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Attention divisée : évaluez votre concentration à LiègeNeuropsychologue

Neuropsychologue - Mme Eléonore CLOSSET

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0472 26 62 63

Attention divisée : comment l’évaluer la concentration à Liège ?

Vous arrive-t-il d’entrer dans une pièce et d’oublier pourquoi ? D'avoir l’impression de chercher vos mots en pleine conversation, ou encore, d’avoir du mal à suivre un film sans vérifier dix fois votre téléphone ? Parfois, la concentration se fait la malle sans prévenir, nous laissant confus, frustré, ou même inquiet. À Liège, de nombreuses personnes viennent consulter pour ces problématiques, qui peuvent cacher un défi moins connu mais pourtant fondamental : le trouble de l’attention divisée.

Mais c’est quoi, exactement, l’attention divisée ? Comment savoir si c’est un problème chez soi ou chez un proche ? Et surtout : comment évaluer la concentration, de façon professionnelle et bienveillante, auprès d’un spécialiste en neuropsychologie ? Cet article va vous plonger concrètement dans le vif du sujet, entre tests précis et astuces du quotidien. Attachez vos ceintures, nous partons explorer le cerveau… version multitâche !

Neuropsychologue - Mme Eléonore CLOSSET

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

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Qu’est-ce que l’attention divisée et pourquoi est-elle cruciale ?

On parle beaucoup de « distraction », de « multitasking » ou encore « d’étourderies »… Mais derrière ces mots se cache une notion essentielle de la neuropsychologie : l’attention divisée. C’est la capacité de traiter plusieurs informations ou de faire plusieurs tâches à la fois. Un super pouvoir ? Pas tout à fait. Plutôt une compétence à la fois naturelle et fragile, qui s’use quand on la sollicite trop.

Imaginez : vous êtes en train de cuisiner, la radio allumée à fond, les enfants qui réclament, votre téléphone qui sonne. Garder la main sur tout cela, sans mettre de sel dans le café, c’est l’attention divisée à l’œuvre ! Elle fait partie d’un ensemble plus large qu’on appelle les fonctions exécutives : c’est le chef d’orchestre caché dans votre cerveau.

Le cerveau humain est un athlète surprenant, mais il reste limité. Selon une étude menée par le psychologue Daniel Kahneman, notre capacité à diviser l'attention est plus faible qu'on ne se l’imagine. Dans certaines situations, ça fonctionne. Mais dès qu’il y a surcharge, le système sature. C’est un peu comme si, dans votre cuisine, toutes les casseroles débordaient en même temps.

L’attention divisée n’est jamais totalement acquise. Elle évolue tout au long de la vie :

  • Chez l’enfant : Elle s’entraîne progressivement, avec l’école, les loisirs. Ce n’est PAS inné.
  • Chez l’adulte : Fatigue, stress, migraine, maladie : tout influence.
  • Chez les seniors : Elle peut diminuer, mais pas toujours ! Chaque cerveau vieillit différemment.

Pourquoi est-ce un motif fréquent de consultation ? Parce que dans notre société moderne (écrans, interruptions, notifications…), beaucoup se plaignent de pertes d’attention : à la salle de réunion, chez les étudiants, ou devant leurs proches. Les problèmes d’attention divisée sont au cœur de :

  • Certains TDAH chez l’adulte,
  • Des suites neurologiques comme les AVC ou le Covid-long,
  • Des problématiques cognitives chez les seniors (début de la maladie d’Alzheimer, cerveau vieillissant),
  • Et bien sûr, du stress et du burn-out professionnel.

Qui n’a jamais “décroché” lors d’une réunion Zoom ? Ou d’une conversation ? Ou même au volant ? Ces petits oublis peuvent être anodins. Mais parfois, ils deviennent handicapants.

Pourquoi évaluer l’attention divisée chez le neuropsychologue à Liège ?

L’évaluation de l’attention divisée par un spécialiste, ce n’est pas de la curiosité : c’est souvent une étape fondamentale pour comprendre son fonctionnement et poser un diagnostic précis. Parce que tout “trou” de mémoire n’est pas dû à la distraction... Et à l’inverse, toute vraie difficulté d’attention ne rime pas forcément avec maladie grave.

À quoi sert ce bilan neuropsychologique ? À décortiquer, subtilement et méthodiquement, les véritables causes de votre distraction. Prenons deux exemples concrets :

  • Marie, 42 ans, employée : elle oublie ses rendez-vous, perd ses papiers, finit par se sentir “à côté de la plaque”. Elle craint un début d’Alzheimer, mais en réalité, son bilan montre un épuisement attentif lié au stress et à la charge mentale.
  • Jean, 68 ans, retraité : il a du mal à suivre deux conversations à table, zappe en permanence. L’évaluation précise découvre une légère défaillance dans l’attention divisée, typique d’un vieillissement normal, mais qui peut, si on la comprend et l’anticipe, bien se compenser.

Mais il y a aussi des cas plus complexes : séquelles d’un Covid-long, AVC, suspicion de TDAH, gestion après un accident… Là, seul un regard professionnel peut démêler le vrai du faux.

Les avantages à consulter un neuropsychologue à Liège pour évaluer votre attention divisée :

  • Des tests standardisés, adaptés à l’âge et la situation, qui décortiquent votre fonctionnement précis.
  • Une analyse humaine et neutre, qui prend en compte le contexte, la santé mentale et la mémoire globale.
  • Des stratégies concrètes à appliquer dans la vie réelle pour mieux fonctionner malgré ces fragilités.

Autre avantage : ce type de **bilan** est reconnu et demandé pour les aménagements scolaires, professionnels, mais aussi dans certains dossiers d’assurance ou dans les démarches MDPH (handicap). C’est donc souvent le point de départ d’un accompagnement plus large, sur mesure, et bienveillant.

Aux alentours de Liège, cette expertise manque parfois : or, les neuropsychologues spécifiquement formés à l’évaluation de l’attention divisée sont rares. Il est donc essentiel de s’orienter vers la bonne personne.

Pour aller plus loin sur les troubles de l’attention chez l’adulte, consultez cet article dédié à la distraction et aux oublis écrit par un spécialiste.

Vous vous demandez si vos “trous” d’attention sont normaux ou inquiétants ? Un test en cabinet peut éclairer, rassurer, ou ouvrir la voie à des solutions sur mesure.

Comment se déroule l’évaluation de la concentration au cabinet ?

Arriver chez la neuropsychologue pour un bilan d’attention, c’est souvent stressant. On a peur de ne pas être “à la hauteur”, d’avoir quelque chose de grave, ou, à l’inverse, que tout soit “dans la tête”. Rassurez-vous : ici, pas de jugement. L’approche est scientifique, mais humaine.

L’évaluation de l’attention divisée à Liège se fait généralement en plusieurs étapes, personnalisées selon l’âge et les plaintes. Petit panorama — imaginez-vous, dans le fauteuil, prêt à commencer…

1. L’entretien clinique : comprendre votre quotidien

Première étape, la neuropsychologue interroge vos difficultés, vos habitudes, votre mode de vie. Combien de post-it sur le frigo ? Des oublis à répétition au volant ? Qu’en disent les proches ? Parfois, tout part de là : l’anamnèse révèle les racines du problème.

Un questionnaire détaillé permet d’évaluer la fatigue, le stress, le sommeil, l’humeur (car tout ça parasitent l’attention !)

2. La passation des tests standardisés

Ensuite, place aux fameux tests neuropsychologiques. Concrètement, cela ressemble à des petits jeux de logique, de mémoire, ou d’attention. Pas besoin d’être “bon élève” !

  • Des tâches de double attention : écouter et lire, classer des chiffres tout en surveillant un chronomètre…
  • Des recherches visuelles rapides, où il faut rester vigilant malgré les distractions.
  • Des exercices oraux ou écrits, parfois ludiques, souvent astucieux, qui permettent au professionnel de voir, en temps réel, à quel moment l’attention s'effiloche, ou au contraire, reste solide.

Certains outils sont utilisés dans le monde entier, d’autres sont adaptés au patient, en fonction de ses plaintes ou de sa langue maternelle.

3. L’observation du comportement

Ce qui compte n’est pas seulement le score brut. La neuropsychologue observe comment vous réagissez : râlez-vous vite, zappez-vous, abandonnez-vous lorsqu’il y a trop de stimulations ? Ou, au contraire, y-a-t-il une petite étincelle de “tenacité” malgré la difficulté ?

Ces réactions peuvent en dire long sur le fonctionnement global de vos fonctions exécutives. Parfois, le blocage n’est pas au niveau cérébral, mais émotionnel (stress, anxiété, perfectionnisme).

4. Le compte-rendu personnalisé et les conseils

Quelques jours plus tard, vous recevez un compte-rendu, clair, imagé, loin du jargon. La neuropsychologue prend le temps de l’expliquer. Cela peut rassurer, ouvrir des portes, ou simplement donner des pistes très concrètes.

Parfois, une rééducation cognitive est proposée. Ou des conseils pour booster la concentration au quotidien : optimiser l’environnement de travail, changer certains rythmes, apprendre à mieux gérer la fatigue mentale.

Selon les cas, la prise en charge peut se faire en plusieurs séances ou s’appuyer sur des outils numériques modernes (applications, plateformes en ligne, jeux d’attention recommandés scientifiquement). Voici quelques techniques innovantes à découvrir ici.

Et pour ceux qui craignent les diagnostics, sachez que ce n’est pas toujours une fatalité : parfois, comprendre son fonctionnement, c’est déjà un soulagement.

Peut-on s’entraîner et progresser ? Oui. Comme un muscle, l’attention divisée se travaille, même à l’âge adulte.

L’attention divisée : comment la préserver et l’améliorer au quotidien ?

On l’oublie, mais le cerveau est plastique : il évolue, apprend, s’adapte. L’attention divisée ne fait pas exception ! Voici quelques conseils et stratégies, validés par la neuropsychologie, pour mieux jongler avec les tâches quotidiennes, même en Belgique où le rythme s’accélère chaque année.

Chez les adultes et seniors :

  • Fractionner ses tâches : plutôt que de tout faire en même temps, séparez chaque activité. Cuisinez, puis répondez à vos mails.
  • Lutter contre la surcharge informationnelle : supprimez les notifications inutiles, isolez vos moments importants.
  • Pratiquer la pleine conscience : en focalisant sur le présent, on muscle l’attention volontaire, sur le long terme.
  • Entraîner l’attention : Des jeux de mémoire, des exercices de brain training (validés scientifiquement, pas les gadgets ludiques), la lecture régulière, les sudokus complexes.
  • Adapter son environnement : une pièce calme, bien rangée, avec le minimum de distractions, ça change tout.
  • Prendre soin du sommeil : Le manque de repos, c’est l’ennemi numéro 1 de l’attention divisée.

Chez l’enfant et l’ado :

  • Favorisez les activités multisensorielles : dessin, construction, jeux de société… mais une chose à la fois !
  • Sensibilisez au “droit de décrocher” : il faut accepter de faire des pauses. C’est normal de ne pas pouvoir tout faire d’un coup.
  • Surveillez les signes d’un éventuel TDAH ou autres troubles associés – il n’y a pas de honte à demander de l’aide.

Un peu d’optimisme, aussi. Selon la chercheure française Hélène Amieva, prise tôt, la diminution légère de l’attention divisée liée à l’âge peut se stabiliser, voire s’améliorer, via une stimulation adaptée, des exercices et un mode de vie équilibré.

Ce que montrent les études scientifiques ? Les patients suivis en neuropsychologie développent souvent, au fil des séances, de nouvelles “astuces” : stabiliser le regard, reformuler mentalement, noter systématiquement. Les sportifs de haut niveau, par exemple, ont des routines de concentration inspirantes. Inspirez-vous-en : “Fermez une porte quand une autre s’ouvre”, littéralement et mentalement… c’est un secret de longévité cognitive.

Attention cependant : quand la gêne devient quotidienne, qu’elle impacte le travail, la famille, les loisirs, mieux vaut consulter pour éviter la spirale du doute. Un trouble attentionnel non pris en charge peut vite entraîner anxiété, isolement, voire dépression. N’attendez pas que ça “passe tout seul”.

À Liège et dans les cabinets spécialisés, les rendez-vous avec des professionnels formés offrent écoute, méthodes objectives et accompagnement sur mesure.

FAQ – Questions fréquentes

Comment savoir si ma difficulté de concentration relève de l’attention divisée ?
Si vous avez surtout du mal à réaliser deux tâches en même temps, à jongler entre des informations différentes ou à gérer plusieurs sollicitations simultanées, il s’agit probablement d’une difficulté d’attention divisée. Un bilan neuropsychologique peut confirmer ce point.

Pourquoi consulter un neuropsychologue à Liège pour des problèmes d’attention divisée ?
Il est important de consulter car le neuropsychologue dispose d’évaluations précises qui permettent de faire la différence entre une simple fatigue et un authentique trouble cognitif. À Liège, certains cabinets comme celui d’Eléonore Closset proposent un accompagnement adapté à tous les âges.

Quand faut-il s’inquiéter de sa concentration ou celle d’un proche ?
Dès que la gêne devient régulière, que le travail, la vie sociale ou familiale sont perturbés, il peut être utile de consulter. Un bilan précoce aide à éviter l’isolement ou la perte de confiance en soi.

Faut-il entraîner l’attention divisée : est-ce vraiment utile sur le long terme ?
Oui, la recherche prouve que la rééducation et certaines stratégies peuvent améliorer la gestion quotidienne de l’attention divisée à tout âge. L’essentiel est de cibler les bons exercices, adaptés à vos difficultés précises.

Références scientifiques

Kahneman, D. "Attention and Effort." Prentice Hall, 1973. — Étude pionnière expliquant les limites naturelles de la division de l'attention humaine.
Amieva, H., Stoykova, R., et al. "Self-reported and Informant-reported Cognitive Difficulties in Older Adults: Concordance and Predictive Value," Journal of the American Geriatrics Society, 2008. — Analyse l’impact de l’attention divisée chez les seniors.
Baddeley, A. "Working memory, thought, and action," Oxford University Press, 2007. — Décrit l’interaction entre mémoire de travail et attention simultanée.
Gazzaley, A., Rosen, L. "The Distracted Mind: Ancient Brains in a High-Tech World," MIT Press, 2016. — Explore les effets modernes sur l’attention et la concentration.

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