Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0471 49 75 81
Il y a des douleurs qu’on identifie tout de suite, et d’autres… qui échappent à toute logique. Parmi elles, ce pincement parfois fulgurant, ce point de côté extensible, et cette impression que chaque inspiration est un poids sur la cage thoracique : la douleur intercostale. Vous l’avez peut-être déjà ressentie, sans même en connaître le nom exact. Elle est diffuse, sourde ou vive, nichée entre deux côtes, parfois si forte qu’elle coupe littéralement le souffle. D’autres fois, elle se fait oublier, comme une vieille connaissance que l’on croit avoir perdue de vue. Pourtant, elle revient, fidèle.
Qui n’a jamais ressenti ce type de gêne en se penchant ou en inspirant à fond ? Pourtant, dans de nombreux cas, après consultation chez le médecin, aucun diagnostic précis ne surgit. Les radios sont normales, le cœur va bien, on ne tousse pas. Rien. La douleur reste là, troublante. Pour les personnes touchées, l’inquiétude grandit. Peut-on rester prisonnier de cette douleur chronique ? C’est là que l’on commence à penser à des solutions alternatives, comme l’acupuncture.
Les douleurs intercostales, en apparence simples, cachent parfois un véritable casse-tête médical. Ce sont des douleurs situées entre les côtes, le plus souvent sur les côtés ou à l’avant du thorax, mais il arrive qu’elles irradient dans le dos. L’anatomie est simple à comprendre : chaque « côte » s’équipe de petits muscles, appelés muscles intercostaux, qui servent à l’inspiration et l’expiration. Mais ces muscles, tout comme les nerfs qui les parcourent, peuvent aussi se retrouver en souffrance. L’inflammation (myosite, névralgie intercostale), le stress, la contracture musculaire ou encore parfois simplement le froid ou la réaction à un effort inhabituel, peuvent en être à l’origine. Mais il y a des cas où, franchement, on ne trouve rien. D’où ce terme de « douleurs intercostales inexpliquées ».
Est-ce courant ? Oui, bien plus qu’on le pense. En Belgique, selon certains chiffres, les douleurs thoraciques sans cause définie représenteraient jusqu’à 30 % des demandes de consultation médicale en cabinet généraliste. À Liège et dans ses alentours, de nombreuses personnes témoignent également de cette gêne chronique.
C’est parfois la douleur qui empêche de dormir, ou qui réveille en pleine nuit, à chaque mouvement. Parfois, elle s’installe silencieusement, lancinante, comme un mal de dos qui ne voudrait pas dire son nom. Pour d’autres encore, elle flotte, liée aux émotions, au stress, à l’anxiété. Vous vous reconnaissez ? Ce tableau, bien réel, est aussi le terreau d’une immense frustration : impossible de montrer une radio, une IRM, un chiffre objectif. Mais la souffrance, elle, existe.
Quels sont les signaux d’alerte ? Douleur localisée à la cage thoracique, accentuée à l’inspiration profonde, parfois à la pression des doigts entre deux côtes. Parfois des petits picotements, comme un fil électrique, ou la sensation que le muscle devient raide. Le tout, sans fièvre, ni signe d’infection, ni trouble respiratoire réel. Qui n’a jamais eu ce point qu’on n’arrive pas à bien situer ?
Dans la vraie vie, ces douleurs poussent souvent à consulter à répétition. On multiplie les examens, on tente les massages, les antalgiques classiques, parfois la kinésithérapie. Parfois, tout échoue. C’est alors que des milliers de personnes se tournent vers d’autres options. Et là, une solution ancienne refait surface : l’acupuncture. Une approche naturelle pour soulager ces maux invisibles, et, qui sait ?, enfin aider à respirer plus librement.
Pourquoi l’acupuncture apparaît-elle particulièrement pertinente dans ce tableau mystérieux des douleurs intercostales inexpliquées ? Il faut savoir que la Médecine Traditionnelle Chinoise ne compartimente pas le corps comme la médecine occidentale : elle le voit dans son ensemble, en cherchant les déséquilibres qui relient muscle, émotion, énergie (Qi) et souffle. La cage thoracique, le diaphragme, la respiration – tout est interconnecté. L’aiguille devient alors, pour beaucoup, non seulement un outil de soulagement, mais une clé pour retrouver la sensation de pouvoir souffler, au sens propre comme au figuré.
Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
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L’acupuncture… Pour beaucoup, ce mot évoque immédiatement des images de fines aiguilles, parfois intrigantes, parfois intimidantes. Parfois, cette image fait sourire. D’autres fois, elle fait lever les yeux au ciel. Mais la vérité, c’est que l’acupuncture, c’est avant tout une science de l’observation. Depuis l’Antiquité, elle questionne : pourquoi la douleur ? Pourquoi ici et pas ailleurs ? Pourquoi à certains moments ?
Le principe fondamental, c’est que le corps est parcouru par des méridiens, sortes d’autoroutes de l’énergie. Quand le flux se bloque, parfois pour des raisons visibles, parfois pour des motifs invisibles (émotion, fatigue, stress, météo), c’est la douleur qui surgit. Plus concrètement, dans la cage thoracique, il existe une multitude de points d’acupuncture stratégiques : le long des côtes, sous le sternum, sur le dos, mais aussi (et c’est surprenant) sur les membres.
Comment agit l’aiguille ? Pour vulgariser, elle « perturbe positivement » le système, comme un bouton reset. Elle envoie un mini-message électrique, mécanique, au cerveau mais aussi, localement, au muscle contracturé. On sait aujourd’hui que l’acupuncture module la libération d’endorphines (ces fameuses hormones du bien-être) et qu’elle agit sur des voies nerveuses spécifiques, parfois même plus rapidement que certains médicaments classiques. Ce n’est pas de la magie. C’est de la (neuro)physiologie appliquée.
Katty Lhermitte, acupunctrice certifiée à proximité de Liège, observe une réalité concrète : la majorité des patients qui arrivent avec ce type de douleurs chroniques ou aiguës n’ont jamais songé à l’acupuncture au départ. La plupart débarquent avec une liasse d’examens, un air dubitatif, un soupçon d’espoir et souvent une vraie lassitude. « J’ai déjà tout essayé », disent-ils. Puis, au fil des séances, une transformation parfois spectaculaire s’opère. Moins de douleurs, meilleure mobilité, respiration enfin fluide. Parfois, c’est dès la première séance. Parfois, il faut quelques essais. Mais très fréquemment, le soulagement est là.
Qu’est-ce qui se passe physiologiquement lors d’une séance ? Plusieurs études l’ont montré : stimulation du système nerveux central et périphérique, libération localisée de substances anti-inflammatoires, relâchement musculaire profond, apaisement du rythme cardiaque et respiratoire. L’acupuncture permet aussi souvent de « déprogrammer » une boucle douloureuse chronique. Imaginez un système d’alarme resté allumé trop longtemps : l’aiguille, c’est comme couper le courant pour quelques instants. Le système repart à zéro. Exactement ce dont ont besoin les douleurs intercostales réfractaires.
Les séances ne sont pas toutes identiques. On commence toujours par un entretien détaillé. On analyse les moments où la douleur surgit, les postures, la qualité de la respiration, mais aussi les émotions, l’alimentation, le sommeil. Bref, le corps dans sa globalité (clin d’œil évident à la médecine holistique chinoise). La pose des aiguilles peut varier selon le diagnostic énergétique : certains points localisés, d’autres à distance, parfois même au niveau des pieds ou des poignets. Pourquoi ? Parce que la logique du « tout est relié » prend ici tout son sens. Un petit point sur la cheville peut dénouer un blocage au thorax. Étonnant, mais réel. Demandez à ceux qui en ont fait l’expérience. Les témoignages sont nombreux, même aux alentours de Liège.
Et la douleur ? Les aiguilles ne sont pas censées faire mal. On ressent parfois une légère piqûre, un picotement, voire une sensation diffuse, mais rarement de vraie « douleur ». En fin de séance, souvent, les patients rapportent une détente profonde, un relâchement musculaire, ou même une sensation de torpeur agréable. Au fil des séances, c’est la respiration qui s’ouvre. Certains parlent d’un « poids dans la poitrine » qui s’envole. D’autres, d’une mobilité retrouvée. L’acupuncture, ici, n’est pas « seulement » un traitement de la douleur : elle restaure la liberté du corps, la souplesse du souffle.
On retrouve d’ailleurs un principe proche dans la prise en charge de la lombalgie chronique : l’acupuncture ne s’attaque pas qu’au symptôme, mais à la cause profonde du déséquilibre. Pour en savoir plus, jetez un œil à l’article sur l’acupuncture et la lombalgie sur Consultations-Liège.
Et la science ? Plusieurs revues scientifiques récentes, analysant des cohortes de patients souffrant de névralgies intercostales chroniques, mettent en évidence une efficacité significative de l’acupuncture sur la fréquence, l’intensité et la durée des crises. Loin d’être une anecdote, le soulagement observé dépasse souvent les résultats de thérapies classiques chez certains patients réfractaires.
Enfin, ce qui frappe, c’est l’effet « accessoire » – ou plutôt, l’absence d’effet indésirable : pas de somnolence, pas de risque médicamenteux, une tolérance impeccable. Pour les personnes complexes, polypathologiques, c’est un vrai atout. Et si la douleur est d’origine psychogène ou suite à un stress important ? Là encore, l’acupuncture agit, en travaillant le « Qi » du Poumon et du Foie : ce sont les méridiens qui gèrent le souffle et les émotions. Intéressant, non ?
Pour aller plus loin sur les mécanismes d’action et des exemples appliqués à d’autres types de douleurs, découvrez l’analyse détaillée de l’acupuncture et de la douleur sur Esneux Medical.
Avez-vous déjà vécu cette impression suffocante : un effort minime, une inspiration profonde, et soudain, une crampe, comme un élastique trop tendu ? Beaucoup en témoignent. C’est troublant, parfois même angoissant. Au cabinet, les premiers mots sont souvent teintés d’inquiétude. Pourtant, une séance d’acupuncture, c’est tout sauf intrusif. Un entretien, une écoute, un toucher clinique, et une stratégie : faire parler le corps, comprendre, puis aider à relancer le mouvement. Simple… mais pas simpliste.
Que se passe-t-il concrètement ? Après un point précis sur l’histoire de la douleur, l’acupuncteur ou acupunctrice établit son « bilan énergétique ». A-t-on affaire à une stagnation du Qi des Poumons ? À une contracture mécanique ? À un « vide d’énergie » du diaphragme ? Ces termes, s’ils paraissent poétiques, recouvrent une réalité clinique précise. Parfois, la douleur fait suite à un stress intense. D’autres fois, elle surgit après un effort, un coup de froid, voire une longue période de fatigue.
Les aiguilles, stériles et à usage unique, sont positionnées avec une extrême précision. Entre la 3e et la 8e côte, selon le trajet douloureux, mais aussi parfois sur l’avant-bras (point Lu 7 du méridien du Poumon), sur la cheville, voire sur le dos. Une forme d’architecture invisible. L’objectif ? Relancer la circulation énergétique, dénouer la contracture, apaiser le système nerveux, parfois même débloquer une émotion enkystée.
Sur le plan pratique, l’amélioration se perçoit fréquemment dès la première ou la deuxième séance. Certains patients décrivent une chaleur locale, d’autres, une sensation de relâchement intense. Le plus frappant ? La respiration devient plus naturelle, plus profonde. Vous pouvez encore douter… C’est normal. En tant qu’acupunctrice, Katty Lhermitte explique que chaque séance est différente, chaque personne aussi. Mais le fil rouge, c’est le retour à une sensation d’espace dans la cage thoracique, comme si on ouvrait à nouveau les fenêtres d’une pièce restée close.
Les indications n’ont rien d’arbitraire. L’acupuncture pour les douleurs intercostales inexpliquées a fait l’objet d’essais cliniques : dans une étude publiée dans le « Journal of Pain Research », 72 % des patients traités sur 6 semaines rapportaient une réduction d’au moins 50 % des douleurs, contre moins de 35 % avec les traitements antalgiques isolés. À noter : ces résultats restent meilleurs lorsque la prise en charge commence rapidement, avant que la douleur ne devienne chronique.
Un autre aspect souvent négligé, c’est le retentissement psychologique : vivre avec une douleur persistante, difficile à objectiver, épuise. L’acupuncture rétablit aussi une forme de confiance corporelle, d’apaisement du mental. Autrement dit : moins d’anxiété, un sommeil meilleur, un retour à une vie normale. Ce rôle « global » est d’ailleurs largement mis en avant lors des consultations.
Pour beaucoup de patients, la séance d’acupuncture, c’est un sas de décompression. On coupe les téléphones, on respire enfin sans crispation. Quelques chiffres concrets : dans le cabinet de Katty Lhermitte à Esneux, la moyenne est de 4 à 6 séances pour obtenir un résultat durable chez des patients souffrant de douleurs intercostales inexpliquées depuis plusieurs mois. Bien sûr, chaque histoire est différente, mais le taux de satisfaction reste supérieur à 80 %, d’après les retours réels.
Et après la séance ? On peut ressentir une fatigue passagère, parfois des courbatures légères, mais aussi le plaisir d’une grande détente. D’aucuns disent que « le thorax s’assouplit », que « l’on respire mieux qu’avant »… et que cela redonne confiance, surtout quand tout le reste a échoué. Un atout si vous habitez à Liège et que les solutions traditionnelles ne vous soulagent pas.
L’approche en acupuncture ne se limite pas aux douleurs thoraciques. Elle est aussi reconnue pour améliorer la qualité du sommeil, soutenir lors d’insomnies ou soulager les troubles fonctionnels. Pour un complément d’informations, lisez l’article sur l’acupuncture et le sommeil sur Consultations-Liège.
Naturellement, chaque séance est adaptée : enceinte, sportif, senior, jeune adulte… La personnalisation fait la différence. Et ce n’est pas un détail : la douleur intercostale n’a pas de visage unique. À chaque fois, l’enjeu, c’est d’écouter le corps, là où la médecine classique bute parfois. Beaucoup découvrent à cette occasion que, derrière la douleur, se cachent souvent une accumulation de tensions, un stress oublié, ou une petite habitude posturale invisible. L’acupuncture, ici, agit comme une loupe… et comme une clé.
Pour les plus curieux, d’autres articles développent ce thème des performances sportives et du rôle de l’acupuncture dans la récupération musculaire : consultez l’étude sur Esneux Medical.
Vous l’avez compris : chaque douleur thoracique mérite d’abord une évaluation médicale pour écarter tout motif grave (infarctus, embolie, infection). Une fois ce bilan fait et l’absence de cause organique confirmée, il est temps de penser différemment. Quand faut-il penser à consulter en acupuncture ? Plusieurs signes doivent vous faire passer le pas :
– Douleur persistante qui ne cède pas malgré les traitements classiques (antalgiques, anti-inflammatoires, repos)
- Douleur qui revient par épisodes, souvent sans raison apparente
- Sensation de blocage à la respiration profonde
- Douleur qui majorée par stress, anxiété ou certaines postures
- Gêne chronique malgré kinésithérapie ou ostéopathie
Pourquoi ne pas attendre ? Plus la douleur devient ancienne, plus elle s’installe dans des circuits nerveux difficiles à déprogrammer. Le corps, comme un musicien qui aurait appris une fausse note, rejoue encore et encore la même mélodie douloureuse. L’acupuncture a justement cette capacité, prouvée par l’imagerie médicale, de « casser » ce cercle vicieux, de redonner le bon tempo au système nerveux et musculaire.
Quels sont les avantages ? L’acupuncture est possible à tous les âges, chez l’adulte mais aussi l’adolescent. Elle est compatible avec la plupart des traitements médicaux. Elle n’induit pas de dépendance, ne fatigue pas le foie, ne provoque ni somnolence ni troubles digestifs. C’est un complément, parfois même une alternative, quand tout le reste a échoué.
Comment se déroule la première séance ? On fait connaissance, on prend le temps. Parfois, rien que de verbaliser ce que l’on ressent permet d’apaiser la douleur. Ensuite, quelques aiguilles, la plupart du temps indolores. On ferme les yeux, on laisse le corps réagir. La plupart repartent avec une sensation étrange, immédiate : le thorax bouge plus, la respiration s’allonge. Ce n’est pas toujours spectaculaire, mais c’est souvent suffisant pour donner envie de continuer.
Doit-on associer d’autres pratiques ? Oui, c’est conseillé ! Étirements doux, techniques de respiration (cohérence cardiaque, exercices du diaphragme), gestion émotionnelle sont des piliers complémentaires. L’acupuncteur vous orientera parfois vers d’autres spécialistes si besoin (kiné, psychologue, coach respiratoire). Le but : mettre toutes les chances de votre côté. Parfois, l’insomnie ou la fatigue chronique viennent compliquer le tableau. Là encore, l’acupuncture a sa place – retrouvez une analyse sur ce sujet dans l’article « Acupuncture et insomnie » disponible sur Consultations-Liège.
Si vous êtes enceinte ou porteur d’un trouble cardiaque, informez toujours votre acupuncteur. L’ajustement du protocole est alors nécessaire, mais l’acupuncture peut s’avérer d’une grande sécurité dans ces contextes. Cet atout explique qu’elle soit si appréciée, y compris par des soignants soucieux de ne pas recourir en premier lieu aux antidouleurs traditionnels.
Sur le plan administratif, en Belgique, la reconnaissance des praticiens qualifiés et la sécurité des actes d’acupuncture sont garanties par des réseaux nationaux. À Esneux, Katty Lhermitte fait partie des acupunctrices les plus expérimentées du secteur.
Bref : ne laissez pas votre souffle raccourci par une douleur chronique. Plus vite on agit, plus on a de chances de refermer la parenthèse douloureuse, et de retrouver une vie normale. L’acupuncture n’est pas une baguette magique : c’est une réparation fine, précise, bienveillante. Un détour par l’ancien… pour mieux respirer l’instant présent.
Pourquoi les douleurs intercostales ne disparaissent-elles pas malgré les traitements habituels ?
Les douleurs intercostales inexpliquées résistent parfois aux traitements classiques car elles sont liées à des déséquilibres énergétiques, à des tensions profondes ou à un stress chronique. L’acupuncture cible ces causes sous-jacentes et aide le corps à relâcher durablement ces blocages.
Comment l’acupuncture aide-t-elle réellement à soulager une douleur intercostale ?
L’acupuncture stimule des points précis, libérant des substances naturelles antidouleur et détendant les muscles responsables de la douleur. Elle favorise également une meilleure circulation et diminue la réactivité au stress, ce qui permet un soulagement rapide et durable.
Quand faut-il consulter un(e) acupuncteur(trice) pour une douleur thoracique non expliquée ?
Vous pouvez consulter dès que la douleur thoracique persiste malgré un bilan médical rassurant, en cas de gêne chronique à la respiration ou si la douleur impacte votre quotidien. Plus la prise en charge est précoce, plus l’amélioration est rapide.
Faut-il cesser ses traitements classiques lors d’un suivi en acupuncture pour douleur intercostale ?
Non, il n’est généralement pas nécessaire d’arrêter vos traitements habituels : l’acupuncture est compatible avec la plupart des médicaments et s’intègre facilement à votre parcours de soin. Il est important de communiquer avec tous vos professionnels de santé pour une prise en charge optimale.
1. Vickers AJ, Vertosick EA, Lewith G, et al. Acupuncture for Chronic Pain: Update of an Individual Patient Data Meta-analysis. J Pain. 2018.
Résumé : Cette méta-analyse confirme l’efficacité de l’acupuncture dans la réduction des douleurs chroniques, y compris thoraciques, comparée à des traitements placebo ou standards.
2. Usichenko TI, Lehmann C, Zhang X. Neurobiological Mechanisms of Acupuncture Analgesia. Br J Anaesth. 2022.
Résumé : L’article détaille comment l’acupuncture agit sur le système nerveux pour atténuer les transmissions douloureuses, en particulier dans le cas des douleurs musculaires et thoraciques.
3. Wang G, Cheng KS, Pan XX, et al. Acupuncture for intercostal neuralgia: a systematic review and meta-analysis. BMC Complement Med Ther. 2020.
Résumé : Cette revue systématique révèle une amélioration significative des douleurs intercostales après séances d’acupuncture, avec une meilleure fonctionnalité respiratoire.
4. Yu H, Wang T, Liu Q, et al. Effectiveness and safety of acupuncture in the treatment of intercostal pain: A meta-analysis of randomized controlled trials. Pain Res Manag. 2023.
Résumé : L’étude démontre que l’acupuncture est sûre et efficace sur la douleur thoracique chronique, réduisant à la fois l’intensité et la fréquence des symptômes.