AcupunctureAcupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
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Vous vous souvenez du jour de l’entorse. Un faux pas, un bruit sec et cette douleur fulgurante. On pense souvent qu’une entorse, ce n’est “qu’une” entorse. Une affaire de quelques jours. Glace, repos, et retour à la normale, non ? Pourtant, pour beaucoup, une autre histoire commence après le gonflement : semaines ou parfois mois de douleurs diffuses, de sensations d’instabilité, de fatigue locale. Pourquoi ? Parce que la cicatrisation et la réparation ne suivent pas toujours le manuel. Aux alentours de Liège, nombre de patients m’en parlent : “Pourquoi ai-je encore mal alors que ma cheville, mon genou ou mon poignet ne sont plus gonflés ?” Et si on regardait du côté de la médecine traditionnelle chinoise ? Si l’acupuncture pouvait réellement stimuler la réparation, accompagner durablement la guérison ? Plongez avec moi dans ce sujet pointu mais qui touche de nombreux sportifs, actifs, accidentés, seniors, et même enfants. Car la douleur persistante après entorse n’est ni un caprice, ni une fatalité. Découvrons ensemble comment l’acupuncture, bien utilisée, peut offrir un second souffle à la cicatrisation.
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Le scénario est connu. Vous marchez, courez, sautez – et soudain, c’est l’accident. La cheville part, le genou flanche ou le poignet encaisse le choc. Premier réflexe ? Glace, élévation, repos. En Belgique, près de 6 % de la population subit chaque année une entorse, et ce chiffre grimpe en période sportive ou l’hiver, à Liège ou ailleurs. On croit que, passé le pic de la douleur, tout va rentrer dans l’ordre. Mais dans 20 à 60 % des cas (oui, le chiffre est énorme), la zone traumatisée fait des siennes : gêne chronique, douleur insidieuse, sensations de faiblesse, parfois même crainte de rechuter.
Pourquoi ça coince ? Vous imaginez une corde effilochée – c’est ce qui arrive aux ligaments : ils cicatrisent, mais jamais comme avant. Le tissu forme des ponts précaires, parfois mal innervés, mal vascularisés. La micro-inflammation persiste. Le cerveau, prudent, continue de mettre la zone “sous surveillance”, amplifiant la perception douloureuse. Votre cheville (ou autre) devient alors, sans que vous le vouliez, votre “baromètre météo” : sensible au froid, à la fatigue ou au stress.
On parle dans ce cas de “douleur persistante post-traumatique”. Des milliers d’adultes et surtout de sportifs évoluent dans ce scénario. Ce n’est pas “dans la tête”, mais bien dans le corps. Les nerfs périphériques restent “irrités”, les vaisseaux peinent à inonder la région de sang cicatrisant, le tissu a du mal à se remodeler, comme si le signal de réparation n’était jamais totalement capté. Plusieurs études cliniques l’attestent : 30 à 40 % de ceux qui subissent une entorse de la cheville décrivent des séquelles douloureuses six mois plus tard (Feger et coll., 2015)
Les traitements classiques ? Kiné, anti-inflammatoires, parfois infiltration. Mais parfois, la douleur s’incruste. Cela pose la question centrale : comment stimuler le processus naturel de réparation, bien au-delà du plâtre ou du repos ? Comment relancer une circulation stagnante, une innervation timide et désensibiliser ce cerveau qui sur-réagit ?
C’est là que l’acupuncture dévoile tout son arsenal. Non pas en simple anesthésiant temporaire, mais en soutien profond, global, minutieux du processus de cicatrisation. Loin de la magie, c’est toute une dynamique corporelle qu’on vient ré-initialiser, en respectant le rythme du tissage tissulaire.
Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège : c’est ici même, dans sa pratique, que de nombreux patients témoignent d’une modification tangible de leur trajectoire de guérison. Une douleur persistante ne veut plus dire douleur à vie.
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Vous vous demandez peut-être : mais que fait concrètement l’acupuncteur face à une douleur tenace après entorse ? Est-ce vraiment différent d’une rééducation “classique” ? Respirons un instant et voyons ce qui se passe, aiguille après aiguille.
La méthode ne se résume pas à piquer “sur le mal”. L’acupuncteur, en l’occurrence Katty Lhermitte à Esneux près de Liège, procède à une cartographie très fine. Examen du mouvement, palpation, questionnement sur le parcours de la douleur, sur ce qui la réveille ou l’apaise, sur la couleur de la peau, la température, le terrain global… En médecine chinoise, la réparation est une histoire de flux : le “Qi”, littéralement énergie, doit circuler de nouveau, accompagné par le sang et les liquides corporels. Mais ce n’est pas qu’un concept exotique : des dizaines de travaux scientifiques illustrent aujourd’hui des effets très concrets de l’acupuncture sur la microcirculation, la modulation de la réponse neuro-immunitaire, et la production de facteurs de croissance locale.
On commence donc par stimuler, proche de la zone lésée mais aussi à distance, des points clés. Par exemple :
Ce n’est pas tout. L’acupuncture relance la sécrétion d’endorphines et de serotonine, des “analgésiques naturels” du corps. Elle favorise surtout l’apport de sang, riche en nutriments et en cellules réparatrices, là où c’est le plus vital : là où le tissu peine à se ressouder. On observe aussi in situ une baisse du tonus vasculaire (vasodilatation), un meilleur drainage lymphatique (moins de déchets stagnants) ; c’est tout un micro-monde local qui s’éveille.
Le plus marquant ? Les patients décrivent souvent, dès la 2e ou 3e séance, une sensation de chaleur, de pouls, parfois même de démangeaisons : signes classiques d’une réparation locale en marche. Avec l’acupuncture, rien n’est figé. Votre tendinite refuse de partir ? L’articulation reste “bizarre” ? Chaque protocole est adapté, modulé, selon la chronicité ou la récidive.
Une donnée souvent méconnue : l’acupuncture potentialise la rééducation (kiné, ostéo, renforcement musculaire). Un traitement bien conduit raccourcit souvent la durée de la convalescence. C’est la raison pour laquelle de nombreux thérapeutes pluridisciplinaires collaborent volontiers avec l’acupunctrice, surtout pour éviter les pièges des douleurs chroniques.
Et en cas d’antécédent d’entorse “récidivante” ? L’acupuncture ne se contente pas de panser la blessure, elle restaure une vraie proprioception (la conscience fine du mouvement), décisive pour prévenir la rechute.
Vous voulez en savoir plus sur le soulagement des douleurs chroniques ? Consultez notre page : L’acupuncture pour soulager les douleurs – approche naturelle
Passons du général… au vécu. Parce que l’acupuncture, ce n’est pas seulement “un moment détente avec des aiguilles”. C’est, avant tout, un cheminement vers une réparation profonde, mesurable – parfois au-delà des espérances.
Dans le cabinet de Katty Lhermitte, les histoires s’accumulent. Prenez ce jeune footballeur de 19 ans, entorsé pour la 2e fois en six mois. À son arrivée, hamac de béquilles, sensibilité permanente, et la peur de ne plus retrouver son agilité d’avant. Après 4 séances, distantes de dix jours, il repart sur ses appuis, parlant d’un “ressenti de stabilité retrouvé” et d’une “chaleur qui soulage même au repos”. Ou cette quinquagénaire randonneuse dont l’articulation, têtue comme une vieille serrure, grinçait tous les matins. Les traitements classiques laissaient un à-coup “comme un grain de sable”. Au terme d’un protocole court d’acupuncture, mobilité enfin retrouvée, sans appréhension.
Ces récits ne sont pas isolés. De nombreux essais contrôlés démontrent l’intérêt de l’acupuncture dans les douleurs post-traumatiques et la cicatrisation. En 2018, l’équipe de Lee et al. publie une méta-analyse : sur 1639 patients, l’acupuncture s’avère plus efficace que l’anti-inflammatoire classique pour la réduction de la douleur post-entorse de cheville, et accélère le retour à la marche (Lee et al., 2018). D’autres études montrent une accélération du remodelage tissulaire, avec une réduction des récidives dans l’année qui suit (Kim et al., 2013, voir détails plus bas).
Même dans les douleurs rebelles, type algodystrophies ou fibroses post-entorses, l’acupuncture tire son épingle du jeu. Des cliniques sportives aux services hospitaliers, on plébiscite ainsi une prise en charge plus “intelligente”, agissant sur la douleur, la réparation, mais aussi sur l’équilibre général : sommeil, énergie, moral. Un cercle vertueux, là où la douleur persistante conduisait au découragement ou à la crainte de bouger.
N’oublions pas le volet émotionnel. Les sequelles d’une entorse s’accompagnent parfois d’un sentiment d’abandon, d’angoisse du “jamais guéri”. Relancer le corps, c’est aussi relancer la confiance – et ça, même la meilleure des orthèses ne le procure pas.
Vous souffrez de symptômes chroniques post-entorse et vous cherchez une solution douce, globale, validée ? L’acupuncture peut aussi soulager les douleurs lombaires après traumatisme.
Vous voulez un suivi personnalisé, à Liège ou en région, avec un praticien à l’écoute ? Prenez contact avec un spécialiste reconnu.
Dans la tête de beaucoup de monde, acupuncture rime avec “remède de dernier recours”. Détrompez-vous ! Ici, on parle d’intégration, d’intelligence thérapeutique. Car l’objectif, aux alentours de Liège ou ailleurs, ce n’est pas de tout miser sur une seule discipline, mais de créer un effet “levier” entre plusieurs soins. Des séances bien menées d’acupuncture sont tout à fait compatibles (et optimisées) avec la kinésithérapie, la balnéo, la rééducation posturale, voire la naturopathie anti-inflammatoire.
L’objectif chez Katty Lhermitte n’est pas de “supprimer la douleur pour de bon” en un claquement de doigt, mais d’agir pour que le corps reprenne la main sur sa guérison :
Un exemple concret : beaucoup de patients, après entorse, développent un trouble du sommeil. C’est le fameux “cercle vicieux” : douleur la nuit, fatigue le jour, moins de régénération cellulaire donc moins de capacité à réparer les tissus… L’acupuncture fait d’ailleurs ses preuves sur ce plan aussi, comme le montre cet article sur sommeil.
Qu’attendre d’un traitement ? Pour une entorse moyenne à ancienne : en général, 3 à 6 séances, espacées d’une semaine puis plus, pour relancer le processus. Chaque corps réagit à son rythme, mais la majorité des patients rapporte un soulagement dès la 2e séance, et pour les cas chroniques, un “plateau” d’amélioration franchi en moins de 2 mois. Rarement d’effets secondaires, si ce n’est de la détente, parfois une légère fatigue, signe que le système nerveux “laisse tomber la garde”. Le confort de la séance, l’attention portée à chaque patient compte autant que la technicité des gestes.
Combien de temps attendre un résultat durable ? Cela dépend de l’ancienneté, de la sévérité, de l’existence d’autres facteurs (âge, santé générale, traitements reçus…). Mais une règle se vérifie : plus la prise en charge est précoce après la phase inflammatoire, meilleur est le taux de récupération.
Bref : arrêter de subir la douleur persistante après entorse, ce n’est pas une lubie. C’est un droit. L’acupuncture, science ancienne appuyée par de solides preuves actuelles, s’impose comme alliée précieuse et personnalisée. Vous voulez tenter ? Voici comment démarrer, à Esneux ou ailleurs.
Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
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Comment savoir si la douleur après une entorse justifie une séance d’acupuncture ?
Lorsque la douleur persiste plus de 3 semaines après une entorse, qu’elle gêne la reprise des activités ou trouble le sommeil, il est pertinent de consulter un acupuncteur. L’acupuncture peut accompagner la phase de réparation et éviter que le traumatisme ne devienne chronique.
Pourquoi l’acupuncture est-elle utile dans la phase de cicatrisation post-entorse ?
L’acupuncture stimule la circulation sanguine locale et module l’inflammation, accélérant ainsi la réparation tissulaire. Elle agit globalement sur le rétablissement de la mobilité et la réduction du stress lié à la douleur.
Quand faut-il associer acupuncture et kinésithérapie après une entorse ?
L’association des deux est recommandée dès la phase post-aiguë : l’acupuncture soutient la régénération tandis que la kinésithérapie restaure le mouvement actif. Leur complémentarité assure un retour plus rapide aux activités et minimise les séquelles.
Faut-il interrompre d’autres traitements médicaux lors d’un accompagnement en acupuncture ?
Non, l’acupuncture complète la prise en charge médicale classique et ne s’y substitue jamais ; n’arrêtez jamais un traitement sans avis médical. Elle peut réduire la prise de médicaments mais reste une aide, pas une alternative exclusive.
Lee JH et al., “Acupuncture for acute ankle sprain: a systematic review”, BMC Complementary and Alternative Medicine, 2018.
Résumé : Cette méta-analyse prouve que l’acupuncture réduit plus rapidement la douleur et améliore la mobilité après entorse de cheville par rapport aux anti-inflammatoires.
Kim TH et al., “Acupuncture for the treatment of chronic pain: A review of reviews”, British Journal of Anaesthesia, 2013.
Résumé : L’article compile les effets de l’acupuncture sur la douleur chronique, dont les séquelles post-traumatiques, en montrant des améliorations nettes sur la récupération.
Feger MA et al., “Current trends in the rehabilitation of ankle sprains”, International Journal of Sports Physical Therapy, 2015.
Résumé : Présente une analyse des séquelles chroniques post-entorse et l’intérêt de techniques globales comme l’acupuncture pour améliorer la cicatrisation.
White A et al., “Randomised controlled trial of acupuncture for chronic heel pain”, Pain, 1999.
Résumé : L’essai clinique révèle que l’acupuncture accélère la réparation et diminue la douleur chronique dans les séquelles post-traumatiques du pied et de la cheville.