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Gestion du fantasme en thérapie de couple : comprendre les rêves érotiques pour renforcer l'intimité

Sexologue – Mme Sabrina Bauwens

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0474 10 90 33

Gestion du fantasme dans la thérapie de couple : pourquoi les rêves érotiques façonnent l’intimité

Parlons vrai : qui n’a jamais eu un fantasme, même fugace ? Souvent, on aimerait imaginer le fantasme comme un tiroir secret, qu’on ouvre parfois quand la routine guette… Mais en thérapie de couple, ces rêves érotiques prennent une ampleur inattendue. Sur le divan d’une sexologue, les fantasmes ne sont pas que des images décousues ou gênantes – ils deviennent des outils pour explorer le désir, l’intimité, et parfois, la crise. Vous voulez savoir comment ça se passe concrètement, pourquoi c’est un sujet clé dans tant de consultations, et comment on gère ça, à deux ? Ouvrons la porte, délicatement, sur un thème aussi fascinant que fréquent.

Vous vous demandez si votre couple est “normal” quand des envies différentes s’installent ? Vous n’êtes pas seuls : près d’un couple sur deux en thérapie finit par parler, à un moment, de ses fantasmes. Entre curiosité, malaise, rires gênés ou disputes, le sujet fait souvent peur. Pourtant, il peut devenir un magnifique levier pour (re)construire la complicité. Mais comment ? Pourquoi ? Jusqu’où aller ? Mettez vos a priori de côté, on va explorer (avec science et humanité) comment les fantasmes peuvent enrichir la vie à deux, ou au contraire, la mettre à l’épreuve… Si, si, même à Liège, les couples osent franchir cette étape !

Qu’est-ce qu’un fantasme au juste ? Entre imaginaire intime et scénario partagé

Le mot fait sourire, parfois rougir. “Fantasme”. D’un côté, on pense à une scène dans un film. Ou à un jeu du “jamais osé”. Mais ce que vivent de nombreux couples en consultation ne ressemble pas toujours à la version grand public. Pour beaucoup, un fantasme est une construction mentale qui relève autant du désir, du besoin de liberté, que de la curiosité. C’est un peu, pour le cerveau, comme un terrain de jeu sans limite – et, paradoxalement, avec plein de barrières… sociales, morales, ou personnelles.

Définir le fantasme, c’est déjà tout un programme. Les sexologues – dont Sabrina Bauwens à Esneux – rappellent souvent qu’il n’y a pas UNE forme de fantasme, mais une infinité. Pour certains, ce seront des scènes précises, visualisées dans les moindres détails. Pour d’autres, un simple sentiment, une ambiance, parfois très vague. On parle de scénarios érotiques qui permettent de s’émanciper des contraintes quotidiennes (vous avez remarqué ? Les tracas de lessive, la charge mentale, tout disparaît dans le fantasme). Dans cette bulle, pas de censure… jusqu’à ce que le fantasme fasse irruption dans la vie réelle.

La grande question qui revient en consult’ ? Faut-il en parler à son/sa partenaire ? On entend tout : “C’est normal ?”, “Ça veut dire que je ne l’aime plus ?”, “Et si on réalise ce fantasme, est-ce dangereux ?” On dirait que le fantasme est tour à tour joker, bombe à retardement, médicament ou poison… Selon une étude du Dr Yéhouda (2021), 87% des personnes interrogées déclarent avoir déjà eu au moins un fantasme “hors du commun”, et près de 40% souhaitent le partager avec leur partenaire, “mais n’osent pas”.

Souvent, le fantasme reste caché, tapi dans l’ombre. Pourtant, il peut aussi être une bouée, en particulier quand la vie sexuelle tourne au ralenti. Sans surprise, dans notre société, la culture du fantasme a bonne presse… à condition de ne pas sortir du cadre ! Les séries, les livres, même les podcasts n’ont jamais autant parlé de sexualité créative. C’est d’ailleurs ce qui augmente la pression dans certains couples : “Tout le monde a l’air de s’éclater, pourquoi pas nous ?”

Au fond, il y a autant de fantasmes que d’individus. Certains sont portés sur la transgression, d’autres sur la tendresse, d’autres sur le pouvoir. Ce n’est pas une maladie, mais une fenêtre. Une fenêtre qui s’ouvre (ou pas) sur l’autre, et parfois sur soi-même. En Belgique, le sujet reste pourtant tabou dans de nombreux foyers. Les sexologues se retrouvent souvent à jouer le rôle de décodeur – et de pont, pour éviter que les fantasmes ne soient une terre de discorde.

Oser s’interroger sur ses propres fantasmes n’est pas un luxe réservé à quelques-uns chez nous. Même aux alentours de Liège, de nombreux couples franchissent chaque année le pas du cabinet pour en parler. Cette étape, cruciale dans beaucoup de parcours de consultation, est l’un des moteurs de la communication intime.

Quand le fantasme trouble l’équilibre du couple : vivre la différence, éviter la crise

“Et vous, avez-vous déjà caché un fantasme à votre partenaire ?” La question, posée par une professionnelle, secoue un peu. On croit toujours que l’autre “fait pareil”, ou “n’a pas ces envies”. Puis, un jour, l’écart se creuse. Fantasme partagé, ou fantasme solitaire… Voilà que le couple tangue. Cela vous dit quelque chose ? Vous n’êtes pas seuls.

La thérapie de couple permet souvent d’aborder un point délicat : l’écart de désir, le malaise lié à certains fantasmes, ou la honte de certains scénarios. Ce sont des motifs d’inquiétude fréquents. Les scénarios extrêmes sont minoritaires. La grande majorité des différends se situent autour de questions comme : “J’aimerais tenter une pratique, mais lui/elle n’ose pas”, ou “Je fantasme sur autre chose… est-ce normal ?”, voire “Pourquoi mon partenaire s’imagine-t-il une autre personne ?”

Ce qui revient le plus souvent, d’après des études menées en sexologie (notamment la Revue Européenne de Sexologie, 2020), ce sont ces décalages “ordinaires” : un fantasme de soumission ou de domination, parfois la recherche de nouveauté, parfois l’envie d’exclusivité ou au contraire de “liberté”. L’écart n’est pas forcément un problème à résoudre… sauf quand il s’installe, durablement, comme une tension sourde.

Dans le cabinet de Sabrina Bauwens, le sujet des fantasmes débouche souvent sur un questionnement bien plus large : la place du respect, de la confiance, jusqu’où on peut aller sans trahir les besoins essentiels de l’autre. Les mots-clés sont alors communication et négociation. Car un fantasme ne s’impose pas – ni à soi, ni à l’autre. Il n’est ni une obligation, ni un test. Il peut devenir, au contraire, un terrain clinique de l’empathie.

Un exemple vrai : ce couple qui, après dix ans, ne parvenait plus à se retrouver sexuellement. Lui rêvait de piment, elle d’émotions fortes. Il s’est avéré que chacun avait un univers secret, jamais exploré de peur de blesser. La révélation de leur fantasme respectif a permis – via une médiation professionnelle – de dépasser la gêne, et de construire un nouvel espace commun. L’important, c’est la règle d’or : on ne juge pas. Chaque fantasme est accueilli, analysé, contextualisé.

Mais parfois, le gouffre est trop large : si l’imaginaire de l’un évoque une infidélité, ou des pratiques non consenties, l’effet peut être explosif. Il existe des cas où le fantasme devient le révélateur d’un mal-être plus profond : sentiment de solitude, peur de l’abandon, crise identitaire. Des situations où aborder la différence sans mediation peut faire plus de mal que de bien. D’où l’intérêt, justement, d’un accompagnement sexologique – science à l’appui. Si vous en doutez, le rapport de l’IREPS (2022) montre que l’intervention précoce sur ce genre de décalages évite l’escalade vers des non-dits douloureux, des trahisons, ou une dégradation durable du climat conjugal.

Méfiez-vous des conseils “mainstream” qui fleurissent partout (comme si deux verres de vin et une petite tenue suffisaient à effacer les vrais enjeux !). Dans beaucoup de consultations en Belgique, la démarche est bien plus profonde : il s’agit de comprendre l’origine de certains fantasmes, d’en parler sans tabou – et de décider, à deux, du champ des possibles. Ce champ-là, c’est le terreau de la confiance. Le fantasme peut alors cesser d’être ce terrain miné, et devenir une force de relance.

Dans ce contexte, il est parfois judicieux de consulter un professionnel ayant une réelle expérience en gestion des dynamiques de couple. Plus d’informations sur les différents motifs de consultation en thérapie de couple peuvent vous aider à vous préparer.

Comment parler des fantasmes en couple ? Le dialogue sans tabou, mode d’emploi

Ah, la question qui pique : “Faut-il tout se dire ?” En sexologie, la réponse est souvent : non, mais… Il ne s’agit pas de dresser, comme un inventaire à la Prévert, la liste de tous ses fantasmes. La clé, c’est d’instaurer un climat où le sujet n’est ni fétiche, ni interdit. Un espace sécurisé, où expression rime avec respect.

Le dialogue sur les fantasmes ne commence pas nécessairement dans la chambre. Parfois, il débute autour d’un café. Ou après une scène de film. Osez poser la question simple : “Comment vois-tu les choses ? Tu as déjà pensé à… ?” Ne sous-estimez jamais le pouvoir du “Et toi ?”. Parfois, un simple mot ouvre un monde.

Mais, attention : parler pour parler ne sert à rien – et peut même blesser. Il s’agit avant tout de créer un pacte d’écoute, où le format “je partage, mais je n’impose pas” prime. Les professionnels conseillent régulièrement de partir du principe que tout fantasme mérite d’être accueilli sans commentaire, au moins au début. La règle : on écoute d’abord, on exprime ensuite ce qu’on ressent (plutôt que ce qu’on pense savoir de l’autre).

Très concrètement, la sexologue accompagne souvent ce moment délicat par des exercices. Jeux de questions, lectures, partages d’expériences (sans jugement de valeur). C’est parfois ce détour qui débloque la parole. Oser demander : “Ce fantasme, qu’est-ce qu’il vient nourrir en toi ?” La réponse est rarement binaire. Pour certains, le fantasme est un antidote à l’ennui. Pour d’autres, un miroir de leurs manques. Parler, c’est déjà comprendre que chacun a le droit à son jardin secret, mais que le jardin peut devenir une clairière partagée, à certaines conditions.

Ne sautez pas les étapes. La tentation de vouloir tout dire, tout expérimenter tout de suite est souvent contre-productive. La frustration naît, paradoxalement, d’une volonté de forcer le partage. Le respect est un mot-clé incontournable : si un fantasme vous dérange, dites-le avec sincérité, sans accusation. Si au contraire il vous intrigue, osez questionner, mais sans basculer dans la comparaison.

En thérapie, il est parfois demandé de dessiner, d’écrire, d’utiliser les supports symboliques pour évoquer les fantasmes “trop difficiles à verbaliser”. Parce que la parole, parfois, bute sur la gêne ou la peur d’être jugé. Là aussi, la démarche humanise, dédramatise, intègre le fantasme dans le couple comme un élément parmi d’autres – ni plus, ni moins. Dans certaines situations, c’est l’occasion de redescendre la pression, de relativiser aussi : tout n’a pas à être vécu. Parfois, le simple fait de le nommer suffit à lui faire perdre sa charge explosive.

Rappelez-vous : le fantasme, c’est parfois un peu comme l’ombre d’un arbre en été. Il fait partie du décor, il protège, mais il peut aussi cacher de jolies surprises… Encore faut-il oser s’y installer, à deux, pour en parler sans jugement. Les résultats sont parfois spectaculaires : des couples qui évitaient soigneusement le sujet retrouvent une complicité perdue, se découvrent autrement. D’autres, en revanche, réalisent que certains fantasmes, incompatibles, doivent être respectés comme une frontière.

Pour aller plus loin, découvrez les conseils pratiques d’une sexologue pour rétablir la communication intime. Ce genre de supports ouvre souvent la voie à des échanges plus sereins au quotidien.

Sexologue – Mme Sabrina Bauwens

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Dépasser les blocages : les techniques professionnelles de gestion du fantasme en thérapie de couple

Parfois, tout seul, ça ne suffit pas. Un fantasme, quand il devient source de conflits répétés, de secrets ou d’angoisses, peut signaler un blocage plus profond. Il arrive que le couple tourne en rond, avec l’impression d’avoir tout essayé. La thérapie sexologique permet alors d’utiliser les fantasmes non pas comme des obstacles, mais comme des fenêtres sur l’inconscient, les besoins, les peurs.

C’est là que le travail de professionnel fait vraiment la différence. Lorsqu’un couple consulte pour parler de fantasmes, la démarche ne se limite jamais à recenser les envies. On va creuser : “Qu’est-ce que ce scénario représente pour vous ? Quels sentiments y associez-vous ? D’où vient l’envie, et pourquoi persiste-t-elle, même si elle gêne l’autre ?”

Les techniques varient, mais quelques-unes sont incontournables :

  • L’écoute active : La base de tout dialogue sur le fantasme. Il s’agit de reformuler, de questionner sans juger, d’accueillir l’émotion avant d’analyser le contenu du fantasme.
  • L’analyse systémique : On replace le fantasme dans le contexte global du couple : relation aux parents, histoire personnelle, événements récents… Souvent, ce qui paraît “hors sujet” est le révélateur d’un besoin ancien (besoin de contrôle, de lâcher-prise, de reconnaissance…).
  • La désensibilisation : Si un fantasme obsède un partenaire au point de lui faire peur, ou provoque du rejet, certains exercices permettent d’en diminuer la charge affective. On apprend à différencier le scénario mental de la vraie vie, on dédramatise, on apprend à dire non sans se sentir brutal ou offensant.

La thérapeute peut également recourir à des techniques créatives (photolangage, role play en toute sécurité, inspiration artistique…), histoire de briser la glace, ou de redonner du plaisir au dialogue. Tout ce travail vise une chose : que le fantasme ne devienne jamais le juge du couple, mais plutôt un miroir où chacun peut se découvrir, se dire. Parfois, il s’agit de valider que l’écart existe, et que ce n’est pas grave de ne pas partager tous ses désirs. D’autres fois, cela permet de trouver des terrains d’entente inattendus.

Vous imaginez peut-être que seuls les “grandes crises” amènent à parler de fantasmes en consultation. C’est faux. Beaucoup de couples venus pour des soucis d’érection, de désir ou d’anorgasmie finissent naturellement par évoquer leurs univers imaginaires respectifs. À ce titre, des ressources fiables comme la communication sexuelle dans le couple à Liège permettent de préparer le terrain pour une consultation plus efficace.

Quand l’écart devient inconciliable, la sexologue aide à poser des mots, puis à redéfinir les limites : “Ce scénario-là, je préfère qu’il reste du domaine de l’imaginaire. Mais j’accepte que tu le portes en toi.” D’autres fois, la négociation aboutit à un compromis, voire à une expérimentation consentie, encadrée par des accords clairs (“on tente, mais on débriefe après, on se donne le droit de changer d’avis…”).

On voit ainsi, en pratique, qu’un fantasme bien géré peut devenir un baume, même pour des couples en panne. C’est parfois lui qui apporte la dose d’audace, de mystère, qui manquait. Inversement, un fantasme dangereux, nié, peut fissurer l’édifice. D’où l’importance de se faire accompagner, de sortir de la logique “chacun pour soi”, pour aborder, ensemble, les enjeux émotionnels. Vous vous demandez si c’est utile, même si vous n’habitez pas dans une grande ville ? Rappelons que la consultation sexologique à Liège ou ailleurs, est de plus en plus accessible – via le présentiel ou la visio – et adaptée à toutes les générations, tous les milieux.

Si vous souhaitez avancer dans le dialogue autour du fantasme, il existe aussi des ressources spécialisées : par exemple, les recommandations sur la gestion de la libido instable en couple, qui incluent la prise en compte des scénarios sexuels et de la créativité. L’essentiel est de ne pas rester seuls avec vos interrogations. Parfois, une seule séance permet déjà d’y voir plus clair.

Pour conclure, la gestion du fantasme en thérapie de couple n’est ni un chemin balisé, ni une boîte magique. C’est un art, fait de tâtonnements, de maladresses, parfois de fous-rires, souvent de surprises. À condition de jouer le jeu du dialogue sincère et du respect. Loin des clichés, la science rappelle que le fantasme, quand il est intégré et respecté, n’est plus un obstacle, mais un formidable accélérateur d’intimité. À vous d’oser découvrir… Ensemble.

FAQ – Questions fréquentes

Comment aborder le sujet du fantasme avec son partenaire sans le blesser ?

Il vaut mieux choisir un moment calme, hors du contexte sexuel, et exprimer ses envies comme des curiosités plutôt que des exigences. Validez que chacun pourra évoquer ses ressentis sans crainte de jugement, et rassurez votre partenaire sur vos sentiments. La communication bienveillante permet d’aborder ce sujet délicat en douceur.

Pourquoi certains fantasmes deviennent-ils un problème dans la vie de couple ?

Certaines envies, perçues comme incompatibles ou menaçantes, révèlent souvent des besoins émotionnels non exprimés ou des tensions sous-jacentes. Si la différence de fantasmes génère de la frustration, du malaise ou des conflits durables, il est utile de se faire accompagner pour éviter que le sujet ne fragilise la relation.

Quand faut-il consulter un sexologue pour parler de ses fantasmes en couple ?

Il est recommandé de consulter en cas de blocage à communiquer autour des désirs, de tensions répétées ou si l’un des partenaires ressent de la culpabilité ou de l’anxiété face à ses fantasmes. Un sexologue peut faciliter le dialogue et proposer des outils concrets pour avancer ensemble.

Faut-il réaliser tous ses fantasmes en couple pour être heureux ?

Non, la majorité des fantasmes sont destinés à rester dans l’imaginaire, et ce n’est pas un signe de malaise ou de manque. Ce qui compte, c’est d’intégrer les envies dans la discussion commune et de co-construire, à deux, un espace de désir partagé et respectueux de chacun.

Références scientifiques

1. Joyal, C. C., Cossette, A., & Lapierre, V. (2015). "What Exactly Is an Unusual Sexual Fantasy?" Journal of Sex Research. – Étude sur la prévalence et la diversité des fantasmes sexuels chez l’adulte.

2. Lehmiller, J. J. (2018). “Tell Me What You Want: The Science of Sexual Desire and How It Can Help You Improve Your Sex Life.” Da Capo Lifelong Books. – Résumé des stratégies pour parler de ses fantasmes et favoriser la complicité.

3. IREPS, “Impact des différences de fantasmes sexuels sur l’équilibre conjugal”, Revue Européenne de Sexologie, 2022. – Article de synthèse sur les écarts de scénarios sexuels et leurs conséquences.

4. Levine, S. B. (2003). “The nature of sexual desire: A clinician’s perspective.” Archives of Sexual Behavior, 32(3), 279–285. – Article sur le désir, le fantasme et leur rôle dans les thérapies de couple.

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