Neuropsychologue - Mme Eléonore CLOSSET
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0472 26 62 63
La mémoire est un pilier fondamental de notre existence. Capacité complexe du cerveau, elle nous permet de stocker, d’organiser et de restituer des informations précieuses tout au long de la vie. Mais qu’en est-il lorsque les choses s’embrouillent ? Dans une société où le stress, l’anxiété et la surcharge cognitive défient quotidiennement nos capacités mentales, distinguer les trous de mémoire ordinaires des manifestations pathologiques n’est pas toujours évident. Faut-il s’inquiéter de ses oublis ? À quel moment ces troubles appellent-ils une consultation spécialisée en région de Liège ? Cet article vous propose un guide complet, scientifiquement fondé, pour comprendre la frontière entre les simples oublis du quotidien et le signal d’alerte pour une consultation en neuropsychologie.
L’oubli fait partie de la nature humaine. Il n’est donc pas anormal de chercher ses clés, de ne plus savoir si l’on a fermé le gaz ou d’oublier, parfois, le nom d’une connaissance croisée il y a quelques années. Ces petits oublis, qualifiés d’“absences bénignes”, relèvent souvent de la distraction ou de la fatigue. Les études scientifiques montrent que dès la trentaine, les performances de certains types de mémoire, notamment la mémoire de rappel (récupérer spontanément une information), tendent à décroître (Hohman, TJ et al., 2017).
À Liège, comme ailleurs, il est courant de consulter une neuropsychologue par simple inquiétude concernant ces oublis passagers, surtout lorsqu’ils surviennent dans des situations de changement ou d’épuisement professionnel. Mais à quel moment ces difficultés doivent-elles réellement alerter ?
La difficulté réside dans la capacité à identifier ce qui relève du changement naturel lié à l’âge ou au mode de vie, et ce qui peut annoncer un trouble cognitif plus sérieux. Quelques éléments-clés permettent de s’orienter :
Pour mieux comprendre les différences et suivre une démarche diagnostique adaptée, la neuropsychologue joue un rôle central à Liège et en province liégeoise.
L’expertise de la neuropsychologue consiste à différencier l’oubli “ordinaire”, le trouble anxieux avec plainte mnésique et les réels troubles de la mémoire pathologique. Cette professionnelle, implantée aux portes de Liège, maîtrise les évaluations spécifiques qui scrutent les différents types de mémoire :
En objectivant la plainte, la neuropsychologue détermine la nature, la gravité et la répercussion des troubles, permettant d’orienter efficacement le patient, de rassurer ou de dépister, parfois précocement, des pathologies évolutives (voir notre article sur la maladie d'Alzheimer).
Les troubles de la mémoire peuvent avoir de multiples origines :
Neuropsychologue - Mme Eléonore CLOSSET
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Certains signes doivent vous inciter à solliciter un bilan neuropsychologique proche de Liège :
À Liège et sa périphérie, la neuropsychologue accompagne également tous les patients pour lesquels une incertitude demeure après la consultation médicale, ou pour explorer l’origine de troubles cognitifs post-AVC, après un traumatisme crânien ou suite à un épisode de maladie aiguë (plus de détails ici).
L’avantage de consulter en province de Liège réside dans la proximité, la connaissance du tissu médical local et une capacité à orienter rapidement vers des spécialistes (neurologue, gériatre, psychiatre) en cas de besoin. Mme Eléonore Closset, neuropsychologue expérimentée à Esneux, propose des bilans approfondis et personnalisés, adaptés aussi bien aux adultes actifs qu’aux seniors en début de perte d’autonomie. Sa démarche intègre une écoute bienveillante, une analyse fine des plaintes et l’application de batteries de tests scientifiques validés internationalement (tests de mémoire, d’attention, de vitesse de traitement, d’autonomie).
La prise de rendez-vous est rapide et l’accompagnement sur-mesure à chaque étape (de l’entretien clinique à la restitution orale et écrite des conclusions), tout près de votre domicile à Liège, Esneux ou dans les localités voisines (Tilff, Sprimont, Chaudfontaine… ).
Le premier contact vise à préciser la plainte et à retracer l’histoire personnelle et médicale. Cet entretien permet de comprendre le contexte d’apparition des troubles (suite à un événement, de façon progressive, en lien avec une pathologie…). La collaboration de l’entourage est souvent sollicitée pour croiser les observations.
La neuropsychologue utilise des batteries de tests scientifiquement reconnues, telles que la Batterie GRECO, le Mini Mental State Examination (MMSE), ou des épreuves ciblées sur la mémoire, l’attention, le langage et les fonctions exécutives. Ces tests sont adaptés à chaque âge et niveau de scolarité.
L’objectif ? Établir un profil cognitif : distinguer la présence d’un vieillissement normal, d’une plainte subjective d’origine anxieuse ou d’une pathologie débutante (ex : maladie d’Alzheimer, voir les 5 principaux types de patients pris en charge).
Le compte-rendu oral puis écrit permet de situer précisément la nature et le degré des troubles mnésiques. La neuropsychologue explique les résultats, oriente le patient et sa famille, propose des stratégies personnalisées et, au besoin, conseille une prise en charge thérapeutique complémentaire.
Attendre, c’est parfois perdre un temps précieux. Les études l’attestent : une prise en charge précoce favorise non seulement le dépistage et le traitement efficace d’éventuelles maladies, mais réduit également l’anxiété du patient et de sa famille (Sawa, GM et al., 2019). Dès l’apparition de doutes persistants, le contact avec la neuropsychologue est donc recommandé, d’autant plus lorsqu’on réside à la périphérie liégeoise où l’accès à l’expertise médicale et paramédicale reste très aisé.
Outre l’enjeu de diagnostic, les troubles de la mémoire affectent directement la confiance en soi, l’estime personnelle et la vie sociale. Chez l’adulte actif, le doute mnésique impacte la productivité et génère stress et perfectionnisme. Chez la personne âgée, la perte de mémoire retentit sur la gestion du domicile, la prise des traitements et la préservation du lien social, augmentant le risque d’isolement et d’accidents domestiques.
Face à ces enjeux, la consultation neuropsychologique propose une double action :
Un bilan peut également être proposé de façon préventive aux personnes à risques ou pour un accompagnement post-covid lors de “brouillard cérébral” prolongé (en savoir plus sur l’évaluation du Covid long).
En complément d’un suivi spécialisé, quelques recommandations simples contribuent à préserver sa mémoire :
La gestion de l’anxiété, par des techniques de relaxation, de méditation ou d’accompagnement psychologique, permet de limiter la survenue de “trous de mémoire” d’origine émotionnelle.
Des techniques de mémorisation spécifiques peuvent aussi être enseignées par la neuropsychologue afin d’optimiser les capacités de rappel.
En résumé, la frontière entre l’oubli anodin et le trouble pathologique de la mémoire n’est pas toujours claire. Dès lors que des doutes persistent, que les oublis s’accumulent ou gênent la vie quotidienne, il est recommandé de solliciter un avis spécialisé en neuropsychologie à Liège ou ses environs. La prise en charge proposée par une professionnelle telle que Mme Eléonore Closset à Esneux, à deux pas de la cité ardente, permet d’articuler bilan précis, accompagnement bienveillant et stratégies de prise en charge, tout en coordonnant le suivi avec les autres professionnels de santé de la région.
Retenez que la mémoire, loin d’être figée, peut être entretenue et rééduquée grâce à un accompagnement ciblé, adaptée à chaque étape de la vie et de la maladie éventuelle. À chaque symptôme, il existe une démarche, une écoute et des solutions pour préserver au mieux votre autonomie.
Neuropsychologue - Mme Eléonore CLOSSET
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1. Hohman, TJ, et al. (2017). "Cognitive decline in healthy aging: The role of reserves and brain maintenance." *Current Opinion in Neurobiology*.
2. Sliwinski, MJ et al. (2022). "Self-reported memory complaints and cognitive performance in older adults: Associations with affect and daily activity." *Aging & Mental Health*.
3. Erickson, KI et al. (2011). "Exercise training increases size of hippocampus and improves memory." *PNAS*.
4. Sawa, GM et al. (2019). "Early intervention in memory disorders: a systematic review." *Alzheimer’s & Dementia*.