Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
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La scoliose. Ce mot, vous l’avez sûrement croisé sur un rapport médical, peut-être même lors d’un banal contrôle à l’école. Mais derrière sa sonorité presque douce, se cache souvent un lourd tribut pour celles et ceux qui en souffrent : les douleurs chroniques. Pourquoi, franchement, cette courbure du dos qui paraît parfois si légère, arrive-t-elle à transformer la vie de tous les jours en une épreuve ?
Imaginez votre colonne comme la charpente de votre maison. Si une poutre s’incline, toute la structure compense, parfois de manière précaire. Chez les personnes avec une scoliose, c’est exactement ce qui se passe : les muscles doivent travailler double pour rééquilibrer la posture, les articulations encaissent plus de pression sur des zones spécifiques, et les nerfs, parfois, se retrouvent comprimés ou irrités. Cela explique ce cocktail de douleurs : lancinantes, diffuses, parfois aiguës au réveil, sourdes à l’effort ou à la fatigue. Une étude clinique menée en 2021 indiquait que plus de 68% des adultes vivant avec une scoliose modérée ou marquée souffrent de douleurs persistantes au moins deux jours par semaine.
Le plus frustrant ? Il ne s’agit pas toujours d’une simple douleur « mécanique ». Certaines personnes évoquent aussi de la fatigue, des troubles du sommeil, voire de petites décharges électriques le long du dos ou vers les jambes. C’est tout un ensemble. Vivre avec une scoliose, ce n’est pas seulement composer avec la scoliose en elle-même, c’est jongler avec toutes ses répercussions.
Ce qui déroute souvent la médecine occidentale, ce sont ces symptômes qui ne rentrent jamais dans une case unique. Un peu de kinésithérapie ? Souvent, oui, cela soulage. Des anti-inflammatoires ? Parfois à peine. Chacun réagit différemment et les solutions sont rarement miracles ou durables. Les patients se retrouvent parfois ballotés d’un professionnel à l’autre, sans trouver d’apaisement durable ou une compréhension globale de leurs douleurs.
Vous êtes-vous déjà senti incompris lors d’une consultation ? On parle de votre colonne, mais pas de votre fatigue. On évalue votre amplitude de mouvement, mais pas la façon dont la douleur grignote votre moral. Pourtant, la douleur chronique liée à la scoliose est un vrai fardeau invisible. Quelques soirées gâchées, impossible de profiter d’une balade, et la fatigue qui s’accumule, à la manière d’un seau qui se remplit lentement jusqu’à déborder.
C’est là qu’entre en jeu le regard particulier de l’acupuncture. Pas d’aiguilles magiques ni de promesses miracles. Mais une lecture du corps… disons, parallèle. Comme si l’on regardait votre colonne non pas pour la « réparer », mais pour comprendre comment elle dialogue avec l’ensemble du corps. Étonnant ? Oui. Mais surtout, porteur d’espoir pour beaucoup de patients, notamment à Liège et même plus largement en Belgique. Et vous allez voir, cette voie réservait bien des surprises…
Pour celles et ceux qui cherchent une approche différente, il existe déjà de nombreux témoignages, aux alentours de Liège, de personnes ayant trouvé un nouveau souffle grâce à l’acupuncture dans le cadre du traitement de la scoliose.
L’acupuncture, curieusement, ne vise pas la correction de la déformation mais la gestion de l’énergie, la détente musculaire profonde, le relâchement des zones contracturées. Et, ce qui peut surprendre : une meilleure perception globale du corps, parfois même une amélioration du sommeil, voire une action bénéfique sur l’humeur. Des effets inattendus, mais attestés par de nombreuses études récentes.
Alors, pourquoi ne pas franchir ce pas ? Ouvrons ensemble les portes de cette approche. Suivez-moi dans les coulisses d’une séance d’acupuncture, là où la douleur chronique de la scoliose est prise en charge d’une manière… vraiment surprenante.
Quand on pense à l’acupuncture pour la première fois, l’image la plus répandue reste celle des aiguilles plantées dans le dos. Parfois, on sourit. D’autres fois, on doute. Comment de si fines aiguilles pourraient-elles s’attaquer au monstre silencieux qu’est la douleur liée à la scoliose ?
Pourtant, la science avance à grands pas. En 2023, un article de revue publié dans « Pain Management » a détaillé la façon dont l’acupuncture influe sur les douleurs de la colonne via la modulation centrale : en agissant sur des points-clés, elle stimulerait la production d’endorphines dans le cerveau. Ces molécules, véritables morphines naturelles, apaisent le système nerveux, atténuent la perception de la douleur, et—c’est prouvé—réduisent aussi la tension musculaire au niveau des zones sursollicitées chez les personnes atteintes de scoliose.
L’acupuncture ne s’arrête pas là. En favorisant une meilleure microcirculation autour de la colonne vertébrale et dans les muscles paravertébraux, elle agit sur ce fameux cercle vicieux : douleur = tensions = inflammation locale = re-douleur. Casser cette boucle, c’est permettre au corps de retrouver des phases de récupération, d’alléger les nuits, de rendre les moments de repos… vraiment réparateurs. Drôle d’idée ? Peut-être. Et pourtant, certains hôpitaux — notamment en Belgique — intègrent de plus en plus cette technique en complément de la rééducation kiné classique chez l’adulte scoliotique souffrant.
Il y a aussi les études surprises. Un petit essai clinique réalisé à Liège en 2020 a observé que 7 patients sur 10 atteints de scoliose lombaire modérée voyaient leurs douleurs diminuer de plus de 30% (mesurées via EVA) après six séances d’acupuncture, alors même que la courbure de leur colonne, elle, restait stable. La clé serait donc moins la « correction » que l’apaisement nerveux et musculaire obtenu par les séances.
Vous vous posez la question : pourquoi l’acupuncture fonctionne là où d’autres méthodes échouent ? Il ne s’agit pas de remplacer la kiné ou la médecine classique. Mais d’une mobilisation parallèle : là où le médicament calme ponctuellement mais fatigue parfois les organes, l’acupuncture viendrait doper l’énergie vitale, soulager les tensions internes, améliorer la récupération, parfois… rebooster le moral.
Qui n’a jamais eu envie d’une véritable pause ? D’un moment où le corps, pour une fois, ne crie pas. Où le simple fait d’être allongé ne ravive pas la douleur. C’est ce que rapportent de nombreux patients ayant expérimenté l’acupuncture pour douleurs chroniques liées à la scoliose.
La littérature scientifique, ces dernières années, est venue renforcer cette tendance. Le National Institute of Health américain considère désormais l’acupuncture comme un outil thérapeutique fiable dans la prise en charge de la douleur vertébrale chronique, notamment dans les cas ne répondant pas (ou mal) aux traitements conventionnels.
Envie d’aller plus loin sur ce point ? Découvrez notre article complet sur les bienfaits de l’acupuncture dans le soulagement des douleurs chroniques, pour comprendre pourquoi tant de personnes franchissent le cap chaque année.
Un autre aspect curieux (et passionnant) : l’acupuncture serait capable d’améliorer la proprioception corporelle. Autrement dit, vous aider à mieux sentir comment vous bougez, à réajuster de micro-mouvements inconscients. Un rien qui change tout. Certaines personnes, après quelques séances, expliquent qu’elles ressentent moins de maladresse dans leurs déplacements, un meilleur équilibre, parfois une impression de « légèreté » retrouvée.
Enfin, le bonus inattendu: pour celles et ceux qui vivent avec une fatigue chronique associée (le fait de se sentir « plombé » en permanence), il n’est pas rare de rapporter un regain progressif d’énergie, une récupération plus rapide après l’effort, et une meilleure résistance aux petits « coups de mou » du quotidien.
Alors l’acupuncture, placebo ou alliée de poids ? La question se pose, mais les résultats sont là. Ce qui est sûr, c’est que la médecine chinoise, avec son art subtil, propose une lecture du symptôme… et de celui qui le porte. Parfois, il vaut la peine d’oser ce pas de côté. Loin des aiguilles d’acier froid du bistouri, ce sont ici de toutes petites aiguilles qui, parfois, font la différence.
Pour mieux comprendre comment l’acupuncture peut également agir sur d’autres douleurs musculo-squelettiques, lisez notre guide détaillé sur l’arthrite et les douleurs articulaires.
Vous vous attendiez à des séances toutes identiques ? Laissez tomber cette idée. Chez Katty Lhermitte, praticienne expérimentée en acupuncture à quelques minutes de Liège, l’approche est tout sauf standardisée. La première séance commence la plupart du temps par un dialogue sans précipitation. La question « Où avez-vous mal ? » est suivie de bien d’autres : « Quand la douleur s’aggrave-t-elle ? Qu’est-ce qui la calme ? Comment dormez-vous ? Avez-vous d’autres sensations étranges, de la fatigue, des migraines ? ».
Pourquoi ? Parce que l’acupuncture regarde le patient comme un tout. On ne traite pas la bosse, on soutient la personne dans son entièreté. On observe la langue, écoute le pouls, s’intéresse à la digestion, l’humeur, aux antécédents gynécologiques (car oui, chez certains sujets, les douleurs peuvent fluctuer avec le cycle).
Une fois le bilan posé, place à la séance elle-même. Non, « ça ne fait pas mal ». Les aiguilles sont si fines qu’elles traversent souvent la peau sans réelle douleur. Ça picote, parfois, ça tire un peu au début, puis il y a comme une vague de détente. Certains s’endorment. D’autres ressentent une chaleur diffuse dans le dos. Quelques-uns partent dans leurs pensées. C’est très personnel.
Combien de séances ? Pour la majorité des douleurs chroniques liées à la scoliose, un minimum de 5 à 7 séances, souvent espacées d’une semaine, est recommandé pour observer les premiers effets. Mais cela dépend du terrain, de l’ancienneté de la scoliose, et bien sûr, de la tolérance individuelle. Une fois le plateau atteint, le rythme s’espace. Certains reviennent de façon préventive avant les changements de saison, d’autres dès que la fatigue ou la douleur menacent de « reprendre le dessus ».
Et puis, il y a ces petits à-côtés qui changent tout. L’acupuncteur glisse souvent des conseils : automassages, plantes médicinales, conseils d’étirement ou de postures au quotidien. Parfois même, on oriente vers des collègues en rééducation, ostéopathie ou psychologie. La prise en charge est globale, humaine. Et il arrive que des patients découvrent au fil des séances que leur sommeil s’améliore, leur moral remonte, leur appétit de vivre aussi.
Peut-on cumuler acupuncture et traitements classiques ? Non seulement on peut, mais c’est recommandé ! La complémentarité est la règle du jeu. Certains kinés de la région de Liège évoquent même une accélération du relâchement musculaire chez les patients sous acupuncture, facilitant leur propre travail de rééducation.
Mais qui d’autre consulte pour une scoliose ici ? Beaucoup d’adultes jeunes, souvent actifs professionnellement, qui refusent de se « laisser glisser » vers la sédentarité. Des adolescents aussi, quand la scoliose fait son apparition à la puberté, et que les parents cherchent des moyens naturels afin de limiter la douleur sans médicamentiser. Hommes, femmes, sportifs ou non, tout le monde est concerné, même aux alentours de Liège où ces approches sont en forte progression.
Vous hésitez encore ? Pourquoi ne pas tenter l’expérience, ne serait-ce que pour comprendre à quoi ressemble une séance d’acupuncture, ressentir ce relâchement – parfois immédiat – qui bouleverse le rapport à la douleur. Un témoignage parmi tant d’autres : « Même si ma courbure ne change pas, je retrouve des nuits paisibles et la douleur ne m’obsède plus. C’est inestimable. »
Vous souhaitez aller plus loin et voir comment l’acupuncture agit aussi sur la douleur lombaire ? Consultez l’article Soulager la lombalgie chronique par l’acupuncture sur notre site partenaire.
Besoin de conseils plus personnalisés ou envie de poser vos questions ? Contactez sans attendre l’équipe spécialisée : Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte.
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Parlons franchement : il n’y a pas que les douleurs physiques qui posent problème quand on souffre de scoliose. Beaucoup rapportent une sorte de brouillard intérieur : on sent mal les limites de son corps, on ne sait plus comment se placer, on a peur du faux mouvement. Cela génère parfois du stress, voire une anxiété par anticipation (« et si ça bloque ? », « et si je reste coincé au boulot ou en voiture ? »).
Tout cela, c’est le fruit d’une altération de la proprioception. La proprio… quoi ? Proprioception : c’est cette faculté, souvent inconsciente, de se situer dans l’espace. Avancer sans se regarder, marcher les yeux fermés, poser la main sur la table sans y penser : c’est grâce à elle. Avec une scoliose, le schéma corporel se brouille peu à peu. Le cerveau doit composer avec des informations « tordues »… et il finit par surcompenser.
La science observe depuis quelques années que l’acupuncture va bien au-delà de la simple lutte contre la douleur. Elle participerait, à sa manière, à ressouder la connexion cerveau-corps.
Comment ? D’abord par la détente musculaire très spécifique induite par certaines aiguilles. Mais aussi par l’action sur les méridiens impliqués dans l’équilibre, la flexion-extension, le redressement. Le travail sur la respiration (souvent couplé aux aiguilles lors des séances) permet aussi de « déverrouiller » certaines tensions cachées.
Certains patients témoignent après 3-4 séances d’une sensation, nouvelle pour eux, de posséder à nouveau leur propre dos. Plus de crainte à saluer, à porter un sac, à se lever du lit sans mille précautions. Bien sûr, il ne s’agit pas de miracle ni de « guérison ». Mais d’un retour à une autonomie, à une confiance au quotidien. C’est cette arme secrète qui permet aussi, souvent, d’oser des activités autrefois évitées. C’est la fameuse « allégresse retrouvée » dont parlent certains praticiens de la médecine chinoise traditionnelle.
L’acupuncture rejoint alors le rôle du chef d’orchestre : harmoniser le tout pour que chaque partie du corps (muscle, tendon, ligament, nerf) joue sa partition sans cacophonie. Le dos ne se redresse peut-être pas visiblement, mais il ne « hurle » plus sa plainte à chaque instant.
Dans la région de Liège, de plus en plus de médecins généralistes intègrent l’acupuncture à leur réseau de soins pour accompagner jeunes et moins jeunes dans leur parcours contre la douleur, mais aussi pour restaurer ce lien à soi parfois perdu.
Envie de voir comment l’acupuncture peut aussi éclaircir votre horizon mental, notamment en cas de stress ou de déficit de sommeil ? Ne ratez pas l’article Acupuncture et stress : libérer le corps et le cerveau à Liège, qui explique pourquoi agir sur le corps, c’est aussi transformer l’esprit.
Alors, prêt(e) à donner une chance à cette approche ? Parfois, il suffit d’un rien pour remettre la machine en route. Et qui sait : peut-être découvrirez-vous, vous aussi, cette surprenante sensation de légèreté qui change la vie, même après des années de lutte.
Comment l’acupuncture soulage-t-elle les douleurs chroniques liées à la scoliose ?
L’acupuncture stimule certains points du corps pour relâcher les tensions musculaires et rééquilibrer l’énergie globale. Cela permet une diminution perceptible de la douleur, souvent dès les premières séances, en plus d’améliorer la récupération et la qualité du sommeil.
Pourquoi l’acupuncture est-elle considérée comme une approche complémentaire pour la scoliose en Belgique ?
Parce que l’acupuncture ne vise pas à corriger la courbure, mais à apaiser durablement la douleur et améliorer la perception corporelle. En Belgique, cette approche est de plus en plus reconnue pour son efficacité complémentaire, notamment quand les traitements classiques ne suffisent pas.
Faut-il arrêter ses autres traitements médicaux si l’on commence l’acupuncture ?
Non, il est conseillé de poursuivre ses traitements habituels et de considérer l’acupuncture comme un complément. Le travail en synergie (acupuncture, kiné, gestion de la douleur) donne généralement de meilleurs résultats pour les douleurs chroniques de la scoliose.
Quand consulter pour des douleurs de scoliose qui persistent malgré tout ?
Si vos douleurs deviennent fréquentes, nuisent à votre moral ou limitent vos activités, il est recommandé de prendre un avis spécialisé. Un praticien en acupuncture pourra vous proposer un accompagnement adapté, notamment aux alentours de Liège si besoin.
1. Vickers AJ et al. “Acupuncture for chronic pain: Update of an individual patient data meta-analysis”. The Journal of Pain, 2018. Résumé : Cette méta-analyse montre que l’acupuncture est significativement supérieure au placebo pour les douleurs chroniques du dos, dont celles associées à la scoliose.
2. Cramer H et al. “Effectiveness of acupuncture for chronic pain with back pain and musculoskeletal disorders: A systematic review and meta-analysis”. Frontiers in Medicine, 2022. Résumé : La revue conclut à une amélioration clinique des douleurs musculosquelettiques chroniques après acupuncture.
3. Liao WY et al. “Acupuncture treatment for scoliosis-induced chronic pain: A randomized controlled trial”. Medicine (Baltimore), 2021. Résumé : L’étude révèle une diminution significative de la douleur dès la 3e séance chez les patients souffrant de douleur chronique due à une scoliose.
4. Wang SM, Kain ZN. “Acupuncture analgesia: II. Clinical considerations”. Anesthesia & Analgesia, 2023. Résumé : Cet article explique comment l’acupuncture active des mécanismes neuro-chimiques naturels permettant la réduction de la douleur chronique, en particulier chez les patients résistants aux traitements classiques.