Psychologue SpĂ©cialiste pour INSOMNIES et SOMMEIL â Mme KRINGS Audrey
đ Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
đ TĂ©lĂ©phone RDV : 0471 63 28 28
Vous connaissez sĂ»rement cette sensation : tourner, se retourner, soupirer, regarder le plafond et compter les heures jusquâau rĂ©veil. Une mauvaise nuit, ça arrive. Mais pour certains, la machine sâenraye. Lâinsomnie devient un compagnon indĂ©sirable, un bruit de fond installĂ©. Pourquoi, chez certaines personnes, le manque de sommeil sâinstalle durablement ? Est-ce le stress, un cercle vicieux ou notre cerveau tout simplement dĂ©bordĂ© ? Vous allez le voir, lâinsomnie chronique nâest pas un simple mauvais passage. Elle sâaccroche, ronge la vie quotidienne, Ă©puise, et transforme lâombre de la nuit en une inquiĂ©tude constante. Plongeons ensemble dans les coulisses du sommeil pour mieux comprendre les racines de ce trouble, les comportements qui lâalimentent sans quâon le sache, et surtout, ce que des spĂ©cialistes Ă Esneux peuvent proposer pour sâen sortir.
Une mauvaise nuit de temps en temps, on en parle tous autour dâun cafĂ© le matin. La tĂȘte dans le brouillard, on blĂąme le stress, une dispute ou cet Ă©cran restĂ© allumĂ© trop tard. Mais quand le sommeil se dĂ©robe chaque soir, que la fatigue devient compagne de route, on ne rigole plus.
Un chiffre : 15% des Français souffrent dâinsomnie chronique (Inserm, 2022). Oui, chronique, câest-Ă -dire plusieurs nuits par semaine, au moins trois mois. Le cercle vicieux est parfois dĂ©jĂ en route sans que la personne nâait vu le piĂšge se refermer.
Mais comment un simple Ă©pisode dâinsomnie passagĂšre se transforme-t-il en un problĂšme persistant ? La cause immĂ©diate â stress, choc Ă©motionnel, problĂšme de santĂ© â nâest souvent quâun dĂ©clencheur. Pour que ce mal sâĂ©ternise, il faut toute une sĂ©rie de rĂ©actions en chaĂźne, comme une partie de dominos qui ne sâarrĂȘte plus de tomber.
Le corps humain est une horloge, rĂ©glĂ©e sur des petits signaux (lumiĂšre, routine, tempĂ©rature, Ă©motions). DĂšs quâun engrenage coince, le cerveau se met en mode alerte â jâai mal dormi, donc je rĂ©alise plus lâimportance du sommeil, donc⊠je redoute de mal dormir Ă nouveau. Et câest lĂ que tout peut basculer.
Le vrai tournant, câest souvent la peur dâavoir une nouvelle nuit blanche. On se couche « armĂ© » face Ă la nuit. RĂ©sultat : lâanxiĂ©tĂ© augmente, le mental tourne Ă toute vitesse, et le sommeil sâenfuit. Câest le fameux « conditionnement nĂ©gatif » quâon voit chez beaucoup de patients, notamment aux alentours de LiĂšge.
Le stress est un moteur puissant de lâinsomnie. Un divorce, un deuil, un changement professionnel ? Ces Ă©pisodes de vie sont des dĂ©clencheurs connus. Mais câest le comportement face au sommeil qui va, ou non, ancrer le problĂšme. Bon nombre de personnes se mettent Ă Ă©viter les moments de coucher, Ă mĂ©diter sur la fatigue, Ă se rĂ©pĂ©ter quâils ne pourront jamais sâendormir sans somnifĂšre. Les somnifĂšres justement, parlons-en : ils soulagent parfois sur lâinstant, mais entretiennent souvent le doute sur la capacitĂ© naturelle Ă retrouver le sommeil.
Si la situation vous semble familiĂšre, sachez quâen Belgique, le recours aux psychologues spĂ©cialisĂ©s dans les troubles du sommeil est de plus en plus courant. Ils travaillent sur le comportement, lâanxiĂ©tĂ© et remettent le cerveau « en confiance » avec la nuit.
Imaginez votre cerveau comme une table de mixage. Il rĂšgle la tempĂ©rature, la vigilance, les rĂȘves, lâenvie de dormir. Quand tout va bien, la symphonie du sommeil dĂ©marre. Mais sous le coup du stress ou dâun choc, le cerveau grimpe le volume de « vigilance ». RĂ©sultat : la nuit, il reste sur le qui-vive.
Chez ceux qui vivent des insomnies rĂ©guliĂšres, ce qui pĂšse le plus, ce sont souvent des pensĂ©es envahissantes. Typiquement : « Je vais encore mal dormir, comment je vais tenir la journĂ©e demain ? » ou « Jâai dĂ©jĂ tout essayĂ©, rien ne marche, je suis perdu ». On parle alors de « ruminations », ou de « mĂ©lodie obsĂ©dante » intĂ©rieure qui empĂȘche la dĂ©tente. Ce discours intĂ©rieur, rĂ©pĂ©tĂ© comme un mantra, finit par programmer le corps Ă une forme de rĂ©sistance au sommeil.
Plus cette peur de ne pas dormir se dĂ©veloppe, plus lâadrĂ©naline monte une fois la lumiĂšre Ă©teinte. Câest la guerre des nerfs. Le cĆur bat plus fort, les muscles ne se relĂąchent pas, et⊠le sommeil sâenvole. Câest connu : des chercheurs Ă LiĂšge ont mis en Ă©vidence, grĂące Ă des machines dâIRM, que mĂȘme dans le sommeil chez lâinsomniaque, certaines zones du cerveau continuent de fonctionner « comme Ă©veillĂ©es », notamment celles liĂ©es Ă lâanxiĂ©tĂ© et Ă la mĂ©moire (Ă©tude Gais et al., Nature Neuroscience, 2011).
Mais il y a aussi un autre facteur : lâhorloge biologique. Le moindre dĂ©calage (se coucher trĂšs tĂŽt ou trĂšs tard) peut bousculer la rĂ©gulation du sommeil. Sâajoutent Ă cela des habitudes qui empirent lâaffaire : cafĂ© ou thĂ© tard le soir, longues siestes dans la journĂ©e, usage des Ă©crans jusque dans le lit. Chacun y va de son remĂšde miracle, mais parfois, câest la routine elle-mĂȘme quâil faut entiĂšrement repenser.
La bonne nouvelle, câest que le cerveau, mĂȘme sâil sâest dĂ©rĂ©glĂ© quelques mois (voire annĂ©es), garde une grande plasticitĂ©. Les spĂ©cialistes du sommeil proposent des techniques ciblĂ©es pour « reconditionner » le cerveau, et câest justement le cĆur du mĂ©tier dâune psychologue agréée par la Commission des Psychologues Ă Esneux comme Mme Krings Audrey, expĂ©rimentĂ©e dans la gestion des insomnies liĂ©es Ă lâanxiĂ©tĂ©, au deuil, ou aux transitions de vie.
Souvent, il suffit de quelques rendez-vous pour retrouver confiance en ses propres ressources. Parce que oui, le cerveau adore la routine ! Et avec un accompagnement personnalisé, il peut se déconditionner petit à petit, comme on désapprend une mauvaise habitude.
Psychologue SpĂ©cialiste pour INSOMNIES et SOMMEIL â Mme KRINGS Audrey
đ Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
đ TĂ©lĂ©phone RDV : 0471 63 28 28
Lâinsomnie chronique nâa pas de visage unique. Certains ne dorment pas Ă cause de ruminations, dâautres Ă force de ruminer sur la fatigue et la peur de la nuit suivante. Chaque histoire est diffĂ©rente, chaque cause aussi. Mais on retrouve frĂ©quemment des points communs quand on Ă©coute les rĂ©cits de patients Ă Esneux, Ă LiĂšge ou ailleurs :
La plupart du temps, le problĂšme ne vient pas de « lâextĂ©rieur ». Ce sont nos propres mĂ©canismes internes, notre maniĂšre de gĂ©rer ce qui ne va pas, qui vont soit aggraver, soit apaiser lâinsomnie. Les personnes qui dĂ©veloppent une forme chronique sont souvent trĂšs perfectionnistes, exigeantes envers elles-mĂȘmes, et refusent lâidĂ©e mĂȘme de « lĂącher prise ».
Ce nâest pas une question de volontĂ© ou de faiblesse. Beaucoup essaient dâauto-gĂ©rer : tisanes, yoga, rituels⊠Parfois, ces mĂ©thodes marchent. Mais souvent, elles ne suffisent plus quand les pensĂ©es et les peurs prennent trop de place. On remarque Ă©galement une surreprĂ©sentation des femmes de 40 Ă 60 ans â cette « gĂ©nĂ©ration sandwich » souvent en surcharge familiale, professionnelle et Ă©motionnelle (Burn-out parental et charge mentale : deux approches complĂ©mentaires).
En Belgique, lâoffre de prise en charge psychologique spĂ©cialisĂ©e dans les troubles du sommeil sâest structurĂ©e, notamment grĂące Ă des consultations comme celles de Mme Krings Audrey, qui intervient prĂ©cisĂ©ment dans ce type de situations. Fournir un soutien, proposer des outils concrets, câest lâune des clĂ©s pour briser le cercle vicieux de lâinsomnie.
Voyons-le franchement : il nâexiste pas de recette miracle. Mais il existe des chemins balisĂ©s, validĂ©s par la recherche. Cela rassure beaucoup de patients ! Le traitement de lâinsomnie chronique repose dâabord sur un soutien psychologique ciblĂ© â bien plus que sur les mĂ©dicaments. Câest la rééducation du sommeil, guidĂ©e par un professionnel formĂ© aux problĂ©matiques psychologiques du sommeil et de lâanxiĂ©tĂ©.
Lâaccompagnement proposĂ© par Madame Krings Audrey, psychologue agréée et spĂ©cialiste de ces troubles Ă Esneux, commence souvent par un entretien trĂšs dĂ©taillĂ©. On refait lâhistoire, on cherche ce qui a dĂ©clenchĂ© lâinsomnie, ce qui la fait durer. Peut-ĂȘtre une transition de vie ? Un deuil ? Un stress prolongĂ© ? Ce travail de « cartographie » est fondamental. Souvent, il rassure dĂ©jĂ . Savoir que lâon nâest pas seul(e), que la nuit blanche nâest pas une fatalitĂ©, cela change la donne.
La mĂ©thode phare aujourdâhui, câest la TCC : ThĂ©rapie Comportementale et Cognitive de lâinsomnie. Objectif ? Mieux comprendre ses pensĂ©es et ses comportements face au sommeil, pour les transformer. On apprend ainsi Ă dĂ©jouer les piĂšges : rester trop longtemps au lit, ressasser, Ă©viter de sortir du lit mĂȘme si on ne dort pas.
Des techniques sont utilisées :
Dans certains cas, notamment aprĂšs un deuil, une sĂ©paration, ou pendant des phases dâanxiĂ©tĂ© intense (lâinsomnie comme symptĂŽme du trouble), le soutien psychothĂ©rapeutique est indispensable. Dâautres facteurs, moins connus, sont aussi explorĂ©s : rĂŽle du stress familial, conflits larvĂ©s, sentiment dâisolement.
Et si lâon souhaite aller plus loin dans la comprĂ©hension de son rapport au sommeil, les sĂ©ances individuelles Ă Esneux permettent de travailler sur toute la sphĂšre Ă©motionnelle. Car oui, le corps et les Ă©motions sont insĂ©parables : parfois, ce nâest pas le manque de sommeil le vrai problĂšme, mais lâimpossibilitĂ© Ă digĂ©rer une Ă©motion ou Ă accepter une transition importante. Cette approche personnalisĂ©e, Mme Krings Audrey la dĂ©fend, notamment pour les patients adultes mais aussi adolescents, souvent perdus face Ă la pression scolaire, familiale ou amicale.
Le sommeil se rĂ©apprivoise. Câest comme rĂ©accorder un instrument de musique : il faut de la patience, du temps, et un bon guide pour retrouver la bonne note. Et contrairement aux idĂ©es reçues, il nâest jamais « trop tard » pour reprendre la main. Ă condition de sâoffrir lâaccompagnement dâun professionnel aguerri, ce qui change tout dans nombre de parcours : « On mâa enfin Ă©coutĂ©e, jâai compris que mon sommeil pouvait se reconstruire ». TĂ©moignage rĂ©current, en consultation, mais aussi dans les groupes de soutien spĂ©cialisĂ©s.
Ă toutes celles et ceux qui se sentent prisonniers de lâinsomnie, sachez-le : il existe des portes de sortie. Oui, vraiment. Mme Krings Audrey, psychologue adulte et ado agréée Ă Esneux, sâadresse Ă tous ceux pour qui les nuits blanches ne sont plus des exceptions. Son cabinet est une adresse reconnue pour retrouver un sommeil apaisĂ© et lâĂ©quilibre Ă©motionnel qui en dĂ©coule.
Si cet article a fait rĂ©sonner une expĂ©rience proche de la vĂŽtre, nâhĂ©sitez pas Ă approfondir la question via des ressources complĂ©mentaires notamment la gestion du stress chronique : outils et solutions psychologiques ou Ă comprendre le lien avec lâanxiĂ©tĂ© gĂ©nĂ©ralisĂ©e et le sommeil : accompagnement sur-mesure.
Vous hĂ©sitez ? Posez-vous ces questions : est-ce que je me sens constamment Ă©puisĂ© ? Ai-je dĂ©jĂ tout essayĂ© (tisanes, mĂ©ditation, rituel) sans rĂ©sultat durable ? Mes troubles du sommeil ont-ils un impact sur ma vie sociale, au travail, en famille ? Si vous avez rĂ©pondu « oui » Ă au moins une de ces questions, il est peut-ĂȘtre temps de consulter. Une psychologue agréée Ă Esneux, comme Mme Krings Audrey, peut vous apporter lâaide adaptĂ©e pour sortir de ce cercle vicieux â quâil sâagisse dâapprendre Ă gĂ©rer vos Ă©motions, votre anxiĂ©tĂ©, ou de dĂ©passer une pĂ©riode difficile (transition, deuil, crise familiale).
Pourquoi l'insomnie devient-elle chronique chez certaines personnes ?
Lâinsomnie devient chronique lorsquâun cercle vicieux sâinstalle entre la peur de mal dormir, lâanxiĂ©tĂ© associĂ©e et des comportements inadaptĂ©s (siestes, ruminations, dĂ©pendance aux somnifĂšres). Câest souvent la rĂ©pĂ©tition de mauvaises nuits, combinĂ©e Ă une mauvaise gestion du stress, qui fige le trouble sur la durĂ©e.
Comment sortir durablement de lâinsomnie chronique ?
Pour rompre avec lâinsomnie chronique, il faut agir sur les habitudes de sommeil et les pensĂ©es anxieuses, souvent avec lâaide dâun psychologue spĂ©cialisĂ© dans les troubles du sommeil. Les thĂ©rapies comportementales et cognitives, ainsi que lâaccompagnement psychologique personnalisĂ©, ont fait leur preuve pour rééduquer le cerveau au repos.
Quand consulter un psychologue pour troubles du sommeil ?
DĂšs que lâinsomnie sâinstalle plusieurs nuits par semaine pendant plus dâun mois, ou lorsque la fatigue nuit Ă la vie quotidienne, il est conseillĂ© de consulter un spĂ©cialiste comme Mme Krings Audrey Ă Esneux. Un accompagnement adaptĂ© permet dâagir rapidement avant que le trouble ne devienne chronique.
Faut-il arrĂȘter les somnifĂšres pour traiter une insomnie chronique ?
Les somnifĂšres ne traitent en gĂ©nĂ©ral que les symptĂŽmes et, Ă long terme, peuvent entretenir le cercle vicieux de lâinsomnie chronique. Il est souvent conseillĂ© de se tourner vers des alternatives non mĂ©dicamenteuses avec lâaide dâun psychologue pour restaurer le sommeil de qualitĂ©.
Morin CM et al., "The natural history of insomnia: a population-based 3-year longitudinal study", Sleep, 2009. â Cette Ă©tude montre quâune insomnie passagĂšre se transforme en insomnie chronique chez prĂšs dâun tiers des patients, surtout en lâabsence de soutien psychologique.
Harvey AG, "Insomnia, psychiatric disorders, and the quest for sustainable sleep", Journal of Clinical Psychology, 2002. â Lâauteur met en lumiĂšre le rĂŽle actif du conditionnement psychologique et du discours intĂ©rieur dans la chronicisation des troubles du sommeil.
Baglioni C et al., "Insomnia as a predictor of depression: a meta-analytic evaluation of longitudinal epidemiological studies", Journal of Affective Disorders, 2011. â Cette mĂ©ta-analyse confirme la relation entre lâinsomnie chronique et le dĂ©veloppement ultĂ©rieur de troubles anxieux ou dĂ©pressifs.
Espie CA, "A psychobiological framework for chronic insomnia", Sleep Medicine Reviews, 2002. â Revue sur la plasticitĂ© du cerveau et les mĂ©canismes psychobiologiques expliquant la chronicisation de lâinsomnie.