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Kinésithérapeute Périnéale Pédiatrique - Renforcez les muscles pelviens de votre enfant avec Lisa MOENS - Rendez-vous à Esneux ou à domicileKinésithérapeute Urinaire Périnéale pour ENFANTS

Kinésithérapeute Périnéale Pédiatrique - Troubles urinaires chez l'enfant et l'adolescent – Mme Lisa MOENS

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux

📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25

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Comment un kinésithérapeute spécialisé peut-il renforcer les muscles pelviens chez les enfants et adolescents ?

Imaginez une corde bien tendue. Un fil qui sert à la fois à soutenir et à transmettre la force. Voilà ce que sont, en quelque sorte, les muscles pelviens chez vos enfants : des héros discrets de leur santé quotidienne, garants de leur continence mais aussi de leur bien-être général. Souvent, on n’en parle pas… Jusqu’à ce qu’un souci surgisse : pipis au lit, fuites, envies pressantes et soudaines. Et si ces problèmes circulaient en silence, gênant, isolant, inquiétant toute la famille ?

C’est ici qu’intervient le rôle indispensable du kinésithérapeute urinaire pédiatrique : spécialiste du renforcement des muscles pelviens, il agit comme un véritable chef d’orchestre de la rééducation périnéale pour les plus jeunes. Dans la région proche de Liège, Lisa MOENS, Kinésithérapeute urinaire chez l’enfant, conventionné INAMI, exerce au cabinet à Esneux et propose aussi des consultations à domicile. Son approche ? Scientifique, accessible, personnalisée. Derrière chaque consultation se cache l’objectif majeur : redonner confiance et autonomie à l’enfant ET à l’adolescent, soulager le quotidien, désamorcer les difficultés et accompagner parents et médecins dans une aventure humaine parfois plus complexe qu’on ne le pense.

Pourquoi renforcer les muscles pelviens est-il si crucial dans ce public jeune ? À partir de quel âge ? Quel rôle joue un kinésithérapeute spécialisé ? Et comment se déroule concrètement ce travail de fond, au cabinet comme à la maison, dans les aux alentours de Liège mais ailleurs aussi ? Voici un dossier unique – taillé sur-mesure pour les familles, professionnels de santé, enseignants – pour tout comprendre sur la kinésithérapie urinaire chez l’enfant et adolescent.

Pourquoi les troubles du plancher pelvien touchent-ils aussi les enfants et les adolescents ?

Le saviez-vous ? Un enfant sur dix, dès l’âge de 5 ans, présente encore des fuites urinaires nocturnes ou diurnes. C’est immense ! Et ce chiffre explose à l’adolescence, surtout lors d’événements stressants comme la rentrée scolaire, les activités sportives, ou les changements hormonaux. La prise en charge des troubles du plancher pelvien n’est donc pas réservée aux adultes. Elle concerne aussi nos enfants, trop souvent ignorés de ce point de vue !

Mais concrètement, à quoi servent ces fameux muscles pelviens ? Disons-le simplement : ils fonctionnent comme un hamac. Un hamac qui soutient en douceur la vessie, l’utérus chez la fille, le rectum, mais qui doit aussi se contracter au bon moment pour garder l’urine, puis se relâcher quand il est l’heure. Quand ce système ne fonctionne pas parfaitement, les signes apparaissent : pipi au lit (énurésie), pipis fréquents, fuites à l’effort (rire, saut, sport), sensations brusques d’envie impossible à retenir, mais aussi parfois constipation ou douleurs au bas-ventre.

Pourquoi une telle vulnérabilité à ces âges ? Plusieurs raisons se croisent :

  • Développement incomplet du contrôle sphinctérien dans la petite enfance
  • Stress, anxiété, changements familiaux ou scolaires qui désorganisent la routine urinaire
  • Manque d’information (un tabou plane encore !), retard de consultation
  • Troubles neurologiques ou malformations plus rares, à rechercher lors des formes rebelles
  • Hygiène de vie inadaptée : enfants qui n’osent pas aller aux toilettes à l’école, retiennent trop longtemps, boivent peu…

Résultat ? Un cercle vicieux s’installe : l’enfant s’isole, perd confiance, les parents s’inquiètent, la scolarité ou le sport sont impactés. Et le problème, loin de “passer tout seul en grandissant”, risque de s’enkyster… C’est là que la prise en charge spécialisée doit être déclenchée – parfois même sur conseil du médecin, parfois sur simple inquiétude des familles.

Pourquoi consulter un(e) kinésithérapeute spécialisé(e) en rééducation périnéale pour enfant plutôt que d’attendre ? Parce que l’époque “on laisse faire, ça passera” est terminée. Les répercussions psychologiques, scolaires, sportives sont aujourd’hui scientifiquement démontrées. Un enfant soucieux de cacher ses fuites s’interdit d’inviter des copains, d’oser les colonies, ou d’apprendre à gérer son corps avec confiance. Au long cours, cela pèse lourd. Vous imaginez votre enfant en train de compter les minutes, paniqué à l’idée de ne pas pouvoir atteindre WC à temps ? C’est une réalité quotidienne pour beaucoup.

Heureusement, des solutions existent. La kinésithérapie urinaire pédiatrique offre un cadre sécurisant, positif, structuré, pour accompagner pas à pas l’enfant (et la famille !). C’est une démarche active, où rien n’est jamais imposé. Ici, on avance ensemble. Un peu comme lorsqu’on entraîne une équipe sportive : chacun son rythme, des encouragements, une feuille de route… et beaucoup d’écoute !

En pratique : quel est le rôle d’un kinésithérapeute urinaire pédiatrique ?

Le premier rendez-vous avec un kinésithérapeute spécialisé commence souvent par une prise de contact bienveillante, loin des blouses blanches impersonnelles. Pas d’examen douloureux, pas d’appareil compliqué : ici, chaque enfant, chaque adolescent est accueilli dans sa singularité. Lisa MOENS, forte de son expérience en cabinet à Esneux, s’appuie sur une approche multidisciplinaire, en lien avec le médecin traitant, le pédiatre, parfois le psychologue ou l’enseignant référent.

Après l’anamnèse pour comprendre les antécédents, le contexte familial, la scolarité, les habitudes (alimentation, boissons, activité physique), la kinésithérapeute évalue la fonction périnéale grâce à des exercices ludiques et non invasifs. Ici, tout est fait pour dédramatiser. Par exemple ? On peut utiliser des images, des peluches, ou transformer le contrôle du périnée en “jeu du robot” ou “du feu rouge et vert” ! Ces astuces permettent d’évaluer si l’enfant arrive à contracter ou relâcher son plancher pelvien sous consigne.

La rééducation des muscles pelviens est adaptée à chaque âge :

  • Chez le jeune enfant, il s'agit de prendre conscience des sensations corporelles, d'identifier "quand ça pousse", "quand c’est serré", par des jeux imagés.
  • Pour les pré-ados et ados, on passe à des exercices plus structurés (biofeedback, visualisation, respiration), parfois accompagnés d’un suivi du calendrier urinaire ou de questionnaires validés.
  • Le travail peut s’étendre à la correction des postures (utilisation du bon fauteuil, des pieds posés au sol pour uriner), gestion du souffle et de l'effort sportif, conseils alimentaires (éviter certains irritants, renforcer l'hydratation), etc.

À noter : jamais d’examen interne ni d’acte douloureux. La kinésithérapie doit être synonyme de confort. Et la pédagogie est au cœur du soin ! Un enfant informé, rassuré, guidé, sera acteur de sa progression – bien loin des anciennes méthodes autoritaires.

Quel est le rythme ? Les séances sont généralement espacées (toutes les 2 à 3 semaines), pour laisser le temps à l’enfant d’intégrer chaque nouvelle étape, de pratiquer à domicile, de noter ses progrès (ou ses doutes). Parfois même, c’est à la maison, entre deux rendez-vous, que se déroulera le plus gros du travail ! Et la famille est systématiquement impliquée, en lien avec les recommandations modernes (voir le rôle capital des parents dans la rééducation périnéale pédiatrique).

Les indications sont larges :

  • Pipi au lit (énurésie nocturne)
  • Fuites à l’effort/le jour (incontinence diurne)
  • Envies trop fréquentes ou urgentes (“je dois courir aux WC”)
  • Constipation chronique associée ou troubles de la défécation
  • Syndrome de la vessie hyperactive (“petite vessie”, “vessie nerveuse”)

En parallèle, la kinésithérapeute identifie les facteurs favorisant (mauvaises habitudes, stress, horaires inadaptés) et donne des conseils personnalisés sur l’hygiène de vie, la gestion du stress et les routines.

L’objectif ? Pas la “perfection”, mais rendre à chaque jeune patient le contrôle sur son corps, déculpabiliser, et lui redonner une vraie liberté de mouvement – dans tous les sens du terme.

Kinésithérapeute Périnéale Pédiatrique - Troubles urinaires chez l'enfant et l'adolescent – Mme Lisa MOENS

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Quels exercices et outils pour renforcer le plancher pelvien des jeunes ?

Contrairement aux idées reçues, la rééducation périnéale chez l’enfant n’est pas une “miniature” de la rééducation adulte. C’est tout un panel d’outils pédagogiques adaptés, une boîte à malices où chaque technique a son importance. L’objectif ? Rendre le geste précis, efficace, conscient… Et, disons-le, amusant ! Pour cela, le kinésithérapeute spécialisé fait appel à toute sa créativité. À Esneux comme ailleurs, les séances ressemblent parfois à une salle de jeu éducatif géant.

Quelques exemples fréquent d’exercices utilisés :

  • Exercices de contraction décontraction pelvienne : sous forme de jeu (“attraper une bille imaginaire”, “empêcher la souris de s’échapper”) afin que l'enfant visualise chaque mouvement du périnée.
  • Visualisation ou imagerie motrice : l'enfant imagine son périnée comme un ascenseur qui monte et descend, ou utilise des images de vagues, de couleurs…
  • Biofeedback (sans sonde) : outils de mesure en surface qui permettent à l’enfant de percevoir la contraction sur un écran, par un petit jeu vidéo, une flamme qui grandit, une étoile qui brille. C’est concret et très parlant.
  • Exercices respiratoires : apprendre à coordonner souffle et périnée, comprendre que “pousser” ou “retenir” ne se fait pas sans le diaphragme. On chante, on souffle dans des pailles, on joue à faire la locomotive !
  • Travail de la posture : choisir la bonne position sur les toilettes, poser les pieds au sol, éviter de se “pousser” pour uriner (cela aggrave les déséquilibres pelviens !). Parfois, ça se joue à quelques centimètres près !
  • Soutien psychologique : déculpabiliser, rassurer, expliquer. Le cerveau pilote aussi le périnée… Si l’enfant est tendu ou honteux, la guérison sera plus lente.

Au fil des séances, le kinésithérapeute urinaire adapte le programme, introduit de nouveaux défis, note chaque progrès, encourage et célèbre chaque victoire. Pour les ados, on peut intégrer le suivi par applications, ou des plannings (accord parental indispensable !).

Des anecdotes en pratique ? Un enfant qui n’osait pas aller aux WC scolaires, resultant en 6 heures de retenue quotidienne… Après trois séances et la mise en place d’un “passeport toilette” avec l’établissement, la situation se régularise. Une adolescente connue pour des douleurs pelviennes aux règles découvre, grâce à des exercices respiratoires, le lien entre gestion du stress et contrôle du périnée – et voit sa crainte de l’école s’effondrer en trois mois. Les histoires sont multiples.

Et l’impact est mesurable ! Selon plusieurs études (notamment en Belgique), la prise en charge pluridisciplinaire associant kinésithérapie urinaire à un suivi attentif des familles offre des taux de guérison ou d’amélioration allant jusqu’à 80% pour les problèmes de pipi au lit, 60% pour les fuites diurnes. Certaines situations plus complexes nécessitent un suivi plus long, ou l’appui d’autres professionnels, mais la majorité des troubles trouve mieux à qui parler.

Envie d’approfondir le sujet ? Découvrez comment la ludopédagogie transforme la rééducation périnéale pédiatrique en terrain de jeu motivant, ou lisez cet éclairage sur les pertes urinaires nocturnes pour compléter votre vision !

À quoi sert la collaboration multidisciplinaire ?

Un point essentiel distingue la prise en charge pédiatrique de celle de l’adulte : la nécessaire synergie avec d’autres spécialistes. Qui s’en soucie ? Parents, médecins, instituteurs, psychologues. Pourquoi ? Parce qu’un enfant est un tout. Les troubles urinaires sont rarement “isolés” chez le jeune. Ils révèlent souvent un stress d’école, une phase délicate à la maison, parfois une étape de croissance plus délicate.

Le kinésithérapeute urinaire travaille donc main dans la main avec l’équipe médicale pour ajuster le traitement. Parfois, une simple adaptation d’emploi du temps, une discussion franche avec l’enseignant, ou une écoute attentive d’un psychologue, résoudront plus qu’un arsenal de médicaments. La prise en charge, ici, est toujours sur-mesure, jamais standardisée.

La Belgique s'est montrée pionnière sur ce sujet. Sur le terrain, la convention INAMI permet un accès facilité aux soins spécialisés pour les enfants souffrant de troubles urinaires. Et cela change la donne pour les familles, car cela signifie que ce suivi est remboursé sous conditions, rendant la prévention et la guérison accessibles à tous, et pas réservé à quelques-uns !

À quoi s’attendre en cabinet ou à domicile ? Le parcours de soins concret

Passons de la théorie à la pratique. Concrètement, lorsque vous prenez rendez-vous avec Lisa MOENS, kinésithérapeute urinaire conventionné INAMI à Esneux, le parcours d’accompagnement est balisé, transparent, personnalisé. Dès la première prise de contact téléphonique – ou via la prise de rendez-vous en ligne – un accueil empathique est réservé : on écoute, on questionne, jamais de jugement, toujours dans l’idée de comprendre l’histoire derrière les “accidents”.

Lors du premier entretien, l’attention se porte autant sur l’enfant que sur ses parents. Il ne s’agit pas simplement de “corriger un muscle”, mais de restaurer la confiance, mettre en lumière le vécu (scolarité, relations sociales, vie à la maison, contexte émotionnel). Puis vient l’expertise proprement dite :

  • Bilan initial avec recueil des habitudes (boissons, allers aux toilettes, horaires, éventuels médicaments)
  • Evaluation du tonus périnéal (par des exercices, des jeux, des schémas), de la posture, des réflexes de poussée
  • Identification des facteurs aggravants/entretenants (timidité, constipation associée, allergies alimentaires, facteurs génétiques, situations “à risque” type voyages, colos…)

Grâce à ce travail de détective, le chemin de la rééducation s’adapte. On instaure, ensemble :

  • Un calendrier mictionnel, à remplir à la maison, pour objectiver les progrès
  • Des routines à renforcer (rappel d’aller aux toilettes, gestion du temps, adaptation éventuelle d’horaires scolaires)
  • Des exercices à réaliser à domicile (parfois sous forme de défis hebdomadaires ou de petits jeux ludiques)
  • Des échanges réguliers avec le médecin traitant et, si besoin, d’autres spécialistes en synergie

Au fil des séances, parents et enfants apprennent, s’ajustent. Le rythme de progression dépendra bien sûr du type de trouble, de l’âge, de la motivation, mais aussi du contexte (un déménagement, un deuil, une rentrée difficile peuvent ralentir l’évolution : c’est normal, la vie n’est pas linéaire ! L'impact du stress sur la continence infantile en donne de nombreux exemples).

Parfois, la motivation flanche – c’est humain ! Là, le kinésithérapeute reste un coach, encourage, adapte les exercices, reste le “filet de sécurité”. Il n’est pas rare qu’un enfant bloque temporairement, avant de faire un bond spectaculaire d’un coup. Parfois l’adolescent arrive “à reculons” et repart “reboosté” après quelques séances, rassuré par la confiance accordée à son rythme, à ses ressentis. Cela fait toute la différence.

Un conseil ? N’attendez pas que la situation devienne urgente ou dramatique. Plus la prise en charge débute tôt, plus les bénéfices sont rapides et durables. Et si vous redoutez que votre enfant “refuse” ce suivi, sachez que l’approche actuelle est tout sauf intrusive. Chaleureuse, bienveillante, créative : c’est cette alliance qui permet le déclic, souvent là où les discours classiques avaient échoué. Parfois, même, il suffit d'une prise de conscience, d'un petit secret partagé avec son kiné, pour sortir la tête de l'eau.

En résumé ? Un accompagnement médical de qualité, un travail d’équipe, une attention portée aux mots aussi bien qu’aux maux… Voilà la recette du succès pour renforcer le périnée de nos enfants, pour quelques semaines, parfois quelques mois, mais avec des bénéfices qui durent toutes leurs vies.

FAQ – Questions fréquentes

Comment savoir si mon enfant a besoin d’un renforcement des muscles pelviens ?

Les signes les plus courants sont l’énurésie (pipi au lit) régulière après 5 ans, des fuites urinaires de jour, ou des besoins pressants fréquents. Si ces soucis persistent, une consultation chez un kinésithérapeute spécialisé en rééducation pelvienne est conseillée. Mieux vaut agir tôt.

Pourquoi la rééducation périnéale est-elle efficace pour les troubles urinaires chez l’enfant ?

Elle permet à l’enfant de mieux comprendre, contrôler et muscler son plancher pelvien grâce à des exercices ludiques et adaptés. Les bénéfices sont prouvés par des études : la régularité des séances et l'accompagnement parental font toute la différence.

Quand consulter un kinésithérapeute urinaire pédiatrique près de Liège ?

Dès que les troubles gênent la vie scolaire, les activités sportives ou la confiance de l’enfant, il ne faut pas attendre. Aux alentours de Liège et en Belgique, des professionnels comme Lisa MOENS proposent des bilans complets et un suivi personnalisé.

Faut-il impliquer les parents dans la rééducation périnéale chez l’enfant ?

Oui, l’implication parentale est capitale pour encourager, soutenir et valoriser l’enfant tout au long du parcours. Un lien de confiance parents-kiné favorise les progrès et l’intégration des exercices à la maison.

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