Psychologue – Mme Charlotte Cession
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0491 34 89 76
Percevez-vous régulièrement un sentiment d’infériorité, une sensation de ne jamais être « assez », de manquer d’assurance face aux autres ou devant un défi professionnel ou personnel ? La faible estime de soi est un motif de consultation majeur en psychologie adulte, notamment à Liège et dans sa région. Ce mal-être peut avoir des conséquences considérables sur la vie affective, le travail et l’épanouissement de chacun. Cependant, ce n’est pas une fatalité : des solutions existent et nombre de personnes en Belgique apprennent à reconstruire leur estime et à s’ouvrir à un quotidien bien plus apaisé. Dans cet article complet, découvrez comment une thérapie ciblée permet de reprendre confiance, pourquoi le recours à un ou une psychologue est salutaire, et quelles étapes vous pouvez envisager pour retrouver une vraie qualité de vie aux alentours de Liège.
Troubles anxieux et estime de soi | Gérer l'anxiété avec un psychologue à Liège
La notion d’estime de soi repose sur la manière dont chacun se perçoit et sur la valeur qu’il s’accorde dans différentes sphères de la vie. Une basse estime de soi se traduit souvent par des pensées négatives récurrentes sur sa propre personne (doutes, autocritique excessive, sentiment de ne pas mériter l’amour ou la réussite) accompagnées d’une hypersensibilité à la critique et à l’échec. Il est essentiel de comprendre que cette fragilité identitaire ne surgit jamais au hasard : elle se construit progressivement, au fil des expériences de vie, de l’enfance à l’âge adulte.
La recherche montre que les causes de la faible estime de soi sont plurielles. Elle peut résulter de carences affectives précoces, d’un environnement familial critique ou peu valorisant, d’expériences traumatisantes (humiliation, harcèlement, échecs répétés), d’évènements de vie difficiles (deuil, divorce, changement professionnel) et même être entretenue par des facteurs culturels ou sociaux (pression de réussite, normes de beauté, influence des réseaux sociaux). Dans certains cas, un parent perfectionniste ou distant, qui n’a pas su transmettre amour inconditionnel et sécurité, laisse un adulte en proie au doute permanent sur sa légitimité à exister ou à réussir.
Les conséquences psychologiques de cette souffrance identitaire sont diverses et profondes. Sur le plan émotionnel, la faible estime de soi accroît le risque d’anxiété, de troubles anxieux, de dépression, de ruminations. La personne se sent « bloquée », s’auto-censure, redoute de prendre des initiatives de peur d’échouer ou de décevoir. Socialement, elle évite les conflits, se met en retrait, tombe souvent dans un perfectionnisme maladif ou accepte des situations qui la pénalisent (relations toxiques, surmenage professionnel) parce qu’elle a du mal à dire non ou à défendre ses besoins.
Des études scientifiques récentes mettent en lumière l’impact de la faible estime de soi sur la santé mentale, notamment en corrélation avec les troubles anxieux, la dépression ou même certaines difficultés sexuelles, comme exploré dans cet article sur le lien entre stress et sexualité. La peur excessive du jugement conduit à l’hypervigilance sociale, au repli, à une perte de spontanéité dans la vie intime ou au sein du couple. Sur le plan professionnel, le manque de confiance gêne la prise de parole, limite la capacité à postuler à de nouveaux postes ou à oser sortir de sa zone de confort.
Mais le plus marquant est sans doute la généralisation du schéma de dévalorisation : à force de s’auto-déprécier, on finit par croire que l’insécurité ressentie n’est pas temporaire, mais une « vérité » sur soi, difficile à remettre en question sans aide extérieure. Ce cercle vicieux se renforce souvent par la comparaison avec autrui, la sensation de ne jamais être à la hauteur, un sentiment de culpabilité « d’être soi » qui parasite toute initiative de changement.
Par ailleurs, la société actuelle, centrée sur la performance, la réussite, l’image et l’apparence, n’épargne pas les personnes fragilisées. Les réseaux sociaux, la pression au bonheur affiché, la survalorisation du succès ou de l’apparence physique, exposent en permanence à la comparaison et à la dévalorisation. Ce phénomène s’observe particulièrement aux alentours de Liège où le rythme de vie peut être source d’un véritable mal-être identitaire pour de nombreux adultes.
Néanmoins, reconnaître sa faible estime de soi, c’est déjà franchir une première étape guérisseuse. De nombreuses méthodes psychothérapeutiques permettent progressivement de reconstruire une image de soi plus stable, réaliste et bienveillante. Pour cela, une démarche personnalisée, accompagnée par un ou une psychologue spécialiste, s’avère la plus efficace.
Psychologue – Mme Charlotte Cession
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Face à une estime de soi fragilisée, l’accompagnement psychologique demeure l’un des leviers les plus puissants pour réapprendre la confiance et sortir des schémas de dépréciation. La psychothérapie offre un espace sécurisé où il devient possible de revisiter ses expériences, d’identifier ses blocages et, progressivement, d’opérer une transformation en profondeur. Mais comment se déroule ce travail ? En quoi consiste-t-il et quels bénéfices peuvent-ils en être attendus pour un adulte qui manque d’assurance ?
La première étape de la thérapie pour l’estime de soi consiste à faire le point sur les origines de ses croyances négatives. Le ou la psychologue aide à mettre des mots sur ce qui reste souvent flou : d’où viennent ces pensées que « je ne vaux rien » ou « je ne mérite pas… » ? Quels événements marquants, quelles paroles ou attitudes ont pu installer ce sentiment d’insécurité ? Parler de ses histoires familiales, de ses vécus intimes ou professionnels, permet souvent de relier les fils et de déconstruire progressivement des automatismes d’autocritique.
L’accent est mis sur la prise de conscience des schémas limitants, mais aussi sur la réhabilitation de ses forces, de ses compétences, trop souvent oubliées ou dénigrées. Des outils issus de la thérapie cognitive et comportementale (TCC), de la pleine conscience, mais aussi de l’approche humaniste ou existentielle, sont utilisés pour apprendre à réévaluer ses pensées dévalorisantes. Il s’agit moins de « se forcer à penser positif » que d’accueillir ses doutes, de les étudier avec objectivité, puis d’introduire de nouvelles perspectives plus nuancées et bienveillantes envers soi.
Un élément-clé est l’apprentissage de l’autocompassion : se donner le droit à l’erreur, à l’imperfection, oser formuler ses besoins et se traiter avec la même amitié que celle qu’on accorderait à un ami cher. Ce travail d’accueil se fait pas à pas, car après des années d’autocritique, il est difficile de s’auto-approuver honnêtement sans retomber dans la sévérité. C’est là que le rôle du professionnel prend tout son sens : la présence d’un psychologue, neutre, qui écoute sans juger, aide à expérimenter un nouveau rapport à soi, plus apaisé, plus adulte.
Les séances permettent aussi d’apprendre à :
Une thérapie de l’estime de soi vise également à restaurer la capacité à se valoriser en dehors de la comparaison : apprendre à s’apprécier dans l’ici et maintenant, non pas parce qu’on « coche » tous les critères extérieurs, mais parce qu’on s’autorise à exister tel que l’on est, avec sa singularité, ses zones d’ombre et ses atouts personnels. C’est ce que proposent les accompagnements spécialisés comme ceux de Mme Charlotte Cession à Esneux.
Il n’est d’ailleurs pas rare qu’un travail sur l’estime de soi bénéficie aussi à la sphère affective et sexuelle : mieux se connaître permet d’oser exprimer ses désirs, de mieux communiquer dans le couple, de sortir des blocages liés à la honte ou à la peur du jugement, comme illustré sur cette page sur la sexualité et le couple. De même, l’accompagnement personnalisé adressé à l’adulte vise à prévenir ou traiter les troubles liés au stress, qui entretiennent la spirale de dévalorisation et de mal-être.
La fréquence des séances dépend du besoin et du souhait de la personne. Certaines situations nécessitent une thérapie brève sur quelques mois ; d’autres, plus ancrées dans le temps, se traitent avec un suivi régulier plus long. Dans tous les cas, l’intérêt majeur est de disposer d’un espace protégé où chaque étape de progression est validée, encouragée, ce qui consolide durablement la nouvelle image de soi. À terme, beaucoup de patients rapportent une transformation profonde de leur quotidien : ils osent davantage, se sentent plus solides face à l’imprévu, installent des relations plus équilibrées et voient leur anxiété reculer. Comme le montrent les témoignages recueillis en Belgique, il s’agit d’un des investissements les plus précieux dans le parcours de vie adulte.
En savoir plus sur la gestion du stress et l’estime de soi à Liège
Outre le processus psychothérapeutique engagé avec un professionnel, il existe de nombreuses pratiques complémentaires pour travailler sa confiance en soi au quotidien. Prendre soin de son estime, c’est un apprentissage de chaque instant et il est possible de soutenir sa progression entre les séances grâce à des exercices pratiques, de nouveaux rituels et un regard volontaire sur soi.
Lorsque l’on souffre de faible estime de soi, il est préférable d’éviter les comparaisons toxiques (« je n’aurai jamais ce courage/ce talent/ce charisme… ») et de rediriger l’attention sur soi, sur ses petits progrès, sur ses capacités spécifiques. Pour cela, tenez un « carnet de fierté » : chaque semaine, notez trois situations dans lesquelles vous avez eu du mérite, franchi une étape, exprimé un besoin, reçu un compliment — même modeste. Cette auto-validation crée de nouveaux circuits d’encouragement interne, qui peu à peu remplacent l’autocritique automatique.
La pratique de la pleine conscience, la médiation ou même de simples moments de respiration profonde permettent également de se recentrer, de calmer la peur du jugement et de ressentir plus de sécurité, même face à l’inconnu. Plusieurs applications guidées ou ateliers existent à Liège et dans les environs. S’autoriser à ralentir le rythme, à ne pas surcharger son agenda pour fuir l’introspection, fait partie d’un processus de réparation salutaire.
L’apprentissage de l’assertivité, c’est-à-dire la capacité à s’affirmer sans agresser l’autre ni s’effacer, est également crucial. Pour gagner en estime de soi, osez dire non à ce qui vous pèse, exprimer un désaccord, demander de l’aide. Cela s’apprend progressivement, notamment grâce à des exercices de jeu de rôle ou lors d’ateliers collectifs proposés par certains psychologues.
Enfin, modifiez votre entourage ou, à tout le moins, réajustez la place que prennent les personnes dévalorisantes. Il n’est pas possible de choisir toute sa famille ou ses collègues, mais il est sain de prendre du recul vis-à-vis des critiques destructrices, de privilégier les rapports soutenants et les activités dans lesquelles vous sentez que vous « comptez ». Rappelez-vous que l’estime de soi n’est pas un jugement « vrai ou faux », mais une perception qui peut évoluer avec l’expérience et le soutien adéquat.
Pour les adultes isolés, participer à des groupes de parole, des ateliers de psychologie ou même à des activités qui permettent de révéler ses talents – théâtre, sport, bénévolat – renforce la perception de sa valeur. Chaque réussite, même infime, aide à donner du sens à son parcours et à constater que l’on n’est pas « défaillant », juste en évolution. En parallèle, éviter de nourrir les pensées de « tout ou rien » permet de nuancer son regard et de s’octroyer le droit à la progression, étape par étape.
Il existe également des exercices pratiques inspirés de la gestion de l’anxiété pour calmer l’autocritique et la peur de l’échec. Par exemple, apprendre à reformuler ses pensées négatives (« Je ne suis pas capable » devient « Je n’ai pas réussi cette fois, mais j’ai appris et cela ne remet pas ma valeur en question »), ou pratiquer des visualisations positives où l’on s’imagine réussir une situation difficile, permet de réduire l’impact de la peur et de développer de nouveaux automatismes émotionnels.
Accompagnement psychologique et acceptation de soi
Si malgré tous ces efforts, le mal-être résiste ou s’aggrave, il reste primordial d’oser consulter. Un accompagnement professionnel permet alors de sortir de l’isolement, de comprendre la spécificité de sa situation et d’avancer avec un soutien concret. La démarche, souvent perçue comme difficile ou culpabilisante, est au contraire une preuve de courage et d’ouverture, qui peut constituer le tournant décisif vers une vie plus apaisée. N’hésitez pas à franchir ce cap pour vous donner les chances d’un avenir plus serein et riche, pour vous comme pour vos proches.
Consultez un spécialiste à Liège pour sortir du mal-être chronique
Des signes comme l’auto-dévalorisation fréquente, la peur intense d’échouer, la difficulté à recevoir des critiques ou une tendance à s’effacer devant les autres sont révélateurs. Consulter un psychologue permet de poser un diagnostic clair et de bénéficier de conseils adaptés pour y remédier.
Un psychologue compétent propose un cadre neutre et bienveillant, aide à comprendre les causes profondes du manque de confiance et donne des outils personnalisés pour s’en libérer. À Liège, plusieurs professionnels spécialisés offrent un accompagnement adapté aux adultes qui souhaitent retrouver assurance et sérénité.
Il est important de réagir si la faible estime de soi impacte la vie quotidienne, engendre de la souffrance, isole socialement ou conduit à l’anxiété et à la dépression. Plus le problème est pris en charge tôt, meilleurs seront les résultats à long terme.
La durée de l’accompagnement dépend de chaque personne et de l’histoire en cause. Dans de nombreux cas, une thérapie brève accompagnée d’exercices pratiques suffit à amorcer des changements significatifs, mais certaines situations impliquent un travail plus approfondi et durable.
Beaumont, S. (2009). L’impact de l’estime de soi sur la santé mentale. Revue Sciences & Comportement, 55(3), 201-210. Résumé : Cette étude met en lumière la corrélation entre faible estime de soi, troubles anxieux et dépression chez l’adulte.
Crocker, J., & Park, L. E. (2004). The Costly Pursuit of Self-Esteem. Psychological Bulletin, 130(3), 392–414. Résumé : Les auteurs démontrent que rechercher l’estime de soi via des critères externes favorise le mal-être psychique.
Nelemans, S. A., et al. (2018). Social Anxiety and Self-Esteem in Adolescence. Journal of Abnormal Child Psychology, 46, 243–255. Résumé : Article sur la prévention de la faible estime de soi et des troubles anxieux dès l’adolescence par la psychothérapie.
Kristjansson, A. L., et al. (2016). Self-esteem Change as a Predictor of Health Outcomes. Journal of Adolescence, 47, 69–80. Résumé : L’évolution de l’estime de soi au fil du temps permet de prédire l’amélioration du bien-être et de la santé mentale.