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Comment aider votre enfant à surmonter sa peur de dormir seul ?NeuroPsy ADO-ENFANT Liège POTTIER Solenn

Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0456/87.15.00

Pourquoi mon enfant a-t-il peur de dormir seul et comment une consultation en psychologie à Liège peut-elle l’aider ?

Pourquoi beaucoup d’enfants ont-ils peur de dormir seul ?

Votre enfant réclame votre présence à l’heure du coucher ? Il vous supplie de ne pas fermer la porte, proteste contre l’extinction des lumières ou s’immisce dans votre lit au beau milieu de la nuit ? Vous n’êtes pas seuls à vivre ce casse-tête. La peur de dormir seul chez l’enfant est beaucoup plus répandue qu’on ne le pense. Ce trouble mine le sommeil, l’équilibre familial et parfois même la santé de tous. Mais pourquoi certains enfants s’angoissent-ils autant à l’idée de rester seuls la nuit ?

Petit, l’enfant apprivoise le monde et ses angoisses. Mais la nuit, tout change. Le cerveau d’un jeune enfant travaille différemment d’un adulte. Les frontières entre l’imaginaire et la réalité sont poreuses. Un objet dans la chambre peut devenir monstre, l’ombre du placard prend vie. Certains enfants, plus sensibles, dotés d’une imagination débordante ou traversant une période de changement, sont particulièrement vulnérables face au noir et à la solitude nocturne.

La peur de dormir seul s’accompagne souvent d’autres signaux : cauchemars répétés, peur de l’abandon, crises de pleurs, régression (il demande la tétine ou le doudou oublié depuis longtemps), refus d’aller au lit, endormissement très long. Pour certains, la chambre devient un terrain miné. Vous repoussez l’extinction des feux, vous restez à côté “le temps qu’il s’endorme”. La situation s’éternise, et avec elle la fatigue et la tension pour tout le monde.

Il ne s’agit ni d’un caprice, ni d’un manque d’autorité parentale. Les enfants connaissent des phases où la peur prend le dessus : vers 2-3 ans (angoisse de la séparation), puis vers 5-7 ans (apparition de monstres, peur des voleurs ou des animaux sous le lit). À l’adolescence, le mal-être nocturne peut revenir, avec en toile de fond, des anxiétés scolaires ou sociales. Certains chiffres donnent le vertige : jusqu’à 30% des enfants entre 3 et 10 ans souffriraient, à un moment ou l’autre, de troubles du sommeil liés à la peur d’être seuls la nuit.

Cette peur, en Belgique comme ailleurs, peut être le symptôme de quelque chose de plus profond : un changement dans la famille (déménagement, divorce, arrivée d’un petit frère), une période de tensions (maladie, harcèlement à l’école), ou une hypersensibilité naturelle. Le manque de routines apaisantes, les écrans en soirée, la transmission involontaire d’angoisses adultes jouent également. En somme, c’est un cocktail unique pour chaque enfant.

La vérité ? Un enfant qui a peur de dormir seul a besoin de comprendre ce qui lui arrive, d’être rassuré et accompagné, pas d’être jugé ou brusqué. Nul besoin de voir le sommeil comme une épreuve. La psychologie moderne considère que la peur du coucher relève souvent d’un “stress de séparation”, typique dans la construction affective.

Alors, comment savoir si la peur du coucher est passagère ou s’installe dans le temps ? Pour beaucoup de parents, difficile de trancher. Si la situation perdure plus de quelques semaines, si elle bouscule le rythme familial, l’aide professionnelle prend tout son sens.

Le simple fait d’en parler, de sortir ce problème de la chambre, c’est déjà permettre à l’enfant de souffler. D’oser. D’imaginer un autre rapport à la nuit. C’est la première étape avant de trouver une solution adaptée, durable… et rassurante.

Quelle place pour la psychologie dans la gestion de cette peur du sommeil chez les enfants et adolescents ?

Psychologue Enfants et Adolescents – L’accompagnement sur-mesure constitue une ressource précieuse pour les familles confrontées à cette difficulté. Parce qu’au fond, la peur de dormir seul n’est jamais “qu’une histoire du soir qui tourne mal”. Derrière, il y a des émotions, des non-dits, et parfois le signal d’une anxiété plus globale.

La psychologue pour enfant et adolescent va d’abord écouter, sans a priori. Son rôle ? Démêler la pelote de l’angoisse : identifier ce qui relève du développement normal et ce qui commence à freiner l’autonomie, l’épanouissement et la confiance de l’enfant. Elle cherche aussi à comprendre le vécu parental – car l’angoisse du coucher peut raviver des souvenirs d’enfance, générer une culpabilité ou une fatigue invisible.

En consultation, l’enfant s’exprime à sa façon : mots, dessins, jeu, histoires. Le psychologue observe les contours de la peur – est-elle seulement liée à la nuit, au noir, à la solitude, à l’idée de perdre ses parents ? Émerge-t-elle uniquement à la maison ou aussi ailleurs (en colonie de vacances, chez les copains, à l’internat) ? Parfois, une peur persistante du sommeil trahit un terrain anxieux plus général, voire des troubles associés. On se pose alors d’autres questions :

- Est-ce que mon enfant s’inquiète beaucoup pour tout et n’importe quoi ?
- Est-ce qu’il évite d’autres situations loin de moi, même en journée ?
- Les cauchemars ou terreurs nocturnes deviennent-ils le seul moyen d’exprimer ses peurs ?

Il arrive aussi que la peur du coucher serve de soupape à des tensions cachées : harcèlement, séparation des parents, pression scolaire… C’est là que le regard extérieur de la psychologue prend tout son sens, loin des jugements ou des vieilles recettes (“il doit apprendre à la dure”, “ça va passer tout seul”).

Pourquoi ça marche ? Parce que l’enfant (ou l’ado !) se sent entendu autrement, à l’écoute de ses émotions et de son imaginaire. La consultation invite à mettre des mots là où régnait le flou. On ne règle pas la peur de la nuit à coup d’explications rationnelles (“il n’y a rien sous le lit”), mais en sécurisant l’espace mental : donner du sens, proposer des astuces personnalisées, outiller parents et enfants pour transformer le coucher en moment d’apaisement et non d’appréhension.

Parfois, la psychologue conseille un bilan complémentaire – par exemple un test QI – si la sensibilité, la précocité ou certains troubles neurodéveloppementaux entrent en ligne de compte. Mais l’essentiel reste de dédramatiser, de comprendre le pourquoi, pour mieux rassurer.

En étant accompagnés, les enfants redécouvrent la nuit comme un territoire à apprivoiser, et non à fuir. Les familles trouvent des routines adaptées, en accord avec leur histoire. C’est tout le pari de l’approche psychologique : réconcilier chaque membre de la famille avec ce moment clé de la journée.

Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0456/87.15.00

Comment se déroule une consultation psychologique pour la peur du sommeil à Liège ?

Imaginez : vous poussez la porte d’un cabinet à Liège, ou aux alentours de Liège, la nervosité dans la voix. Votre enfant serre sa peluche, l’air inquiet mais curieux. La psychologue vous accueille, sans tabou. Pas de blouse blanche, pas de jugement : ici, ce qui compte, ce sont les ressources et l’histoire de chacun. Le but ? Créer un espace neutre, rassurant – une sorte d’île dans la tempête, où le problème nocturne peut enfin être posé.

La première séance débute souvent par un temps d’échange avec les parents, puis seul avec l’enfant. Parfois, toute la famille est invitée à parler de son ressenti autour du sommeil. Ce point de départ permet d’objectiver : depuis quand la peur a-t-elle débuté ? Quels sont les rituels du coucher ? L’enfant se plaint-il d’autres choses ? Les parents dorment-ils bien eux-mêmes ? L’histoire familiale… Tout compte.

La psychologue utilise différents outils – selon l’âge et la maturité de l’enfant :

  • Jeux de rôle autour du sommeil et de la nuit
  • Utilisation du dessin pour représenter ses peurs cachées
  • Histoires thérapeutiques “sur mesure” pour désamorcer les monstres du placard
  • Relaxation ludique, respiration, exercices de visualisation (“imagine ta forteresse protectrice”)
  • Création de routines d’endormissement personnalisées, tenant compte des besoins de l’enfant et du rythme familial
  • Exploration des liens entre la peur du coucher et d’autres angoisses sous-jacentes

L’enfant est acteur de sa démarche : il choisit parfois l’objet qui le sécurise, crée sa boîte à courage, invente des histoires où il devient le héros face à la nuit. Les séances ne consistent pas seulement à parler, mais à expérimenter, à remettre de la confiance là où le doute a pris toute la place. Certains échanges sont légers, d’autres plus sérieux.

En parallèle, la psychologue accompagne les parents. Pourquoi ? Parce qu’il ne suffit pas de “poser des limites” ou de “lâcher prise”. Il s’agit d’ajuster le discours, d’instaurer une cohérence, de sortir de la spirale “chacun campe sur ses positions”.

Un exemple concret, fréquent en Belgique : des parents épuisés, qui alternent menaces (“c’est ta dernière fois sous prétexte, sinon je te punis !”) et résignation (“bon d’accord, tu finis la nuit dans notre lit…”). Cette incohérence créée, malgré elle, un cercle vicieux : l’enfant comprend que son angoisse lui permet d’éviter le lit. Résultat : tout le monde est de plus en plus tendu, mal reposé, à cran. Le conseil du psychologue ? Rétablir une routine stable MAIS rassurante, où la transition entre présence parentale et autonomie se fait par étapes (exemple : d’abord attendre dans le couloir dix minutes, puis allumer une veilleuse, puis encourager à appeler si besoin…).

Certains parents voient aussi leurs propres traumatismes se réveiller à travers les crises de leur enfant. La psychologue les aide à différencier ce qui leur appartient (leurs propres souvenirs nocturnes difficiles) de ce que vit l’enfant. Ce petit “pas de côté” déculpabilise, désamorce les tensions et permet d’avancer plus sereinement.

Les outils concrets proposés portent leurs fruits avec le temps. Attention, il ne s’agit jamais de magie, mais d’un travail progressif. Les victoires sont souvent discrètes, presque invisibles : un soir, l’enfant s’endort plus vite ; un autre, il n’appelle qu’une fois… Pour certains, la peur disparaît aussi vite qu’elle est venue. Pour d’autres, il faudra plusieurs séances, quelques ajustements, parfois une prise en charge complémentaire. Surtout, pas de pression : chaque parcours est unique.

L’accompagnement psychologique intègre aussi, si besoin, une orientation vers d’autres spécialités (médecin, psychomotricien, pédopsychiatre) si la peur du coucher est associée à d’autres troubles (énurésie, cauchemars violents, troubles d’apprentissage, phobie scolaire…). Ce regard pluridisciplinaire évite de passer à côté d’un problème plus global.

Si vous hésitez encore à consulter, posez-vous ces questions : votre enfant dort-il “comme un bébé” ailleurs qu’à la maison ? Sa peur s’est-elle aggravée après un événement notable ? Sa vie scolaire ou familiale en souffre-t-elle ? N’attendez pas. Parler, c’est déjà avancer.

Pour découvrir d’autres aspects de la psychologie de l’enfant, je vous invite à lire l’article “Un psychologue pour enfants : une bouée face aux troubles du comportement”. Vous y trouverez des pistes complémentaires pour mieux comprendre le rôle du professionnel.

Enfin, osons dire la vérité : derrière la peur de dormir seul se cache souvent une demande d’amour, d’attention, de sécurité. En consultation, tout cela peut enfin s’exprimer sans filtre, pour retrouver des nuits apaisées… et des journées moins épuisantes.

Quels sont les conseils pratiques et solutions que vous pouvez mettre en place, en parallèle d’une consultation en psychologie ?

Vous venez de reconnaître votre histoire dans ces lignes ? Prendre rendez-vous avec une psychologue spécialisée à Liège, c’est une démarche constructive, mais il existe aussi des gestes simples à tester pour rendre la nuit moins menaçante – avant ou pendant le suivi. Voici quelques conseils, glanés auprès de praticiens et validés par de nombreuses familles :

  • Rituels du coucher réguliers : Créez un enchaînement toujours identique avant le dodo (histoire, brossage de dents, câlin, phrase rassurante), pour ancrer un sentiment de sécurité. Cela peut s’apparenter à un “petit sentier balisé” vers le sommeil.
  • Apprivoiser le noir progressivement : Autorisez une veilleuse ou la porte légèrement entre-ouverte au début, puis réduisez petit à petit. C’est comme dégonfler un ballon d’angoisse, doucement.
  • Objets transitionnels : Même les “grands” ont droit à leur doudou ! Un objet doux ou symbolique fait parfois merveille pour passer le cap.
  • Mots positifs, routine d’apaisement : Plutôt que “n’aie pas peur”, préférez “Je vois que tu es courageux”, “Tu as le droit d’avoir peur, mais tu peux le surmonter”. L’enfant retient le positif, pas l’interdiction.
  • Pas de dispositifs anxiogènes : Bannissez les histoires effrayantes, dessins animés angoissants, jeux vidéo juste avant le coucher. Le cerveau d’enfant y est très perméable !
  • Présence différée : Instaurer des petites “missions” d’autonomie : “Je vais ranger la cuisine, je reviens te faire un bisou dans cinq minutes.” L’enfant apprend à patienter seul, sans se sentir abandonné.
  • Tableau des progrès : Avec l’encadrement du psychologue, proposez un tableau de “victoires” nocturnes, sans pression ni punition (un autocollant pour chaque nuit plus sereine).
  • Verbaliser, dessiner la peur : Parfois, donner forme à la peur (la dessiner, écrire une lettre à la peur, inventer un talisman pour la combattre) permet de la tenir à distance.

Attention : ces approches ne remplacent pas une écoute professionnelle, surtout si la peur du coucher s’installe ou devient ingérable. Mais elles montrent à votre enfant que la nuit est “sa” conquête. Il n’est pas seul, il avance à son rythme…

Quand consulter à Liège ?

Vous hésitez encore à appeler un professionnel comme Mme Lara TRESALLI ? Demandez-vous :

- La peur empêche-t-elle l’enfant (et les parents !) de dormir correctement, nuit après nuit ?
- L’enfant exprime-t-il d’autres peurs ou signes d’anxiété la journée ?
- La situation s’aggrave-t-elle, malgré vos efforts, depuis plusieurs semaines ?
- Y a-t-il d’autres changements en cours (école, famille, santé) qui rendent tout plus difficile à gérer ?

Si la réponse est oui à l’une de ces questions, n’attendez pas. Plus la peur du sommeil s’installe, plus elle s’ancre dans la routine – jusqu’à devenir “normale”. Un suivi psychologique, même court, peut vraiment éviter que le problème ne fasse des ravages sur l’estime de soi, le bien-être familial, la réussite scolaire.

Dans les environs de Liège, plusieurs professionnels compétents accompagnent enfants et adolescents sur ce chemin. Vous pouvez également lire l’article “Comment aider un enfant à surmonter sa peur de l’école : conseils d’une psychologue spécialisée à Liège” pour découvrir comment la parole et l’écoute sont des leviers puissants, qui se reflètent sur toutes les peurs, pas seulement celle de la nuit.

Si la peur se double d’autres troubles (inattention, excitation à l’heure du coucher, conflits fréquents, régressions multiples), elle pourra orienter vers d’autres collaborateurs du secteur paramédical. Pour compléter votre réflexion, explorez “Les troubles anxieux chez l’enfant” sur le site esneuxmedical.be, qui détaille les différents visages de l’anxiété dès l’enfance.

Se faire aider, c’est offrir à son enfant un avenir de nuits plus douces. Et aux parents, un peu de paix retrouvée…

En conclusion, qu’on vive en ville, à la campagne ou en Belgique, la peur du sommeil n’est jamais anodine des deux côtés de la couette. Elle raconte l’enfance, ses fragilités mais aussi sa formidable capacité à rebondir, surtout quand on sait tendre la main au bon moment.

FAQ – Questions fréquentes

Pourquoi mon enfant a-t-il soudain peur de dormir seul ?
Il est fréquent qu’un enfant développe une peur soudaine de dormir seul après un changement (déménagement, rentrée, tensions familiales) ou simplement parce qu’il traverse une phase d’angoisse au fil de son développement. Le cerveau de l’enfant imagine alors des dangers, même infimes, surtout la nuit où tout paraît plus grand.

Comment savoir si la peur du sommeil nécessite une consultation psychologique ?
Si la peur entrave la vie familiale, provoque de la détresse chez l’enfant malgré les tentatives de rassurer, ou s’installe dans la durée (plusieurs semaines), il est recommandé de consulter pour éviter que le problème ne s’aggrave. La consultation aide à mieux comprendre et à agir de manière adaptée.

Quand faire appel à une psychologue à Liège pour ce problème ?
Dès que vous constatez que la peur du coucher génère de l’épuisement chez toute la famille, que les solutions testées à la maison ne suffisent pas, ou que des signes d’anxiété apparaissent en journée, n’hésitez pas à prendre rendez-vous. Une intervention rapide permet souvent de débloquer la situation plus facilement.

Faut-il forcer un enfant à dormir seul malgré la peur ?
Forcer un enfant ne fait qu’aggraver sa peur et sa détresse. Il vaut mieux l’accompagner progressivement, instaurer un rituel de confiance, et, si besoin, consulter un professionnel pour structurer une démarche de séparation en douceur.

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Références scientifiques :

- Spilsbury, J.C., "Sleep Problems in Children and Adolescents", Psychiatry, 2009. Résumé : Expose la prévalence et les conséquences des troubles du sommeil, ainsi que les stratégies d’accompagnement adapté.
- Mindell, J.A., et al., "Developmental Aspects of Sleep Hygiene: Findings from the 2004 National Sleep Foundation Sleep in America Poll", Sleep Medicine, 2006. Résumé : Met en lumière l’importance des routines et de l’accompagnement parental pour prévenir les troubles du coucher.
- Alfano, C.A., et al., "Children’s Sleep Problems and Their Relationship to Anxiety", Journal of Anxiety Disorders, 2007. Résumé : Analyse les liens entre anxiété et troubles du sommeil chez l’enfant, plaidant pour un dépistage et une prise en charge psychologique précoce.
- Gregory, A.M., et al., "Sleep Problems in Childhood: A Longitudinal Study of Developmental Change and Association with Anxiety", Developmental Psychology, 2008. Résumé : Montre comment les troubles du sommeil et l’anxiété évoluent en parallèle chez l’enfant et l’adolescent.

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