Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
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En 2024, la scène est banale : vous vous redressez après trois heures passées devant votre ordinateur, et une raideur sournoise s’installe juste sous la nuque. Une tension, d’abord discrète, puis fulgurante. Parfois un simple torticolis. Parfois une douleur qui irradie jusque dans le haut du dos, épaules et même jusque dans la tête. Le télétravail modifie notre rapport au mouvement. À force de calls interminables et de réunions devant l’écran, on adopte sans s’en rendre compte des postures statiques : dos voûté, menton avancé, épaules qui grimpent. C’est le cocktail parfait pour fabriquer une nuque de béton et voir le mal s’installer durablement.
Les chiffres ? Près d’un employé de bureau sur deux signale des douleurs cervicales liées à l’ordinateur, en Belgique. Et ça ne touche pas que les "geeks". Même les profils créatifs, soignants ou enseignants y passent. À Liège, de nombreux patients viennent consulter pour ce motif précis, preuve que le phénomène est devenu viral… à force de visioconférences !
Comment expliquer cette montée en flèche des douleurs de nuque ? Une clé souvent sous-estimée réside dans l’immobilité imposée par l’écran : nos muscles profonds du cou, censés nous tenir tout droit, sont presque constamment sollicités mais dans de mauvaises conditions. En clair : ils bossent trop, mais jamais dans le bon axe. Au fil du temps, des micro-contractures se forment, la circulation se raréfie, les tissus deviennent douloureux et hypersensibles.
Curieux hasard, ou non : à Liège, des thérapeutes constatent une nette hausse des consultations d’acupuncture spécifiquement pour ces "cervicalgies d’ordinateur". Vous reconnaissez-vous dans ce portrait ?
Mais le tableau ne serait pas complet sans évoquer l’aspect émotionnel. C’est ainsi qu’en médecine traditionnelle chinoise, le stress, l’irritabilité ou la rumination (« comment vais-je finir ce dossier, quand pourrai-je souffler ? ») favorisent la cristallisation des tensions musculaires et énergétiques dans la zone du cou et des épaules. Imaginez la nuque comme un carrefour où se croisent fatigue physique, surcharge cognitive et crispations émotionnelles. Difficile d’y échapper !
Dans la vraie vie, le télétravail ne s’accompagne pas toujours de pauses régulières, ni de sièges ergonomiques de compétitions. Aux alentours de Liège, rares sont ceux qui investissent dans des équipements dignes des grandes entreprises : le plus souvent, la table de salle à manger fait office de bureau. Le problème vient de là aussi. Être “mal assis”, c’est s’exposer à plus de douleurs que si l’on portait un sac de 10 kg sur une épaule toute la journée.
Petit aparté : vous ne trouvez pas étrange que nos ancêtres, pourtant travailleurs acharnés, ne se plaignaient pas autant de la nuque ? La différence ? Ils bougeaient tout le temps. Nous, on reste statiques devant une lumière bleue qui scotche le regard et bloque nos articulations.
Heureusement, il existe des solutions naturelles et surprenantes pour relâcher cette nuque douloureuse. Parmi elles, l’acupuncture s’impose de plus en plus comme une alternative crédible, même pour les adeptes du télétravail. Mais comment ce “duo insolite” acupuncture-écran peut-il inverser la spirale de la douleur ?
Acupuncture et stress : libérer le corps et le cerveau à Liège
Si l’acupuncture intrigue, c’est parce qu’elle est à la fois millénaire… et furieusement d’actualité pour nos douleurs modernes. Au cœur de la pratique, un principe simple : relancer la circulation (du sang, de l’énergie) dans les zones engourdies ou tendues par la sédentarité. Dans le concret : quand la nuque souffre, l’acupuncture aide à “débloquer le carrefour” où tout semble figé.
Le traitement commence toujours par un diagnostic détaillé : le praticien examine la mobilité du cou, palpe les muscles du trapèze, scrute la souplesse des tissus. Il interroge aussi sur le sommeil, le niveau de stress, les habitudes devant l’écran. Pourquoi ? Parce qu’une douleur cervicale ne prend jamais racine au hasard. Parfois, la source est plus émotionnelle qu’on ne croit. À d’autres moments, c’est uniquement mécanique. L’acupunctrice – comme Katty Lhermitte à Esneux – va donc chercher à croiser ces deux "lignes de faille".
Mais comment, concrètement, une aiguille plantée dans la peau du poignet ou du pied (oui, du pied !) peut soulager la nuque ? La réponse est dans la cartographie énergétique du corps établie par la médecine chinoise. Pour simplifier : chaque douleur cervicale s’apparente à un embouteillage autour de la 7ème vertèbre cervicale. L’acupuncteur va donc agir à distance, sur des points bien précis, pour "lever le barrage" : poignet, cheville, haut des épaules, parfois le visage. Le but ? Stimuler une réponse de détente dans le muscle contracté, chasser les toxines stagnantes, et relancer la production de neurotransmetteurs antalgique (endorphines, sérotonine). L’effet est souvent rapide : après une séance, l’impression d’avoir quitté un carcan… et il n’est pas rare de voir les patients retrouver une amplitude de mouvement quasi-normale.
Scientifiquement, cela s’explique. Plusieurs études montrent que l’insertion d’aiguilles sur les points d’acupuncture cervicale entraîne une activation locale des fibres nerveuses – ce qui “coupe la douleur” et provoque une micro-dilatation vasculaire. Résultat : meilleure oxygénation, évacuation des déchets, récupération accélérée. D’ailleurs, pour les curieux, lire ce article détaillé sur les bienfaits de l’acupuncture pour soulager les douleurs peut être éclairant.
Mais ce n’est pas tout : la manipulation subtile des aiguilles, leur profondeur, leur légère rotation, tout est adapté à la typologie de la douleur. Une contracture aiguë du trapèze, après une nuit blanche à finaliser un projet ? On privilégiera un protocole “d’urgence” pour détendre rapidement. Une douleur chronique, persistante depuis des mois ? L’approche sera globale, mêlant points locaux et distaux, pour rééquilibrer l’ensemble de la posture.
Dans la vraie vie, au cabinet, la séance s’accompagne parfois de moxibustion (stimulation douce par une chaleur contrôlée sur certains points), de ventouses ou encore d’un massage relaxant du cou. C’est l’autre force de l’acupuncture : agir en profondeur, mais en douceur, sans agresser les tissus. Il n’y a pratiquement pas d’effets secondaires si la séance est réalisée par une professionnelle diplômée comme Katty Lhermitte.
La séance terminée ? Souvent, la sensation de relâchement est spectaculaire. Certains parlent même de « sensation de tête légère », comme si la nuque avait perdu son poids – image parlante, non ?
Au fil des séances, on observe : une diminution de la fréquence et de l’intensité des douleurs, une meilleure tolérance à l’ordinateur, une fatigue générale en baisse. Dans certains cas, les troubles du sommeil (liés à l’inconfort du cou) s’améliorent aussi. Pour creuser ce point, relisez notre article complet sur l’acupuncture et l’insomnie.
L’expérience de terrain le prouve : même pour ceux qui n’y « croyaient pas trop », le soulagement peut surprendre.
Vous enchaînez les visioconférences et ressentez cette fameuse raideur dans la nuque ? L’idée n’est pas de tout arrêter, mais d’apprendre à gérer l’après-écran. L’acupuncture n’est pas magique : elle doit s’inscrire dans une démarche concrète, applicable au quotidien. C’est le duo gagnant : soin en cabinet et routines de prévention à la maison.
Premier réflexe ? Penser ergonomie – mais de façon réaliste. Pas besoin de vous ruiner dans une chaise de compétition. Quelques ajustements suffisent : surélevez l’écran à hauteur des yeux, gardez le dos droit (un simple coussin lombaire peut suffire), installez une source de lumière naturelle si possible. Chaque heure, décrochez de l’écran deux à trois minutes. Même un aller-retour à la fenêtre ou une rotation des épaules fait la différence.
Ensuite, il y a les petits "trucs" hérités du cabinet. Les patients à Liège repartent souvent avec des conseils précis, testés et validés : auto-massages des trapèzes (avec la paume fermée), mouvements circulaires doux de la tête, grandes inspirations pour débloquer la cage thoracique. L’objectif ? Redonner de la mobilité à la nuque et relancer le sang là où il stagne. Vous pouvez le faire entre deux réunions zoom : personne ne verra que vous chouchoutez votre cervicale !
Un autre secret ? Adopter des mini-rituels d’auto-acupression. Même sans aiguille, la stimulation de certains points aide à soulager la crispation. Voici deux exemples simples à reproduire :
De façon générale, tous ces gestes s’inscrivent dans la logique de la médecine traditionnelle chinoise : rétablir le flux, disperser les blocages. Pour ceux qui souhaitent approfondir, l’article sur l’acupuncture pour les douleurs articulaires sur esneuxmedical.be approfondit cette notion d’équilibre.
Un point important : le ressenti. Après une séance d’acupuncture, vous sentirez peut-être des courbatures temporaires dans le cou ou le haut du dos, comme après un massage intense. C’est bon signe. Cela prouve que le corps “relâche” enfin la tension accumulée depuis des semaines.
Combien de séances ? La plupart des patients observent une amélioration dès la première ou la deuxième visite. Pour les douleurs très anciennes (installées depuis des mois), trois à cinq séances sont généralement nécessaires pour casser le cercle infernal. Vous pouvez facilement prendre rendez-vous en ligne pour tester ce protocole à Esneux – à dix minutes de Liège – et évaluer immédiatement l’efficacité réelle du traitement.
Enfin, ne sous-estimez jamais l’effet de groupe. On a vu fleurir, aux alentours de Liège, des petits ateliers partagés de prévention posturale en télétravail, animés par des acupuncteurs formés. En collectif, les conseils passent mieux : il est plus facile de corriger des mauvaises habitudes ensemble que seul, devant son écran. Un avantage de plus à tester !
Lombalgies et acupuncture : une solution naturelle complémentaire pour le dos
On croit souvent que l’acupuncture n’agit que sur la douleur physique. C’est oublier ses effets en cascade sur bien d’autres sphères. Votre nuque est douloureuse ? C’est tout le système qui se grippe : vous dormez moins bien, la concentration baisse, l’irritabilité grimpe en flèche. Or, l’acupuncture ne se limite pas à l’aiguille posée sur le point douloureux. C’est un rééquilibrage général, qui offre des bénéfices bien au-delà de la zone traitée.
Première amélioration notée par de nombreux patients en Belgique : un sommeil plus profond. Pourquoi ? En relâchant les tensions cervicales induites par l’ordinateur, l’acupuncture lève ce “frein invisible” qui vous empêchait de trouver une vraie nuit réparatrice. Plus d’un patient sur deux constate un endormissement facilité dès la première semaine. Vous vous réveillez aussi moins souvent à cause d’une tension persistante dans la nuque. Pour aller plus loin, consultez notre dossier complet sur l’acupuncture et la qualité du sommeil.
Autre effet insoupçonné : le retour de la concentration. On ne le souligne jamais assez, mais la douleur, même mineure, agit comme un bruit de fond cérébral. Le cerveau mobilise une partie de ses ressources pour “gérer” ce signal désagréable. Résultat : votre capacité à rester focus s’effondre. Des études montrent que l’acupuncture régule l’activité neuronale et permet au cerveau “d’éteindre” temporairement l’alerte douleur, favorisant ainsi un travail plus productif, notamment en télétravail.
Puis il y a la question de la gestion du stress. Face à l’écran, les soucis s’accumulent : une connexion qui plante, une to-do list interminable… Résultat : tension nerveuse, montée du cortisol et, invariablement, raidissement de la nuque et du haut des dos. L’acupuncture agit ici comme un "reset physiologique" : elle permet au système nerveux de basculer du mode combat/fuite au mode récupération/réparation. Traduction réelle : les épaules descendent, la nuque se détend, la respiration se calme. Une séance d’acupuncture remplace, pour certains patients, une session entière de yoga ou de méditation.
Enfin, il faut évoquer le volet préventif. L’acupuncture ne se contente pas de soulager, elle apprend au corps à ne plus accumuler la tension au même endroit. C’est comme changer une mauvaise habitude en boucle : plus vous recevez de séances espacées, moins la douleur revient – même en période de surcharge de travail.
En résumé, la nuque n’est pas un simple “point faible” du télétravailleur. Elle cristallise un ensemble de déséquilibres que l’acupuncture peut réellement corriger. N’attendez pas que la douleur s’installe pour de bon. Osez ce duo, à la fois moderne et ancestral, entre soin d’aiguilles et vie devant l’écran.
Soulager la lombalgie chronique par l’acupuncture
Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
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Comment savoir si mes douleurs de nuque proviennent vraiment du télétravail ?
Si vos douleurs de nuque apparaissent ou s’aggravent après plusieurs heures devant l’ordinateur, notamment lors des journées sans pause ou mal assis, il s’agit probablement d’une cervicalgie liée au télétravail. Un entretien avec un professionnel de santé, comme une acupunctrice, permettra d’identifier les causes exactes et de différencier des pathologies graves.
Pourquoi l’acupuncture est-elle efficace sur les douleurs cervicales des télétravailleurs ?
L’acupuncture agit en relâchant les tensions musculaires, en améliorant la circulation sanguine locale, et en stimulant naturellement la production d’analgésiques internes. Elle cible à la fois la dimension physique (raideur, contracture) et l’aspect émotionnel (stress, surcharge mentale), très impliqués dans les douleurs cervicales liées à l’écran.
Quand consulter un acupuncteur en cas de douleur de nuque après le télétravail ?
Il est conseillé de consulter dès l’apparition des premiers signes de tension ou si la gêne devient quotidienne et perturbe votre travail ou votre sommeil. Plus la prise en charge est précoce, plus la récupération sera rapide et durable.
Faut-il continuer l’acupuncture une fois la douleur de nuque disparue ?
Après disparition de la douleur, il est utile de continuer l’acupuncture de façon préventive, à un rythme moins soutenu, pour éviter les rechutes, surtout si vous restez exposé au télétravail. Un suivi régulier permet de maintenir l’équilibre et d’ancrer de meilleures habitudes posturales.
1. Vickers AJ et al., "Acupuncture for chronic pain: individual patient data meta-analysis", The Journal of Pain, 2018. Résumé : Méta-analyse démontrant l’efficacité de l’acupuncture dans la prise en charge des douleurs chroniques, notamment cervicales, avec des effets supérieurs aux soins habituels.
2. Tough EA et al., "Acupuncture and dry needling in the management of myofascial trigger point pain: a systematic review and meta-analysis", European Journal of Pain, 2009. Résumé : Synthèse d’études validant le rôle de l’acupuncture sur la désactivation des point trigger des muscles du cou et haut du dos.
3. Lee JH et al., "Effect of acupuncture on chronic pain with depression: A systematic review and meta-analysis of randomized controlled trials", Integrative Medicine Research, 2022. Résumé : Mise en évidence d’un bénéfice accru de l’acupuncture sur les douleurs cervicales associées à la souffrance psychique, fréquentes en télétravail.
4. Chen L et al., "Acupuncture for chronic neck pain: a systematic review and meta-analysis", The Clinical Journal of Pain, 2020. Résumé : Montre une nette réduction de la douleur de nuque et une meilleure mobilité après acupuncture, avec peu d’effets secondaires.