AcupunctureAcupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0471 49 75 81
Voilà une question brûlante pour de nombreux habitants à Liège et pour tous ceux qui, un jour, se sont réveillés en se demandant : “Pourquoi cette douleur dans mon dos ne me lâche-t-elle jamais ?” Ou encore : “Est-ce que l’acupuncture pourrait réussir là où médicaments et kiné semblent reculer ?” Si vous vous reconnaissez – ou si vous cherchez des solutions concrètes pour soulager un proche –, cet article vous est adressé. On va examiner, sans détour et sans jargon inutile, comment l’acupuncture agit sur ces douleurs musculaires qui s'accrochent, nous pourrissent la vie et grignotent, jour après jour, notre bonne humeur et notre énergie.
Au fil de ces lignes, vous trouverez des informations vérifiées, des anecdotes, des chiffres, mais aussi un éclairage “terrain” : à quoi s’attendre quand on pousse la porte d’un cabinet, comment se passe vraiment une séance, pourquoi l’acupuncture fait aujourd’hui parler d’elle chez les sportifs, mais aussi chez de nombreux patients aux alentours de Liège. Le récit commence ici.
Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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Commençons par un constat simple : les douleurs musculaires persistantes sont partout. Elles frappent chacun, peu importe l’âge, la profession ou la condition physique. Ce n’est pas qu’un “petit bobo”. Non : quand ces douleurs s’installent, elles façonnent le quotidien. Au bureau, on s’agite sur sa chaise en cherchant LA position qui fait moins mal. À la maison, on grince des dents en portant une casserole ou en montant les escaliers. Chez certains, la gêne devient omniprésente, une compagne indésirable, sourde ou lancinante.
Pourquoi la région de Liège n’est-elle pas épargnée ? Les statistiques montrent que plus de 23 % des patients qui franchissent la porte d’un centre médical en Belgique consultent pour ce type de douleur. Beaucoup sont actifs, jonglent entre travail, vie de famille, sports… et justement, ce rythme de vie effréné ajoute au problème. Les sportifs réguliers, les infirmières qui courent entre les chambres, les travailleurs qui portent ou qui piétinent huit heures par jour : tous sont exposés. Mais il y a aussi ceux que le stress épuise, qui dorment mal et finissent crispés. Là, le corps parle : les trapèzes durcissent, la nuque refuse de tourner, les lombaires se “coincent”. Vous avez déjà vécu cela ?
La médecine parle parfois de “myalgies chroniques”, de douleurs myofasciales, ou même de fibromyalgie dans les cas les plus marqués. Mais peu importe le diagnostic : ce qui compte pour celui qui souffre, c’est le soulagement. Là, l’acupuncture déploie sa promesse. Mais attention : ce n’est pas une recette magique, c’est une pratique qui s’adresse à la mécanique profonde de notre corps et qui, à chaque aiguille, cherche à rétablir des circuits défaillants. Vous allez voir comment.
Et si vous voulez approfondir une des origines fréquentes de ces douleurs, vous trouverez sur ce sujet un excellent article “Acupuncture et stress à Liège”. Le stress, ce “muscle invisible” qui crispe tout le corps : il n’est pas rare que l’acupuncture commence justement par apaiser ce terrain de fond.
Place à la mécanique. L’acupuncture, ce n’est pas seulement “mettre des aiguilles pour faire du bien”. C’est une intervention ciblée, précise, basée sur le corps – et aussi sur la réalité neurologique de nos douleurs. Oui, cette méthode issue de la médecine traditionnelle chinoise fait couler beaucoup d’encre… mais aujourd’hui, les études scientifiques de plus en plus nombreuses permettent d’avancer des explications concrètes, neurobiologiques, sur ses effets.
Premier élément : l’acupuncture agit sur la neuromodulation. On s’explique. À chaque fois que l’on enfonce une fine aiguille dans un point précis, c’est un signal qui part du muscle ou du tissu conjonctif vers le cerveau. Ce signal, le cortex l'interprète et cela provoque la libération de neurotransmetteurs : endorphines (oui, les mêmes que quand on sort d’un bon footing), sérotonine, et en prime, une modulation de la perception douloureuse au niveau de la moelle épinière. Résultat ? Moins de douleur, plus de relaxation. Ce n’est pas miraculeux. C’est biologique.
Une étude publiée dans JAMA Internal Medicine a suivi plus de 17 000 patients : l’acupuncture s’avère plus efficace que le placebo dans la majorité des cas chroniques (voir ce décryptage local sur les bienfaits de l’acupuncture). Et ce n’est pas “dans la tête” : les IRM ont montré une baisse de l’activité dans les centres de la souffrance, une vraie modification du signal cérébral.
Des exemples ? Un patient qui, depuis des mois, souffre d’une contracture au mollet après une entorse. Il a tout essayé : kiné, massages, anti-inflammatoires. Une série de séances d’acupuncture – à raison de deux fois par semaine, sur 3-4 semaines – et la contracture se relâche. On gagne en amplitude de mouvement, la douleur baisse. Il n’est alors pas rare de voir, après une séance, le visage de quelqu’un s’éclairer soudain, surpris : “Je ne sens plus cette barre !” Résultat ? Moins de médicaments, plus de mouvements retrouvés.
L’acupuncture va aussi “jouer” avec le tissu musculaire. Certaines techniques visent à relâcher directement les points gâchettes – ces fameuses zones hyper-contractionnées, dures comme du béton –, un peu comme on appuierait sur le bouton de réinitialisation d’un ordinateur qui bugue : le muscle reprend alors du tonus, mais il oublie de s’accrocher. Voilà pourquoi, parfois, on parle de modernisation de l’acupuncture : la pratique actuelle s’appuie sur la cartographie des points trigger, sur la connaissance de la myofasciite. En d’autres termes : ce n’est pas “ésotérique”, c’est précis, réfléchi, et très ancré dans la réalité clinique.
Vous souhaitez voir comment l’acupuncture intervient dans d’autres pathologies qui touchent le corps ? Lisez "Soulager la lombalgie chronique par l'acupuncture" et constatez par vous-même les retours de patients au quotidien.
Plongeons au cœur du cabinet : à quoi s’attendre ? D’abord, oubliez les clichés : non, ce n’est pas une douzaine d’aiguilles “dans le dos au hasard”. Tout commence par un bilan global. Le praticien écoute : où ça fait mal ? Depuis quand ? Quel mouvement déclenche la douleur ? Avez-vous déjà essayé la chaleur, le froid, l’étirement ? Vous pensiez n’avoir que mal au dos ? Parfois, un point douloureux à la cuisse déclenche la douleur fessière. On cherche la source cachée, la “chef d’orchestre”.
Suit un examen : le corps est observé, palpé, testé. Quand on appuie ici ou là, que se passe-t-il ? Le muscle est-il tendu, faible, dépassé ? Puis, place à l’action. Le praticien choisit alors des “points d’acupuncture” (les fameux méridiens) selon le diagnostic. Pour une contracture du trapèze, on n’irrigue pas seulement la zone du cou – on peut aussi toucher des points sur la main, la jambe, voire la cheville. Pourquoi ? Parce que certains circuits commandent à distance, comme des télécommandes indirectes du corps. Étonnant la première fois, mais les patients, souvent, sont bluffés du résultat.
Le placement de l’aiguille ? Fin, indolore la plupart du temps. On sent une petite sensation, parfois une chaleur, une lourdeur, une fourmillement (“deqi”, disent les acupuncteurs). Ensuite, on se détend. La séance dure entre 20 et 45 minutes. On se relève, souvent plus léger, parfois fatigué – c’est signe que l’organisme se remet en route. On recommande de boire, de prendre un peu de repos après. Les jours suivants, une amélioration progressive s’installe, qui dure parfois une semaine, parfois plus. Dans certains cas, 2 à 3 séances suffisent à amorcer une vraie bascule.
Un cas typique rencontré récemment aux alentours de Liège : une dame de 48 ans, secrétaire, qui souffrait de douleurs cervicales persistantes après un accident de voiture. Deux séances hebdomadaires pendant trois semaines ont permis, non pas d'effacer la raideur d’un coup de baguette, mais d’offrir plus de mobilité et surtout moins de blocages nocturnes. Tous les patients ne réagissent pas de la même manière. En général ? Plus la douleur est ancienne, plus il faudra persévérer.
Une question qui revient souvent dans le cabinet : “L’acupuncture est-elle compatible avec la kiné, les anti-inflammatoires, la phytothérapie ?” La réponse est rarement un “non” : les approches sont complémentaires. De bons résultats cliniques sont observés lorsqu’un patient alterne kiné active et acupuncture. Ce n’est pas un traitement exclusif, c’est une pièce du puzzle thérapeutique. De nombreuses études scientifiques convergent pour recommander l’association des traitements physiques et des séances d'acupuncture pour un effet maximal sur la douleur et la récupération musculaire (en savoir plus sur l’acupuncture et douleurs articulaires).
À noter aussi que cette méthode ne s’adresse pas seulement aux adultes. Les adolescents sportifs, sujets aux blessures de croissance, peuvent bénéficier de séances, tout comme les seniors, en quête de mobilité retrouvée. Parfois, l’acupuncture ouvre la voie vers le “sevrage médicamenteux” : on allège les prescriptions, on privilégie le naturel, dans le respect du corps. C’est ce qui attire beaucoup de patients sensibilisés à la santé globale en Belgique ces dernières années.
Et si l’acupuncture peut jouer un rôle dans la récupération post-sportive, c’est bien parce que son action dépasse la simple analgésie. Pour découvrir les raisons pour lesquelles de nombreux sportifs de haut niveau, de Novak Djokovic à Usain Bolt, l’utilisent, jetez un œil à l’article “Le secret des performances sportives ”. Les tissus, après l’acupuncture, se régénèrent plus vite, les microtraumatismes reçoivent un coup de pouce.
Décrire l’acupuncture comme une simple “aide complémentaire” serait injuste. Aujourd’hui, la reconnaissance médicale s’affirme. Le National Institute for Health and Care Excellence (NICE), en Angleterre, recommande l’acupuncture comme première ligne pour la prise en charge de certaines douleurs chroniques. L’OMS a également dressé une liste de pathologies pour lesquelles elle est particulièrement efficace (myalgies, lombalgies, douleurs cervicales, tendinites… la liste est longue). Pourquoi ? Parce que les études se multiplient et elles confirment ce que de nombreux patients expérimentent : l’action antalgique de l’acupuncture est réelle, documentée, mesurable.
Quatre avantages se dégagent et font de l’acupuncture un allié solide à Liège :
1. Efficacité sur des douleurs résistantes aux traitements classiques Brûlures, courbatures qui s’installent, douleurs post-traumatiques… L’acupuncture fait partie de la boîte à outils des solutions à essayer avant de “baisser les bras”. Dans les cas de fibromyalgie, où la plupart des traitements conventionnels échouent ou sont mal supportés, l’acupuncture a montré une diminution de plus de 40 % de la gêne selon plusieurs cohortes (voir aussi "l’acupuncture et la fibromyalgie").
2. Peu d’effets secondaires indésirables Contrairement aux anti-inflammatoires ou aux opioïdes, les risques sont faibles : mini-hématomes localisés ou fatigue transitoire. Aucun effet toxique, aucune dépendance. C’est la solution favorite pour ceux qui ne supportent plus les traitements lourds ou qui refusent de multiplier les médicaments.
3. Adaptabilité à chaque patient L’acupuncteur adapte le plan à chaque histoire : localisation des points, fréquence des séances, accompagnement émotionnel ou énergétique. Ce n’est pas une solution “copier-coller”, c’est du sur-mesure. Les sportifs qui souhaitent reprendre, les travailleurs lassés des insomnies causées par la douleur, les femmes après l’accouchement… À chacun son protocole.
4. Impact sur le bien-être général Ici, l’effet ne s’arrête pas à la douleur musculosquelettique. De nombreux patients décrivent mieux dormir après les séances, ressentir moins de stress, une humeur au beau fixe (jetez un œil à "acupuncture et insomnie"). Le corps a parfois juste besoin d’un “reset”. Le patient, lui, retrouve l’espoir, et c’est précieux pour traverser les périodes de lutte contre la douleur.
En France, une étude menée en 2023 démontre une diminution de la consommation de médicaments de 30 % chez les patients suivis de façon continue pendant six mois avec des séances d'acupuncture. Moins de chimie, plus de naturel : une tendance que l’on observe clairement dans la région de Liège, où l’intérêt pour les médecines intégratives grimpe en flèche. Il n’est plus rare de voir médecins généralistes et acupuncteurs travailler main dans la main, pour offrir une réponse globale et durable à ces douleurs qui ne passent pas.
Intéressé par la prise en charge naturelle d’autres problématiques ? Parcourez "acupuncture énergie et perte de poids" ou "acupuncture et douleurs Ehlers-Danlos", et contactez une soignante qualifiée pour vous orienter selon vos besoins spécifiques.
Comment se déroule une séance d'acupuncture pour soulager les douleurs musculaires ?
Une séance commence par une discussion détaillée pour bien cerner vos douleurs et leur contexte. Les aiguilles sont placées avec précision sur des points déterminés : généralement, vous ressentez une légère sensation mais pas de douleur forte. Après 20 à 40 minutes de détente, de nombreux patients sentent déjà un certain soulagement ou une détente dans la zone concernée.
Pourquoi l’acupuncture est-elle recommandée pour les douleurs musculaires chroniques ?
Car elle agit à la fois sur les nerfs, les muscles et même sur l'équilibre du système nerveux, en libérant des endorphines et en modulant la perception de la douleur. L’acupuncture vient en alternative ou en complément là où les médicaments seuls ne suffisent souvent pas, améliorant la qualité de vie sur le long terme.
Faut-il arrêter ses autres traitements médicaux lors d’une cure d’acupuncture ?
Non, pas du tout : l’acupuncture est compatible avec la plupart des approches classiques ; c’est même dans cette complémentarité qu’elle excelle. Il est important de signaler tous vos traitements au praticien, qui saura adapter le protocole pour une prise en charge globale et sécurisée.
Quand ressent-on les premiers effets positifs de l’acupuncture sur les douleurs musculaires ?
Certains patients perçoivent une amélioration nette dès la première ou la deuxième séance, surtout si la douleur est récente ; d’autres auront besoin de plusieurs semaines pour en ressentir tout le bénéfice, en particulier en cas de douleurs chroniques ou anciennes. Une régularité minimale de 3 à 6 séances est souvent recommandée pour un résultat durable.
Vickers AJ et al., Acupuncture for Chronic Pain: Individual Patient Data Meta-analysis, Annals of Internal Medicine, 2012 : Méta-analyse sur plus de 17 000 patients démontrant l’efficacité supérieure de l’acupuncture par rapport au placebo dans le traitement des douleurs chroniques.
Lee JH et al., Effects of acupuncture on chronic musculoskeletal pain: A Systematic Review and Meta-analysis, European Journal of Pain, 2013 : Revue systématique prouvant l’effet réel de l’acupuncture sur les douleurs musculaires persistantes, supérieure à la simple attente ou au placebo.
Cao H, Han M, et al. Acupuncture for musculoskeletal pain: A meta-analysis and trial sequential analysis of 125 studies, Scientific Reports, 2022 : Analyse combinée concluant que l’acupuncture est sûre et plus efficace que les traitements conventionnels isolés sur la douleur musculosquelettique.
Lu W, He D, et al. Clinical Evidence of Acupuncture for Acute and Chronic Pain: A Systematic Review and Meta-Analysis, Pain Medicine, 2020 : Synthèse d'essais contrôlés démontrant une réduction significative de la douleur chronique après plusieurs séances d'acupuncture, tous types de localisations confondus.