Psychologie Liège CessionPsychologue – Mme Charlotte Cession
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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Perdre un être cher. Trois mots qui semblent anodins. Pourtant, lorsque le deuil entre dans une vie, tout bascule. Le temps se fige, les émotions déferlent comme un raz-de-marée. La tristesse, la colère, le manque, parfois même la culpabilité. On ne “fait pas” son deuil : on le vit, on l’endure, on le traverse à sa façon. Un tel chemin peut paraître interminable, solitaire, imprévisible. Mais il existe des repères, des mains tendues, et des outils psychologiques pour s’en sortir. Cet article vous accompagne, étape par étape, sur ce chemin tortueux qu’est le deuil, avec bienveillance, réalisme et espoir.
Pourquoi tant de personnes “tiennent le coup” en façade, mais s’effondrent dès qu’elles rentrent chez elles ? Est-ce normal de rester bloqué(e) dans la colère, ou de ne pas arriver à pleurer ? À quel moment la thérapie devient-elle nécessaire ? Loin des recettes magiques, explorons ensemble ce processus d’une importance capitale dans la psychologie adulte. Car derrière chaque deuil, une histoire unique cherche à être écrite – et il est possible d’en sortir grandi. Vous n’êtes pas seul.
Psychologue – Mme Charlotte Cession
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Le deuil, ce mot qu’on chuchote, qu’on contourne, qu’on tente d’éviter, est une réaction normale après une perte significative. Il s’agit du processus psychique qui permet à une personne d’accepter la réalité de la perte et de réorganiser sa vie en conséquence. La mort d’un proche, la maladie, le divorce, même la perte d’un emploi ou d’un rêve font parfois naître un deuil. Mais pourquoi ce chagrin est-il, parfois, si envahissant ?
D’abord, il déracine. La vie quotidienne perd ses couleurs. Pour beaucoup, l’absence ressemble à un trou noir au cœur. Selon une étude, 7 adultes sur 10 ressentent encore, un an après la perte, une douleur vive en pensant au disparu. En Belgique, près de 30 % des consultations chez les psychologues adultes seraient liées directement ou indirectement à des situations de deuil (source : statistiques de l’AViQ, 2022). Le nombre, en soi, invite à l’humilité.
Le deuil est une expérience universelle, mais chacun la vit différemment. Certains pleurent beaucoup, d’autres ne versent pas une larme, par pudeur, par blocage ou par fierté. L’important est que chaque façon d’“être en deuil” est légitime. Cela peut vous surprendre, mais il arrive qu’on ressente de la joie, ou du soulagement, sans pour autant “mal faire” son deuil. C’est normal.
Mais pourquoi est-ce si compliqué ?
Parce que derrière chaque disparition, il y a un attachement. Un amour, une habitude, un projet. En psychologie, on estime qu’un deuil n’a peut-être pas tant de rapport avec la personne perdue, qu’avec la relation qui nous reliait à elle. Quand cette “corde” est coupée, c’est tout notre équilibre qui vacille.
Accompagner un deuil ne consiste donc pas à “oublier” ou à “passer à autre chose”. C’est plutôt retrouver un sens, redonner une place à l’absent dans notre histoire. C’est comme marcher dans un sentier de montagne : il y a des virages, des brouillards inattendus, parfois des haltes pour souffler. La douleur n’est pas linéaire. Vous pouvez aller mieux trois semaines, puis sombrer à nouveau. Aucun GPS, mais quelques balises. C’est là qu’intervient la thérapie pour traverser un deuil.
À Liège, de nombreuses familles ont confié vivre “comme dans du coton” après la perte d’un proche. Rien n’a plus la même saveur. Tout devient fade. La mémoire du disparu fait mal, mais son absence fait encore plus mal. Vous vous reconnaissez ? Ne portez pas cela tout(e) seul(e). Les rituels, le temps et parfois l’aide d’un psychologue peuvent jouer un rôle clé pour sortir, petit à petit, de l’ombre.
Enfin, il ne faut pas oublier qu’au-delà de la tristesse, la culpabilité est parfois omniprésente. “J’aurais dû passer plus de temps avec elle.” “Si j’avais vu les signes, il serait encore là.” “Je n’aurais jamais dû m’énerver ce jour-là.” Les regrets. Ils sont humains, mais paralysants. Un psychologue saura écouter sans juger, pour aider à déposer ce fardeau.
On parle souvent des “cinq phases du deuil”, popularisées par la psychiatre Elisabeth Kübler-Ross, et reprises dans diverses sources scientifiques. Ces étapes sont connues (déni – colère – marchandage – dépression – acceptation), mais dans la réalité, elles ne sont pas obligatoirement linéaires. Comme dans une montagne russe émotionnelle, on oscille, on revient en arrière, on saute parfois une phase. L’important n’est pas de cocher chaque case, mais de reconnaître ce qu’on vit, ici et maintenant.
1. Le déni. Au début, le cerveau fait comme s’il n’y avait rien eu. Certains vont jusqu’à “oublier” la perte en continuant d’envoyer des messages ou en mettant la table pour deux. Ce mécanisme de protection empêche la douleur d’être insupportable d’emblée. Est-ce que cela signifie que l’on refuse la réalité ? Oui, mais provisoirement. Ce n’est pas de la faiblesse. C’est une stratégie psychique de survie.
2. La colère. Vient ensuite la révolte. Pourquoi lui ? Pourquoi maintenant ? Parfois, la colère se retourne contre soi, ou contre le corps médical, la vie, Dieu, les proches qui “ne comprennent pas”. Cette émotion, si elle est entendue et non refoulée, peut devenir une force : elle mobilise. Il arrive qu’elle explose à un moment anodin (une bouteille qui, tout à coup, vole à travers la cuisine...). C’est normal. Elle indique que le processus avance, même si c’est douloureux.
3. Le marchandage. Cette phase, plus subtile, ressemble à une négociation intérieure : “Si je fais tout bien, peut-être qu’il reviendra...” “Si je change, la vie me le rendra autrement...” Ce sont autant de tentatives de contrôler l’incontrôlable, un dernier sursaut d’espoir face à l’irréversible. S’accrocher à cet espoir est souvent source de souffrance, mais cela fait partie de la traversée.
4. La dépression. Le mot fait peur, mais ici il signifie l’effondrement, l’acceptation que la perte est réelle. “À quoi bon ?” “Je n’ai plus la force.” Fatigue, insomnie, irritabilité. Ou, à l’inverse, apathie totale. Cette étape, souvent la plus longue et la plus difficile, n’est pas une maladie. Elle témoigne que le processus est en route. Mais attention : si la tristesse devient chronique, envahissante, et ne laisse plus la place à aucun plaisir, il est essentiel de demander de l’aide.
5. L’acceptation. Ce n’est pas de l’oubli, ni la fin du chagrin. C’est pouvoir vivre à nouveau, sans culpabilité, sans être englouti(e) par l’absence. Reprendre des projets, sourire à nouveau sans avoir “honte”. L’acceptation n’interdit pas les larmes, ni les souvenirs. Elle signifie que la souffrance ne contrôle plus votre vie. C’est la petite lumière qui revient, fragile d’abord, plus vive ensuite.
Dans les faits, ces phases se bousculent, se mélangent, se répètent. Il arrive même qu’on ait l’impression d’aller bien, puis d’être à nouveau submergé(e) des mois plus tard, à une date anniversaire ou lors d’un événement marquant. Ce n’est pas une “rechute”. C’est le signe que le travail se poursuit à son rythme. Parfois, le corps parle aussi : troubles du sommeil, douleurs diffuses, migraines... Autant de signaux qui montrent que le deuil se vit “aussi” physiquement.
Et si l’on se sent bloqué? Parfois, la boucle paraît sans fin. Certains ne trouvent plus de sens à rien, s’enferment dans le silence ou se coupent des autres. Dans ces cas, il est primordial de ne pas s’isoler davantage. Un psychologue peut, avec discrétion et respect, accompagner vers une nouvelle étape. Il ne s’agit pas de “faire parler”, mais d’offrir un espace pour mettre des mots sur ce qui fait mal. Pour certains, un accompagnement de quelques séances suffit à relancer la machine. Pour d’autres, il faudra plus de temps.
Quoi qu’il en soit, sachez que la souffrance s’atténue. Le premier anniversaire, les fêtes, seront difficiles. Mais petit à petit, ce qui paraissait impossible devient juste possible. La force revient. Comme une plante en hiver, il faut de la patience. La lumière revient.
À ce stade, certains repèrent des signes très concrets : marcher plus vite dans la rue, avoir envie de lire ou d’écouter de la musique, refaire un plat que l’on partageait avec la personne disparue. Ce ne sont pas de “petites choses”. Ce sont les preuves vivantes que la vie reprend son droit, sans effacer le passé.
Quand consulter une psychologue à Liège ?
Beaucoup hésitent. La thérapie, vraiment ? N’irais-je pas “encore plus mal” en allant raconter tout ça ? C’est une noire idée reçue. En réalité, consulter un psychologue lors d’un deuil n’accélère pas la souffrance : cela l’apaise, l’organise, lui autorise une place. C’est comme accepter d’alléger un sac de pierres trop lourd à porter seul. Vous voyez ?
Dans la pratique, une thérapie du deuil s’adapte à votre rythme. Pas de pression. On commence par venir déposer ce qui pèse, la boule dans la gorge, les souvenirs, même ce qui paraît “bête” (reprendre sa place à table, raconter le passé, pleurer devant un inconnu...). Le psychologue n’efface pas la douleur. Mais il la soutient et l’accueille, sans juger. Beaucoup réalisent soudain qu’ils ne sont pas “fous”, ni faibles : juste... humains.
La parole, en soi, a un pouvoir. Mettre des mots sur le manque, raconter les dernières heures, évoquer les regrets… Tout cela permet d’apprivoiser la réalité. Il arrive d’entendre en consultation : “Avant, j’avais l’impression que plus je parlais, moins j’allais bien. Mais maintenant, c’est le contraire.” La thérapie offre aussi, souvent, un repère dans le chaos des émotions : décider de “venir” tel jour, à telle heure, donne une brève structure là où tout s’est effondré.
Outre l’écoute, la psychothérapie propose parfois des outils concrets : des rituels de paroles, l’écriture, le dessin, voire des objets symboliques (une bougie, une lettre, une photo à déposer dans un panier…). Ce n’est pas enfantin. C’est puissant. Un adulte a parfois autant besoin de symboles qu’un enfant : chaque geste, chaque mot déposé en séance, aide à ce que l’absent trouve sa juste place – non plus partout, ni nulle part, mais là où la mémoire reste bénéfique.
Vous pensez “encore” à la personne disparue, même des années après ? Cela ne signifie pas que vous êtes faible ou “malade”. La psychologie actuelle ne parle plus de “faire son deuil” au sens d’oublier, mais de réintégrer l’absent dans une nouvelle façon de vivre. Pour certains, cela prendra des années, même si la souffrance aiguë disparaît.
Dans les situations où le deuil se complique (par exemple, dans le cas d’une mort brutale, d’un suicide ou si la relation était conflictuelle), la thérapie s’avère encore plus précieuse. Elle évite les impasses et les boucles de rumination. À cet égard, la thérapie systémique de deuil permet également de travailler en famille pour restaurer l’équilibre du groupe, notamment pour les familles endeuillées.
Autre avantage : quand le deuil surgit aux alentours de Liège, certaines personnes peinent à trouver un cercle de soutien ou des rituels collectifs (plus présents dans d’autres cultures). La consultation avec un psychologue recrée, à sa façon, un espace-temps où le chagrin peut s’exprimer, trouver des mots, devenir moins solitaire. Certains racontent que “voir un pro, c'est comme prendre une pause sur le chemin escarpé : on souffle, on se ressource, on repart plus léger”.
Enfin, la thérapie cible aussi les symptômes secondaires : troubles anxieux, isolement, insomnie, voire dépression. Plusieurs études l’ont montré : un accompagnement psychologique adéquat réduit nettement le risque de chronicisation du mal-être après une perte (source : Stroebe, Schut & Boerner, 2017). Autrement dit : consulter, ce n’est pas un aveu d’échec, mais un acte de soin et de prévention.
Savoir demander de l’aide, c’est parfois le premier geste du “retour à la vie” après un deuil. N’attendez pas d’être au bout du rouleau. Et si vous hésitez, posez-vous une seule question : “Ai-je droit, moi aussi, au réconfort que j’offrirais à mon meilleur ami s’il perdait un proche ?” La réponse, souvent, se trouve là.
Pour mieux comprendre comment la thérapie peut aider dans des contextes psychologiques voisins, n’hésitez pas à lire notre article sur gérer le stress chronique chez l'adulte.
Parler, c’est bien : mais comment agit concrètement la thérapie ? Comment un psychologue vous aide-t-il à traverser le deuil ? Plusieurs approches s’emboîtent, pour ne laisser personne sur le bord du chemin – car le deuil n’est ni rapide, ni linéaire, ni propre. On progresse, on recule parfois. Ce qui compte, c’est l’accompagnement.
Le plus souvent, une prise en charge du deuil s’organise en séances individuelles. L’objectif n’est jamais d’effacer la tristesse, mais de la transformer, petit à petit, en quelque chose de vivable. Première étape : identifier là où le processus se bloque : l’impossibilité de pleurer, un sentiment d’abandon total, une colère persistante ou encore de l’anxiété. Cela permet au thérapeute d’adapter son accompagnement.
Des validations simples (“Ce que vous ressentez n’est pas anormal”), des rituels symboliques, un travail sur les regrets non dits – tout est permis chez un psychologue. Vous pouvez, par exemple, écrire une lettre à la personne disparue, la lire en consultation, la brûler ou l’enterrer si cela fait sens pour vous. Certains psychologues suggèrent de déposer une photo en séance puis de raconter, spontanément, les souvenirs qui vous manquent le plus.
Impossible d’envisager un accompagnement universel : chaque deuil, chaque famille, chaque histoire est unique. Cependant, le fil rouge demeure : redonner du sens à l’existence après la perte, réapprendre à vivre avec l’absence.
Dans certains cas, le psychologue propose des outils d’auto-compassion ou des exercices de pleine conscience. Objectif : apaiser la culpabilité, réapprivoiser la solitude. Avec le temps, cela redonne confiance en soi. Vos larmes ne sont plus perçues comme un ennemi, mais comme un hommage vivant.
Concrètement, on note un véritable mieux-être après 4 à 8 séances, selon une étude de Neimeyer & Harris (2011). La fréquence est variable : parfois, un accompagnement toutes les deux semaines suffit, parfois il faut intensifier au début. La relation de confiance avec le psychologue, la régularité, et le sentiment de ne pas être jugé sont déterminants.
Les retours sont éloquents : “Je n’aurais jamais cru que parler change autant la douleur.” “Avec Mme Cession, j’ai pu dire des choses impossibles ailleurs. Ça libère.”
Le deuil laisse souvent des traces physiques : maux de dos, troubles digestifs, picotements, palpitations. Parfois, le corps parle avant que les mots n’arrivent. N’hésitez pas à l’aborder en consultation : l’approche centrée sur la personne tient compte de tous ces signaux. À la maison, prendre soin de votre santé (alimentation, repos…) aide aussi. Il n’existe pas de recette magique. Mais il existe des mains tendues, des regards bienveillants. Saisissez-les.
La famille, les amis, certains groupes de parole sont un soutien précieux. La Ville de Liège propose régulièrement des ateliers sur le deuil pour les adultes. Renseignez-vous auprès de votre mutuelle : certaines offrent des remboursements partiels de consultations psychologiques ou proposent des programmes de soutien. Cela vaut la peine de vérifier. N’ayez pas peur d’en parler à votre médecin généraliste : il saura vous orienter.
Prenez aussi un moment pour lire, si la thématique vous touche, notre article sur les troubles anxieux après un deuil.
Certains choisissent également, dans des cas de deuils complexes, d’intégrer la thérapie systémique familiale, notamment pour accompagner les familles endeuillées après une perte.
À travers tous ces outils, le message reste le même : il est possible de traverser la douleur, de la transformer, de rendre hommage à l’absent en vivant à nouveau. C’est d’autant plus précieux que beaucoup ne savent pas comment “parler de la mort”. Le psychologue crée un espace où la parole est possible, où rien n’est maladroit, interdit ou ridicule.
En conclusion, garder à l’esprit que le plus dur, dans un deuil, ce n’est pas de rester fidèle au passé. C’est d’oser aller vers un futur différent, sans sentiment de trahison. La thérapie vous y aide, à votre rythme. Comme on dit : “Il n’y a pas de pont pour traverser le deuil. Mais il existe des personnes qui peuvent construire, avec vous, un chemin de pierres, une à une.”
Pour vous, pour vos proches, pour que la souffrance laisse enfin entrer la lumière. Osez demander de l’aide.
Comment savoir si mon deuil nécessite une thérapie ?
Si votre souffrance ne diminue pas avec le temps, que la tristesse ou la colère deviennent envahissantes au quotidien, ou que vous vous sentez bloqué(e), une thérapie peut vous aider. Même sans “normalité” du chagrin, des signes comme l’isolement ou l’épuisement durable prouvent que vous méritez un soutien professionnel.
Pourquoi le travail de deuil prend-il parfois si longtemps ?
Le deuil s’adapte à l’histoire de chaque personne et ses liens affectifs, ce qui rend sa durée très variable. Certaines pertes créent des blessures profondes qui mettent du temps à cicatriser, surtout lorsqu’il s’agit d’un décès violent ou inattendu.
Quand faut-il consulter un psychologue pour traverser le deuil ?
Il est recommandé de consulter un psychologue lorsque la douleur vous empêche de vivre normalement, de reprendre vos activités ou de retrouver un minimum de plaisir au quotidien. N’attendez pas d’être totalement submergé(e) : un accompagnement précoce offre souvent un soulagement plus rapide.
Faut-il parler du deuil en famille ou préserver le silence ?
Partager son ressenti en famille aide souvent chacun à avancer dans sa propre traversée du deuil. Parler du disparu, même de façon maladroite, contribue au processus et évite que le silence ne s’installe comme une nouvelle source de souffrance.
Stroebe, M., Schut, H., & Boerner, K. (2017). Cautioning health-care professionals: Bereaved persons are misguided through the stages of grief. OMEGA-Journal of Death and Dying, 74(4), 455-473.
Cet article met en garde sur l’approche rigide des étapes de deuil et souligne la nécessité d’une prise en charge individualisée.
Neimeyer, R.A. & Harris, D.L. (2011). Bereavement and Complicated Grief. Psychotherapy, 48(3), 286-297.
Revue approfondie sur la spécificité des deuils compliqués, l’efficacité de la thérapie personnalisée et l’importance du travail de sens.
Wortman, C.B., & Silver, R.C. (2001). The myths of coping with loss. Journal of Consulting and Clinical Psychology, 69(3), 349-357.
Étude contestée sur les mythes entourant le deuil et questionnant la pertinence d’attendre une “normalisation” rapide du chagrin.
Shear, M.K., et al. (2011). Complicated grief and related bereavement issues for DSM-5. Depression and Anxiety, 28(2), 103-117.
L’article analyse la notion de deuil compliqué et les critères diagnostics du DSM, et propose des recommandations pour la prise en charge psychothérapeutique.
Psychologue – Mme Charlotte Cession
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