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Accepter son corps après une grossesse : pourquoi est-ce si difficile en tant que jeune maman ?

Sexologue – Mme Sabrina Bauwens

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0474 10 90 33

Accepter son corps après une grossesse : pourquoi est-ce si difficile en tant que jeune maman ?

C’est un secret de polichinelle dont tout le monde parle à demi-mot : la grossesse bouleverse tout. Le regard dans le miroir, ce qu’on ressent dans sa peau, la façon dont on se touche, mais aussi la façon dont on ose (ou pas) se laisser toucher. Le corps d’une mère, après l’accouchement, n’est plus tout à fait le même. Beaucoup de femmes, à Liège comme ailleurs, témoignent de ce sentiment étrange : celui de ne plus se reconnaître, d’avoir l’impression d’habiter un corps “étranger”. Mais faut-il forcément, d’un coup de baguette magique, “s’en remettre” ?

Ici, pas de discours cliché. La réalité, vous la connaissez : ventre distendu, seins lourds ou vidés, cicatrices, vergetures, rondeurs. La liste est longue, la gêne aussi. Les statistiques confirment qu’environ 70% des femmes déclarent avoir une image corporelle plus négative après leur première grossesse. Soixante-dix pour cent. Ce n’est pas un détail anodin. Ce sont des êtres humains. Des femmes. Vous, peut-être, ou quelqu’un proche.

Est-ce “normal” de ne pas se sentir bien dans sa peau après une grossesse ? Oui. Mais pourquoi est-ce si difficile ? La pression sociale, déjà. Le fantasme du corps "parfait" au féminin, relayé sur les réseaux, les magazines, la pub. Cette attente tacite qu’une jeune maman sourit, rayonne et retrouve une silhouette “avant” en un clin d’œil. On dit “le bonheur d’être mère efface tout”. On oublie : le corps, parfois, peine à suivre le mental. Il faut réapprivoiser l’image de soi.

“Mon ventre, je ne peux plus le regarder. Je m’habille large. Même mon couple en pâtit...” Ce témoignage, entendu mille fois en consultation de sexologie, parle à beaucoup. La gêne corporelle s’invite dans l'intimité : l’inhibition du désir, l’évitement des caresses, la perte de plaisir. Les sexologues savent : le rapport à son image corporelle pèse sur la sexualité bien plus que les troubles hormonaux parfois pointés du doigt.

On oublie aussi que le corps ne “sert” pas qu’au plaisir ou à l’esthétique. Il a porté, enfanté, parfois souffert. “Je me sens cabossée”. “J’ai perdu confiance”. Il y a un vrai deuil à faire : celui de l’ancien corps. Ne pas vouloir retourner en arrière, mais évoluer. C’est dur. La société ne propose pas de rituels pour accompagner ce bouleversement, contrairement à d’autres cultures. En Belgique, la plupart des mères traversent cette étape seules, en silence, persuadées de “ne pas être normales”. Or c’est le contraire.

Souvent, la première démarche, c’est l’aveu : “j’ai du mal à me regarder, à me laisser approcher, j’ai peur de ne plus plaire”. C’est là que le dialogue est crucial. Se faire accompagner, c’est s'autoriser à verbaliser ce qui, trop souvent, reste tabou. Les consultations en sexologie existent aussi pour cela. Elles permettent de remettre du sens sur ce corps neuf et de reconstruire une confiance, petit à petit.

Certains esprits pragmatiques diront : “c’est psychologique, ça passera”. Peut-être. Mais parfois, cela dure. Cela abîme la vie à deux, la sexualité, la façon dont on ose s’aimer soi-même. On grignote un peu de son territoire de féminité chaque fois qu’on évite la glace, qu’on repousse une main, qu’on s’habille vite dans le noir. Rassurez-vous, ce sentiment n’est pas une fatalité. Votre histoire est unique, et il existe mille chemins pour réapprivoiser votre corps. L’important : savoir que vous n’êtes pas seule. Aux alentours de Liège, de plus en plus de femmes osent consulter. Pourquoi pas vous ?

Sexologue à l’écoute, accompagnement bienveillant, outils concrets : un trio gagnant pour se retrouver. Parce qu’accepter son corps, ce n’est pas seulement le “tolérer”, c’est renouer la relation. On réapprend à se toucher, à s’aimer, parfois à oser de nouveaux plaisirs, à explorer l’intimité autrement. Ce chemin n’appartient qu’à vous. Parfois, un regard extérieur, neutre, sans jugement, aide à avancer.

Envie d’en savoir plus sur le rôle du sexologue dans les troubles de la sexualité et l’estime de soi ?

Si vous vous sentez concernée, sachez que des solutions existent. Osez en parler.

Quelles sont les conséquences sur la sexualité après une grossesse ?

On imagine souvent que la maternité enrichit les relations intimes. Sur certains plans, c’est vrai : la complicité, le partage, la profondeur émotionnelle. Mais le parcours post-grossesse est rarement un long fleuve tranquille côté libido. Entre fatigue, disponibilité mentale, changements hormonaux et image de soi : les obstacles s’invitent vite sous la couette. Vous vous reconnaissez ?

Au-delà des symptômes “classiques” comme la chute du désir ou la sécheresse vaginale, une réalité se dessine : il n’y a pas deux histoires identiques. Certaines mamans disent “ne plus rien ressentir”, d’autres se retrouvent hyper-sensibilisées. Quelques-unes même racontent une nouvelle intensité. Mais pour la majorité : ce qui pèse le plus, c’est le sentiment de ne plus contrôler la machine du désir. “Tout ce que j’aimais, avant, est devenu inconfortable…” “Je me trouve trop lourde, trop mollassonne… J’évite qu’on me touche.”

Le phénomène n’a rien de mystérieux. D’abord, il y a le bouleversement hormonal : chute des œstrogènes, prolactine élevée (si allaitement). Résultat : vagin plus sec, muqueuses sensibles, parfois petites douleurs. Rajoutez la fatigue chronique (le manque de sommeil d’un nourrisson : test ultime pour le désir…), l'enchaînement des tétées, les nuits hachées, le stress de la nouvelle organisation… Vous aussi, vous regardez votre lit comme un sanctuaire pour dormir, plus pour les câlins ?

Puis vient le facteur psychologique. La sexualité, c’est autant dans la tête que dans le corps. Si chaque contact vous rappelle votre propre gêne, la difficulté à vous sentir désirable, alors le plaisir s’éloigne comme une île brumeuse. Votre partenaire peut aussi se sentir “rejeté”, “impuissant”, ou ne pas comprendre que ce n’est pas lui (ou elle) le problème. D’où l’importance de la communication. Dire ce qu’on ressent, même sans solution immédiate, apaise déjà la pression du “ça devrait aller mieux”.

Le couple, à ce moment, est mis à l’épreuve. Pudeur, honte, culpabilité… Se dire “je devrais avoir envie, mais je n’y arrive pas”. Ou l’inverse : “je voudrais que mon/ma partenaire me trouve désirable, mais moi, je n’y arrive pas”. C’est classique. Le mythe du “retour rapide à la normale” après l’accouchement est un mirage. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 50 à 70% des femmes rapportent une baisse de libido dans la première année suivant la naissance. Le “retour à la sexualité” devient source d’angoisse, de doutes, parfois de conflits sourds.

Croyez-le ou non : reconstruire la complicité, c’est possible. Mais il ne s’agit pas d’un sprint : plutôt d'un chemin de randonnée, avec des détours, des pauses. Parfois, le corps refuse catégoriquement d’avancer. Il faut respecter ce tempo. Certaines mamans témoignent de douleurs persistantes : cicatrice d’épisiotomie, césarienne, déchirures ou simples gênes. Là, la consultation d’un sexologue s’impose, pour démêler ce qui relève du corps, de la tête – ou des deux à la fois.

Vous sentez que votre couple s’éloigne ? Que la flamme vacille, que les non-dits s’accumulent ? N’attendez pas d’être au bord de la rupture. Des outils existent pour renouer le dialogue, réhabiliter la tendresse, sortir de la zone “amicale” imposée par la routine parentale. Oser parler, oser consulter, ce n’est pas admettre une “faillite”. C’est prendre soin de son couple comme on prend soin de son enfant. Mettre des mots sur les blocages, se donner des permissions. S’autoriser à se “réinventer”, ensemble.

Un point majeur : accepter que le désir revienne par paliers. Un simple câlin, un regard tendre, un massage, peuvent déjà ranimer la complicité. L’intimité ne se joue pas qu’au lit. Elle commence dans la tête, continue dans le dialogue, se traduit dans les gestes les plus simples : cuisiner ensemble, prendre une douche, partager ses peurs… Des petits riens qui construisent le retour du désir, brique après brique.

Il est tout à fait normal de ressentir de la honte ou de la déception face à ces changements. Dites-vous que rien n’est immuable. Il suffit parfois d’un accompagnement bienveillant, d’astuces adaptées (et personnalisées !), pour retrouver le chemin du plaisir. En parler à une sexologue expérimentée, c’est sortir de l’isolement et se redonner le droit de “ressentir”. Car la sexualité, après une grossesse, n’est pas une copie du passé. C’est une invention de la vie présente.

Saviez-vous qu’un tiers des couples qui traversent une crise à la naissance d’un enfant ne consultent jamais ? Et qu’en moyenne, il faut deux ans pour retrouver un équilibre si on reste seule ? C’est énorme.

Pour aller plus loin, découvrez notre guide sur la libido après l’accouchement disponible sur consultations-liege.be avec une sexologue à Liège.

Accompagnement en sexologie : quelles solutions concrètes pour s’accepter et renouer avec l’intimité ?

Vous vous êtes déjà demandé comment, concrètement, on “réconcilié” une femme avec son corps après la naissance ? Parce que “accepter”, c’est facile à dire… Quand chaque vergeture, chaque pli, chaque kilo semble crier “tu n’es plus la même” ! Au fil des consultations, une chose s’impose : il n’existe pas de potion magique, mais bien des chemins personnalisés. Tout commence par l’écoute. Une écoute vraie. Une préparation à dire ce qui coince, ce qui fait honte, ce qui angoisse.

Le rôle d’un sexologue, ici, c’est d’abord de déculpabiliser. Oui, il est totalement légitime de se sentir “moins bien” dans sa peau. Non, ce n’est pas du narcissisme. L’image de soi est le socle du désir. Impossible de s’ouvrir à l’autre si l’on se replie sur soi.

Sexologue – Mme Sabrina Bauwens

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Ce qui choque beaucoup de jeunes mamans ? Entendre enfin quelqu’un dire “oui, c’est normal, et oui, il y a des solutions”. Parce que la première étape, c’est vraiment le “droit de ressentir”. Les techniques proposées visent autant l'ajustement psychologique que corporel. Par exemple :

  • Favoriser les auto-massages, dans un cadre neutre, simplement pour ressentir sans “objectif esthétique”. Se réapproprier les sensations, à son rythme.
  • Explorer le plaisir hors sexualité : un bain, une douche, la sensation des tissus, de la musique, du parfum.
  • Redéfinir l’intimité : discussion de couple, partage des inquiétudes, redécouverte des gestes de tendresse “sans enjeu”.
  • Travailler les croyances négatives accumulées (je ne suis plus désirable, mon partenaire ne me regarde plus, etc.).
  • Ajuster les attentes du couple : se donner les moyens de petits pas, célébrer les progrès.
  • Travailler la respiration, la relaxation, parfois la visualisation corporelle pour réduire le stress "d’avant rapport".

L’importance de la sexualité “hors performance” est ici majeure. On met souvent la barre trop haut : “Si ce n’est pas comme avant, à quoi bon ?” Le plaisir partagé n'a pas de forme unique. Il se réinvente. Certains couples découvrent de nouveaux jeux, de nouvelles caresses, explorent d’autres façons d’être ensemble, sans pression. La clé : la curiosité et l'humour. Parfois, il suffit d’oser en rire ensemble pour évacuer la peur du jugement. La démarche peut sembler anecdotique, mais elle change tout.

Un accompagnement sexologique peut inclure des exercices introspectifs. Par exemple : écrire à son corps (oui, littéralement). Noter les qualités dont vous voulez vous souvenir. Une main sur le ventre, fermez les yeux, respirez : “Que puis-je aimer dans ce corps qui a tant donné ?”

Vous craignez de ne pas être soutenu(e) par votre partenaire ? Beaucoup de couples vivent cette distance. Chacun se sent frustré, mais n'ose pas crever l’abcès. La sexologue joue alors un rôle de médiation : poser les mots, accueillir les frustrations, soutenir les rapprochements, sans jugement. Vous n’aimez plus votre ventre ? Peut-être que l’autre, lui, y voit autre chose (“c’est le souvenir de notre enfant”)… Mettre en commun ces deux perspectives, ça change la donne.

L’autre levier fondamental : le temps. Il faut accepter que certains jours, rien ne soit possible. D’autres, un simple contact réchauffe le cœur. Il y aura des hauts… et des bas. L’accompagnement met en lumière ces variations, encourage à la bienveillance envers soi-même. Non, il ne s’agit pas de laisser tomber le couple ou la sexualité. Il s’agit de construire une intimité sur mesure, adaptée à votre histoire.

Et si vous aviez envie d’en parler avec quelqu’un qui comprend, tout simplement ? L’équipe de professionnels chez Sabrina Bauwens à Esneux accompagne depuis des années les femmes, en individuel ou en couple, à chaque étape du post-partum. L’essentiel : ne pas rester seule avec son malaise. D’autres outils existent : soutien psychologique, ateliers corporels, groupes de parole… N'hésitez pas à jeter un œil à notre dossier dédié à la thérapie de couple. Les bénéfices ? Retrouver la liberté d’être touchée. D’oser demander. De renouer avec son corps… sans honte ni peur.

Si tout cela vous parle, pensez à consulter dès les premiers signaux. Parfois, il suffit de quelques rencontres pour dénouer des nœuds anciens et repartir sur de nouvelles bases.

Pour un accompagnement en sexologie plus individualisé en post-partum à Esneux ou à proximité, l’équipe se tient à votre écoute. Il n’est jamais trop tôt – ni trop tard – pour prendre soin de son intimité.

Bientôt disponible, un article complet sur le vaginisme après grossesse et la prise en charge à Liège.

Quels conseils pratiques pour aimer son nouveau corps et retrouver confiance après la maternité ?

Parfois, tout le monde blablate “accepter, s’aimer, s’assumer”. Plus facile à dire qu’à faire, non ? Quand la réalité cogne fort – miroir, vêtements trop serrés, réflexions maladroites. Pourtant, il existe des pistes concrètes, loin de la théorie. Des astuces testées et approuvées par des centaines de femmes, adaptées à la “vraie vie”.

Le premier conseil de base : ralentir la comparaison. La tentation est grande d’observer les autres mamans, les “ventres plats” d’Instagram ou les retours en bikini 3 mois après. Stop. Votre corps raconte votre histoire, pas un scénario imposé. La comparaison est toxique, surtout en période fragile. Faites la paix avec l’idée que chaque corps a son horloge, sa manière d’intégrer les changements.

Ensuite, reconnectez-vous à vos sensations. À la minute où l’on bascule dans la haine du corps, on s’anesthésie. Or, le plaisir, les caresses, même l’excitation, passent par le corps “ressenti”. Accordez-vous des temps pour vous masser (seule ou à deux), sentir votre peau, explorer sans pression. Redécouvrez votre poitrine, même si elle a changé. Vos hanches, votre ventre. Personne ne demande la lune – juste d’expérimenter, sans objectif esthétique.

Le choix des vêtements compte aussi. Exit les pantalons “punition” qui marquent chaque boursouflure, les soutiens-gorge inconfortables, les matières qui grattent. Optez pour ce qui vous fait du bien : couleurs, coton doux, coupes fluides. Cela semble futile… mais l’effet sur l’estime de soi est énorme. Un vêtement dans lequel on se sent bien, c’est un jalon vers une nouvelle alliance avec son image.

Beaucoup de femmes, en consultation, avouent “masquer” leur corps devant leur partenaire. Peut-être que vous aussi vous fuyez la lumière, ou vous vous déshabillez vite. Osez briser la routine. Parlez-en : “voilà ce qui me gêne”, “voilà ce que j’aimerais tester pour avancer”. Un sous-vêtement confortable, une lumière tamisée, un geste tendre… Cela suffit souvent à oser laisser faire les mains aimantes.

Le rapport à l’alimentation mérite aussi d’être interrogé. Pas question ici de “régimes miracles”. Mais plutôt de réapprendre à écouter la faim, la satiété, le plaisir de manger. S’offrir un bon plat, savourer sans culpabilité, c’est aussi retrouver la confiance. C’est le même cerveau qui permet le plaisir gustatif et sexuel !

Autre astuce : ne jamais sous-estimer la puissance d’une activité créative ou physique (même toute douce). Peindre, marcher, danser, nager, prendre des photos. Oui, bricoler est thérapeutique. Le corps fait, il n’est plus “objet à corriger”, mais outil à expérimenter. Cet angle de vue change tout. Les sexologues encouragent même parfois à débuter des ateliers collectifs : yoga post-natal, mouvements doux, sophrologie. On sort du regard juge, on retrouve du plaisir dans l’effort partagé.

Le dialogue de couple demeure une clé. Oser nommer les angoisses, les frustrations, mais aussi les belles surprises. Les thérapeutes de couple, à Liège notamment, avouent : le changement dans la sexualité post-grossesse vient rarement d’une recette miracle, mais d’un empilement de micro-ajustements. Communiquer, céder du terrain, trouver des rituels rien qu’à deux, même quand tout le monde dort…

Enfin, faites-vous accompagner si le poids du mal-être devient trop lourd. Le sentiment de ne plus “s’assumer” bloque le plaisir, la joie de la maternité, la complicité de couple. Parfois, la déprime s’installe, la sexualité devient synonyme de stress. Osez consulter. À Esneux, Mme Sabrina Bauwens reçoit régulièrement des femmes vivant ce passage délicat. Il n’y a pas de honte, seulement la volonté de se retrouver.

Retrouver confiance en vous, c’est aussi accepter, pas à pas, de vous féliciter pour vos progrès, si petits soient-ils. Certains jours, simplement mettre le nez dehors, parler, danser avec son enfant, c’est déjà un exploit.

En résumé ? Le chemin démarre par un acte de bonté envers soi-même. Puis, brique après brique, on construit une sexualité renouvelée, fidèle à ses désirs. L’essentiel : rappeler que rien n’est gravé dans le marbre. Accepter son corps après une grossesse, c’est écrire un nouveau chapitre. Avec, parfois, l’aide d’une professionnelle en sexologie à Liège.

FAQ – Questions fréquentes

Comment accepter son corps après une grossesse ?

Il s'agit d'un processus qui demande du temps, de la bienveillance envers soi-même et parfois l’accompagnement d’un professionnel. L’important est d’apprivoiser progressivement ses nouvelles sensations corporelles, de dialoguer avec son partenaire, et de ne pas rester seule avec son mal-être.

Pourquoi ma sexualité a-t-elle changé après la naissance de mon enfant ?

Les modifications hormonales, la fatigue, et surtout l’impact psychologique autour de l’image de soi bouleversent souvent le désir et la manière de vivre l’intimité. Ces changements sont tout à fait normaux et transitoires pour beaucoup de femmes, mais méritent parfois un accompagnement spécifique si le mal-être persiste.

Quand consulter une sexologue après l’accouchement ?

Dès que le malaise face à l’image corporelle ou la sexualité impacte la vie quotidienne ou la relation de couple, il est conseillé de prendre rendez-vous. Plus l’accompagnement démarre tôt, plus il est facile d’éviter l’installation de blocages durables.

Faut-il impliquer son partenaire dans la démarche d’acceptation corporelle ?

Impliquer son partenaire peut faciliter la compréhension mutuelle, désamorcer les tensions et renforcer la complicité. Même si chaque histoire est unique, partager ses craintes ou ses désirs permet souvent de retrouver l’harmonie dans la relation et l’intimité.

Pour toute question ou pour prendre rendez-vous, l’équipe spécialisée de Sabrina Bauwens à Esneux vous accompagne à chaque étape de votre cheminement.

Références scientifiques :

Pratibha Gupta et al., Postpartum body image: A qualitative study, BMC Pregnancy and Childbirth, 2021. Cette recherche éclaire les difficultés d'acceptation corporelle après l'accouchement et les solutions psychologiques adaptées.

Swann, CA et al., Postpartum sexual health, Best Practice & Research Clinical Obstetrics & Gynaecology, 2022. L'article explore l'impact des changements corporels sur la sexualité et les conseils pratiques pour y faire face.

Clark, K., Body image during pregnancy and postpartum: A review, Journal of Obstetric, Gynecologic & Neonatal Nursing, 2020. Revue traitant des défis et des stratégies de gestion de l’image corporelle avant et après la grossesse.

Ohan, J. L., & Leung, L., The impact of body-image dissatisfaction on postpartum women, Sexologies, 2017. L’étude met en avant les liens directs entre insatisfaction corporelle post-grossesse et difficultés sexuelles.

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