Sexologue – Mme Sabrina Bauwens
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0474 10 90 33
Il y a des silences dans la vie de couple qui pèsent plus que d’autres. Parfois, ce sont les mots qui manquent. D’autres fois, c’est l’envie, la tendresse, ou carrément le désir sexuel. Peut-être vous arrive-t-il de croiser le regard de votre partenaire et de vous demander : “Où est passée la passion qui nous animait au début ?” Les statistiques sont claires : après quelques années, le désir fluctue dans la majorité des couples, aussi bien en Belgique qu’ailleurs. Mais rassurez-vous, ce n’est ni une fatalité, ni une honte. Un socle solide peut estomper l’érosion du quotidien, surtout quand la main d’un·e professionnel·le accompagne ce retour du désir. Comment relancer la flamme ? Parfois, le couple a juste besoin du regard extérieur, bienveillant (et formé scientifiquement !) d’un·e sexologue pour raviver la complicité intime – et rappeler que le désir ne meurt jamais : il s’assoupit, attendant patiemment d’être réveillé.
Vous souhaitez retrouver une sexualité épanouie ? Peut-être hésitez-vous à franchir le pas d’une consultation ? Voici un article exceptionnellement complet pour comprendre vos difficultés et, surtout, trouver des solutions concrètes avec l’accompagnement d’un·e sexologue.
Découvrez ici quand consulter en sexologie et thérapie de couple
Tous les couples connaissent des hauts et des bas. Mais mettre des mots sur ce qui se passe vraiment n’est pas si évident. Le désir sexuel ressemble à un feu : il faut l’alimenter. Et parfois, sans même s’en rendre compte, on oublie de jeter une bûche, puis une autre. Résultat : la flamme vacille, voire s’éteint. Mais pourquoi ?
La science s’est penchée sur la question : notre cerveau, nos hormones, et tout simplement le quotidien se liguent parfois contre l’érotisme du début. La routine d’abord. Elle s’installe, douce, sourde. Les journées qui se suivent et se ressemblent, le boulot, la fatigue, les enfants, la charge mentale. Autant de poids qui appuient sur le bouton “pause” du désir. Une étude menée à l’Université de Louvain a montré que 48 % des couples belges se plaignent d’une baisse du désir… et que cela atteint autant les hommes que les femmes. Oui, vous avez bien lu ! Non, le “problème de libido” n’est pas réservé à un sexe ou à un autre.
Mais la routine n’est pas seule. Les facteurs psychologiques jouent aussi. Stress, anxiété, complexes corporels, sentiments de ne plus plaire ou d’être “acquis·e”… Autant d’ennemis invisibles. Certains événements de vie viennent aussi bouleverser la dynamique : naissance, maladie, ménopause, chômage, deuil, etc. Même la prise de certains médicaments (antidépresseurs, antihypertenseurs...) influence le désir !
Il existe aussi des raisons relationnelles : conflits de couple non résolus, communication déficiente, ou simplement un sentiment de déconnexion émotionnelle. On se parle, certes. Mais se regarde-t-on encore vraiment ? On se croise dans le salon, sans plus voir – ni désirer – l’autre. C’est humain, mais ce n’est pas une fatalité. On se dit parfois : “C’était mieux avant.” Mais savez-vous que l’humain est fait pour s’adapter ? Vous pouvez très bien connaître une deuxième (voire une troisième !) période de passion érotique dans votre couple, peu importe l’âge ou la durée de la relation.
À Liège, aux alentours de Liège comme dans toute l’Europe, relancer le désir sexuel fait partie des motifs les plus fréquents de consultation en sexologie. Et c’est bien parce que la sexualité se nourrit du vivant, de l’imprévu, de la communication et d’un regard parfois réinventé.
Voici une image pour vous : le désir sexuel, c’est comme un jardin. Si vous vous contentez d’arroser sans regarder ce qui pousse, des herbes folles s’installent, et parfois tout s’assèche. Mais si vous prenez le temps d’observer, d’enlever les cailloux, d’oser planter de nouvelles graines, alors le plaisir refleurit. Bien sûr, il y aura toujours des saisons “creuses”. Ce qui compte, c’est de ne pas se résigner, et de ne jamais avoir honte de consulter un·e professionnel·le du couple et de la sexualité.
Vouloir être aidé, c’est prendre soin de son couple et de soi-même. Des études récentes montrent d’ailleurs que la consultation en sexologie multiplie par trois les chances de retrouver une sexualité épanouie après un long passage à vide.
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Qui est la sexologue ? Un peu guide, un peu confidente, un peu médecin (mais pas tout à fait). La sexologue, c’est celle ou celui qui écoute sans juger, observe, questionne et traduit parfois ce que les mots n’arrivent plus à dire. À quoi sert-elle exactement lorsqu’un couple vient consulter pour relancer le désir sexuel ?
La première chose, c’est d’offrir un espace sécurisé, neutre, où chacun peut exprimer, sans crainte d’être moqué ou coupable, ce qu’il ressent. Trop souvent, la sexualité est taboue. Même en 2024. Les études montrent que parler de ce sujet en couple, c’est déjà faire 30 % du chemin…
La sexologue analyse la situation : elle explore les attentes, les antécédents personnels ou médicaux, la manière dont chacun vit son corps et son histoire sexuelle, les “non-dits” du couple. Souvent, de simples questions amènent des déclics. Par exemple : “Quand avez-vous ressenti du désir pour la dernière fois ? Qu’est-ce qui a changé dans votre relation, dans votre environnement, dans votre santé, à ce moment-là ?” mais aussi, parfois : “Qu’est-ce qui vous freine actuellement ?” ou “Que souhaiteriez-vous retrouver ou découvrir dans votre sexualité ?”
Contrairement à d’autres spécialistes, la sexologue ne prescrit que rarement des médicaments. En revanche, elle propose des outils concrets : exercices relationnels ou corporels, jeux de rôle, techniques de relaxation, tâches à faire à la maison, carnet du désir… Il existe autant de techniques que de couples ! Ce n’est pas un cours magistral, mais une co-construction. Chacun va fouiller dans son histoire, dans son imagination… et parfois découvrir des ressources insoupçonnées.
Dans de nombreux cas, la sexologue travaille également sur la communication. Or, 75% des couples en difficulté oublient... de se parler de ce qui leur manque. Vous avez envie de retrouver l’envie, mais vous ne savez pas comment le dire sans blesser l’autre ? Ou bien vous craignez la réaction de votre partenaire ? La sexologue vous aide à poser des mots. Souvent, le désir sexuel s’évapore parce qu’il n’est plus mis “au centre”. On en parle, même avec pudeur, et la mécanique de la complicité se remet en route. Le simple fait d’en parler, de rigoler, d’oser fantasmer ensemble ou de partager ses doutes, brise le cercle du silence. Et permet – parfois pour la première fois – de parler vrai.
Certaines méthodes sont éprouvées scientifiquement, comme la “thérapie du désir à étapes”. On va, par exemple, commencer par rétablir l’intimité sans pression du rapport sexuel : caresses, massages, moments de tendresse sans “objectif”. Puis ensuite seulement, quand la sécurité émotionnelle est revenue, réintroduire la sexualité proprement dite.
En Belgique, la consultation en sexologie est reconnue comme un soin spécifique depuis plusieurs années. Les couples y trouvent un accompagnement personnalisé, respectueux, qui tient compte de l’histoire individuelle et commune. Pas de recette miracle. Mais une écoute et des solutions sur mesure, pour faire redémarrer chaque moteur à son rythme.
L’une des missions essentielles de la sexologue, c’est de proposer des exercices simples, adaptés au quotidien, pour relancer le désir – même chez les couples “en pause sexuelle” depuis longtemps. En voici quelques exemples, que vous pourriez recevoir lors d’une consultation :
Ce sont souvent des gestes minuscules, mais en répétant, le cerveau retrouve les chemins du plaisir. Comme quand on réapprend à marcher après une blessure : au début, c’est laborieux, puis les automatismes reviennent. Parfois, on rit beaucoup pendant ces exercices. Et c’est tant mieux ! Vouloir relancer le désir sexuel, ce n’est pas grave, ni triste. C’est une très belle preuve d’amour et de fidélité à la relation.
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Il existe mille et une raisons de franchir la porte d’un·e sexologue. On n’attend pas le clash ou la rupture, hein ! La plupart des couples ont ce fantasme du “ça va passer tout seul”. Oui… parfois le désir revient spontanément après un changement (vacances, déménagement, nouvel élan…). Mais trop attendre augmente le malaise, les non-dits, et parfois la souffrance. Selon une enquête de l’UCL, la majorité des couples consultent au moins deux ans après les premiers signes... Deux ans ! C’est long, trop long. Pourquoi ? Par honte, par peur d’être jugé, par culpabilité souvent. Dites-vous que vouloir relancer son désir sexuel, c'est vouloir prendre soin de son couple : c’est courageux.
Quelques signes qui devraient vous mettre la puce à l’oreille :
Important : la consultation ne doit jamais être synonyme d’échec. C’est un outil de prévention, de dialogue, de réparation parfois. La plupart des patient·e·s racontent leur soulagement, après coup. Pouvoir en parler à deux, avec un tiers bienveillant, change la dynamique – tout de suite.
Côté préjugés, il y en a tellement… “Consulter, c’est grave ? Je vais passer pour un·e obsédé·e ou pour quelqu’un de frigide ?” “Mais mon/ma partenaire ne veut pas venir... Est-ce utile tout seul·e ?” Rassurez-vous, plus de la moitié des démarches en sexologie se font sur initiative d’un seul membre du couple ! Et c’est souvent suffisant pour ouvrir une brèche, permettre à l’autre de regarder la situation sans se sentir “accusé·e”.
La science garantit que les solutions existent toujours, à condition de ne pas rester seul·e, ou de ne pas se dire “je suis trop vieux/vieille”, “c’est trop tard”, “on va se séparer”. On vient, on parle, on tente des choses ensemble, parfois à deux, parfois individuellement. Et le désir… revient.
Autre cliché : “Une fois qu’on a des enfants, c’est normal de ne plus rien ressentir.” Archi-faux. La parentalité épuise, oui, mais elle ne doit pas anesthésier la vie intime. D’ailleurs, beaucoup de parents qui consultent rapportent qu’un retour du désir après une période de disette améliore… leur complicité parentale ! Ils retrouvent leur casquette d’amant·e, pas seulement celle de parent.
Pensons aussi à l’âge. Non, la ménopause ou l’andropause ne “tuent” pas le désir. Les fluctuations hormonales le modulent, mais la sexualité se réinvente, tout simplement.
Un chiffre frappant : 60 % des hommes de plus de 55 ans et 70 % des femmes du même âge interrogés lors d'enquêtes européennes disent avoir gardé un désir sexuel, parfois plus fort qu'à 30 ans ! Parfois plus doux, plus complice, plus lent – mais bien là. N’attendez donc pas “l’âge idéal”. Toute période de vie est propice à renouer avec la sensualité, avec ou sans performance génitale.
Le mot consultation, c’est vrai, peut effrayer. Peur de se dévoiler, peur d’être jugé, peur d’affronter un éventuel diagnostic. Mais à Esneux ou ailleurs, une consultation avec une sexologue ressemble moins à un “examen” qu’à une conversation ouverte. C’est un peu comme s’asseoir dans un salon douillet et oser, enfin, dire les choses qu’on ne dit jamais…
D’abord, la sexologue écoute. La première séance, chaque partenaire peut (ou pas) raconter ce qu’il ressent, identifier les moments difficiles, dire ce qu’il aimerait voir changer. Les questions sont simples, ou plus subtiles : “Quelle place occupait la sexualité au début de votre histoire ? Qu’est-ce qui a fait basculer ? Quelles sont les attentes, les envies, les peurs ?” Parfois, ce n’est pas possible de tout dire. Le silence a aussi sa valeur. L’important, c’est de commencer : même une simple inquiétude ou un vague sentiment de “quelque chose s’est éteint” mérite d’être accueilli.
Ensuite, la sexologue identifie les axes de travail personnalisés. Parfois, il s’agit simplement de mieux communiquer. Parfois, d’affronter une blessure passée, ou de travailler sur l’imaginaire, sur l’éducation reçue (notamment sur la sexualité, la pudeur, les mythes qui entourent l’érotisme).
La consultation en sexologie ne se limite jamais au “mécanique”. C’est tout l’humain qui est considéré : son âge, ses expériences, ses douleurs, ses tabous, ses aspirations. La sexologue va souvent proposer un rythme, une sorte de petite “thérapie” à mettre en place : exercices à faire seul ou en couple, exploration des fantasmes, discussions ouvertes sur le corps, parfois relecture de scènes positives (“On se rappelle notre premier baiser ? Notre premier fou rire au lit ?”), gestion du stress, conseils autour de la santé globale, etc.
L’accompagnement n’est pas linéaire. Il peut y avoir des avancées, puis des phases de stagnation. C'est normal. Comme toute renaissance, le désir demande du temps. L’important, c’est la régularité, la bienveillance, le respect du rythme de chacun.
Il arrive aussi qu’une difficulté plus profonde soit découverte : un traumatisme, une douleur physique ou une pathologie sous-jacente. La sexologue saura alors orienter, si besoin, vers un médecin, un gynécologue ou un psychologue : personne ne reste sans solution. La clé, c’est de ne jamais se sentir seul·e, ni honteux·se.
Vous pouvez consulter seul·e, ou en couple. Parfois, il faut du temps pour que les deux soient d’accord. Beaucoup de patient·e·s commencent seul·e et sont rejoint·e·s après une première discussion à la maison. Et inversement. Ce n’est ni une épreuve, ni un tribunal. C’est un nouveau départ, tout simplement.
Un exemple concret : Julien (42 ans) et Élise (40 ans), en couple depuis 16 ans. “On ne faisait plus l’amour depuis presque un an. On n’osait pas en parler. À la première séance, la simple possibilité d’exprimer nos frustrations, sans tabou, a relancé notre envie de nous séduire. Aujourd’hui, on rit, on ose. On a redécouvert l’envie, à notre façon, différemment d’avant, mais c’est là.”
Dans tous les cas, si votre couple est confronté à une baisse de désir, la consultation avec une sexologue représente un outil puissant pour sortir des non-dits et réintroduire le plaisir – souvent là où on ne l’attendait plus.
On voudrait tous des recettes miracles. Mais la sexualité humaine, c’est de la dentelle, pas de la mécanique auto. Il n’y a pas de bouton “Reset”. En revanche, la science, l’expérience des sexologues et les témoignages de milliers de patients apportent des clefs et des pistes à explorer.
Première étape : arrêtez de culpabiliser. Non, si le désir s’est assoupi, ce n’est pas “votre faute”. Ni celle de votre partenaire. La sexualité n’est jamais linéaire. Elle fluctue. Elle dépend de tant de paramètres – fatigue, stress, histoire du couple, santé, psychisme… La première étape, c’est donc de déculpabiliser. Acceptez que tout le monde traverse ces phases “up and down”. Si vous lisiez dans le cœur des gens autour de vous, vous verriez que ces questions touchent tout le monde, peu importe l’âge ou le statut social.
Deuxième étape : (re)commencer à parler. Parfois, un simple “Tu sais, j’aimerais qu’on essaie de retrouver cette complicité” vaut tous les manuels de sexologie. L’amour et le désir partent souvent d’un premier mouvement. Dites-le, même avec maladresse.
Troisième étape : réapprivoiser le corps. Le vôtre, celui de l’autre. Après des années, on croit connaître l’autre par cœur – erreur ! Le corps change, le plaisir aussi. L’un des exercices les plus efficaces, proposé en sexologie moderne, c’est la “redécouverte sensorielle” : sans forcément aller jusqu’à l’acte, fixez-vous des moments pour le toucher, la caresse, sans objectif – juste pour la sensation. Le cerveau va envoyer de nouveaux signaux. Il suffit parfois de quelques semaines d’efforts pour voir la différence.
Cherchez la nouveauté. S’offrir une soirée différente, briser le train-train, tenter quelque chose d’inédit : massage, jeu de rôle, lecture érotique, lieu inhabituel. Changez d’ambiance, de parfum, de rythme. Le cerveau aime la surprise. Un couple qui ose la nouveauté réactive la fameuse dopamine, neurotransmetteur du désir.
Attention : fuyez la surenchère de performance ! Ce n’est pas la pornographie ou la performance qui raniment le désir. C’est la sensation d’exister comme sujet érotique, d’être choisi, regardé, valorisé, désiré. Même des petits gestes – se regarder dans les yeux, se complimenter, envoyer un texto tendre ou coquin en pleine journée – font toute la différence.
Osez demander de l'aide. Car parfois, certains obstacles persistent… Troubles de l’érection, angoisse de performance, douleurs, blocages liés au passé. La sexologue a l’habitude de ces thèmes sensibles. À chaque problème, ses solutions personnalisées, comme expliqué dans cet article sur les troubles du désir sexuel masculin à Liège.
À ne surtout pas faire : attendre que l’autre “devine” vos besoins. La lecture de pensée n’existe pas dans le couple ! Autre piège : minimiser, se résigner (“ça reviendra !”), accuser l’autre ou soi-même, négliger les éléments extérieurs (stress, santé…). Refuser d’en parler fragilise souvent l’entente. Si la priorité change, accordez-vous de la patience, et surtout, ne vous comparez jamais aux modèles idéalisés qu’on voit dans les films ou les réseaux sociaux.
Pour aller plus loin, consultez les 10 conseils les plus efficaces pour les couples en consultation de sexologie. Les solutions sont à la portée de chacun.
Souvenez-vous : relancer le désir sexuel, c’est comme rallumer une lanterne après l’orage. Parfois vacillante, mais toujours plus belle quand elle éclaire à nouveau le chemin du couple.
Comment savoir si mon couple doit consulter une sexologue pour relancer le désir ?
Si le désir est absent ou trop faible depuis plusieurs semaines ou mois, et que vous ressentez de la frustration, de la déconnexion ou des blocages, une consultation peut vous aider. N’attendez pas la rupture ou le désespoir : plus on prend les choses tôt, plus la solution est simple !
Pourquoi fait-on parfois plus l’amour après plusieurs années de vie commune ?
Avec le temps, la routine, le stress et la diminution de la nouveauté peuvent affaiblir le désir sexuel. Savoir l’anticiper, oser en parler et consulter permet de renouveler la dynamique pour retrouver une complicité intime durable.
Faut-il venir en couple ou seul·e lors de la première consultation en sexologie ?
Vous pouvez tout à fait consulter seul·e si votre partenaire hésite. Beaucoup de démarches commencent ainsi et débloquent la communication, ce qui encourage le couple entier à avancer ensemble.
Quand les premiers bénéfices d'une consultation chez une sexologue se font-ils sentir ?
En général, les premiers effets apparaissent dès les premiers échanges : libérer la parole est déjà apaisant. Les exercices proposés apportent souvent des changements concrets après quelques semaines d’implication active.
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Références scientifiques
1. Levine SB, "Sexual desire disorders: Epidemiology, diagnosis, and treatment," *JAMA Psychiatry*, 2017. Étudie le diagnostic et la prise en charge des troubles du désir sexuel.
2. Brotto L, et al., "A mindfulness-based group psychoeducational intervention targeting sexual arousal disorder in women," *J Sex Med*, 2016. Montre l’impact d’un accompagnement psychosexuel sur la relance du désir.
3. Almeida J, et al., "Efficacy of couple therapy in sexual dysfunction," *Journal of Sex & Marital Therapy*, 2018. Évalue l’efficacité de la thérapie de couple sur la sexualité.
4. Rosen RC, "The Biopsychosocial Model of Sexual Function and Dysfunction," *World Journal of Urology*, 2021. Appuie scientifiquement l'approche globale de la sexologie.