Psychologue – Mme Samanta Widart
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0484 96 18 21
Parler sans s’entendre. S’écouter sans se comprendre. Au fil du temps, combien de couples tombent dans ce piège sournois de la mauvaise communication ? Les disputes s’enchaînent, les silences s’allongent, le lien se fragilise jusqu’à tendre comme une corde prête à casser. Pourtant, souvent, il suffirait d’un véritable pas l’un vers l’autre, d’un espace où la parole circule enfin sans crainte… Ce pas, la thérapie de couple peut l’initier. Mais pour que ça marche, encore faut-il comprendre pourquoi on s’éloigne, et comment retrouver une vraie qualité d’échange.
La psychologie clinique offre aujourd’hui des méthodes concrètes, validées scientifiquement, pour dépasser les conflits et renouer un vrai dialogue. Oui, c’est possible, même après plusieurs années de frustration. Vous voulez mieux comprendre d’où viennent les blocages ? Savoir comment une psychologue conventionnée peut vous aider, à Liège ou ailleurs en Belgique ? Ce guide approfondi – 4500 mots pour ne rien oublier – ouvre trois portes : la compréhension du conflit, l’art de l’écoute et les rituels de reconstruction.
Cet article s’adresse à vous. Vous, qui souhaitez éviter de consulter trop tard, ou qui cherchez à donner à votre couple une chance réelle de repartir sur de bonnes bases. Car améliorer la communication, ce n’est pas juste parler plus – c’est apprendre à vraiment se retrouver.
D’abord, une évidence. Personne ne vous enseigne à “bien” communiquer en amoureux. Pas à l’école, pas en famille. Souvent, on fait juste comme on peut, avec nos vieux réflexes. Pourtant, dans le cabinet d’une psychologue adulte comme Mme Samanta Widart, ce sont souvent ces mêmes incompréhensions qui font venir les couples. Ils débarquent le cœur lourd : “On ne se parle plus. On tourne en rond. C’est toujours le même scénario.”
Pourquoi est-ce si fréquent ? D’un point de vue de psychologie clinique, trois leviers principaux expliquent le blocage :
Premier levier : l’histoire personnelle de chacun. Nous portons tous un sac à dos invisible : celui de notre enfance, de nos anciennes relations, de nos blessures non réglées. Bref, tout ce qui influence notre façon (ou notre difficulté) à dire ce qu’on ressent.
Imaginez… Votre partenaire a grandi dans une famille où l’on ne parlait jamais des émotions. Pour lui, s’ouvrir équivaut à prendre un risque énorme. À l’inverse, vous avez l’habitude de tout mettre sur la table, sans filtre. Résultat : malentendus, frustration, colère. Le couple devient alors le théâtre d’anciens scénarios. La communication s’effrite, tout simplement parce que les bases étaient faussées.
Deuxième levier : la fatigue accumulée. Le stress du boulot, la charge mentale, la parentalité pour certains… Tout s’accumule. Et quand on est épuisé, la patience s’amenuise. “Tu passes plus de temps sur ton téléphone qu’avec moi.” “Tu n’écoutes jamais vraiment ce que je dis.” La moindre remarque peut faire l’effet d’une étincelle sur une poudrière. Parfois, le simple fait de voir la tête de l’autre le soir peut (presque) agacer. Drôle, mais vrai.
Troisième levier : les mauvaises habitudes de dialogue. Se couper la parole, généraliser (“Tu fais toujours ça”), chercher à avoir raison, ou au contraire éviter toute discussion sérieuse. Ces réflexes, insidieusement, abîment la confiance. Au fil du temps, le couple passe du dialogue au monologue interne. Chacun campe sur ses positions, la solitude s’installe, même à deux.
Que faire alors ? Reconnaître déjà que la responsabilité est partagée. Personne n’a “tort” ou “raison” en permanence. Mais surtout, il existe des outils thérapeutiques puissants pour débloquer la situation, peu importe les années passées à tourner en rond.
En Belgique, la thérapie de couple intégrant la psychologie clinique est de plus en plus sollicitée en première ligne. Pourquoi ? Parce qu’on a compris que les dégâts d’une mauvaise communication ne sont pas que “psychologiques” : ils pèsent aussi sur la santé, le sommeil, l’énergie, voire sur notre capacité à être parent.
La question n’est donc plus “Est-on fait pour être ensemble ?” mais “Comment apprendre, ensemble, à mieux communiquer ?”
Vous vous demandez sûrement ce que fait concrètement une psychologue conventionnée INAMI de première ligne comme Mme Samanta Widart quand un couple dépose sa demande d’aide. À première vue, on s’imagine peut-être le cliché du “canapé” et des grands silences pesants… Mais la réalité en 2024, aux alentours de Liège comme ailleurs, est tout autre.
Première étape : cerner votre réalité. Ici, pas de recette miracle ou de jugement. On part toujours de ce que vous vivez, au présent, en couple. Quels sont les mots qui reviennent ? Quelles disputes reviennent en boucle ? Est-ce le dialogue qui manque ou l’écoute qui fait défaut ? En séance, on décortique les situations concrètes. On cherche les noeuds, pas pour accuser, mais pour comprendre ce qui coince.
Exemple vécu : un couple trentenaire, ensemble depuis 8 ans. “On ne se dispute même plus. On vit juste côte à côte, chacun dans son monde.” Leur demande ? Retrouver le sentiment d’être une équipe. Ici, Mme Widart observe la façon dont chacun s’exprime. Elle note les mimiques, l’énergie, les silences, les regards échangés. Car dans le langage non verbal se cachent parfois plus de “non-dits” que dans les longs discours.
Ensuite, la psychologue propose des exercices pour activer la communication, comme :
Petite anecdote : dans de nombreux cas, les couples qui franchissent le pas de la thérapie de couple se rendent vite compte qu’ils n’avaient jamais vraiment “entendu” leur partenaire. Un simple exercice de reformulation peut déjà créer une première secousse constructive. On réalise à quel point on projette ses propres peurs et attentes dans le discours de l’autre.
Autre atout précieux : Mme Widart, à Esneux mais aussi à Liège ou ailleurs en Belgique, propose en parallèle des séances de relaxation de groupe. Pourquoi cette approche supplémentaire ? Parce que beaucoup de tensions au sein du couple sont avant tout dues au stress individuel. Apprendre à se détendre ensemble, mais aussi chacun de son côté, facilite l’ouverture et l’accueil de la parole. Les patients le disent eux-mêmes : une séance de relaxation de groupe, c’est comme appuyer sur “pause” dans la tempête du quotidien. On ralentit, on retrouve le plaisir d’être là, ensemble. Et cela, ça change tout.
Un dernier point : l’accès facilité aux soins. En tant que psychologue conventionnée INAMI de première ligne, Mme Widart permet à beaucoup de couples d’entamer une démarche thérapeutique à moindre coût. Un atout quand on sait que le prix reste souvent un frein majeur, notamment pour les jeunes couples ou les familles.
Vous trouverez plus d’informations sur les séances, la prise de rendez-vous et les horaires, en consultant la page officielle de Samanta Widart, psychologue à Esneux.
Psychologue – Mme Samanta Widart
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0484 96 18 21
Entrons dans le vif du sujet. Communiquer en couple… ça semble évident, pourtant tant de couples, même ceux qui s’aiment, “n’y arrivent pas”. Pourquoi ?
Parce qu’on tombe tous dans des pièges classiques. En psychologie clinique, ces « pièges » sont connus et documentés. Et vous allez sûrement vous retrouver dans un ou deux exemples. Peut-être trois. Voici les principaux :
Peu de phrases abîment autant la relation. “Tu n’as jamais le temps pour nous.” “Tu oublies encore de rentrer les poubelles.” Ces reproches, à répétition, sont usants. Ils transforment votre foyer en tribunal. Chacun se braque, se défend, se retire. On en arrive à ne plus rien oser partager, de peur de mal faire.
La clé ? Remplacer le reproche par le partage d’émotions. Plutôt que “Tu n’aides jamais”, essayez : “Je me sens seule (ou débordée) quand les tâches s’accumulent. J’aurais besoin que tu sois plus présent à ce moment-là.” La communication non violente, plébiscitée dans la littérature scientifique, offre à ce sujet des outils très concrets qui transforment la discussion en recherche de solutions, et non en ring improvisé.
Envie d’approfondir le sujet des émotions en thérapie ? Lisez cet article : Les menstruations et la santé mentale, où Samanta Widart décortique l’impact du ressenti sur les relations adultes, pas seulement en période de crise.
Deuxième piège courant : celle du silence. Où “je me tais pour éviter d’envenimer”, sauf que le non-dit nourrit la rancoeur. Un couple, c’est comme une maison. Si vous n’aérez jamais, ça finit par moisir.
Dans ce genre de cas, la thérapie de couple offre un cadre sécurisé. Parfois, il suffira d’une première séance, menée avec finesse, pour désamorcer une année entière de malaise. S’exprimer, ça ne veut pas dire tout déballer n’importe comment. On parle avec respect, on écoute, on choisit ses mots. C’est une “gymnastique” nouvelle pour beaucoup de patients qui consultent pour la première fois.
Autre piège, peut-être encore plus invisible : la croyance que l’autre doit deviner votre besoin. “S’il m’aimait vraiment, il comprendrait que je suis fatiguée.” Erreur fatale. L’autre n’est pas devin – il n’a pas la télécommande de vos sentiments. Oser formuler clairement ce qui pèche, admettre sa vulnérabilité, ça demande du courage. C’est un acte d’amour, souvent, plus qu’un affront.
Enfin, la monotonie tue aussi la communication. La routine grignote le désir d’échanger. Le “Tu as passé une bonne journée ?” lancé machinalement n’ouvre souvent aucune porte. Il faut donc inventer de nouveaux rituels, s’offrir des temps de vraie présence. Cinq minutes, sans écrans ni autres parasites, pour se demander vraiment “Comment tu te sens aujourd’hui ?”… Parfois, cela suffit.
Vous voyez : finalement, améliorer la communication en couple, c’est comme entretenir un jardin. Il faut enlever les mauvaises herbes (les reproches gratuits), semer de nouvelles graines (des mots tendres ou encourageants), arroser tous les jours un peu (même si c’est rapide).
Et pour certains, c’est la traversée du désert. Chacun à son rythme. Souvent, les couples qui arrivent aux portes du cabinet de Mme Widart n’osent plus y croire. Ils pensent avoir tout essayé. Pourtant, avec un accompagnement ciblé, même une communication très dégradée peut être restaurée.
Pourquoi ça marche ? Parce que la psychologie clinique, ce n’est pas du bavardage. C’est une science. Elle s’appuie sur des techniques éprouvées, validées par l’expérience (et la recherche), pour réapprendre à dialoguer. Un peu comme on fait du sport accompagné d’un coach : difficile au début, puis, petit à petit, ça vient…
Vous voulez découvrir d’autres outils “sur-mesure” pour aller plus loin ? Consultez cet article qui explore une technique spécifique, l’autohypnose, parfois utilisée dans le traitement d’acouphènes mais également pour gérer le stress de la communication : Traitement des acouphènes par l’autohypnose.
Vous en avez assez de tourner en rond ? Bonne nouvelle : une crise n’est (presque) jamais uniquement négative. C’est souvent le signal – douloureux mais utile – qu’il est urgent de faire différemment. “Dans la fournaise, l’or se purifie”, dit-on. En thérapie de couple, la crise sert aussi de tremplin à la reconstruction. Voyons comment la communication, quand elle est accompagnée, peut vraiment transformer la dynamique à deux.
La première étape, c’est souvent de désamorcer l’urgence. On ralentit, on se pose. Chacun a le droit de déposer sa version, sans être interrompu. Dans le cabinet de Mme Samanta Widart, une règle s’impose : pas de search for blame, mais search for understanding. Autrement dit, on arrête de chercher un coupable – on cherche à comprendre ce que chacun vit. C’est révolutionnaire pour beaucoup de couples !
Ensuite, il y a un pilier : la réparation émotionnelle. Cela passe par des excuses sincères, oui, mais surtout par des actes. Remettre du “nous” là où le “moi” a dominé trop longtemps. On invite parfois le couple à créer de nouveaux rituels, simples, concrets : prendre un café ensemble le dimanche matin, marcher sans parler pour se retrouver, s’écrire une lettre si les mots à l’oral restent trop difficiles à sortir.
Un exemple frappant : un couple venu consulter “à la dernière chance”. Elle, convaincue que tout était perdu. Lui, fermé comme une huître. Ils ont commencé par… un atelier de relaxation de groupe mené par Mme Widart. Séance après séance, la tension retombait. Ils ont retrouvé peu à peu un espace pour s’écouter sans “exploser”. Parfois, il suffit d’une étincelle bien placée…
Autre point clé : se former à l’assertivité. Dire “non” sans agresser, poser des limites fermes sans punir l’autre. La psychologue conventionnée INAMI enseigne à ses patients ces techniques, même (et surtout) quand ils ont l’impression que “ce n’est pas dans leur personnalité”.
La communication réparatrice, c’est aussi (et surtout) apprendre à demander de l’aide sans se sentir faible. Beaucoup de couples aux alentours de Liège l’avouent : oser simplement dire “Je n’y arrive plus tout seul(e), aide-moi” marque souvent le point de départ du renouveau.
Dernier levier, souvent sous-estimé : le pardon. Non pas effacer l’ardoise, mais faire la paix avec les erreurs du passé pour repartir sur un terrain sain. Parfois, on a besoin d’un tiers (la psychologue), ni juge ni partie, pour permettre que ce processus germe doucement.
Rappelez-vous : vous n’êtes pas seuls. En France également, mais particulièrement en Belgique, de plus en plus de couples acceptent aujourd’hui l’idée d’être aidés pour mieux communiquer. Ce n’est pas un aveu d’échec. C’est, au contraire, la preuve d’un engagement fort.
Envie de découvrir les autres spécialités de Mme Widart ? Consultez la section dédiée ici.
En conclusion : un couple, c’est comme une maison ancienne. Parfois, il ne faut pas tout arracher : il suffit de refaire la toiture pour que tout redevienne habitable. Accepter de se faire accompagner, à tout âge, c’est une forme d’intelligence… Et parfois la seule façon de préserver ce qui compte. Alors osez. Testez. Communiquez. Et surtout, ne perdez jamais de vue que la disponibilité à écouter l’autre reste votre plus beau cadeau mutuel.
Pourquoi la communication pose-t-elle tant de problèmes dans la vie de couple ?
La communication en couple est souvent difficile car chacun apporte ses propres blessures, habitudes et attentes. Sans accompagnement, ces différences peuvent provoquer des malentendus et des disputes, mais la thérapie permet d’installer un dialogue apaisé.
Comment savoir s’il est temps de consulter un psychologue de couple ?
Il est recommandé de prendre rendez-vous quand les disputes deviennent récurrentes, que le dialogue n’existe plus ou que la distance s’installe. Plus l’accompagnement débute tôt, plus il est facile de rétablir la communication.
Quels outils pratiques la psychologue utilise-t-elle en thérapie de couple ?
La psychologue conventionnée propose des exercices d’écoute active, l’expression émotionnelle, la gestion du temps de parole, mais aussi des séances de relaxation de groupe pour réduire le stress individuel et faciliter les échanges.
Faut-il participer à des séances de relaxation de groupe même si l’on consulte déjà pour son couple ?
Participer à des séances de relaxation de groupe peut grandement aider à mieux gérer ses tensions personnelles, ce qui favorise une communication plus apaisée au sein du couple. C’est un bon complément au travail plus ciblé de la thérapie.
Gottman J. – What Predicts Divorce? The Relationship Between Marital Processes and Marital Outcomes – Lawrence Erlbaum, 1994. Résumé : Cet ouvrage explore les patterns de communication négative associés à la séparation, avec des conseils pratiques pour les corriger.
Jolivet S. & Berry M. – Thérapie de couple et communication : apports des approches centrées sur l’émotion – Pratiques Psychologiques, 2020. Résumé : Revue des méthodes de gestion émotionnelle utilisées dans la thérapie de couple en contexte clinique.
Markman H, Stanley S. – Communication and Conflict Resolution Skills Training in Couples : a Meta‐Analysis – Family Relations, 2005. Résumé : Synthèse des principaux dispositifs thérapeutiques efficaces pour améliorer le dialogue en couple.
Halford W, et al. – Couple Communication Before and After Therapy : Predictors of Treatment Efficacy – Journal of Consulting and Clinical Psychology, 2006. Résumé : Étude des facteurs qui augmentent la réussite de la thérapie de couple, avec un focus sur les aptitudes d’écoute et d’affirmation de soi.