Stop tabacHypnothérapeute STOP Tabac – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0496 55 00 35
Vous avez éteint votre dernière cigarette. Peut-être hier. Peut-être il y a déjà trois mois. Mais une question, tenace, flotte dans l’air : comment reprendre confiance en soi après avoir arrêté de fumer ? L’arrêt du tabac, à première vue, ne serait que l’abandon d’une mauvaise habitude. En réalité, ce changement bouleverse bien plus qu’un geste quotidien. Il touche à l’estime de soi, à l’image corporelle, au rapport au stress… Et, souvent, à la peur de ne pas “tenir”. À la peur de redevenir celui ou celle qui craque.
En Belgique, près d’un quart des adultes fument. Pourtant, nombreux sont ceux qui rêvent d’en finir. Mais beaucoup, aussi, redoutent ce qui vient après : la perte de repère, la peur de grossir, la difficulté à résister. Ce n’est pas rare, aux alentours de Liège, de croiser d’anciens fumeurs qui racontent : “J’ai arrêté, mais je doute quand même de moi. Parfois, je ne me reconnais plus.”
Que se passe-t-il dans la tête, dans le corps, après l’arrêt du tabac ? Comment passer du doute à la reconstruction de la confiance ? Faut-il s’inquiéter si, à certains moments, tout vacille ?
Dans cet article, nous plongerons au cœur de ce phénomène. Loin des discours magiques, place aux outils concrets et scientifiques, validés par des praticiens comme Mme Marcelle Monseur, hypnothérapeute certifiée NGH, à Liège. Son approche moderne et complémentaire aux traitements médicaux classiques s’appuie justement sur la restauration de l’estime de soi et la gestion du changement. Voici comment (re)découvrir votre force intérieure, pas à pas, pour que la victoire sur la cigarette ne laisse pas la place au doute mais à la fierté.
Arrêter de fumer, c’est comme changer les fondations d’une maison en restant dedans. On croit maîtriser, mais tout tangue. Vous vous reconnaissez dans ces pensées ? “Je ne sais pas si j’y arriverai”, “Je vais forcément rechuter”, “Est-ce que je vaux moins sans ma cigarette ?”… Bien plus fréquent qu’on ne le pense.
Pour comprendre, il faut jeter un coup d’œil dans le cerveau. Le tabac, par la nicotine, agit directement sur les zones du plaisir et de la récompense. Dès que l’on tire sur une cigarette, le cerveau libère de la dopamine, cette fameuse molécule qui donne (sur le moment) confiance, calme, énergie. En arrêtant, on subit donc un vrai “sevrage de confiance”.
Des chercheurs (Heishman et coll., 2010) ont montré que pendant les premières semaines d’arrêt, l’humeur baisse, l’irritabilité monte, la concentration rame. Résultat : on se sent moins compétent. Le cerveau doit réapprendre à fonctionner sans ce “dopage” artificiel.
Et le regard social n’aide pas toujours. Bien des anciens fumeurs confient que — même entourés — ils se sentent parfois “fragiles”, “à part”, ou ont l’impression d’avoir perdu un allié fidèle face au stress. C’est ce qu’on appelle le “syndrome de l’ex-fumeur”.
S’ajoute à cela la crainte de la rechute : 30 à 50 % des arrêts du tabac aboutissent à une reprise dans l’année (WHO, 2018). Difficile, dans ce contexte, de ne pas douter de soi… Surtout quand on croise des copains qui continuent à fumer sans (apparemment) d’état d’âme.
C’est pourquoi l’accompagnement psychologique, l’hypnose ou la thérapie brève prennent tout leur sens. Ils remettent l’accent sur la stabilité émotionnelle et la valorisation des progrès.
Pour aller plus loin sur les fausses croyances entourant le sevrage, découvrez l’article Les mythes et réalités de l’hypnose. Vous verrez, bien des barrières ne sont que des illusions.
Ici, oubliez l’image du pendule et des doigts qui claquent. L’hypnose thérapeutique, telle que la pratique Madame Marcelle Monseur (certifiée NGH), à Liège, n’a rien d’un spectacle. C’est une approche douce mais puissante, qui {{s’adresse au cerveau}} et, surtout, à l’inconscient. Cela permet d’agir là où les doutes sont tapis, bien souvent hors du champ rationnel.
L’idée ? Reprogrammer l’inconscient pour qu’il cesse d’associer cigarette et sécurité. L’hypnose vient, en quelque sorte, “déplacer le curseur intérieur”. Un peu comme si on réapprenait à marcher sans béquilles, mais en étant accompagné.
En pratique, le thérapeute va travailler sur :
Des études (Barber, 2012 ; Spiegel, 2010) confirment : l’hypnose bien conduite aide à stabiliser l’humeur et à réduire l’anxiété lors des changements de vie. Elle offre au patient un outil pour ne plus subir le manque, mais reprendre le contrôle, en douceur.
Voici une anecdote souvent citée par Mme Monseur : “Une patiente de 55 ans, après 3 mois sans tabac, me disait : ‘Avant, je fumais pour tenir le coup dans mon job. Désormais, c’est ma propre force qui me donne confiance. J’ai appris à respirer, à faire des pauses autrement’.”
Une démarche qui rassure, tout en restant complémentaire aux autres suivis médicaux. Car il ne s’agit jamais de remplacer l’avis du médecin mais d’une alliance. Pour plus de détails sur l’alliance entre hypnose et médecine, lisez aussi Le centre et ses services.
Reprendre confiance n’a rien d’automatique. C’est comme muscler une jambe longtemps restée sous plâtre. Ça se travaille. La bonne nouvelle ? Les neurosciences montrent que le cerveau restaure peu à peu ses circuits naturels de confiance, quand on les nourrit régulièrement.
Voici quelques pistes, tirées de la pratique en hypnose mais adaptables à tous (que vous soyez accompagné ou non) :
1. Le carnet des réussites : Prenez un cahier. Le matin, notez un engagement positif (“je vais tenir jusqu’à midi sans y penser”). Le soir, notez une victoire (“j’ai grignoté une pomme plutôt qu’une cigarette”). Même si cela vous semble futile. C’est la répétition de ces gestes qui nourrit la confiance. Un peu comme ajouter chaque jour une pièce dans une tirelire émotionnelle.
2. Respirer — marcher — bouger : On sous-estime la puissance de la biologie. Marcher 20 minutes, faire de petits exercices de respiration (cohérence cardiaque, par exemple), produit immédiatement des endorphines. En quelques minutes, vous voilà avec un shoot naturel de confiance (studies of Biddle & Mutrie, 2008).
3. S’encourager à haute voix : “Je suis fier / fière de ce parcours”, même si ça sonne bizarre au début. Votre cerveau, à force de l’entendre, finit par “croire” ce message. Imaginez-le comme un disque rayé qu’il faut reprogrammer.
4. Oser demander de l’aide : Parfois, la confiance revient… à deux. Entourage, groupe de pairs, suivi auprès d’une hypnothérapeute NGH comme Mme Monseur, en Belgique : c’est un gage de soutien.
5. Remplacer les “trous d’air” par des rituels bien-être : À chaque envie, rituels courts (auto-massage, tisane, visualisation positive). L’idée ? Pousser le cerveau à fabriquer ses propres “récompenses” saines.
Hypnothérapeute STOP Tabac – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0496 55 00 35
Si vous souhaitez aller plus loin, explorez également l’approche du poids et de l’image corporelle après le sevrage avec l’article Arrêter de fumer sans grossir. Car la confiance en soi passe aussi par l’acceptation du nouveau corps.
Pour renforcer cette démarche psychologique, certains choisissent la complémentarité. Par exemple, l’hypnose à Liège ou la relaxation guidée sont des armes puissantes pour entretenir ce nouvel équilibre.
À ce stade, vous sentez peut-être pointer la question fatidique : “Et si… je replongeais ?” Rien de plus normal. Ce doute, tous les anciens fumeurs le connaissent. Ce n’est pas une faiblesse, mais une vigilance naturelle.
Pourtant, certains pièges sont à surveiller :
Le suivi régulier avec un professionnel formé, comme une hypnothérapeute certifiée NGH, aide justement à traverser ces tempêtes. À apprendre à se relever sans honte. Dans les consultations d’hypnose à Liège, on travaille sur la résilience autant que sur le sevrage.
Envie d’une vision complète du sujet ? Jetez un œil à "L’hypnose pour arrêter de fumer : une alternative efficace".
Et rappelez-vous : ce n’est pas le manque de volonté qui rattrape. C’est le doute. Le vrai travail, c’est de l’apprivoiser, pas de l’effacer.
Comment éviter de perdre confiance en soi après avoir arrêté de fumer ?
Après l’arrêt du tabac, il est important de s’accorder de la bienveillance, de fêter chaque progrès et d’utiliser des outils comme l’hypnose ou le carnet des succès. S’entourer de proches ou d’un professionnel en soutien à la confiance aide grandement à garder le cap.
Pourquoi l’accompagnement en hypnose aide-t-il à reconstruire l’estime de soi ?
Parce que l’hypnose travaille directement sur l’inconscient, là où se nichent les doutes et fausses croyances : elle favorise des schémas internes positifs et ancrés, permettant de reprendre confiance même lors de passages difficiles.
Quand faut-il consulter un spécialiste comme une hypnothérapeute NGH ?
Il est conseillé de consulter dès que l’on sent son moral baisser, ou que l’on doute de ses capacités à tenir sans cigarette, surtout si l’auto-motivation devient difficile. Un petit soutien suffit souvent à relancer la dynamique.
Faut-il craindre les rechutes ou un manque de confiance après l’arrêt du tabac ?
Non, une rechute ponctuelle ne veut pas dire “échec” mais simplement un moment à analyser pour mieux rebondir. La confiance se construit avec le temps, les encouragements et parfois des ajustements de stratégie.
Heishman S.J. et al., “Meta-analysis of the acute effects of nicotine and smoking on human performance”, Psychopharmacology, 2010. Résumé : Montre l’impact du sevrage sur les capacités cognitives et émotionnelles, dont la confiance en soi.
Barber J., “Hypnotic intervention for smoking cessation: A comparison with standard behavioral counseling”, International Journal of Clinical and Experimental Hypnosis, 2012. Résumé : Évalue l’efficacité de l’hypnose dans la stabilité émotionnelle après arrêt du tabac.
Spiegel D., “Hypnosis and Behavior Modification: Imagery, Cognition and Social Learning”, Textbook of Behavioral Medicine, 2010. Résumé : Démontre comment l’hypnose réorganise concrètement les schémas de confiance chez les ex-fumeurs.
Biddle S., Mutrie N., “Psychology of Physical Activity”, Routledge, 2008. Résumé : Décrit les effets de l’activité physique sur les neurotransmetteurs associés à l’estime de soi, particulièrement utiles lors du sevrage tabagique.