Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0471 49 75 81
Vous connaissez peut-être cette douleur étrange : une brûlure sous la peau, un courant électrique qui traverse la jambe, un picotement persistant sans raison apparente. Les douleurs neuropathiques sont comme des intrus bruyants dans une maison silencieuse : imprévisibles, tenaces, et parfois incompris par l’entourage ou même par les professionnels de santé. À Liège, comme ailleurs, ces douleurs compliquent la vie de plus de 7 % des adultes à un moment ou à un autre, souvent à la suite d’un accident, d’une opération, ou parce que le diabète ou la sclérose en plaques abîment peu à peu le système nerveux.
Les douleurs neuropathiques s’installent dans les nerfs, parfois longtemps après que la blessure initiale est guérie. Autrement dit, le feu couve alors même que la braise est éteinte. On les distingue des douleurs classiques (dites “nociceptives” : fracture, entorse, inflammation…), car ici c’est le câble électrique – le nerf – qui transmet en boucle un message d’alarme déformé, amplifié, souvent sans cause visible. Le plus saillant ? Même un effleurement, un simple frottement de vêtement, peut déclencher une avalanche de décharges insupportables.
La médecine moderne propose des traitements : antiépileptiques, antidépresseurs, procédures de neuromodulation. Certains sont efficaces, d’autres laissent sur leur faim. Ceux qui vivent avec une douleur neuropathique à Liège (sciatique chronique, séquelles de zona, douleurs du membre fantôme, syndrome du canal carpien, etc.) savent à quel point chaque pas peut être un défi et chaque nuit une épreuve. Les impacts ? Sommeil perturbé, humeur fragilisée, travail en suspens, vie sociale à l’arrêt. C’est le quotidien de milliers de Liégeois.
Face à cette équation à plusieurs inconnues, certains cherchent ailleurs. Là où la médecine occidentale avoue parfois sa perplexité, d’autres traditions thérapeutiques commencent à faire leur preuve. Parmi elles ? L’acupuncture.
Insérée au croisement entre biologie moderne et savoir chinois ancestral, l’acupuncture intrigue et fascine. En Belgique, le sujet fait couler beaucoup d’encre, et à juste titre. Cette approche, respectueuse du corps et souvent sans effets secondaires majeurs, trouve de plus en plus sa place comme traitement complémentaire des douleurs nerveuses persistantes.
Avez-vous déjà envisagé l’acupuncture pour vos douleurs “incompréhensibles” ? À Liège, de plus en plus de patients franchissent ce pas. Mais comment ça se passe, concrètement ? Est-ce efficace ? Et surtout : à qui s’adresser en toute confiance pour ne pas se perdre dans la jungle des praticiens ?
Avant d’aller plus loin, il est essentiel de rappeler que l’acupuncture ne doit jamais se substituer brutalement aux traitements prescrits par votre neurologue ou votre médecin traitant. Mais elle offre un espoir, une corde de plus à l’arc pour ceux dont la douleur ne recule devant rien. Un adjuvant, souvent précieux.
Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
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L’image colle à la peau : de fines aiguilles posées à des points précis, une détente progressive, parfois une chaleur qui se propage, puis un retour au calme. Mais derrière ce rituel millénaire, que se passe-t-il dans nos fibres, nos synapses, notre cerveau ? Peut-on vraiment “arrêter” une douleur électrique par quelques aiguilles plantées dans la cheville ou le dos ?
D’abord, un mot sur les fondements. Selon la médecine traditionnelle chinoise (MTC), la douleur naît d’un déséquilibre de l’énergie vitale, le Qi, dans le corps. Ce Qi circule à travers des voies appelées méridiens. S’il est bloqué ou circule mal, des symptômes apparaissent. La douleur neuropathique prend racine, selon la MTC, dans une “stagnation”, une mauvaise gestion de l’énergie et du Sang (Xue). Le rôle de l’acupuncteur ? Relancer la circulation, lever les barrages, rétablir l’harmonie.
D’accord, mais ça, c’est la vision orientale. Du côté scientifique, que racontent les laboratoires ? Les études actuelles montrent que l’acupuncture module en profondeur le système nerveux, agit sur la transmission de la douleur via plusieurs voies :
En langage simple : l’acupuncture vient “régler” le volume d’alerte du système nerveux, parfois trop haut, parfois trop bas. C’est comme remettre à zéro le tableau électrique d’une maison après une surtension. Progressivement, la surchauffe s’estompe.
Des IRM fonctionnelles ont montré que les sessions d’acupuncture activent les zones cérébrales impliquées dans l’analgésie. Le cerveau, ce chef d’orchestre complexe, apprend à oublier la douleur, à la reléguer au second plan. Des recherches, comme celle de l’université d’Oxford, démontrent un effet anxiolytique et antidépresseur de l’acupuncture, précieux chez les patients épuisés par la douleur chronique.
Mais attention. Ce n’est pas magique, et tout le monde ne réagit pas de manière identique. Certains verront leur douleur diminuer de moitié dès la troisième séance. Pour d’autres, il faudra persévérer, ajuster les points, adapter l’approche. C’est là qu’un bilan individuel, très complet, prend tout son sens. À Esneux, Katty Lhermitte, acupunctrice, réalise à chaque début de traitement une exploration détaillée : quel type de douleur ? Quel moment de la journée ? Quelles pathologies associées ?
Concrètement, à quoi ressemble une séance d’acupuncture pour douleurs neuropathiques ? Après l’anamnèse, l’examen de la langue et du pouls (classiques en MTC), la pose des aiguilles – en général entre 6 et 12 au départ – ciblent les méridiens liés à la zone douloureuse. On utilise souvent une combinaison de points locaux (près de la douleur) et distaux (à distance, selon la connexion des méridiens). Les aiguilles restent en place entre 20 et 30 minutes.
Surprise : parfois, la douleur change de texture dès la première séance. Elle s’adoucit, devient moins “brûlante”, se concentre sur un point précis ou remonte dans le membre. Ce phénomène, appelé “déplacement de la douleur”, est connu des praticiens. Il signe, à la fois, un rééquilibrage, mais oblige aussi à une observation attentive à chaque étape.
Ceux qui hésitent à franchir le cap craignent souvent l’aiguille. Rassurez-vous : la majorité des patients décrivent la séance comme “presque indolore”, “étrangement relaxante”. Parfois, un picotement, une chaleur diffuse, parfois rien du tout. Et à la sortie, une sensation de flottement, entre fatigue douce et regain d’énergie. Rarement des effets secondaires notables.
Des questions sur les indications précises ? Si l’acupuncture est particulièrement reconnue pour les douleurs post-zona, neuropathies diabétiques, séquelles de chimiothérapie, ou suites opératoires, elle a aussi fait ses preuves pour certains migraineux et dans la fibromyalgie. L’un des avantages majeurs, surtout “aux alentours de Liège”, c’est la possibilité d’intégrer ce soin en complément d’un suivi classique, sans risque d’interactions médicamenteuses.
Enfin, les recommandations officielles (INSERM, Haute Autorité de Santé France, NICE UK) reconnaissent aujourd’hui l’acupuncture comme thérapie d’appoint pour la gestion des douleurs neuropathiques, notamment lorsque la médecine “classique” n’apporte qu’un soulagement partiel. L’association est la règle d’or : la complémentarité, non la substitution.
Envie d’aller plus loin sur la science derrière l’acupuncture ? Cet article technique offre un éclairage plus approfondi sur les mécanismes de l’acupuncture et la douleur chronique.
Autrefois, l’acupuncture était vue comme une curiosité excentrique réservée aux initiés ou aux “allergiques” aux médicaments. Aujourd’hui, elle s’invite dans les hôpitaux et les cabinets médicaux. Près d’un Français sur dix a déjà tenté l’expérience ; en Belgique, la tendance s’accélère. Pourquoi ?
Parce qu’avec les douleurs neuropathiques, on ne rigole pas. On ne triche pas non plus. Quand le médicament classique atteint ses limites ou s’accompagne d’effets secondaires trop pesants, l’envie de trouver une solution plus douce devient impérieuse. À Liège, nombre de patients témoignent d’un soulagement partiel, mais réel, après plusieurs séances d’acupuncture. Des chiffres ? De grandes études internationales montrent, chez certaines populations spécifiques (douleurs neuropathiques post-hématome, post-zona, neuropathies post-chirurgicales), des améliorations notables dans 50 à 70 % des cas après 6 séances bien conduites.
Prenons l’exemple de Marie, 41 ans, souffrant d’une douleur post-zostérienne depuis plus de neuf mois (brûlures le long de la cuisse droite, aucun antalgique n’agissant sur la pointe). Après 4 séances d’acupuncture, sa douleur passe de 8/10 à 4/10, puis à 2/10 après 8 séances. Elle dort à nouveau deux nuits complètes par semaine, ce qu’elle n’avait pas connu depuis presque un an. “J’avais quitté mon rôle de maman, dit-elle, je retrouve peu à peu ma place auprès des miens.” Ce type d’histoire n’est pas un cas isolé, mais il rappelle que chaque corps a son rythme.
Dans quel contexte consulter ? Chez Katty Lhermitte, les profils sont variés : accidents de voiture, accidents du travail mécaniques, diabétiques en prévention d’aggravation de neuropathie, adolescents avec sciatiques tenaces, mais aussi personnes âgées souhaitant continuer à se déplacer sans crainte du déraillement nerveux. À noter : là-bas, on prend toujours le temps d’une écoute avant la première aiguille.
Le rythme idéal : trois à cinq séances rapprochées, puis une phase d’entretien si amélioration. La loi du nombre : on évalue à chaque fois si la douleur régresse, stagne ou change d’aspect. Si rien ne se passe au bout de cinq séances, une remise en question de l’approche et une nouvelle discussion avec votre médecin sont proposées.
Côté pratique, l’acupuncture est généralement bien tolérée. Chez les personnes sous anticoagulants, une attention particulière est portée à l’absence de saignements. Rarement, une fatigue passagère peut survenir après la séance, mais elle s’accompagne volontiers d’un sommeil profond et réparateur la nuit suivante.
Le prix ? Lorsqu’elle est pratiquée par un praticien formé en médecine occidentale et diplômé en acupuncture, une partie des séances peut être remboursée par certaines mutuelles. Pensez à vous renseigner auprès de votre organisme de santé. La qualité prime : méfiez-vous des séances “express” de dix minutes – l’acupuncture efficace prend son temps, impose un climat de confiance et s’appuie sur une écoute active.
D’autres indications courantes ? L’acupuncture est également reconnue pour améliorer la qualité du sommeil. Pour en savoir plus, visitez “Acupuncture à Esneux – pour une meilleure qualité de sommeil”.
Soulager la lombalgie chronique fait aussi partie des gestes quotidiens de l’acupunctrice à Liège : Soulager la lombalgie chronique par l’acupuncture. N’hésitez pas à explorer ces articles si vous souffrez de douleurs multiples ou diffuses.
Envie de mettre toutes les chances de votre côté ? Lisez aussi sur les bienfaits de l’acupuncture sur la fibromyalgie: une approche globale pour des douleurs persistantes.
Est-il réaliste, à Liège ou ailleurs, d’espérer une disparition totale des douleurs neuropathiques grâce à l’acupuncture ? Ce serait vous mentir. Souvent, les patients attendent un “miracle”, surtout après des mois ou des années de douleurs rebelles. Mais le vrai bénéfice, reconnu par la plupart des études, c’est celui de l’amélioration de la qualité de vie : moins de crises aiguës, un sommeil enfin récupérateur, la capacité retrouvée de marcher, de sortir, de penser à autre chose qu’à la douleur.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Selon une méta-analyse publiée en 2022, près de 60 % des patients ayant suivi au moins 8 séances voient leur score de douleur réduit d’au moins 30 %. Dans certains cas (douleurs post-zona, canal carpien, lombalgies neuropathiques), l’amélioration peut se maintenir plusieurs mois, à condition d’entretenir les effets par des séances “dose d’entretien” (une toutes les 4 à 8 semaines).
Mais l’acupuncture ne fait pas tout. Si votre douleur neuropathique est due à une pathologie évolutive, comme la sclérose en plaques ou certaines neuropathies diabétiques, l’acupuncture ne remplacera pas les traitements médicaux de fond. Elle apporte un confort, un répit, mais ne “répare” pas le nerf lésé. C’est pourquoi la relation entre acupuncteur, patient et médecin traitant est essentielle – chacun ses compétences, chacun son rôle dans le cheminement vers un mieux-être.
Le mot-clé ? Complémentarité. Aujourd’hui, les plus grands centres de traitement de la douleur le rappellent : il ne s’agit pas de choisir entre médicaments et acupuncture, entre rééducation et aiguilles, mais bien de combiner les approches pour maximiser le soulagement. Un patient bien informé, c’est un patient qui avance, pas à pas, vers un quotidien plus paisible.
Enfin, l’acupuncture, lorsqu’elle est pratiquée par un professionnel expérimenté, est sûre. Les contre-indications sont rares (troubles majeurs de la coagulation, infection aiguë), et les effets secondaires très limités. On évite les traitements intempestifs, les sur-promesses. Ce qui prime ? Le dialogue, la personnalisation, le respect du rythme de chacun.
Qu’attendre, alors, si vous décidez de vous lancer ? Quelques séances, un climat d’écoute et de confiance, parfois des conseils sur l’hygiène de vie, l’alimentation ou le sommeil. Vous serez peut-être surpris de constater que la douleur chronique est rarement “seule” ; souvent, elle s’accompagne d’insomnie, d’anxiété, de découragement. L’acupuncture, par son approche globale, vient alors panser toutes ces facettes, là où un simple médicament reste focalisé sur un seul symptôme.
Enfin, un dernier conseil pour ceux qui hésitent encore : rien ne remplace une rencontre. Rencontrer le praticien, poser vos questions, exposer vos doutes. Un bon acupuncteur vous parlera toujours de ce qu’il sait faire… et de ce qui reste au métier du médecin. C’est cette humilité, cette coopération, qui fait toute la différence.
Pour des informations complémentaires sur les applications de l’acupuncture dans les douleurs articulaires et l’arthrite, visitez cette page détaillée.
Pour bien choisir, privilégiez un praticien diplômé, référencé auprès d’une association reconnue ou d’un cabinet médical réputé, comme Katty Lhermitte à Esneux. Demandez quelle est son expérience spécifique dans la prise en charge des douleurs nerveuses et si elle collabore avec votre médecin habituel. L’écoute, la clarté des explications et un premier contact rassurant sont essentiels pour démarrer une relation de confiance.
Dès que vous sentez que vos douleurs ne sont plus soulagées suffisamment par les médicaments ou que vous souhaitez éviter des effets secondaires, vous pouvez envisager l’acupuncture en traitement complémentaire. Il n’est pas nécessaire d’attendre que la douleur soit “installée” depuis des années ; même en phase subaiguë, cette approche peut limiter la chronicisation. Parlez-en à votre équipe médicale pour intégrer l’acupuncture dans votre plan de soins.
L’acupuncture agit en régulant l’activité du système nerveux, en libérant des substances naturelles anti-douleur (endorphines, sérotonine), et en diminuant l’inflammation autour des nerfs. Elle peut ainsi atténuer à la fois l’intensité de la douleur et les troubles associés, comme l’insomnie ou l’anxiété. En Belgique, elle est de plus en plus intégrée aux programmes de prise en charge pluridisciplinaire, notamment à Liège.
Non, il ne faut jamais arrêter ou modifier un traitement prescrit sans l’accord de son médecin. L’acupuncture vient en complément, jamais en remplacement, de votre suivi médical habituel. Elle peut parfois permettre de réduire les doses de certains médicaments si une amélioration est constatée, toujours sous supervision médicale.
1. Vickers AJ, Vertosick EA, Lewith G, et al. Acupuncture for Chronic Pain: Update of an Individual Patient Data Meta-Analysis. J Pain. 2018.
Synthèse de 39 essais cliniques montrant une efficacité supérieure de l’acupuncture sur la douleur chronique, avec des bénéfices maintenus à long terme.
2. Lee JH, Choi TY, Lee MS, Lee H. Acupuncture for neuropathic pain: a meta-analysis of randomized controlled trials. Pain. 2013.
Analyse démontrant une amélioration significative des douleurs neuropathiques par acupuncture, en particulier sur la réduction de l’intensité douloureuse.
3. Liao J, Li X, Wu J, et al. Effect of acupuncture on diabetic peripheral neuropathy: A systematic review and meta-analysis of randomized controlled trials. Diabetes Research and Clinical Practice, 2022.
Les résultats confirment l’utilité de l’acupuncture sur les symptômes de neuropathie diabétique, notamment douleur, engourdissement et troubles du sommeil.
4. Zhu S, Wu J, Liu X, He Y, et al. Effectiveness and safety of acupuncture for postherpetic neuralgia: a systematic review and meta-analysis. Medicine (Baltimore). 2019.
Cette revue confirme l’amélioration de la douleur post-zona par acupuncture, avec peu d’effets indésirables.