu sais, beaucoup d’enfants passent par là, personne n’en parle… mais tu n’es pas seul ! ».
Ensuite, c’est l’examen fonctionnel. On évalue la force, la sensibilité du périnée. On explique, on montre sur des modèles ou des schémas. On dédramatise : « Tu vois ce petit muscle ? C’est lui qui fait le super-héros quand tu vas aux toilettes ».
Les exercices commencent doucement. On apprend à reconnaître ses sensations : quand ça tire, quand on doit relâcher, quand il faut pousser. Le tout en jouant, en riant, parfois même en dessinant. Un exemple ? Tenir l’eau dans un petit ballon, puis le relâcher, pour sentir la différence.
L’implication des parents, elle, va crescendo. On discute des horaires, des habitudes à la maison, de la gestion des boissons. Parfois, on corrige les mauvaises postures sur les WC. Chaque réussite est saluée, chaque difficulté, analysée avec bienveillance.
Dans la durée, le suivi s’adapte. Parfois une dizaine de séances suffisent, parfois il faudra revenir. L’important, c’est la constance – et l’amélioration, même lente. On ne vise pas la perfection, mais le progrès.
À plus forte raison, les adolescents peuvent, eux aussi, bénéficier de bilans ou d’un accompagnement avant un passage important (camp, voyage, rentrée). C’est là que la confidentialité prime. Les professionnels savent parler à ces jeunes pour désamorcer la gêne, leur donner des outils et restaurer la confiance.
Pour résumer en une image : la rééducation périnéale, c’est comme apprendre à faire du vélo. On titube, on hésite, on tombe parfois – puis un jour, on roule sans même y penser.
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
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On l’oublie trop souvent, mais derrière la question du pipi, il y a surtout des enjeux d’image, de socialisation, de bien-être.
Un enfant qui contrôle ses sphincters gagne un super-pouvoir. Il ose enfin dormir chez des amis. Partir en classe verte. Aller sans angoisse à l’école, au sport. Fini les « fakes news » que l’on s’invente sur soi-même – « Je suis nul », « Je suis différent ». Et si la honte disparait ? On retrouve la paix, pour de vrai.
La rééducation permet aussi un retour à la joie de vivre. Les enfants témoignent : « Maintenant je peux sortir avec mes copains sans avoir peur », « Je n’ai pas été obligé d’emporter de rechange à la boum ». Les parents, eux, retrouvent le sommeil, ils se détendent, la tension familiale diminue.
Le collectif joue son rôle aussi. Les soignants s’appuient souvent sur le vécu en groupe : on conseille, on partage des astuces, on tord le cou aux idées reçues (Non, ton enfant ne le fait pas exprès !). Dans les écoles, l’ouverture du dialogue porte déjà ses fruits, même si le chemin reste long.
Point crucial : la gestion de l’anxiété. De nombreuses études l’ont montré : le lien entre émotions et fuites urinaires est fort. Un stress chronique, une peur du jugement, une période de changements (séparation, deuil) peuvent réveiller ou aggraver ces troubles. D’où l’importance d’une approche holistique, intégrant psychologie, pédagogie, et rééducation corporelle.
Pour explorer ce lien, l’article dédié à l’impact du stress sur la continence infantile vous aidera à mieux comprendre les synergies à mettre en place.
Enfin, ce suivi ouvre de nouveaux horizons. Des ados jusque-là repliés sur eux-mêmes démarrent un sport collectif, acceptent de partir en voyage scolaire… Le cercle vertueux s’enclenche : moins d’isolement, plus de confiance, moins de consultations pour anxiété ou troubles du sommeil.
Cerise sur le gâteau : la démarche protège la santé future. Un périnée bien coordonné réduit la fréquence des infections, prévient certains problèmes à l’âge adulte (incontinence, douleurs pelviennes). Bref, c’est la victoire sur toute la ligne.
N’oublions pas : la problématique concerne aussi la famille. Quand les nuits redeviennent paisibles, les tensions s’apaisent, les enfants comme les parents y gagnent en sérénité. Un investissement, pour toute la vie, que l’on soit petit… ou déjà grand adolescent.
Et puis, il existe plusieurs ressources de qualité en ligne pour accompagner en douceur cette étape décisive. Pour aller encore plus loin, lisez l’article scientifique sur la rééducation périnéale et ses effets sur la santé globale.
Côté pratique, n’oubliez pas : prendre rendez-vous avec un kinésithérapeute urinaire pour l’enfant, c’est comme appeler un entraîneur pour apprendre à courir sans tomber. Ce n’est pas un aveu d’échec, plutôt un coup d’avance sur le bien-être.
Le cabinet de Lisa MOENS à Esneux met un point d’honneur à accueillir chaque enfant avec respect, douceur et bonne humeur. Ici, pas de tabou. Vous sortirez avec le sourire, rassurés, prêts à avancer – main dans la main avec vos soignants.
Comment savoir si mon enfant a besoin d’un suivi périnéal ?
Si votre enfant présente des fuites urinaires régulières, un pipi au lit persistant après 5 ans, ou des envies pressantes difficiles à contrôler, il peut bénéficier d’une rééducation du périnée. N’hésitez pas à demander l’avis à un kinésithérapeute spécialisé proche de Liège, comme Lisa MOENS.
Pourquoi consulter un kinésithérapeute urinaire pour des troubles urinaires chez l’enfant ?
Les causes des fuites urinaires pédiatriques sont multiples : apprentissage incomplet, stress, mauvaise coordination du périnée. Le kinésithérapeute urinaire intervient avec bienveillance et des outils adaptés pour aider votre enfant à retrouver le contrôle, dans un cadre rassurant.
Quand voir des résultats après le début d’une rééducation périnéale chez l’adolescent ?
La plupart des enfants et adolescents constatent une amélioration en quelques séances, parfois dès le premier mois. Le rythme dépend de l’ancienneté des troubles et de la motivation, mais dans tous les cas, l’accompagnement personnalisé fait la différence.
Faut-il avoir une prescription médicale pour un suivi périnéal pédiatrique ?
Oui, le suivi en kinésithérapie urinaire chez l’enfant nécessite généralement une prescription du médecin ou du pédiatre en Belgique. Cependant, la plupart des praticiens spécialisés sauront vous guider dans les démarches et proposent un premier contact informel pour répondre à vos questions.