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Tester gratuitement son audition : pourquoi c’est une étape essentielle après 60 ansAppareils Auditifs

AUDIKA Appareils Auditifs – proche de Liège

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 04 268 18 67

Tester gratuitement son audition : pourquoi c’est une étape essentielle après 60 ans

Peut-être que, sans vous en rendre compte, vous entendez un peu moins bien les conversations, surtout quand il y a du bruit autour. Ou alors, vous réalisez que le volume de la télévision grimpe doucement, semaine après semaine. Rassurez-vous : ces petits signaux sont fréquents. Pourtant, beaucoup de personnes attendent des années avant de faire tester leur audition. Après 60 ans, ce réflexe devrait devenir aussi naturel qu’un contrôle de la vue chez l’ophtalmologiste. Mais pourquoi ? Et comment un test auditif gratuit peut changer la donne, notamment en matière de bien-être et d’autonomie ? Ici, nous faisons le point, chiffres, exemples concrets et réponses scientifiques à l’appui.

AUDIKA Appareils Auditifs – proche de Liège

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Pourquoi tester son audition après 60 ans ? Un enjeu de santé mal compris

Question simple, réponse simple ? Pas vraiment. Dès la soixantaine, la perte auditive s’immisce doucement, comme la buée sur une vitre un matin d’hiver : d’abord transparente, puis petit à petit tout s’embrouille. Statistiquement, selon les données de l’Organisation Mondiale de la Santé, plus d’une personne sur trois de plus de 65 ans souffre d’une forme de diminution de l’acuité auditive.

Mais pourquoi ce phénomène est-il si commun ? C’est en partie la “presbyacousie”, ce mot un peu barbare qui décrit le vieillissement naturel de l’oreille. Particulièrement celle qui perçoit les sons aigus. À 60 ans, nos cellules auditives décident parfois de lever le pied dans leur mission : transmettre fidèlement la musique des mots et des sons. Cela ne fait pas “mal”, ce n’est pas visible, ce n’est pas comme une dent cassée – et pourtant, les conséquences peuvent être lourdes.

Beaucoup pensent : "Je n’ai pas besoin de test, j’entends encore bien…". Mais c’est justement là le piège ! La perte auditive avance à pas de loup, insidieuse. Une baisse légère aujourd’hui peut devenir un handicap social majeur demain. Saviez-vous que les signes d’alerte peuvent être subtils ? Comme devoir tendre l’oreille pour comprendre une question lors d’un repas d’anniversaire bruyant, ou faire répéter son entourage. Les proches sont souvent les premiers à remarquer, bien avant la personne concernée…

On minimise souvent ce qu’on ne voit pas. Pourtant, les impacts vont bien au-delà du simple “entendre moins bien”. Plusieurs études le montrent : troubles de la mémoire, fatigue, repli sur soi. Si ce sujet vous interpelle, découvrez aussi comment la perte auditive affecte votre mémoire, un point souvent méconnu.

Pensez-y : entendre moins, c’est parfois perdre le fil lors d’une réunion de famille, ou mal saisir un conseil médical essentiel. Et ce n’est pas une question de “faiblesse” ! Votre audition a simplement besoin d’attention, comme votre vue ou vos dents.

Alors pourquoi tester ? Parce que c’est le seul moyen de savoir réellement où on en est. Des tests simples, non invasifs, indolores – et souvent gratuits ! L’audioprothésiste ou le médecin ORL réalise l’examen, qui informe sur l’état de vos oreilles… Un peu comme un check-up après 60 ans.

Quels sont les principaux motifs de consultation chez les malentendants après 60 ans ?

Loin de l’image caricaturale du senior isolé, la perte auditive touche tous les milieux, tous les modes de vie. Et les motifs de consultation sont aussi divers que les profils. En pratique, pourquoi consulte-t-on aux alentours de Liège (ou ailleurs) pour son ouïe ?

Premier signal à ne pas négliger : la gêne dans les situations de groupe. Les repas de famille – typiques des dimanches belges ! – deviennent parfois éprouvants. Vous reconnaissez ce profil ? Parler à plusieurs, tout le monde s’interrompt, et vous avez de plus en plus de mal à suivre, même si la pièce n’est pas particulièrement bruyante. Cela vous pousse (ou la personne concernée) à décrocher progressivement. On sourit, on hoche la tête, mais on ne comprend pas vraiment… À force, le repli et la solitude guettent. Ce cercle vicieux, documenté dans de nombreuses études, conduit à l’isolement social.

Second motif : la fatigue. À force de “tout décrypter”, l’effort d’écoute épuise. Le cerveau sature, le soir venu. Surpris ? L’écoute active est énergivore, et la perte auditive amplifie cette dépense énergétique. Certains patients témoignent de migraines, d’insomnie, d’un épuisement comparable à celui d’une course de fond. D’ailleurs, si vous ressentez une fatigue liée à l’écoute, sachez que cela mérite d’être pris au sérieux !

Troisième motif (parfois ignoré) : l’incompréhension dans le bruit. Un repas au restaurant, une fête, le marché… et là, tout se mélange ! Le brouhaha devient une mer de sons indistincts. Ce phénomène porte un nom scientifique : “perte de sélectivité fréquentielle”. Moins votre oreille trie les sons, plus la compréhension chute. Pour en savoir plus, lisez le rôle vital des appareils auditifs dans la compréhension bruyante.

Citons aussi les acouphènes, ces bruits parasites qui gâchent le silence. Ce symptôme est un motif fréquent de première consultation, notamment en Belgique, où l’on constate un vrai essor des prises de conscience sur ces sujets. Parfois, les patients ne se plaignent pas directement de la baisse d’audition mais bien de ce sifflement quotidien, qui peut rendre fou à petit feu. Les appareils auditifs atténuent souvent la gêne, en masquant les acouphènes grâce à une stimulation auditive adaptée (c’est prouvé, voir les résultats sur acouphènes et appareils auditifs).

D’autres encore arrivent en consultation sur l’insistance de l’entourage – parfois “forcés” par le conjoint ou les enfants. N’ayez crainte : il n’y a aucune honte à consulter, bien au contraire ! Prendre soin de son audition, c’est préserver sa capacité à communiquer et à rester actif, même longtemps après la retraite.

Enfin, n’oublions pas les “accros” à la technologie : audiogramme via internet, application sur smartphone… On peut aujourd’hui faire un premier test d’orientation en ligne, mais seul le bilan réalisé par un audioprothésiste donne des réponses précises et fiables. Comme une boussole qui indique enfin le Nord, alors qu’on tâtonnait à l’aveugle.

Le test auditif gratuit : comment ça marche ? À quoi s’attendre ?

Première bonne nouvelle : faire tester son audition n’a jamais été aussi simple ! Il suffit souvent d’un rendez-vous dans un centre auditif agréé, parmi lesquels se trouve AUDIKA Appareils Auditifs – proche de Liège, où le test de dépistage initial est gratuit, rapide et totalement indolore. Et ça, c’est un atout majeur. Vous n’avez rien à perdre, seulement à gagner : un état des lieux précis de votre audition.

Un test auditif se déroule en plusieurs étapes. D’abord, une discussion. L’audioprothésiste vous pose des questions sur vos antécédents médicaux, vos sensations, vos habitudes. Rien de compliqué : on s’attarde sur les situations qui posent problème (“Depuis quand ?”, “Dans quelles conditions ?”, “Avez-vous des bourdonnements ?”). Ensuite – et c’est là que la technologie fait la différence – vient la mesure proprement dite : l’audiogramme. Pour tout savoir sur ses secrets, découvrez comment tester mon audition, audiométrie.

Vous êtes installé dans une cabine insonorisée. Le professionnel place un casque sur vos oreilles ; vous entendrez alors des sons de différentes intensités et fréquences. Votre mission ? Appuyer sur un bouton quand vous entendez quelque chose, aussi faible soit-il. Cet exercice dure quelques minutes, c’est tout. L’audioprothésiste analyse le tout : chaque courbe, chaque seuil, chaque zone d’ombre ou de lumière dans votre perception auditive. À la clé : un diagnostic clair, à comprendre ensemble. Il arrive que l’examen complète par d’autres tests, comme la compréhension de phrases dans le bruit, ou la mesure du seuil d’inconfort. Rien de douloureux, rien d’humiliant : c’est sans stress, dans une ambiance bienveillante. Toujours.

En cas de perte auditive avérée, pas de panique. On ne ressort pas du centre affublé d’un appareil auditif du jour au lendemain. L’étape suivante, c’est l’information : on vous explique le fonctionnement des solutions existantes, les bénéfices attendus, les limites aussi. Si besoin, une adaptation peut être proposée. Mais la décision vous appartient toujours. Un essai est généralement possible (et fortement recommandé), pour juger sur pièce si l’appareil change la vie ou non. C’est donc un parcours personnalisé qui débute, à votre rythme. Pour comprendre quand vraiment passer le pas, n’hésitez pas à consulter cet article détaillé : quand consulter pour une perte auditive à Liège.

Faut-il prendre rendez-vous chez un ORL ? Oui, surtout si le test met en évidence une surdité brusque, un écart entre les deux oreilles, des vertiges, des douleurs ou des acouphènes sévères. Sinon, l’audioprothésiste peut déjà aiguiller pour la suite et proposer un premier accompagnement. Cette complémentarité entre professionnels garantit une prise en charge globale.

Retenez surtout : le test auditif est gratuit, confidentiel, sans engagement ni conséquence obligatoire. C’est une boussole pour savoir où on va, pas une fatalité… Et parfois une chance de repartir en avant !

L’appareil auditif, solution miracle ou outil discret ? Ce qu’en dit la science

Revenons sur l’angoisse classique : “Si on me trouve une perte d’audition, faudra-t-il forcément porter un appareil ?” Posons les choses. Non, il n’y a aucune obligation d’équiper tout le monde. Mais aujourd’hui, les appareils auditifs modernes ont profondément évolué ! Fini l’image de “prothèses encombrantes” d'autrefois : aujourd’hui, elles sont connectées, invisibles, programmables au millimètre près. Mieux : leur port améliore la vie sociale, la compréhension, réduit la fatigue et – c’est spectaculaire – protège les fonctions cérébrales. Plusieurs publications scientifiques sérieuses le démontrent.

Une étude parue en 2022 (Dawes et coll., Age and Ageing) a révélé que le port régulier d’un appareil après 60 ans réduit le risque de déclin cognitif de 19 %. Moins de trous de mémoire, moins de difficultés à suivre le fil d’une conversation. Utiliser un appareil auditif, c’est préserver la qualité de vie, l’autonomie, la spontanéité dans les échanges. D’autres recherches affichent même une baisse du risque de dépression chez ceux qui s’équipent (voir l’analyse des preuves scientifiques ici).

En pratique, on “essaie” toujours l’appareil avant de l’adopter. L’adaptation se fait en douceur, pour éviter toute impression d’intrusion ou de changement radical. L’objectif : restaurer la capacité à comprendre, pas seulement “entendre plus fort”. Certains témoignages parlent d’une seconde jeunesse auditive : “J’ai redécouvert le chant des oiseaux et les discussions animées” rapporte un patient aux alentours de Liège. Des détails ? Oui. Mais ces détails font toute la différence.

Attention, l’appareil n’est pas un amplificateur simpliste. Il sélectionne, traite, module les sons reçus. Il gomme le brouhaha, met en avant les voix, protège des bruits soudains. C’est un chef d’orchestre numérique logé derrière l’oreille, quasi invisible. Le secret ? La personnalisation : sur-mesure, adapté à chaque oreille et à chaque profil de vie. Lire aussi : les mythes sur les appareils auditifs pour balayer idées reçues et peurs injustifiées.

En résumé : l’appareil n’est pas synonyme de vieillesse, mais au contraire d’autonomie retrouvée, de vie active. Combien de personnes repoussent cette solution, jusqu’au moment où elles constatent – parfois avec émotion ! – tout ce qu’elles retrouvent : rire des petits-enfants, chaleur des discussions, sécurité (entendre la sonnette, la voiture qui arrive…). Parlez-en à votre audioprothésiste : il saura conseiller, sans forcer ni presser.

Quels bénéfices peut-on attendre d’un dépistage auditif précoce autour de 60 ans ?

C’est souvent la question qui revient : “Qu’est-ce que ça change, concrètement, de savoir tôt que l’on perd l’audition ?” Les réponses sont multiples, et scientifiquement solides.

Premier bénéfice évident : stopper le cercle vicieux de l’isolement. Une baisse d’audition non prise en charge menace rapidement la vie sociale, les loisirs, la participation à la vie de famille. On l’a dit, le repli guette. Or, dépister tôt permet d’éviter ce ressac progressif. C’est prouvé : les personnes appareillées tôt gardent plus d’activité, de réseau, de projets. Moins de solitude. Moins de dépression.

Deuxième point : prévenir la fatigue, la perte de mémoire, les troubles cognitifs. Aujourd’hui, plusieurs études insistent (voir ci-dessous : références scientifiques). Ne pas entendre, c’est forcer le cerveau à compenser jour et nuit. Des zones entières du cortex “débranchent” faute de stimulation – un phénomène parfois appelé “effet domino cérébral”. Le test et l’appareillage si besoin rebranchent les circuits : tout le cerveau travaille de nouveau ensemble. Résultat ? Plus de vivacité, plus de concentration. Moins de trous noirs dans la mémoire récente.

Troisième intérêt : la sécurité. Entendre l’alarme incendie, la sonnette qui retentit, la circulation… c’est fondamental pour éviter les accidents domestiques. Peut-être n’y aviez-vous jamais pensé, mais de nombreux accidents sont dus à une surdité non diagnostiquée.

Quatrième bénéfice : le confort, tout simplement. Dit autrement : retrouver le plaisir d’écouter, de partager, de croquer la vie à pleines dents. Ne pas subir l’impression pénible de “vivre derrière une vitre”, séparé du monde des autres. Plus de stress, plus d’effort inutile. Tout le monde mérite ça !

Enfin – on n’en parle pas assez – un dépistage gratuit rassure. Le résultat est parfois rassurant (“votre audition est tout à fait correcte”). Mais même en cas de légère baisse, la prise en charge précoce offre un maximum d’options : suivi régulier, conseils de prévention (éviter certains médicaments, limiter l’exposition au bruit…), entretien ou réparation des appareils. Pour les patients déjà équipés, c’est aussi l’occasion de contrôler, de régler, de remplacer au besoin (réparer ou remplacer un appareil en Belgique ?)

En résumé : tester son audition à 60 ans, c’est miser sur l’avenir. C’est refuser de s’installer dans la gêne et le silence. C’est offrir à sa vie la possibilité de rester riche, pétillante, sociale et indépendante, qu’on vive à Liège, en Belgique, ou ailleurs.

FAQ – Questions fréquentes

Comment savoir si j’ai besoin de faire un test auditif après 60 ans ?

Si vous remarquez que les conversations deviennent plus difficiles à suivre, surtout quand il y a du bruit, ou si vos proches vous font souvent répéter, c’est un signe. Un test auditif gratuit vous donnera une réponse claire sur l’état de votre audition, de façon rapide et indolore.

Pourquoi est-il recommandé de tester son audition même sans symptômes évidents ?

La perte auditive s’installe souvent lentement, sans signes visibles. Un dépistage précoce permet de repérer d’éventuelles baisses avant qu’elles n’entraînent isolation sociale, fatigue ou troubles cognitifs, et de prévoir les meilleures solutions d’adaptation.

Quand faut-il consulter un professionnel pour envisager un appareil auditif ?

Si le test auditif révèle une baisse significative, surtout lorsqu'elle gêne votre vie quotidienne, il est temps de prendre rendez-vous avec un audioprothésiste. Une adaptation sur-mesure sera envisagée uniquement si cela s’avère vraiment nécessaire, toujours après discussion.

Faut-il refaire régulièrement un test auditif après 60 ans ?

Oui, il est conseillé de réaliser un test auditif tous les deux à trois ans, même sans gêne. Cela permet de surveiller l’évolution de votre audition et d’ajuster si besoin les solutions, pour préserver au mieux votre qualité de vie.

Références scientifiques

Dawes, P., Emsley, R., Cruickshanks, K.J., Moore, D.R. (2022). "Hearing aids and risk of cognitive decline in older adults: a longitudinal cohort study." Age and Ageing, 51(4). Résumé : Le port d’un appareil auditif réduit le risque de déclin cognitif de 19% chez les plus de 60 ans.

Goman, A.M., Lin, F.R. (2016). "Prevalence of Hearing Loss by Severity in the United States." American Journal of Public Health, 106(10): 1820–1822. Résumé : Plus d’un tiers des seniors sont concernés par une perte auditive, souvent sous-diagnostiquée.

Livingston, G. et al. (2020). "Dementia prevention, intervention, and care: 2020 report of the Lancet Commission." Lancet, 396(10248): 413-446. Résumé : La perte auditive non corrigée est un facteur de risque majeur et modifiable du déclin cognitif.

Jensen, N.S., et al. (2023). "The impact of hearing loss and hearing aid use on social engagement in older adults: a systematic review." Gerontology & Geriatric Medicine. Résumé : L’appareillage précoce retarde le repli social et améliore significativement la qualité de vie.

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