Psychologue Spécialiste pour INSOMNIES et SOMMEIL – Mme KRINGS Audrey
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0471 63 28 28
3h12 du matin. Vous êtes là. Encore réveillé(e). Le tic-tac résonne, vos yeux scrutent le plafond, et votre cerveau, lui, fait du karaté. Un souvenir remonte, une conversation de la veille, un rendez-vous à préparer... Les pensées qui envahissent l’esprit au moment de l’endormissement jouent à cache-cache avec le sommeil. Impossible de leur dire “stop”. Pourquoi ces pensées vagabondes sont-elles si coriaces ?
Des milliers de personnes – que ce soit à Liège, à Namur ou en Belgique tout entière – connaissent ce manège : on voudrait s’arrêter de penser, mais tout semble empirer. Dans cet article, nous allons plonger dans ce cercle sournois, comprendre d’où vient ce phénomène, ce qui l’aggrave et surtout, comment s’en sortir… ou au moins, apprendre à apprivoiser ces pensées, la nuit.
Avez-vous besoin d’un regard extérieur et professionnel ? Parfois, le problème du sommeil cache d’autres enjeux : anxiété, deuil, transition de vie, problèmes familiaux… Psychologue Spécialiste pour INSOMNIES et SOMMEIL – Mme KRINGS Audrey , agréée par la Commission des Psychologues, intervient à Esneux et propose un accompagnement sur-mesure pour adolescents, étudiants, adultes et familles confrontés à ces labyrinthes nocturnes. Son expérience vous éclaire sur la route du sommeil retrouvé.
La journée s’étire. Elle est bruyante, pleine de stimulations, de notifications, de tâches à remplir. Mais la nuit, tout s’arrête. C’est là que, paradoxalement, notre esprit décide d’appuyer sur “lecture” au lieu de “pause”. On parle souvent du “cerveau qui mouline”. Mais comment expliquer ce réveil mental pile au moment de dormir ?
Commençons par un mécanisme simple. Pendant le jour, le bruit et le mouvement agissent comme des couvercles. Ils masquent le flux de nos pensées, tel un brouillard qui cache la ville – ici, le centre-ville de Liège à l’heure de pointe. Mais au moment où le silence s’impose, notre cerveau se met à “parler” plus fort. Il ne supporte pas le vide. Plus de sollicitation extérieure ? Il occupe la place. La fameuse “rumination mentale” commence.
La science du sommeil l’affirme : l’insomnie n’est pas juste une question de “manque de fatigue”. C’est le théâtre d’un hyper-éveil cérébral. Les personnes insomniaques présentent un niveau d’activation du cerveau supérieur au repos. C’est comme si, sur les circuits de Formule 1 de la pensée, tout accélérait dès que tombe la nuit. Un bruit d’autoroute dans la tête, alors que dehors, tout est paisible.
C’est universel. Mais certaines personnes sont plus touchées. Les anxieux, celles et ceux qui viennent d'affronter un deuil, ou qui traversent une phase de transition (nouvel emploi, séparation, déménagement aux alentours de Liège…). Pour ces profils, la nuit ressemble vite à un carrefour saturé d’idées, de soucis ou de scénarios catastrophes.
Et il y a l’effet "balle de ping-pong" : une pensée surgit. On veut la faire taire. On s’agace. Plus on s’agace, plus les pensées reviennent. Impossible de les contrôler. C’est le revers du fameux “il faut absolument dormir, maintenant, sinon demain, ce sera l’horreur”. Dès que cette injonction surgit… c’est fichu.
Une anecdote réelle : Louise, 38 ans, confie à son psychologue, “La nuit, mon cerveau se souvient de tout ce que j’ai oublié dans la journée. Comme si une armée de secrétaires me faisait la to-do-list de la veille ! Impossible de leur fermer la porte…” Vous souriez ? Mais qui ne se reconnaîtrait pas là-dedans, parfois ?
Des études belges récentes montrent que 44 % de la population adulte témoigne d’avoir ce « brouhaha mental » au moins une fois par semaine. À Liège, dans une enquête menée en 2022, c’était particulièrement frappant chez les femmes actives de 30 à 50 ans – très sollicitées entre charge mentale, famille et boulot. Leur sommeil en pâtit.
Mais pourquoi ces pensées-là précisément ? Pourquoi pas une douce rêverie ? Les neuroscientifiques pointent le rôle du cortex préfrontal : la zone du cerveau qui pilote la planification, l’anticipation, l’imagination. Cette région, normalement “au repos” la nuit, est parfois sur-sollicitée chez nous, les humains modernes. C’est comme si un chef d’orchestre refusait d’éteindre la lumière du concert.
Le stress, l’anxiété, l’anticipation négative, le regret : toutes ces émotions “alourdissent” la matière première des pensées nocturnes. Et plus on lutte, moins on gagne.
Ce n’est pas “juste dans la tête”. Les pensées qui empêchent de dormir grossissent au contact de nos soucis quotidiens. Certains spécialistes nomment cela “la tyrannie des pensées envahissantes”. C’est, en somme, comme essayer d’endormir un enfant super excité par un anniversaire : plus on exige le calme, plus ça part dans tous les sens.
L’anxiété agit ici comme un carburant. Elle fait tourner en boucle trois types de pensées :
Tout cela pèse. Surtout pour ceux qui, comme beaucoup à Liège, jonglent entre vie de famille, problèmes de travail, parents âgés à soutenir, etc. La fameuse charge mentale gonfle et finit par exploser quand la lumière s’éteint.
Un fait souvent méconnu : la société moderne, avec son culte de la performance, encourage – sans le dire – à “optimiser” même le sommeil. On ne nous dit pas “dormez comme vous pouvez”. On nous dit : “Réussissez votre sommeil !” Résultat : on culpabilise dès qu’on n’y arrive pas. Encore un poids lourd à traîner sous la couette…
Derrière l’anxiété, il y a parfois des histoires plus profondes : un deuil récent, une transition importante de vie, ou des blessures anciennes. Mme Krings Audrey, psychologue agréée à Esneux (près de Liège), l’observe souvent : “Les pensées de nuit sont parfois comme des bulles d’émotions qu’on croyait disparues. Elles remontent quand tout est calme, sans crier gare…”
Les ados et jeunes adultes sont aussi très concernés. La pression scolaire, les changements d’amitiés, les premières ruptures. Aux alentours de Liège, plusieurs écoles rapportent une montée des cas d’insomnie chez les étudiants. Le mental ne lâche rien ! On dit parfois : “La nuit porte conseil”. Mais, avouons-le, la nuit porte parfois plus la pagaille que des solutions…
Avez-vous remarqué ? Ces pensées nocturnes sont souvent centrées sur le ressenti d’être “seul dans sa tête”. C’est précisément ce qu’il faut briser : sortir de ce huis clos mental. L’accompagnement professionnel, comme celui de Mme Krings Audrey, aide à déposer ces valises… sans quoi on finit par s’épuiser, nuit après nuit.
Hypersensibilité, anxiété généralisée, interrogations existentielles – on pourrait collectionner les étiquettes. Mais au fond, l’essentiel c’est de reprendre la main sur notre façon d’accueillir ou non ces pensées. Pas de les “couper”, mais de les observer, comme des trains qui passent. Les psychologues parlent d’acceptation, de “lâcher-prise” – pas toujours facile, mais essentiel pour apaiser ce manège nocturne.
Vous sentez le besoin d’aller plus loin ? Certains témoignages dans cet article de femmes en épuisement mental montrent à quel point ce cercle vicieux fatigue plus qu’il n’aide. Une psychologue spécialiste, sur place ou même à distance, peut vous aider à renverser la vapeur. Parfois, c’est le dialogue qui amène la première nuit paisible, après des mois de lutte solitaire.
Tout cela vous parle ? Vous cherchez d’autres solutions pour renforcer votre équilibre et sortir du piège de l’anxiété ? Consultez aussi cet article interne sur la psychologie intégrative à Liège pour découvrir comment l’alliance patient-thérapeute peut booster le retour du sommeil naturel.
Psychologue Spécialiste pour INSOMNIES et SOMMEIL – Mme KRINGS Audrey
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Vous connaissez peut-être ce schéma : chaque nuit, face aux pensées, vous essayez mille stratégies. Compter les moutons, respirer fort, ruminer sur “surtout ne pas penser à demain”... Rien n’y fait. Alors, faut-il lutter ou accepter ? C’est la grande question.
En réalité, plus on veut contrôler les pensées, plus on les renforce. Ça semble paradoxal, non ? C’est exactement le phénomène repéré par les chercheurs : lorsque notre cerveau perçoit une intention de contrôle (du type “je dois arrêter d’y penser”), il se braque et… libère plus de pensées. C’est un effet rebond. Comme si vous jetiez de l’essence sur le feu en voulant l’éteindre !
À l’inverse, les stratégies “d’évitement” (détourner l’attention, prendre le téléphone, rallumer la TV) apportent rarement un soulagement durable. On occupe l'esprit, mais la racine du problème reste là – tapie dans l’ombre, prête à ressurgir au prochain silence.
Une étude américaine de 2020 rapporte : 83 % des insomnies seraient liées à la “volonté excessive de contrôler ses pensées”. Sortir de ce piège, c’est donc changer de posture face aux pensées. Comment faire ?
Des approches psychologiques existent. Elles consistent à “regarder passer la pensée” au lieu de la chasser. C’est LA clé. L’image employée souvent en consultation : “Vos pensées sont des nuages, et vous êtes le ciel. Vous, vous restez. Les nuages, eux, passent.”
Des psychologues, comme Mme Krings Audrey à Esneux, accompagnent les patients à travers plusieurs axes :
Une métaphore que l’on aime en séance : imaginez le mental nocturne comme une radio mal réglée. Plus vous tournez le bouton, plus ça grésille. Parfois, il faut juste se poser, écouter… et le bruit finit par baisser tout seul. Cela prend du temps, bien sûr. Mais ce n’est pas une fatalité.
Le soutien psychologique devient alors un raccourci précieux. Pas juste pour “dormir mieux” mais pour apprendre à regarder son esprit avec plus de douceur. En Belgique, on recense chaque année plusieurs milliers de consultations pour “insomnie psychogène”. Les patients expriment un soulagement immense dès que le dialogue s’ouvre.
Et puis, il ne faut pas négliger les causes sociales de l’insomnie : conflits familiaux (voici un article à lire, pourquoi consulter une psychologue systémicienne), pression au travail, sentiment d’être submergé. Ici aussi, le travail relationnel et l’expression des émotions jouent un rôle fort.
Vous ne dormez pas, vous tournez en boucle... Et si c’était le signe d’un besoin de parole, de transformation intérieure ? Comme le dit si bien Mme Krings Audrey : “Parfois, l’insomnie est une pause nécessaire pour que des choses délaissées dans la journée puissent remonter et, enfin, être digérées. À condition de ne pas rester isolé.”
Des outils concrets peuvent vous aider : petits rituels, écriture, méthodes de relaxation, changements d’habitudes… Mais le cœur du processus, c’est d’arrêter de vouloir être “parfait dans son sommeil”. Accepter qu’une mauvaise nuit ne “gâche” pas tout, apprendre à accueillir la fatigue, c’est déjà soulager la pression.
Pour aller plus loin, explorez aussi ce dossier interne sur comment affirmer son identité et retrouver l’apaisement émotionnel : toutes les dimensions du “moi” dialoguent, même dans le sommeil !
Si vous vous dites : “Tout ça, c’est bien, mais concrètement, je fais comment ce soir ?”, respirez. Il existe des stratégies éprouvées pour dégonfler l’angoisse nocturne et renouer avec un sommeil réparateur.
La première étape, souvent sous-estimée : se déculpabiliser. Non, vous n’êtes pas “anormal” parce que vous pensez trop la nuit. C’est le signe d’un cerveau en alerte, d’une époque anxiogène, de rythmes de vie fracassés. Le sommeil, ce n’est pas du “travail en plus”. C’est un retour au calme, qu’il faut parfois réapprendre.
Voici quelques repères précis, issus du suivi d’adultes et d’ados en consultation :
Les séances avec une psychologue comme Mme Krings Audrey (à Esneux) permettent d’inclure ces outils dans une démarche plus globale : analyse de la vie, identification des moments charnières, connexion au ressenti. Un sommeil réparateur s’installe rarement “par miracle”. Mais, pas à pas, il revient. Et la fierté d’avoir “débranché” la radio mentale n’a pas d’équivalent !
Enfin, selon de récentes enquêtes menées en Belgique, le sommeil perturbé multiplie le risque de troubles émotionnels, de stress chronique, voire de dépression. Intervenir tôt, c’est donc investir dans chaque dimension de la vie. N’attendez plus pour investir sur vous, sur votre apaisement nocturne, sur votre joie de vivre retrouvée. Car dormir, c’est redevenir soi, et se reconnecter à tout ce qu’on a de plus vital.
Pour compléter cette réflexion, découvrez cette ressource sur comment gérer le stress familial chez les femmes, point essentiel pour remettre à plat les sources de charge mentale qui vampirisent nos nuits.
Pourquoi mes pensées sont-elles plus envahissantes quand je veux dormir ?
Le calme et l’absence de stimulations extérieures la nuit libèrent l’activité mentale jusque-là contenue par le bruit du quotidien. C’est alors que le cerveau, naturellement enclin à traiter les soucis non résolus, se met à “tourner” sans filtre, surtout chez les personnes anxieuses ou en transition de vie.
Comment puis-je reprendre le contrôle sur mes pensées avant de dormir ?
Il n’est pas possible de contrôler totalement ses pensées, mais certaines pratiques comme l’écriture nocturne, la pleine conscience ou l’acceptation permettent de les apaiser. En étant accompagné par une psychologue spécialisée, vous pouvez apprendre à observer vos pensées sans y réagir, réduisant ainsi leur pouvoir perturbateur la nuit.
Quand faut-il consulter un spécialiste pour des problèmes d’insomnie liés aux pensées ?
Si vos troubles du sommeil durent plus de 3 semaines, impactent votre humeur ou votre fonctionnement, ou s’accompagnent d’angoisses prononcées, il est important de consulter. Un professionnel comme Mme Krings Audrey à Esneux aidera à identifier les causes profondes et à mettre en place des solutions adaptées à votre situation.
Faut-il s’inquiéter si on pense trop la nuit ? Est-ce grave ?
Penser la nuit est un phénomène courant, surtout en période de stress ou de changement. Cependant, si cela devient chronique et réduit votre qualité de vie, il est utile de chercher du soutien : cela peut prévenir l’installation d’un trouble du sommeil durable et vous permettre de retrouver plus sereinement des nuits calmes.
Smith MT, Perlis ML. "Who is a candidate for cognitive-behavioral therapy for insomnia?" Health Psychology, 2006. Résumé : Article qui détaille l’efficacité des stratégies cognitives pour l’insomnie et l’impact du contrôle des pensées sur le sommeil.
Harvey AG. "A cognitive model of insomnia." Behaviour Research and Therapy, 2002. Résumé : Décrit comment la rumination mentale et la lutte contre les pensées aggravent les troubles du sommeil.
Bastien CH, Morin CM. "Cognitive-behavioral therapy for insomnia: A systematic review and meta-analysis." Canadian Journal of Psychiatry, 2004. Résumé : Montre que l’apprentissage de l’acceptation des pensées améliore durablement la qualité du sommeil.
Espie CA. "Insomnia: Conceptual Issues in the Development, Persistence, and Treatment of Sleep Disorder in Adults." Annual Review of Psychology, 2002. Résumé : Analyse les facteurs cognitifs et émotionnels à l’origine de l’insomnie et détaille les approches thérapeutiques adaptées.