Psychologue – Mme Samanta Widart
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0484 96 18 21
Affronter un passé douloureux est un défi que de nombreux adultes rencontrent au cours de leur vie. Qu’il s’agisse d’événements violents, de séparations douloureuses, de maladies graves ou de deuils, les traumatismes psychiques non résolus impactent durablement le bien-être émotionnel. Pourtant, la plupart des souffrances liées au traumatisme restent invisibles et bien souvent tues, installant une spirale de mal-être persistant. Pourquoi certains traumatismes s’inscrivent-ils si profondément dans la mémoire ? Quelles sont les approches thérapeutiques modernes pour les dépasser ? Comment une psychologue conventionnée INAMI de première ligne comme Mme Samanta Widart accompagne-t-elle ses patients pour retrouver confiance et équilibre ?
Dans cet article, nous vous proposons une immersion approfondie dans l’univers des traumatismes non résolus à l’âge adulte, pour comprendre leurs mécanismes, repérer les signaux qui doivent alerter et découvrir les leviers thérapeutiques qui ont démontré leur efficacité. Grâce à une analyse scientifique rigoureuse, des exemples concrets et des recommandations pratiques, cet article vous guide sur la voie d’une reconstruction durable. Que vous consultiez pour une souffrance ancienne ou suite à un événement récent, il existe aujourd’hui des solutions reconnues qui permettent de faire face, de réparer le lien à soi et aux autres, et d’ouvrir la voie à un avenir apaisé.
Notre but : répondre à toutes vos questions sur la compréhension du traumatisme, le choix d’une approche thérapeutique adaptée et les moyens concrets de retrouver une vie satisfaisante après un choc émotionnel. Car il est possible de se reconstruire, pas à pas, avec un professionnel formé et bienveillant.
Le terme « traumatisme » évoque un vécu douloureux, résultat d’un événement jugé insurmontable ou d’une agression à l’intégrité physique ou psychique de la personne. Chez l’adulte, la définition du traumatisme psychique est large : il peut s’agir d’une agression, d’un accident, de violences conjugales, d’un harcèlement professionnel, mais aussi de souffrances invisibles telles que l’absence d’affection durant l’enfance ou la perte brutale d’un proche. Parfois, le traumatisme n’a rien de spectaculaire mais s’insinue dans le quotidien (microviolences, humiliation durable, stress chronique…).
Le traumatisme non résolu survient lorsque l’événement n’a pas pu être symbolisé, « digéré » psychiquement. L’expérience reste comme figée dans la mémoire, et le cerveau ne parvient pas à reconnaître qu’il s’agit d’un souvenir appartenant au passé : les émotions associées (peur, honte, tristesse, colère, culpabilité…) surgissent alors à nouveau, souvent sans raison apparente, perturbant les réactions et les relations de la personne.
En psychologie clinique adulte, on distingue plusieurs symptômes typiques d’un traumatisme non résolu, parmi lesquels :
Il est essentiel de rappeler que ces symptômes ne sont pas la preuve d’une faiblesse, mais témoignent de la puissance des mécanismes de défense psychiques. Le cerveau, dépassé par l’intensité de la douleur, tente de la mettre à distance, ce qui entraîne paradoxalement son maintien et sa réactivation répétée.
Sur le plan neurobiologique, les recherches récentes montrent que le traumatisme engendre des modifications durables dans le fonctionnement cérébral, notamment au niveau de l’amygdale (centre des émotions), de l’hippocampe (gestion de la mémoire) et du cortex préfrontal (régulation des comportements). Ces altérations expliquent pourquoi les réactions de stress ou les souvenirs douloureux peuvent revenir bien des années après, parfois sans « déclencheur » apparent.
Souvent, les adultes qui consultent pour un traumatisme non résolu n’en ont pas pleinement conscience : ce sont l’entourage, un médecin généraliste ou un psychologue de première ligne qui font le lien entre l’événement passé et les difficultés actuelles. Car le traumatisme agit comme un bruit de fond perpétuel, générant anxiété, perte d’estime de soi, somatisation (douleurs chroniques, troubles digestifs, fatigue…) et comportements d’autodestruction (addictions, automutilation, isolement social…).
Des études menées en Belgique ont ainsi mis en évidence la fréquence élevée de traumatismes psychiques « oubliés » chez les adultes en souffrance psychologique, même sans souvenir précis de l’événement originel.
Parmi les motifs de consultation les plus courants chez un psychologue pour adulte figurent la perte de confiance en soi, les troubles du sommeil, l’anxiété diffuse ou une incapacité à mener à bien des projets, souvent en lien avec un traumatisme passé. Mais la particularité du traumatisme, c’est qu’il isole : la honte, la peur d’être incompris, la sensation de “faiblesse” empêchent d’en parler, ce qui retarde souvent la prise en charge.
Or, de nombreuses recherches scientifiques s’accordent sur ce point : plus un traumatisme psychique est exprimé et travaillé précocement, meilleures sont les chances de récupération et de résilience. À l’inverse, lorsque l’événement reste “barré” dans l’esprit (dissociation, refoulement, déni), il peut entraîner des troubles psychologiques importants sur le long terme, voire une perte de sens généralisée. D’où l’importance de repérer les signaux d’alerte et de consulter sans attendre un professionnel formé.
Il existe plusieurs formes de traumatismes non résolus :
À cela s’ajoutent les « traumatismes secondaires » ou de « compassion », vécus par des proches ou des soignants confrontés à la souffrance d’autrui. Dans tous les cas, le sentiment d’impuissance, la peur d’être jugé ou la rupture de la confiance principale (trahison d’un parent, d’un supérieur, d’un partenaire) aggravent le processus de figement du trauma.
Dans la pratique clinique, comprendre l’origine et la spécificité du traumatisme non résolu permet d’adapter la prise en charge à la personne. C’est pourquoi la première étape du travail thérapeutique avec une psychologue expérimentée consiste à établir un lien de confiance, dans un cadre bienveillant, confidentiel et sécurisant. Mme Samanta Widart, psychologue à Esneux, prend en compte non seulement l’histoire du patient, mais aussi ses ressources, ses croyances sur lui-même et sur le trauma, ainsi que sa capacité à se protéger ou à demander de l’aide.
L’alliance thérapeutique, c’est-à-dire la qualité de la relation patient-thérapeute, est déterminante dans la réussite du processus : il s’agit de restaurer un espace de parole sans jugement, pour que la personne malmenée par son passé retrouve une expérience de sécurité émotionnelle et de soutien. D’où l’attention apportée aux besoins spécifiques de chaque adulte et à sa temporalité : chacun avance à son rythme, selon ses peurs, ses attentes et ce qu’il est prêt à affronter dans l’instant.
La particularité des traumatismes non résolus à l’âge adulte, c’est qu’ils sont souvent méconnus du patient lui-même. Mémoire fragmentée, trous de souvenir, refoulement : tout concourt à faire passer l’événement inaperçu dans la vie courante, alors que ses effets persistent dans l’ombre. Seule une écoute attentive et un dialogue ouvert permettent de lever le voile sur ce qui bloque ou fait souffrir depuis des années.
Face à la complexité du traumatisme non résolu chez l’adulte, la recherche en psychologie clinique s’est fixée un double objectif : comprendre les mécanismes de résilience, et développer des protocoles thérapeutiques efficaces, scientifiquement validés. Parmi les grandes approches, trois méthodes font consensus : la psychothérapie basée sur les émotions et la narration, les techniques de traitement du trauma ciblé (EMDR, TCC) et les outils de relaxation et de gestion du stress. L’important est d’individualiser la prise en charge, car aucun trauma n’est identique, aucune histoire ne se ressemble.
Psychologue – Mme Samanta Widart
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La première étape d’un accompagnement réussi consiste à reconnaître les manifestations du traumatisme : cela passe par un bilan clinique approfondi, ponctué d’entretiens structurés et de questionnaires validés. Mme Samanta Widart, psychologue conventionnée INAMI de première ligne, s’appuie sur ces outils pour discriminer les troubles associés (anxiété, dépression, troubles psychosomatiques, addictions…) et proposer une stratégie thérapeutique adaptée. Cet accompagnement peut s’effectuer en consultation individuelle, mais aussi via des séances de relaxation de groupe – une spécificité appréciée pour favoriser l’ancrage corporel, le soutien mutuel et la prévention du repli sur soi.
Parmi les modèles les plus employés dans l’accompagnement du traumatisme adulte, citons :
Cette pluralité d’outils est une chance : chaque personne peut bénéficier d’une prise en charge sur-mesure, selon la nature du traumatisme, ses attentes et sa personnalité. L’objectif n’est jamais de « forcer » à revivre le passé, mais d’accompagner pas à pas l’intégration du souvenir, pour enfin le reconnaître comme appartenant à l’histoire et non au présent.
Le rôle d’un psychologue conventionné INAMI de première ligne est, dans cette optique, déterminant. Formé à repérer les symptômes psychotraumatiques, il travaille en synergie avec le médecin généraliste, les psychiatres et autres soignants pour garantir une démarche globale, coordonnée, respectueuse du rythme de chacun. En prenant en charge les traumatismes à un stade précoce, il permet d’éviter la chronicisation et la survenue de troubles associés. Grâce au soutien de l’assurance obligatoire, les patients bénéficient en Belgique de tarifs accessibles, favorisant un accès rapide aux soins psychologiques.
Par ailleurs, il est essentiel de rappeler que certains traumatismes sévères peuvent nécessiter une approche multidisciplinaire : en cas de syndrome de stress post-traumatique majeur (SSPT), d’état dissociatif ou de troubles graves de l’humeur, une concertation avec un psychiatre et, parfois, la prescription temporaire de médicaments s’avèrent opportunes.
Au-delà des techniques classiques, des innovations thérapeutiques voient également le jour : hypnose, art-thérapie, yoga-thérapie, exposition corporelle, thérapies sensorielles (olfactothérapie, musicothérapie…). Ces approches plurielles trouvent leur place, selon les besoins, dans un parcours personnalisé, en complément de la psychothérapie de soutien. Mme Widart propose régulièrement des bilans pour ajuster la prise en charge, en y intégrant (si besoin) les ressources locales, des groupes d’entraide, des médiateurs familiaux ou des actions de prévention.
Pour chaque patient, c’est la singularité du parcours qui compte : origines du traumatisme, niveau d’anxiété, stratégies de coping, soutien social, histoire familiale, etc. La priorité est d’offrir un espace de parole et de réparation, sans précipitation ni injonction à guérir « vite ». Avancer sur le chemin de la reconstruction nécessite du temps, de la bienveillance, des retours réguliers et la certitude de ne jamais être seul face à la douleur.
Des recherches menées à Liège ont montré que près de 40 % des adultes en souffrance psychologique ignorent l’origine traumatique de leurs difficultés. La sensibilisation à ces thèmes par les psychologues de première ligne contribue justement à lever les tabous, à reconnaître la légitimité des symptômes et à mobiliser le réseau familial ou professionnel autour d’un objectif commun : sortir du silence, retisser des liens sécurisants et construire un avenir apaisé.
Pour en savoir plus sur les liens entre troubles psychiques et événements de vie, ou sur les modalités de soutien possible, découvrez notre article dédié ici : les menstruations et la santé mentale : pourquoi et quand consulter une psychologue ?
Sortir du traumatisme non résolu, c’est avant tout s’engager dans un processus de transformation, au rythme de chacun. Contrairement aux idées reçues, il n’existe pas de “méthode miracle” ni de durée standard pour aller mieux : chaque chemin de reconstruction est unique. Cette démarche suppose trois grandes étapes, soutenues par un travail thérapeutique patient, ajusté en continu à l’évolution de la personne.
La première étape, indispensable, est celle de la reconnaissance du traumatisme. Cela signifie sortir du silence, nommer la blessure, accepter la réalité de l’événement et l’impact qu’il a eu sur sa vie. C’est souvent la phase la plus difficile car elle confronte la personne à sa vulnérabilité, à la douleur du passé, aux émotions de honte, de colère ou de tristesse tenues à distance parfois depuis des années. Dans ce cadre, la fonction du psychologue est d’offrir un espace de parole inconditionnel, de valider la souffrance vécue et d’éviter tout jugement. Ce travail de verbalisation peut également être facilité par différentes médiations : dessin, écriture, relaxation guidée…
La deuxième étape concerne l’intégration émotionnelle et symbolique du trauma. Il s’agit d’apprendre, avec les outils de la psychothérapie, à tolérer les émotions qui surgissent, à identifier les situations qui réactivent la peur ou la honte, et à apaiser progressivement la mémoire traumatique. Des exercices de respiration, de relaxation profonde, d’ancrage corporel ou de visualisation positive, tels que ceux proposés dans les séances de relaxation de groupe par Mme Widart, sont des alliés précieux pour accompagner ce processus. Ils permettent de retrouver un sentiment de sécurité intérieure, d’expérimenter que la détresse peut s’apaiser, ici et maintenant, dans le corps et dans l’esprit.
Lors de séances individuelles, le thérapeute aide également à repérer les schémas répétitifs de vie, les relations toxiques, les stratégies d’évitement (refus de s’engager, perfectionnisme, tendance à somatiser…), qui témoignent que le trauma n’est pas intégralement “digéré”. L’un des rôles clefs du psychologue de première ligne est alors d’accompagner la personne vers plus d’autonomie : repérer ses ressources internes (résilience, humour, créativité…), construire des micro-projets motivants, renouer avec ses valeurs, s’offrir des récompenses, investir des relations saines.
La troisième étape, souvent la plus longue, vise la (ré)appropriation de sa vie. Être réconcilié avec son histoire ne veut pas dire oublier ou effacer l’événement traumatique : il s’agit au contraire de reconnaître qu’il fait partie de soi, sans qu’il ne détermine plus toute l’existence. Le symptôme cesse alors d’agir comme une “alerte” permanente, et la personne retrouve la capacité de faire des choix, de s’impliquer dans des projets, de nouer de nouvelles relations, d’éprouver du plaisir et d’élargir ses horizons.
En parallèle du suivi thérapeutique, la prévention des rechutes repose sur plusieurs piliers :
La prise en charge des traumatismes n’est pas linéaire : des “rechutes” sont possibles, surtout lors d’événements marquants ou de changements de vie importants (déménagement, séparation, deuil, retraite…). C’est pourquoi le suivi psychologique peut s’inscrire dans la durée, à intervalles plus ou moins réguliers selon les besoins.
Dans certains cas, la thérapie individuelle peut être associée à des séances collectives : relaxation de groupe, ateliers de méditation ou de pleine conscience, groupes de parole sur un thème spécifique (deuil, violences, maladies graves…). Ces espaces partagés permettent à chacun de briser l’isolement, de mesurer qu’il n’est pas seul à traverser cette épreuve, de puiser des ressources dans des témoignages et de s’inspirer du cheminement des autres.
Le parcours de soin s’intègre progressivement dans la vie quotidienne : le souvenir du trauma devient une composante parmi d’autres de l’histoire personnelle, et non plus le point central autour duquel tout gravite. L’estime de soi redevient possible, la confiance en l’avenir s’installe, de nouveaux attachements (amoureux, amicaux, professionnels) deviennent pensables. C’est ce processus de réparation en profondeur qui signe l’efficacité d’une thérapie du trauma : non pas la disparition totale du souvenir, mais la diminution de la souffrance et la reconquête d’une identité résiliente.
Ce chemin vers la résilience, même s’il n’est jamais simple, permet aux personnes ayant traversé un traumatisme de devenir, selon les mots de Boris Cyrulnik, “plus fortes là où elles ont été brisées”. Les études longitudinales montrent que les adultes pris en charge précocement reprennent bien souvent une vie normale (à Liège comme ailleurs), améliorent leur santé physique et mentale, réduisent l’usage de médicaments et retrouvent plaisir, créativité et envie de s’investir dans la société.
Pour conclure, il est important de rappeler qu’aucun traumatisme, si ancien ou douloureux soit-il, n’est une fatalité. Oser consulter, en parler à un proche, franchir la porte d’une psychologue de première ligne comme Samanta Widart, c’est choisir d’agir pour soi, de se donner une chance de vivre enfin pleinement. S’appuyer sur un professionnel formé, adopter des outils concrets et s’autoriser des pauses de ressourcement (séances de relaxation, ateliers collectifs, etc.) sont autant de leviers pour (re)devenir acteur de son existence, même après un passé difficile.
Un traumatisme non résolu se manifeste souvent par des flashbacks, des cauchemars, une anxiété persistante, des évitements ou des difficultés relationnelles. Si ces symptômes perdurent ou apparaissent longtemps après un événement difficile, il est conseillé de consulter un spécialiste.
Un psychologue de première ligne conventionné INAMI offre une prise en charge structurée, adaptée et financée, permettant d’accéder rapidement à des soins spécialisés. C’est la garantie d’un accompagnement bienveillant, soutenu scientifiquement et accessible.
Les séances de relaxation de groupe peuvent être intégrées à tout moment du parcours, que ce soit en complément d’une thérapie individuelle ou pour renforcer le bien-être général. Elles sont particulièrement bénéfiques pour gérer le stress, renforcer la sécurité intérieure et rompre l’isolement.
Il n’est pas nécessaire de tout dévoiler dès le début : la thérapie respecte le rythme de chacun. Ce qui compte, c’est de s’autoriser à exprimer ses ressentis dans un cadre sécurisé, avec un professionnel formé pour accompagner la verbalisation si et quand la personne se sent prête.
Brewin, C. R. (2011). "The Nature and Significance of Memory Disturbance in Posttraumatic Stress Disorder." Annual Review of Clinical Psychology, 7, 203-227.
Résumé : Cet article explique en détail comment les souvenirs traumatiques persistent et influencent durablement le fonctionnement émotionnel des sujets atteints de traumatisme non résolu.
Van der Kolk, B. A. (2014). "The Body Keeps the Score: Brain, Mind, and Body in the Healing of Trauma." Viking.
Résumé : Ce livre de référence offre une synthèse des études sur les traumatismes, leurs effets corporels et propose des solutions thérapeutiques validées, dont EMDR et mindfulness.
Cloitre, M., et al. (2009). "A developmental approach to complex PTSD: Childhood and adult cumulative trauma as predictors of symptom complexity." Journal of Traumatic Stress, 22(5), 399-408.
Résumé : Cette étude identifie la fréquence élevée et la spécificité des traumatismes complexes à l’âge adulte, soulignant l’importance d’interventions psychothérapiques précoces et individualisées.
Ehlers, A., & Clark, D. M. (2000). "A cognitive model of posttraumatic stress disorder." Behaviour Research and Therapy, 38(4), 319-345.
Résumé : Les auteurs détaillent un modèle théorique du PTSD, mettant en avant le rôle central des processus cognitifs et comportementaux dans le maintien des symptômes traumatiques.