AcupunctureAcupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0471 49 75 81
Vous connaissez la scène. Le corps réclame le lit, les paupières sont lourdes, mais quand enfin on tire la couette… rien. L’esprit tourne comme une toupie. Les minutes défilent sur l’horloge, le sommeil refuse de s’installer. Étrange, non ? Pourquoi tant de gens dorment mal — même épuisés ? Est-ce la faute du stress ? D’une douleur cachée ? Ou notre physiologie joue-t-elle contre nous ?
En Belgique, c’est un motif ultra-fréquent : “Je suis crevé, mais impossible de dormir”. Le phénomène touche toutes les générations, des étudiants pressés aux seniors qui se lèvent aux aurores faute de sommeil profond. Et ce n’est pas qu’à Liège : la privation de sommeil explose dans toutes les grandes villes d’Europe. Mais creusons un peu.
D’abord, il y a la question des hormones. Le cortisol, qu’on surnomme l’hormone du stress, devrait baisser le soir et laisser place à la mélatonine (celle du sommeil). Sauf que notre mode de vie — lumière bleue, ruminations, écrans… — dérègle parfois cette belle mécanique. Résultat : même en étant lessivé, le cerveau garde le pied sur l’accélérateur.
Mieux encore, nos routines nous mettent parfois des bâtons dans les roues. Prendre du café en après-midi, dîner lourd, finir la journée sur une série ou un rapport professionnel : tout cela perturbe la “descente” du corps vers l’endormissement. Il faut imaginer le système nerveux comme un orchestre. Si un instrument (stress, digestion difficile, douleurs…) joue trop fort, impossible de démarrer la berceuse.
Mais alors, pourquoi certaines personnes souffrent-elles de ce paradoxe : être épuisé, mais incapable de sombrer ? Souvent, parce que la fatigue ressentie n’est pas seulement physique. Elle est aussi psychique, voire nerveuse. Ajoutez à cela une éventuelle douleur chronique (douleurs articulaires, migraines, syndromes digestifs) dont on ne se doute pas toujours, et le cercle vicieux est lancé. C’est un peu comme si votre voiture affichait “réservoir vide” mais que le moteur refusait de s’éteindre.
De nombreuses pathologies médicales — syndrome d’apnées du sommeil, fibromyalgie, troubles anxieux — créent aussi cette cassure. Mais arrêtons-nous sur un point souvent négligé : la pluralité des causes. Chez la plupart des patients, il y a un mélange subtil de facteurs. Le stress latent. Les petites douleurs. La mauvaise digestion. Un dérèglement hormonal de fond. Chacun a sa recette unique… donc sa solution personnalisée.
Pas étonnant que tant de monde, aux alentours de Liège ou ailleurs, cherchent une alternative naturelle, personnalisée, globale. Et c’est là que l’acupuncture trouve toute sa pertinence.
Curieux ? Voyons comment cela fonctionne dans la pratique.
Imaginez le sommeil comme une rivière qui doit couler lentement, nourrie par différents affluents (détente musculaire, apaisement mental, sécurité corporelle). Dès que l’un de ces courants est bloqué, l’eau devient agitée. L’acupuncture, issue de la médecine traditionnelle chinoise, aborde justement l’ensemble de ces paramètres. Mais comment, concrètement ?
Le cœur de la méthode réside dans la circulation de l’énergie vitale, le fameux “Qi”. Ce Qi suit des trajets bien définis, les méridiens. Si, à force de micro-stress ou de déséquilibres internes (alimentation, hormones, douleurs), ces canaux se désaccordent, des blocages s’installent. L’acupuncteur va alors agir comme un chef d’orchestre, re-harmonisant chaque pôle grâce à l’implantation précise de fines aiguilles.
Anecdote : Une patiente — jeune quarantenaire, chef d’entreprise à Liège — arrivait toujours en courant, boule de nerfs, se plaignant de nuits blanches répétées malgré une immense fatigue. Trois séances d’acupuncture plus tard, elle s’endormait en dix minutes. “Vous avez ralenti mon cerveau !”, plaisantait-elle. S’il serait exagéré de dire que cela fonctionne pour tous aussi vite, la plupart ressentent déjà en fin de séance une ondée de calme inédite. Comme si la pression interne baissait enfin.
Que dit la science ? De plus en plus d’études montrent que l’acupuncture peut normaliser les taux de mélatonine, réduire l’activité nerveuse excessive, et stimuler la production d’endorphines. Un cocktail propice à l’endormissement. D’ailleurs, selon une méta-analyse publiée dans le “Sleep Medicine Reviews”, l’effet de l’acupuncture sur l’insomnie serait comparable, ou supérieur, à celui de certains somnifères, sans les effets secondaires.
Autre point-clé : l’acupuncture ne s’arrête pas à l’endormissement. La pratique vise aussi à améliorer la qualité du sommeil profond et à diminuer les réveils nocturnes. Chacun de nous a déjà connu des cycles “hachés” — on se réveille plusieurs fois sans raison. Souvent, la raison est physique (inflammation silencieuse, tensions, problèmes digestifs) ou émotionnelle (angoisse anticipatrice, charge mentale). L’acupuncture rééquilibre le système nerveux autonome, responsable du “frein” (parasympathique) et de l’“accélérateur” (orthosympathique) du cerveau. Résultat : on lâche prise naturellement, sans lutte ni somnolence forcée.
Cela explique pourquoi la pratique séduit de nombreux patients ayant déjà “tout essayé” — tisanes, somnifères, méditation, sans succès durable. À noter : la méthode est sans danger, et s’adapte à chaque profil (enfants, seniors, femmes enceintes, sportifs).
Pour en savoir plus sur le lien direct entre acupuncture et sommeil, ce lien spécialisé détaille comment personnaliser la prise en charge.
Petite parenthèse humaine : chaque séance se déroule dans une ambience feutrée, sans précipitation. C’est souvent la première fois, pour beaucoup, que l’on prend 45 minutes pour “juste” écouter leur histoire de sommeil… Un moment rare dans la médecine classique.
Le saviez-vous : Des sportifs de haut niveau et des artistes à Liège intègrent l’acupuncture avant les périodes-clés (compétitions, représentations), pour favoriser une vraie récupération nocturne et donc, de meilleures performances le jour.
Enfin, en pratique, l’acupuncture identifie les déséquilibres derrière la mauvaise qualité de sommeil : stagnation de Qi, vide d’énergie du Foie, tensions digestives, accumulation émotionnelle, excès de yang, etc. Ce diagnostic fin est la clé du succès. Il ne s’agit donc pas simplement de “poser des aiguilles pour dormir”, mais d’un traitement sur mesure, adapté à la racine du problème.
Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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Demandez à 100 patients pourquoi ils consultent pour insomnie, vous aurez 100 réponses différentes. Mais certains profils reviennent souvent :
• Les “hyper-connectés” qui enchaînent mails, notifications, gestion de la famille — et pour qui l’extinction des feux ne signifie pas la paix du cerveau. Le stress se glisse alors jusque dans le lit, impossible de se “débrancher”.
• Les anxieux, ceux dont le sommeil est fragmenté par la rumination. Dès que la maison s’endort, les pensées font la ronde. Un souci perso, quelques échéances au travail, et la nuit devient une répétition des soucis du jour.
• Ceux qui souffrent de douleurs chroniques (lombalgies, arthrite, migraines, SII, etc.). La douleur agit comme un bruit de fond implacable, perturbant le sommeil paradoxal mais aussi la qualité du sommeil profond. Une étude chinoise cite qu’un patient sur trois souffrant de fibromyalgie rapporte une amélioration de son sommeil après 6 semaines d’acupuncture.
• Les femmes, particulièrement en périménopause ou ménopause, qui connaissent des sueurs nocturnes, des réveils précoces, un sommeil non réparateur. L’acupuncture aide alors à re-réguler le Yin et le Yang, à apaiser le Système nerveux, limiter la surchauffe corporelle.
• Les personnes en post-burnout, ou celles traversant une période de grande fatigue psychique. Pour elles, l’acupuncture permet un “reset” du système, en relançant doucement la capacité de récupération. Selon certains spécialistes, c’est même la meilleure indication pour bénéficier d’un sommeil réparateur naturel et profond, sans dépendance aucune.
Et parfois, tout simplement, des insomniaques sans cause identifiable. Cela arrive plus souvent qu’on ne croit. Les bilans médicaux sont normaux, mais l’épuisement s’installe. Un souffle de vie neuf intervient alors avec l'acupuncture, qui donne au corps de nouveaux repères d’apaisement et de relâchement.
La force de la méthode tient à son effet cumulatif. C'est rarement un "miracle" du jour au lendemain, mais une construction : au fil des séances, l’endormissement redevient plus naturel, la durée du sommeil s’allonge, la récupération s’approfondit. Chaque séance est comme une pierre posée pour reconstruire un édifice ébranlé.
L’acupuncture ne “force” jamais le sommeil, elle lui réapprend à couler naturellement. En utilisant des points spécifiques (Shenmen, Anmian, points du foie, de la rate, du cœur…), l'acupuncteur module les déséquilibres subtils qui empêchent le corps de redescendre en régime "nuit". Les résultats sont souvent visibles, parfois surprenants, quand on a connu des nuits chaotiques pendant des années.
Des témoignages concrets abondent d’ailleurs. À Liège, un chef cuisinier travaillant en horaires décalés a confié que l’acupuncture avait réduit ses réveils intempestifs de six à un seul par semaine. Pour d'autres, c’est la diminution des cauchemars, ou la fin de la sensation d’être “lessivé au réveil”. Des choses difficiles à objectiver, mais dont l’impact sur la qualité de vie est indéniable.
Le conseil : n’attendez pas d’être au bout du rouleau. Plus on agit tôt, plus le bénéfice arrive rapidement. L’entretien régulier, pour certains (une séance tous les 2 mois après cure initiale) permet même d’anticiper rechutes et crises d’insomnie.
Pour celles et ceux dont le sommeil fragile est associé à des douleurs, n’hésitez pas à lire cet article sur les douleurs articulaires et l’acupuncture. Le sommeil et la douleur sont souvent liés — et peuvent se traiter ensemble.
Sur le terrain, beaucoup de soignants, psychologues et médecins référencent l’acupuncture en complément d’un suivi psychologique ou d’un travail sur l’hygiène de vie globale, justement parce que la technique va “là où les médicaments ne vont pas toujours”.
Question que tout le monde pose : “Est-ce que ça fait mal ?” Non, la grande majorité des patients rapportent tout au plus une petite sensation à l’insertion des aiguilles, voire une légère chaleur ou engourdissement autour des points stimulés. L’objectif, c’est la détente – pas la douleur.
Pendant la séance : Trente à quarante-cinq minutes de vraie déconnexion. Certains s’endorment (vraiment !), d’autres glissent dans un état de semi-conscience très apaisant – comme entre veille et sommeil. Beaucoup disent ressentir une pesanteur douce, un relâchement progressif, voire une vague de chaleur agréable. Rarement, une petite émotion peut remonter : une larme, un rire, selon ce qui “se lâche” dans les circuits internes.
Après la séance : Quelques patients rapportent un “Pic de fatigue”, réaction saine d’un corps qui relâche enfin ses défenses. C’est pourquoi on conseille souvent de prévoir la séance en fin d’après-midi ou en début de soirée. D’autres, au contraire, ressentent une “grande énergie calme” – comme si la pression était descendue, laissant place à une lucidité tranquille. Dès la première séance, l’endormissement peut s’améliorer. Cependant, il faut le plus souvent 3 à 6 séances pour des effets robustes et pérennes.
Effets secondaires ? Pratiquement absents si l’acupuncture est pratiquée par un professionnel diplômé. Quelques rares sensations de courbature, légers petits bleus sur la peau ou sensation d’avoir “lâché une cascade d’émotions”. Ces effets sont temporaires. Pour toute préoccupation médicale sous-jacente (apnée du sommeil, trouble psychiatrique…), l’acupuncture vient en relai, jamais en substitution d’un suivi adapté.
Qui consulter ? En Belgique, il existe des accréditations strictes. À Esneux et dans la région liégeoise, la praticienne Katty Lhermitte reçoit de nombreux patients filés par des médecins, psychiatres ou psychologues, pour compléter ou optimiser la prise en charge classique du sommeil. Un article complet sur l’acupuncture et l’insomnie est accessible ici pour approfondir les expériences et techniques pratiquées sur le terrain.
Ceux qui souffrent de douleurs en plus de la fatigue chronique pourraient profiter doublement d’un suivi en acupuncture – à la fois pour récupérer la nuit et diminuer leurs symptômes diurnes. Vous pouvez aussi consulter ce guide sur l’acupuncture et la lombalgie chronique.
Si vous hésitez, prenez le temps d’explorer les solutions naturelles complémentaires telles que l’acupuncture en prévention des insomnies. Cela évite de sombrer vers la médication systématique, rarement satisfaisante à long terme.
Envie de comparer avec d'autres aspects santé et acupuncture ? Découvrez comment l'acupuncture aide à traiter le syndrome de l’intestin irritable.
Envie d’en savoir plus sur la praticienne, son parcours et d’autres actualités santé ? Lisez cet article sur l’intégration des différentes douleurs et troubles du sommeil.
Pourquoi dormir mal malgré la fatigue ?
Dormir mal même en étant épuisé peut s’expliquer par divers facteurs : stress chronique, douleurs silencieuses, déséquilibre hormonal ou mauvaises routines de vie. L’acupuncture vise à agir sur la racine du problème, en harmonisant le système nerveux et en réduisant les blocages énergétiques. Elle offre ainsi une réponse naturelle et personnalisée aux troubles du sommeil.
Comment se déroule une séance d’acupuncture pour troubles du sommeil ?
La séance commence par un échange autour des habitudes de sommeil, du stress, de la digestion et d’une possible douleur chronique. Le praticien pose ensuite des aiguilles fines sur des points spécifiques, pour relancer l’énergie vitale et restaurer la capacité naturelle du corps à s’endormir. La relaxation est profonde, souvent immédiate, et l’effet se renforce au fil des séances.
Faut-il consulter plusieurs fois pour constater une amélioration du sommeil ?
Dans la plupart des cas, quelques séances rapprochées (3 à 6) sont nécessaires pour installer un sommeil réparateur durable. Un entretien plus espacé (1 séance tous les deux mois) permet ensuite de consolider les bénéfices et de prévenir les rechutes. Le protocole s’adapte toujours à la situation individuelle.
Quand privilégier l’acupuncture plutôt que des somnifères ?
L’acupuncture est à privilégier si vous cherchez une solution naturelle, sans risque d’accoutumance et adaptée aux troubles du sommeil dont la cause est plurielle (fatigue nerveuse, douleurs, angoisse). Elle peut accompagner voire remplacer certains traitements médicamenteux, sur avis du médecin, en cas de mauvaise tolérance ou d’inefficacité des somnifères classiques.
1. Cao H, Pan X, Li H, Liu J. Acupuncture for treatment of insomnia: a systematic review of randomized controlled trials. J Altern Complement Med. 2009;15(11):1171-1186.
En résumé : Cette revue systématique met en avant l’efficacité de l’acupuncture pour améliorer la qualité du sommeil, avec des effets comparables voire supérieurs aux traitements pharmacologiques standards.
2. Cheuk DK, Yeung WF, Chung KF, Wong V. Acupuncture for insomnia. Cochrane Database Syst Rev. 2012;9:CD005472.
En résumé : La revue Cochrane suggère que l’acupuncture est mieux tolérée et peut améliorer significativement le sommeil chez les patients souffrant d’insomnie chronique, surtout dans une approche personnalisée.
3. Huang W, Kutner N, Bliwise DL. Autonomic Activation in Insomnia: The Case for Acupuncture. J Clin Sleep Med. 2011;7(1):95–102.
En résumé : Montre que l'acupuncture module le système nerveux autonome, réduisant l'excès d’activation qui empêche l’endormissement, facteur clé dans l’insomnie persistante.
4. Choi TY, Kim JI, Lee MS, et al. Acupuncture for managing sleep disturbance in cancer patients: a systematic review of randomized trials. Integr Cancer Ther. 2017;16(2):135-146.
En résumé : L'acupuncture améliore le sommeil même chez des patients gravement affectés par des douleurs et traitements lourds, confirmant son intérêt large pour des profils variés d’insomnies.