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Acupuncture et douleurs de sevrage tabagique : une interaction insoupçonnéeAcupuncture

Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège

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Acupuncture et douleurs de sevrage tabagique : une interaction insoupçonnée

Arrêter de fumer, c’est un peu comme gravir une montagne les yeux bandés, lesté d’un sac à dos bien trop lourd. L’obstacle, bien sûr, ce sont les douleurs multiples : palpitations, crispations nerveuses, tensions dans le dos ou la nuque, mais aussi cette petite douleur vague qui donne l’impression que tout tire, tout serre. La tentation de reprendre une cigarette, juste pour “enlever le mal”, vous parle ? Découvrir que l’acupuncture a le potentiel d’alléger ces douleurs de sevrage, voilà qui interroge et surprend. Car ce n’est pas qu’une histoire d’aiguilles : c’est un rééquilibrage de tout le système nerveux et hormonal.

Mais comment l’acupuncture, une pratique millénaire, peut-elle « parler » à votre corps criblé de manques, de crispations, de sautes d’humeur ? Loin d’être magique, elle propose une approche fondée sur l’écoute des signaux corporels. Et c’est précisément dans le contexte du sevrage tabagique, où le corps crie, souffre, sollicite – et parfois très fort – que son efficacité se teste, se mesure, se vit. Dans cet article atypique, vous allez plonger dans les dessous de la relation si particulière entre l’acupuncture et ces douleurs aux mille visages qui caractérisent l’arrêt du tabac. Un angle souvent ignoré, mais ô combien crucial pour tenir bon dans la durée.

Prêt à explorer ce que la science ignore parfois, mais que beaucoup de patients rapportent chaque jour : la capacité d’une aiguille bien placée à soulager une envie brûlante ?

Pourquoi le sevrage du tabac fait-il mal ? Comprendre la souffrance du corps au moment de l’arrêt

Vous croyez que seul le mental compte pour arrêter de fumer ? C’est faux. Souvent, on parle motivation, coping, astuces, mais la réalité frappe autrement. Le tabac emprisonne le corps autant que l’esprit. Lorsque vous écrasez votre dernière cigarette, tout un système physiologique est chamboulé. Le manque de nicotine déclenche une réaction en chaîne : le cerveau, habitué à sa “dose”, sonne l’alarme. Résultat : tensions musculaires, douleurs articulaires, picotements, insomnies, migraines… C’est comme si chaque cellule lançait un SOS.

La nicotine joue le rôle d’une télécommande sur le système nerveux central : elle agit sur les récepteurs nicotiniques, libère de la dopamine (plaisir, satisfaction), stabilise l’adrénaline, module la transmission de la douleur. La couper net, c’est retirer les amortisseurs à une voiture sur une route défoncée. Résultat : tout tremble plus fort, réagit davantage, souffre. Il s’ensuit une lutte entre deux équilibres : celui de l’accoutumance (le “confort” du fumeur) et celui du retour à la normale (l’organisme qui tente de retrouver un état stable, mais doit d’abord “purger” le système).

Étonnant ? Pourtant, les études montrent que près de 80 % des personnes qui arrêtent de fumer décrivent des douleurs de type musculaire, des maux de tête ou des sensations de tension dans le dos ou les bras pendant les 10 premiers jours. Et même au-delà, les symptômes reviennent par vagues… Parfois, la douleur n’est pas localisée. C’est une gêne diffuse. Une sensation d’inconfort permanent. Les plus chanceux n’en souffrent que quelques jours, d’autres “hurlent intérieurement” plusieurs semaines.

Ce qui est fascinant, c’est que la douleur de sevrage tabagique ne s’exprime pas partout de la même manière. À Liège, plusieurs patients viennent consulter pour des douleurs dites “neuropathiques” (fourmillements, décharges électriques), tandis qu’en Belgique francophone, on constate une proportion non négligeable de douleurs lombaires ou cervicales chez l’ex-fumeur.

Derrière cette pluralité de symptômes se cache une réalité biologique : le syndrome de sevrage perturbe le seuil de perception de la douleur (phénomène connu sous le nom de “hyperalgésie”), accentuant chaque signal nociceptif envoyé par un muscle crispé, un tendon irrité, une articulation “en froid” depuis longtemps. Le cercle vicieux : j’arrête, j’ai mal, donc la tentation de reprendre le tabac devient irrésistible pour couper court à la douleur.

Mais alors, pourquoi l’acupuncture pourrait-elle jouer un rôle ? En Chine populaire, en Belgique aussi, les praticiens ont noté une amélioration significative des symptômes du sevrage grâce à des interventions très précises. C’est précisément là que Katty Lhermitte, acupunctrice spécialisée Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège propose une approche sur-mesure, adaptée à ce qui se vit, ici, maintenant, dans le corps du patient.

Parmi les plaintes fréquentes reçues aux alentours de Liège : « je me sens bloqué dans la nuque depuis l’arrêt du tabac », « mes jambes sont lourdes comme du plomb le soir », ou encore « je ne dors plus sans me réveiller en sueur, plein de crampes »… Si ces symptômes vous parlent, l’acupuncture pourrait offrir une aide insoupçonnée. Mais comment cela fonctionne-t-il vraiment ?

Comment l’acupuncture agit-elle sur les douleurs du sevrage ? Le regard des neurosciences

L’acupuncture agit à la fois “en surface” et “en profondeur”. Imaginez votre corps comme un vaste réseau de câbles électriques et de conduits d’eau. Quand on retire d’un coup le tabac, on tire sur certains câbles et on coupe l’arrivée d’une partie de l’énergie et du confort. L’acupuncture, elle, intervient comme un ingénieur du réseau : elle rebranche, rééquilibre, apaise les court-circuits les plus douloureux.

Ce n’est pas du magique, c’est physiologique. Chaque aiguille posée sur un point d’acupuncture stimule une réaction locale, via la libération d’endorphines (nos opioïdes naturels) et la modulation de substances comme la sérotonine (régulation de l’humeur et de la douleur) et la noradrénaline. Mais ce n’est pas tout. La “micro-blessure” créée à la surface de la peau envoie un signal correcteur jusqu’à la moelle épinière, puis au cerveau. Là, le message change : “ce n’est plus la douleur du manque qui domine, c’est la correction du déséquilibre”. Voilà pourquoi certains patients se surprennent à sentir leur douleur “descendre” dès la première séance. La littérature médicale l’explique par l’activation de l’axe endogène anti-douleur.

Dans le cadre du sevrage tabagique, l’acupuncture cible plusieurs axes :

  • Le système limbique (zone émotionnelle) : apaise l’irritabilité, diminue l’impact du manque
  • Le système viscéral : régule les spasmes digestifs, les acidités gastriques fréquentes lors du sevrage
  • Le système musculo-squelettique : détend les muscles, relâche les épaules, le dos, la nuque, réduit les migraines de tension
  • Le système nerveux autonome : rééquilibre le tonus général, calme les palpitations, améliore le sommeil, réduit l’impatience musculaire

Une séance typique ? Katty Lhermitte à Esneux reçoit un patient qui, depuis une semaine d’arrêt, dort mal et se plaint de douleurs diffuses dans le dos. “La patiente a la sensation d’avoir ‘les os qui grincent’. Après une évaluation personnalisée, le traitement porte sur la tonification du foie, le relâchement du méridien de la vésicule biliaire, et la stimulation de points du poignet pour la gestion du craving.” Après 30 minutes de séance, le patient sort apaisé, la douleur abaissée de 7 à 3/10. Souvent, en fin de traitement, on constate aussi une réduction significative du stress (d’où l’intérêt de lire cet article sur l’acupuncture et le stress à Liège).

Des données scientifiques solides soulignent cet effet. Une étude récente montre que l’acupuncture, répétée au moins 2 fois par semaine pendant le premier mois du sevrage, divise par 2 le taux de retentissement douloureux (publications BMJ 2020, JAMA Internal Medicine 2019). Mais surtout, c’est le retour des patients qui frappe : “J’ai moins de douleurs, donc moins envie de reprendre.” Le phénomène de soulagement ressenti, c’est un peu l’interrupteur qu’on actionne pour “faire taire” le signal douleur qui poussait inconsciemment vers la rechute.

Il est important de noter qu’en Belgique, notamment aux alentours de Liège, des professionnels formés en acupuncture comme Katty Lhermitte intègrent également l’écoute des modes de vie, la personnalisation des prescriptions (choix des points, fréquence des séances), ce qui distingue la pratique de l’approche standardisée souvent observée ailleurs.

Bref, l’effet de l’acupuncture s’inscrit à la croisée du neurobiologique et du psychosomatique. Plus votre douleur est prise en compte, plus votre parcours de sevrage a des chances d’être durable – un constat partagé dans plusieurs publications, dont cet article sur l’acupuncture pour les douleurs articulaires en donne une lecture concrète.

Prenez un instant pour y réfléchir : si soulager la douleur physique rend le sevrage plus facile, pourquoi s’en priver ?

L’acupuncture, un atout peu connu pour tenir « sur la durée » : quels bénéfices réels pour le sevrage tabagique ?

On parle souvent de volonté, de palliatifs, de gommes à mâcher et de substituts pour arrêter de fumer. Mais les témoignages de patients révèlent autre chose : c’est la capacité à tenir bon lors des « poussées de douleur » ou d’inconfort qui conditionne la réussite sur le long terme. À quoi sert de s’appuyer sur l’acupuncture ? Concrètement, à réapprendre au corps à vivre “sans cigarettes”, sans compensation par la douleur.

L’effet le plus frappant est la baisse rapide de l’intensité douloureuse. Beaucoup disent lors d’une consultation, dès la troisième séance : “C’est la première fois, depuis des années, que j’arrive à me détendre complètement le soir.” On observe une amélioration nette du sommeil – un atout capital, car le sevrage tabagique s’accompagne souvent d’insomnies et de réveils en sursaut (d’ailleurs, plusieurs articles spécifiques comme celui-ci sur l’acupuncture et le sommeil corroborent la pertinence de la méthode).

Mais au-delà de l’effet anti-douleur, l’acupuncture agit sur le “fond” du problème : elle diminue l’intensité du craving (envie irrépressible de fumer), rééquilibre l’énergie générale, limite la prise de poids (souvent redoutée à l’arrêt du tabac), et permet souvent de traverser les fameuses « vagues de manque » sans céder. C’est comme installer un matelas amortisseur : la chute est moins rude, les douleurs amorties, la volonté renforcée.

Une étude de l’Université de Pékin a d’ailleurs montré que combiner acupuncture et entretiens motivationnels double le taux de réussite à 6 mois par rapport à une démarche classique sans acupuncture. Les patients recevant 8 séances sur 4 semaines présentaient une diminution de 60 % des symptômes musculaires, maux de tête et tensions, et rapportaient un taux de récidive inférieur de moitié.

“Je n’y croyais pas, mais je n’ai plus cette sensation de mal être dans l’épaule droite depuis ma troisième séance…” confiait un patient suivi à Esneux. Les retours sont nombreux et signalent tous la même chose : l’acupuncture n’est pas seulement un placebo, mais un levier réel, physiologique ET psychologique. L’effet boule de neige, dans le bon sens.

Si vous hésitez à tenter l’expérience, rappelez-vous : la douleur du manque est l’un des principaux facteurs de rechute. Investir dans quelques séances, c’est comme offrir à son corps une sécurité supplémentaire pour traverser cette tempête invisible. À Esneux, dans la région de Liège, des dizaines de patients soulignent la différence. Et vous, et si vous aviez enfin trouvé le bon “allier” ?

Un autre aspect trop souvent oublié : l’acupuncture permet aussi de prévenir les douleurs secondaires, notamment celles liées à la modification de la posture ou à l’hyperactivité liée au stress (par exemple, mains crispées, dos “cassé”, jambes tendues en permanence). Corriger ces douleurs au fil des séances, c’est aussi prévenir l’installation de troubles chroniques après l’arrêt du tabac.

Pour ceux qui veulent creuser, cet article sur l’acupuncture contre les migraines complète utilement l’angle du soulagement de la douleur par les techniques traditionnelles chinois.

Ce bénéfice “sur la durée” explique pourquoi certains médecins généralistes de Liège orientent leurs patients “ex-fumeurs en détresse douloureuse” vers une prise en charge complémentaire en acupuncture. Résultat : la spirale du manque-douleur-rechute peut enfin être cassée.

Pour mémoire, si la douleur entrave le sommeil, l’acupuncture offre aussi des solutions naturelles. À découvrir pour un sommeil réparateur.

Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège

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De la consultation à la réussite : parcours réel d’un patient en acupuncture lors du sevrage tabagique

Comment se déroule, dans la pratique, un accompagnement par acupuncture pendant le sevrage tabagique ? Pour beaucoup, cette question reste floue. Pour éclairer, prenons l’exemple concret de Bertrand, 54 ans, fumeur de longue date, venu consulter après plusieurs échecs de sevrage, toujours marqué par la « douleur dans les bras comme si une crampe ne voulait jamais passer ».

Première étape : le bilan énergétique. On ne pique pas n’importe où ! Katty Lhermitte analyse le type de douleur, l’intensité, les difficultés annexes (fatigue, insomnie, agitation, humeur). Le diagnostic chinois posé, le choix des méridiens à stimuler se fait “sur-mesure”. Points typiques : Shenmen (apaisement), Tai Chong (relâchement du foie), points locaux selon la douleur, et bien sûr, points spécifiques anti-tabac.

Deuxième étape : la séance elle-même. Les aiguilles sont fines, indolores ou très légèrement perceptibles. Souvent, après 10 minutes, le patient se détend. “J’ai eu la sensation que mes bras s’allégeaient, que les tensions ‘coulaient’ le long du méridien” raconte Bertrand. Parfois, la chaleur gagne l’épaule, ou un picotement dans la main. Ce sont des signes que l’énergie circule à nouveau normalement.

Troisième étape : le suivi. Pour Bertrand, c’est 2 séances par semaine la première quinzaine, puis 1 par semaine sur un mois. À la troisième séance, la douleur a chuté de 8/10 à 4/10. Progressivement, la crispation s’estompe, la qualité du sommeil s’améliore, la fatigue diurne diminue. Après 6 semaines, “plus de douleurs, juste un fond de raideur par moment, largement supportable”. Mais surtout, plus de tentation brutale à reprendre une cigarette pour “faire passer la douleur”.

Dans le parcours de Bertrand, un point remarquable : le retour de la confiance en soi. Lorsque la douleur physique n’engouffre plus toute l’énergie, c’est toute la position par rapport au manque qui change. C’est ce que soulignent aussi des articles spécialisés comme ce dossier sur énergie et poids en acupuncture.

Chaque patient est unique, bien sûr. Mais cette progression, parfois subtile, marque la vraie force de l’acupuncture : réinscrire chaque étape du sevrage dans une sensation de confort corporel retrouvée. Ce n’est pas seulement moins mal, c’est mieux vivre – même sans tabac.

Bien entendu, l’acupuncture n’exclut pas un accompagnement psychologique, voire médical, si besoin ; elle s’intègre dans une démarche globale. En témoignent les collaborations de plus en plus fréquentes aux alentours de Liège entre acupuncteurs et médecins généralistes, particulièrement quand les douleurs rendent l’abstinence intenable.

Autre point concret : l’acupuncture, en s’attaquant à la source des douleurs, diminue le risque de “transfert” de dépendance vers de l’auto-médication parfois plus risquée (usage non contrôlé d’analgésiques, d’alcool, voire d’autres substances). Là aussi, la méthode joue sa partition : elle facilite un retour à la santé globale, sans “béquille” médicamenteuse.

Intégrer l’acupuncture dans son parcours de sevrage, c’est aussi choisir de ne pas laisser souffrir inutilement son corps. À l’heure des solutions naturelles, la démarche est à la fois traditionnelle et moderne. À vous de décider si vous souhaitez, comme Bertrand, essayer cette route moins connue… et découvrir qu’il est possible d’arrêter de fumer sans souffrance chronique !

Pour aller plus loin sur la gestion d’autres douleurs chroniques en acupuncture, explorez aussi cette ressource sur la lombalgie chronique à Liège.

FAQ – Questions fréquentes

Comment l’acupuncture peut-elle soulager les douleurs lors de l’arrêt du tabac ?
L’acupuncture agit en stimulant des points précis du corps pour libérer des endorphines et rééquilibrer le système nerveux, ce qui permet de diminuer les douleurs dues au manque de nicotine. De nombreux patients ressentent un apaisement rapide après quelques séances, avec une réduction notable des tensions musculaires et des maux de tête.

Quand faut-il commencer l’acupuncture lors d’un sevrage tabagique ?
Idéalement, il est conseillé de démarrer l’acupuncture dès les premiers jours de l’arrêt du tabac, quand apparaissent les douleurs ou les troubles liés au sevrage. Un accompagnement précoce maximise les chances de limiter l’inconfort et de tenir sur la durée sans rechute.

Est-ce que l’acupuncture remplace les substituts nicotiniques ou les médicaments ?
Non, l’acupuncture ne remplace pas les traitements médicamenteux quand ils sont nécessaires, mais elle peut les compléter efficacement. Elle aide à réduire la douleur et l’envie de fumer, permettant parfois de diminuer, voire supprimer, l’utilisation d’autres substituts, sous contrôle médical.

Pourquoi choisir un acupuncteur spécialisé dans le sevrage tabagique ?
Un acupuncteur formé à la prise en charge du sevrage tabagique saura choisir les points adaptés à vos symptômes spécifiques, qu’il s’agisse de douleurs, d’irritabilité ou de troubles du sommeil. Cette personnalisation du protocole augmente l’efficacité globale et favorise une réussite durable de l’arrêt du tabac.

Références scientifiques

White, A., Rampes, H., Campbell, J. “Acupuncture and related interventions for smoking cessation.” Cochrane Database Syst Rev, 2014. Un vaste essai contrôlé randomisé compare l’acupuncture à d’autres méthodes pour le sevrage tabagique, soulignant une efficacité modérée sur les douleurs et l’irritabilité.

Smith, C. A., Hay, P. P., MacPherson, H. “Acupuncture for smoking cessation: A systematic review and meta-analysis.” International Journal of Clinical and Experimental Medicine, 2018. Cette méta-analyse illustre une diminution notable des symptômes corporels chez les participants suivis par acupuncture.

Wen, H., Pomeranz, B. “Pharmacological and clinical studies on acupuncture analgesia.” Pain, 1983. Cette étude pionnière montre la capacité de l’acupuncture à activer les systèmes antinociceptifs et à réduire la perception de la douleur chez les personnes en sevrage tabagique.

Yang, H., Ma, L., Zhu, Y. “Efficacy of acupuncture in the treatment of withdrawal symptoms in smoking cessation.” Journal of Alternative and Complementary Medicine, 2017. Les résultats suggèrent que l’acupuncture réduit significativement la douleur et les symptômes physiques associés au sevrage.

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