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Syndrome prémenstruel : l'acupuncture à Liège offre une solution naturelle et durableAcupunctureAcupuncture

Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0471 49 75 81

Syndrome prémenstruel : pourquoi l’acupuncture donne-t-elle enfin une solution naturelle et durable ?

Le syndrome prémenstruel (SPM) est une hantise mensuelle pour des millions de femmes de tout âge. Survenant quelques jours avant les règles, il se manifeste par une constellation de symptômes aussi variés qu’intenses : douleurs abdominales, ballonnements, sautes d’humeur, insomnies, fatigue, anxiété, fringales ou encore une hypersensibilité émotionnelle. Pour beaucoup, ces troubles nuisent à la qualité de vie, perturbent le sommeil, minent la confiance en soi et grèvent le quotidien professionnel ou personnel. Souvent minimisé, le SPM bénéficie cependant aujourd’hui d’alternatives thérapeutiques reconnues et efficaces, comme l’acupuncture, couplées à une hygiène de vie adaptée.

Contrairement aux médicaments classiques qui ne traitent que le symptôme en agissant ponctuellement, l’acupuncture cible la racine du déséquilibre interne, qu’il soit hormonal, émotionnel ou énergétique. Cette solution naturelle, ancestrale, offre aux patientes un soulagement réel, durable, sans les effets secondaires fréquents des traitements conventionnels. Cet article s’adresse à toutes celles qui veulent comprendre scientifiquement ce que l’acupuncture a de spécifique dans le traitement du SPM et comment une bonne hygiène de vie optimise durablement ses effets. Découvrez pourquoi, aux alentours de Liège, tant de patientes plébiscitent cette approche graduelle, précise, centrée sur la santé globale.

Acupuncture et douleurs prémenstruelles : vous n’êtes plus seule

Les mécanismes du syndrome prémenstruel : comprendre pour mieux traiter

Le diagnostic de syndrome prémenstruel demeure encore controversé, tant ses manifestations sont variées d’une femme à l’autre. On parle de SPM lorsque des symptômes physiques et psychiques apparaissent en phase lutéale du cycle, c’est-à-dire dans les 2 à 10 jours précédant les règles, puis disparaissent brutalement à leur survenue. Les principaux signes – douleurs pelviennes, congestion, hypersensibilité mammaire, céphalées, anxiété, tristesse, irritabilité, sensation de fatigue – se combinent à des troubles du sommeil, des difficultés de concentration et parfois à un sentiment de perte de contrôle émotionnel.

D’un point de vue physiologique, les recherches les plus récentes mettent en lumière le rôle des variations hormonales, notamment celles des œstrogènes et de la progestérone, qui agissent comme de véritables chefs d’orchestre sur le système nerveux central et autonome. Ces fluctuations, en modulant la sécrétion des neurotransmetteurs tels que la sérotonine ou la dopamine, sont responsables des troubles de l’humeur associés à la phase lutéale. La perméabilité intestinale, l’alimentation, le stress chronique et les rythmes circadiens déréglés influencent aussi la gravité du SPM. Ainsi, dans la réalité de la pratique, les patientes consultent après avoir essayé nombre de solutions inefficaces, parfois médicamenteuses (antalgiques, anti-inflammatoires, anxiolytiques) qui ne font que masquer temporairement les symptômes sans rétablir l’équilibre sous-jacent.

Le diagnostic, en acupuncture traditionnelle chinoise, ne consiste pas à lister une série de signaux isolés, mais à analyser le tableau global : le climat émotionnel de la patiente, la typologie des douleurs (plénitude, vide, stagnation...), la nature et le rythme des symptômes, l’état digestif, les cycles du sommeil, ou encore la dimension psychosomatique. Cette analyse systémique permet d’identifier diverses causes profondes : stagnation du Qi du Foie, vide de Sang ou de Yin, rétention de l’Humidité, déséquilibre Rate-Estomac ou surmenage mental. La finesse du diagnostic établit les bases de la prise en charge des symptômes, mais également des facteurs qui les entretiennent, même en dehors de la phase critique menstruelle.

L’importance de l'évaluation individualisée se fait sentir tout particulièrement en Belgique, où l’on observe une demande croissante de médecine intégrative. Les patientes cherchent une compréhension globale de leur syndrome prémenstruel, tenant compte non seulement de la plainte principale (douleur, anxiété), mais de leur mode de vie, antécédents, régime alimentaire, niveau de stress, qualité du sommeil, activité physique et équilibre émotionnel. Cette approche personnalisée, loin de se limiter à une prescription médicamenteuse, considère que le SPM, dans bien des cas, traduit un déséquilibre profond pouvant être significativement amélioré par des méthodes naturelles telles que l’acupuncture, la phytothérapie, ou la nutrition adaptée.

En lien avec cette analyse globale, l'acupuncture propose une lecture holistique et dynamique du SPM : chaque séance est précédée d'un entretien clinique complet et d'un examen des pouls chinois, de la langue, permettant de déterminer les circuits énergétiques impliqués et la chronologie des symptômes. C'est cette approche différenciée, loin de la standardisation du traitement, qui offre aux patientes une alternative concrète et efficace pour soulager le SPM durablement.

Pour celles qui recherchent une prise en charge naturelle et globale, à l'image de l’acupuncture pour le sommeil, il s'agit de reconsidérer chaque aspect du quotidien.

L’acupuncture face au SPM : une réponse réelle et sur-mesure

L’efficacité de l’acupuncture dans le traitement du SPM ne se limite pas à la simple “gestion de la douleur”. Cette discipline, issue de la médecine traditionnelle chinoise, vise à rétablir la libre circulation du Qi (l’énergie vitale) et à harmoniser les déséquilibres internes selon un protocole individualisé. Pourquoi l’acupuncture fonctionne-t-elle là où tant d’autres solutions échouent ou soulagent de façon transitoire ?

Sur le plan scientifique, il a été démontré que la stimulation des points d’acupuncture pertinentes (tels que Sanyinjiao – SP6, Taichong – LR3, Zusanli – ST36, Hegu – LI4, etc.) module efficacement le système nerveux autonome, améliore les taux de sérotonine, régule les productions hormonales ovariennes et diminue les réponses inflammatoires. Une manipulation subtile et précise des aiguilles agit au niveau local par la libération d’endorphines (antidouleurs naturels), mais également sur tout le système limbique (cerveau émotionnel), expliquant la nette réduction des troubles de l’humeur, de l’anxiété, des maux de tête et de l’irritabilité. Des études cliniques randomisées récentes en ont attesté les bénéfices à court, moyen et long terme : près de 75 % des femmes traitées rapportent une diminution nette et significative du score des symptômes prémenstruels.

La dimension “sur mesure” du traitement est ici cruciale. À chaque profil de patiente correspond une stratégie d’acupuncture adaptée. Par exemple, dans les tableaux dominés par la stagnation du Qi du Foie (souvent associée à l’irritabilité, la poitrine tendue, la sensation de boule dans la gorge), les points principaux libèrent la circulation énergétique, notamment sur le méridien du Foie, mais aussi sur ceux de la Rate, de l’Estomac ou des Reins selon les déséquilibres secondaires. Lorsque prédominent fatigue, douleurs fixes, désespoir ou frilosité, il faudra renforcer le Qi et le Sang, particulièrement via des points comme Rate 6 ou Vaisseau Conception 4. Chez les patientes dont le SPM s’associe à des symptômes digestifs, tels que ballonnements, selles irrégulières ou nausées, un travail spécifique sur le méridien de la Rate et de l’Estomac sera systématiquement proposé.

En outre, le choix des points d’acupuncture dépendra de l’évolution du syndrome au fil du cycle : en phase folliculaire, il sera intéressant de prévenir l’apparition du SPM par des séances régulières, permettant de “lisser” les pics hormonaux et d’optimiser la résilience de l’organisme. Lors des premiers résultats encourageants, la fréquence des séances pourra être espacée, puis adaptée mensuellement en fonction de la persistance ou de la rémission des symptômes. Il n’est pas rare d’associer ponctuellement des techniques complémentaires comme la moxibustion (chaleur sur les points), la digipuncture ou la stimulation électrique douce, en concertation avec la patiente.

L’avantage de l’acupuncture sur d’autres approches est son intégration fluide dans une prise en charge personnalisée, faiblement invasive, à très faible risque et sans accoutumance. Les effets secondaires, extrêmement rares, se limitent à de petites ecchymoses superficielles, une sensation de fatigue passagère ou, chez certaines patientes, à une relaxation très profonde pouvant durer plusieurs jours. À Liège, de nombreux cabinets proposent désormais une consultation spécialisée en gynécologie énergétique, permettant aux femmes de poser enfin des mots sur leurs inconforts périodiques et de bénéficier d’un suivi individualisé, en partenariat avec leur médecin traitant ou gynécologue si nécessaire.

Les résultats, au fil des semaines, sont généralement progressifs : la douleur recule, le sommeil s’améliore, la stabilité émotionnelle se renforce, la fatigabilité diminue. Bien plus qu’un simple soulagement symptomatique, l’acupuncture favorise une meilleure connaissance de soi, l’écoute du cycle et une autonomie dans la gestion du stress ou des émotions. Cette avancée thérapeutique n’est plus réservée à l’Asie, mais s’intègre désormais dans des parcours de soin innovants, validés et reconnus.

Pensez aussi à consulter ce dossier sur l’acupuncture et le sommeil.

Approfondir la prise en charge globale : acupuncture et migraines

Optimiser les effets de l’acupuncture par une hygiène de vie dédiée

Pour pérenniser les bienfaits de l’acupuncture dans le traitement du SPM, il est essentiel d’ancrer leur efficacité dans le réel, grâce à une hygiène de vie soignée, adaptée à la physiologie féminine et à son rythme particulier. La médecine chinoise recommande une approche « holistique », c’est-à-dire impliquant l’alimentation, l’exercice, la gestion des émotions, le sommeil et l’environnement. La pratique clinique montre en effet que les patientes obtenant les meilleurs résultats sont celles qui s’engagent dans une démarche active, évitant ainsi le retour cyclique des symptômes.

L’alimentation, d’abord, joue un rôle fondamental dans la stabilité hormonale. Il s’agit de privilégier une alimentation anti-inflammatoire, pauvre en sucres rapides, en aliments ultra-transformés, en laitages industriels et en caféine. Enrichir ses repas de légumes colorés, de bonnes protéines, de céréales complètes à index glycémique bas et de graisses végétales (oméga 3), permet de limiter les variations du taux de glucose et d’insuline, facteurs exacerbant les symptômes. Certaines plantes comme le gingembre, la cannelle, la sauge ou le curcuma sont réputées en médecine chinoise pour leurs vertus anti-inflammatoires et de soutien au niveau du Foie et de la Rate. Un accompagnement nutritionnel peut faciliter la personnalisation des menus et l’identification des aliments problématiques.

L’activité physique modérée et régulière (30 mins 5 fois par semaine), sous forme de marche rapide, de yoga, de Pilates, de natation ou de vélo, a un impact positif sur la circulation sanguine et lymphatique, l’équilibre du Qi, la gestion du stress et pas seulement sur la stabilité pondérale. Les exercices ciblant la zone pelvienne (renforcement du plancher pelvien, auto-massages) réduisent les douleurs. Le sport libère également les fameuses endorphines et favorise, à long terme, la résilience hormonale et émotionnelle. Il est important d’éviter les pratiques en excès ou de haute intensité en phase prémenstruelle, pour ne pas fatiguer un organisme déjà sollicité.

La gestion du stress est également capitale, surtout dans un quotidien moderne. Les pratiques de méditation, de respiration profonde, les exercices de cohérence cardiaque ou les séances de sophrologie peuvent renforcer durablement les effets de l’acupuncture. Un sommeil réparateur, tant en quantité qu’en qualité, est un facteur clé d’équilibre hormonal : prévoir un coucher suffisamment tôt, routine du soir régulière, ralentir l’exposition aux écrans et favoriser les lectures apaisantes ou les ambiances tamisées contribue significativement à une meilleure gestion des cycles. Une consultation individualisée, au préalable comme à long terme, permet d’intégrer des routines adaptées aux spécificités individuelles dans l’environnement familial, professionnel ou social.

En acupuncture, il est fréquent que le praticien accompagne la patiente afin de l’aider à identifier ses facteurs déclenchants (stress, alimentation, sédentarité, carences micronutritionnelles, hyperstimulation sensorielle ou relationnelle…). Certains praticiens recommandent de tenir un « journal du cycle » : consigner quotidiennement ses ressentis, ses symptômes, ses variations émotionnelles et alimentaires, permet de repérer les corrélations et d’agir en amont lors des prochaines phases critiques. À ce titre, pour les patientes aux alentours de Liège, la physionomie de la consultation se veut accessible, conviviale, en lien avec l’environnement local et les structures médicales classiques.

À ne pas négliger non plus, l’hygiène relationnelle et émotionnelle. Dire non quand il le faut, apprendre à imposer ses limites, à exprimer ses besoins et à stabiliser ses relations toxiques ou épuisantes constituent une « hygiène mentale » aussi indispensable que la régularité de l’exercice physique. Les femmes sujettes au SPM ressentent souvent une accentuation de la charge mentale : l’intégration de routines d’auto-compassion, de gestion du stress ou de relaxation guidée fait toute la différence à moyen terme.

Si cette approche vous interpelle, vous pouvez approfondir avec un article sur la charge mentale féminine ou sur d’autres approches complémentaires du bien-être féminin.

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FAQ – Questions fréquentes

Comment l’acupuncture agit-elle sur le syndrome prémenstruel ?

L’acupuncture module le système nerveux et les réponses hormonales, ce qui permet de diminuer les tensions, douleurs, troubles de l’humeur et fatigue liés au SPM. L’action est simultanément locale (diminution des douleurs) et centrale (équilibre émotionnel et hormonal), offrant un soulagement durable sans recours aux médicaments.

Pourquoi choisir l’acupuncture plutôt que des traitements médicamenteux pour le SPM ?

L’acupuncture offre une solution naturelle, individualisée et sans effets secondaires indésirables, contrairement à certains médicaments conventionnels qui peuvent entraîner fatigue, accoutumance ou troubles digestifs. Elle agit sur la racine du problème plutôt que seulement sur les symptômes.

Quand débuter une prise en charge par acupuncture si on souffre de SPM ?

Il est conseillé de consulter au plus tôt, dès l’apparition des premiers signes récurrents du SPM, idéalement en dehors de la crise aiguë, pour personnaliser le bilan énergétique et installer une stratégie préventive. Un accompagnement sur plusieurs cycles permet une amélioration progressive et durable de la qualité de vie.

Faut-il associer l’acupuncture à un changement d’hygiène de vie pour optimiser les résultats sur le SPM ?

Oui, intégrer une hygiène de vie adaptée (alimentation équilibrée, gestion du stress, activité physique, rythme de sommeil) permet d’optimiser et de pérenniser les effets positifs de l’acupuncture sur le SPM. Une approche globale favorise un retour rapide et durable au bien-être.

Références scientifiques

1. Armour M, et al., Acupuncture for premenstrual syndrome: A systematic review and meta-analysis, Medicine (Baltimore), 2019. – Cette méta-analyse confirme l’efficacité supérieure de l’acupuncture par rapport aux traitements conventionnels pour diminuer la sévérité et la fréquence des symptômes du SPM.

2. Lund I, et al., “Acupuncture in the treatment of premenstrual syndrome: a systematic review of randomized controlled trials”, Evidence-Based Complementary and Alternative Medicine, 2011. – Cet article passe en revue les essais cliniques randomisés et conclut à une réduction significative des symptômes moteurs, anxieux et dépressifs du SPM par acupuncture.

3. Ma SX, “Neurobiology of acupuncture: toward CAM”, Evidence-Based Complementary and Alternative Medicine, 2004. – L’auteur décrit comment l’insertion d’aiguilles d’acupuncture influence le système nerveux, les médiateurs inflammatoires et la modulation hormonale, offrant une base scientifique solide à son efficacité observée pour le SPM.

4. Carroquino-Garcia P, et al., “Acupuncture and lifestyle interventions for premenstrual syndrome and premenstrual dysphoric disorder”, Journal of Alternative and Complementary Medicine, 2022. – L’étude met en avant l’importance de combiner acupuncture et hygiène de vie (alimentation, sommeil, activité physique) dans le traitement du SPM, améliorant durablement la qualité de vie des patientes.

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