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Soutien psychologique - comprendre l'épuisement professionnelPsychologie Liège Cession

Psychologue – Mme Charlotte Cession

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

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Soutien psychologique en cas d’épuisement professionnel : Comment éviter de sombrer quand tout s’effondre ?

Pourquoi l’épuisement professionnel touche tant d’adultes aujourd’hui ?

Le burn-out. Ce mot claque comme un coup de tonnerre dans notre quotidien moderne. Mais au fond, que dit-il vraiment ? Imaginez un téléphone portable : on l’utilise sans compter, profitant de chaque pourcentage, jusqu’à ce que soudain… plus rien. Plus de batterie. Notre corps, notre esprit, parfois, vivent la même chose. L'ombre du burn-out s’étend silencieusement, et d’un coup, c’est le blackout. Ce n’est pas rare : d’après une étude menée par l’UCLouvain, 30% des travailleurs se sentent concernés par l’épuisement professionnel en Belgique. Impressionnant, non ?

Mais pourquoi ? Pourquoi de plus en plus d’adultes sont frappés par cet épuisement émotionnel si puissant qu’il fige les journées, floute l’envie, avale la confiance ? Est-ce le poids du travail, la vie de famille, la nécessité de « tenir » coûte que coûte ? Peut-être un peu de tout cela à la fois. L’époque est aux exigences. Avec la pandémie passée, les chiffres de l’anxiété et des troubles psychosomatiques ont explosé. À Liège, dans les cabinets comme ailleurs, la souffrance s’invite : mal-être inexplicable, insomnies, pleurs, colère, détresse…

L’épuisement professionnel, ce n’est pas juste “être fatigué” ou “avoir eu une mauvaise semaine”. Non. C’est bien plus profond. C’est la sensation d’être vidé de l’intérieur. De perdre son goût pour ce qui, avant, donnait du sens. Parfois, tout débute de façon insidieuse : une difficulté à se lever, des oublis fréquents, une irritabilité inhabituelle… Puis, la spirale s’accélère. On parle alors de “syndrome d’épuisement”, un engrenage qui, sans soutien, peut entraîner vers des complications redoutées : dépression, isolement, perte de repères…

À quoi reconnaître un burn-out naissant ? Vous vous levez fatigué, même après huit heures de sommeil ? Impossible de déconnecter, même loin du travail ? Chute des performances, rumination, perte d'intérêt jusqu’aux loisirs ? À force d’ignorer ces alertes, le corps finit par tirer la sonnette d’alarme : dos bloqué, troubles digestifs, migraines, palpitations… Le corps parle, quand la tête ne peut plus. Aux alentours de Liège, de plus en plus de personnes osent aujourd’hui consulter pour ces signes qui, hier encore, étaient tabous.

Sans oublier la pression sociale croissante. Nous sommes dans une société où “aller bien” est presque obligatoire. Où tout doit être fait à la perfection, quitte à s’oublier. Beaucoup se demandent : “Suis-je à la hauteur ?” “Ai-je le droit de flancher ?” Résultat : on s’isole, on ne partage plus ses faiblesses, et la spirale s’installe…

Ce qui frappe : aucune catégorie socio-professionnelle n’est épargnée. Du soignant débordé au manager sous pression, du parent solo au travailleur en télétravail… Chacun a son histoire, ses failles, ses limites.

Et vous ? Peut-être, en lisant ces lignes, vous vous reconnaissez. Où en êtes-vous avec votre propre énergie ? La question se pose souvent : “Est-ce grave ?” Oui, si l’on ne fait rien. Mais non, si l’on demande du soutien psychologique à temps.

Un chiffre révélateur : un tiers des travailleurs flamands déclare avoir déjà songé à tout arrêter pour souffler. C’est l’indice qu’il est temps de briser les tabous sur la fatigue professionnelle, d’oser en parler sans honte, d’écouter ces signaux d’alarme qui ne trompent pas.

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Comment repérer et comprendre le processus de l’épuisement professionnel ?

Le burn-out ne s’abat pas du jour au lendemain. Il avance masqué, lentement, comme une boule de neige qu’on laisse rouler dans sa pente d’habitudes et de petits renoncements. Connaître les étapes permet souvent de prévenir le pire. Vous sentez-vous concerné ? Voici comment le processus s’installe chez l’adulte :

1. La phase d’alerte : tout commence par une implication sans mesure. Travailler trop, reporter sans cesse ses propres besoins (“je dormirai ce week-end”, “les vacances, plus tard”, etc.). Les réussites deviennent fades. On s’impose une cadence folle.

2. La dégradation physique et émotionnelle : la fatigue devient chronique. Les douleurs apparaissent (lumbagos, maux de tête, troubles digestifs, etc.). Le “on tient le coup” du début se mue en “je ne sais pas comment je vais finir la semaine”. L’enthousiasme s’effrite. Le sentiment d’être submergé par les tâches s’installe. Beaucoup confient alors des pertes de mémoire, des absences, un trouble de concentration net – parfois au volant, parfois en réunion. Comme si le cerveau disait : “stop, je sature.”

3. L’effondrement : un matin, impossible de se lever. Larmes, palpitations, ou bien le corps qui refuse littéralement d’avancer. C’est le point de non-retour, où la demande d’aide devient inévitable. Ce moment est souvent vécu dans la honte ou la solitude. Pourtant, il marque aussi une possible libération…

Il existe des questionnaires validés scientifiquement (Maslach Burnout Inventory, Oldenburg Burnout Inventory) pour aider à évaluer son état, mais rien ne remplace l’anamnèse auprès d’un psychologue expérimenté.

À ce stade, que se passe-t-il ? Le cerveau, frappé par une charge de stress chronique (augmentation du cortisol, dérégulation des neurotransmetteurs), n’arrive plus à équilibrer effort et récupération. Il rompt la mécanique de la résilience. D’où les émotions à fleur de peau : anxiété, tristesse, réactions démesurées… Une sorte de brouillard envahit la pensée. Même le plaisir : disparu.

Chez les adultes, deux éléments aggravants sont souvent retrouvés :

  • Un manque de reconnaissance (par la hiérarchie, la famille, les collègues). Ce sentiment d’inutilité alimente la spirale.
  • La difficulté à poser des limites (« je dois tout faire moi-même », « je ne peux pas dire non »). L’envahissement du temps perso finit par ronger toutes les balises.

À ce stade, il est difficile de “s’en sortir seul”. S’éloigner du travail ne suffit pas : il faut s’extraire de la logique du « toujours plus ». On observe chez certains adultes des schémas hérités de l’enfance (droit à l’échec, devoir de performance, peur de décevoir), qui remontent à la surface. La psychothérapie permet d’identifier ces ressorts cachés : une étape cruciale pour sortir du piège.

Parfois, l’épuisement professionnel se mélange à d’autres troubles : anxiété, état dépressif, addiction (alcool, sommeil, médication). C’est pourquoi un accompagnement spécialisé est indispensable. Saviez-vous qu’aux Pays-Bas, la prise en charge du burn-out prévoit un accompagnement pluridisciplinaire ? En Belgique, la tendance s’impose aussi…

Il existe aussi un lien ténu entre épuisement professionnel et troubles des relations : le couple, la famille, l’entourage sont parfois secoués. On ne « tient » plus pour les autres non plus. Les conflits émergent : absences, irritabilité, désinvestissement affectif… La spirale s’auto-entretient. Un peu comme si le burn-out faisait écran de fumée autour de tout le quotidien.

Un exemple : Julien, manager dans une PME à Liège, explique avoir “tenu” durant des mois par fierté, par habitude. Puis un matin : impossible de sortir du lit. Il réalise que, depuis des mois, il vivait sur les réserves. Il pensait “gérer”, mais son corps, lui, n’a pas tenu la cadence…

Dernier point : l’épuisement professionnel n’est jamais une faute personnelle, mais le résultat d’une mécanique (à la fois interne – histoire psycho-affective – et externe – pression de l’environnement). Ce n’est pas une faiblesse. C’est, bien souvent, une sonnette d’alarme que notre être pousse pour signifier : il est temps de changer.

La bonne nouvelle ? Chaque burn-out peut devenir le début d’un processus de reconstruction… si l’on accepte d’être aidé.

Quels outils de soutien psychologique pour s’en sortir ? L’accompagnement, une clé pour renaître après l’épuisement

Revenir « à soi » après un burn-out, c’est comme réapprendre à marcher après une blessure. Avancer, doucement. Accepter de ne plus pouvoir tout contrôler. Respirer. Demander de l’aide. Le soutien psychologique, dans ce contexte, est une bouée salutaire. Souvent, le premier réflexe, c’est la peur : “Je vais perdre mon travail ? On va croire que je suis faible ?” Pourtant, la consultation peut permettre d’éviter d’aller plus loin. En consultation, le premier pas est d’accueillir la parole sans jugement. Parler pour « poser le sac à dos » et comprendre comment on en est arrivé là.

Parmi les outils utilisés :

  • L’écoute active : permettre que la personne se sente enfin entendue, sans pression ni jugement. Souvent, rien que d’être écouté « pour de vrai » apaise la honte, allège la détresse. On épluche ensemble les causes et les conséquences.
  • L’analyse des schémas : le psychologue aide à repérer les comportements répétitifs : déni, suradaptation, perfectionnisme… Mettre des mots sur les mécanismes qui épuisent permet souvent de les déjouer. Changer, c’est voir différemment ses automatismes. Bousculer un peu l’ordre établi.
  • La gestion du stress : on explore des outils concrets : techniques de respiration, relaxation, méditation, réadaptation du sommeil… Détail pratique : nombre d’adultes ayant vécu un burn-out témoignent de l’utilité des petits rituels (balades au vert, sieste, déconnexion du smartphone…), au fil du retour à soi.
  • Le travail sur les valeurs : souvent, l’épuisement émerge d’un décalage entre ce que l’on vit et ce à quoi on aspire vraiment. Le soutien psychologique permet de (re)définir ce qui compte. Parfois, cela conduit à des changements professionnels, ou à repenser toute son organisation de vie.

Pendant le processus thérapeutique, il arrive que l’arrêt maladie soit recommandé. Il ne signifie pas « défaitisme », mais au contraire, qu’on accepte de se remettre sur pied pour mieux rebondir. Dans certains cas, un travail avec des ressources externes : médecin traitant, collègues, groupes d’entraide s’avère positif. Le soutien familial est aussi capital : expliquer le burn-out à son entourage, c’est éviter les malentendus et favoriser la compréhension.

Avec le temps, la personne réapprend à écouter ses limites. C’est un vrai travail d’orfèvre : comprendre le silence du corps, négocier autrement au travail, réhabiliter le droit au plaisir. Notons aussi l’impact des petites victoires : un simple café pris tranquillement, une marche en nature, une soirée sans penser au bureau… Ça paraît peu. Mais chaque lune retrouvée éclaire le chemin du retour.

Le psychologue ne fait pas de miracle. Mais il guide, rassure, recadre. Il aide à mettre du sens là où il semblait perdu. On travaille sur la prévention des rechutes : apprendre à décoder ses signaux précoces, s’accorder des pauses régulières, retrouver ses priorités.

Plusieurs approches sont combinées :

  • Thérapie cognitive et comportementale : pour apprendre à remplacer les pensées autodestructrices (« je ne vaux rien si je ne réussis pas tout ») par des croyances plus saines.
  • Thérapie systémique : pour explorer l’influence du contexte (travail, famille) et repérer d’où vient la pression. Parfois, c’est l’environnement qu’il faudra transformer, pas juste l’individu.
  • Mécanismes de résilience : redéfinir ses ressources intérieures, créer un projet de reconstruction, cultiver la confiance en soi perdue en route.

Les études confirment : un soutien psychologique adapté réduit nettement le risque de rechute. Il rend plus fort pour la suite. On retrouve du souffle. La confiance revient, discrète. Et la vie peut reprendre son fil.

Vous souhaitez des exemples concrets ? On trouve de plus en plus de témoignages de patients ayant consulté après un burn-out. Beaucoup disent que l’accompagnement a été l’étincelle qui leur a permis de voir autrement, de transformer la blessure en opportunité. Comme cette femme de 48 ans, enseignante : “Ce sont les séances qui m’ont permis de comprendre pourquoi je m’obstinais à tout porter sans demander d’aide… Aujourd’hui, j’ose dire non et je me sens à nouveau vivante.”

Si vous souhaitez approfondir la question des troubles anxieux fréquents lors d’un burn-out, d’autres ressources existent.

Le soutien psychologique ne se limite pas aux entretiens. Il passe aussi par l’art de retisser du lien social. Rejoindre un groupe de parole, renouer avec des activités-plaisir, redonner une place à l’humour, à la créativité… C’est un chemin : celui d’une reconstruction authentique, pas seulement d’un retour “productif” au travail.

En résumé : parler, partager, prendre du recul, changer son regard sur soi-même… Voilà les étapes du soutien psychologique en cas d’épuisement professionnel. C’est une étape courageuse, mais qui, très souvent, transforme la crise en renaissance.

Vous souhaitez savoir comment agir sur le stress chronique chez l’adulte ? De nombreuses stratégies vous attendent !

Sortir de l’ombre : conseils pratiques et erreurs à éviter pour retrouver l’équilibre

Passons à l’étape “action” : comment amorcer la sortie de l’épuisement professionnel, concrètement ? Ici, pas de baguette magique. Mais des gestes simples, progressifs, à mettre en place pour remettre un peu d’air dans les poumons.

1. S’autoriser à lâcher prise. Cela peut sembler paradoxal, mais accepter ses limites, ce n’est pas renoncer. C’est faire preuve de sagesse. “Je ne peux pas tout”. Cette phrase, répétez-la, encore et encore. Même si c’est difficile. Cela ne fait pas de vous une personne “faible”, mais bien une personne humaine.

2. Réapprendre la pause. Vous souvenez-vous de votre dernier midi pris en dehors de l’écran ? De la dernière balade, du livre refermé, du repas partagé sans penser au boulot ? Reprogrammez ces moments, même courts. Ils permettent au cerveau de souffler, au corps de se régénérer. Un excellent outil : la marche en pleine conscience. Non, ce n’est pas “new age” – c’est prouvé scientifiquement : marcher 20 minutes dans la nature réduit l’anxiété, relance la dopamine et le plaisir.

3. Entourez-vous bien. On ne sort pas du burn-out seul. Repérer les personnes sur qui compter (ami(e)s, collègues bienveillants, famille, professionnels de santé) est capital. Oser en parler, c’est se donner aussi le droit d’être épaulé.

4. Limiter l’infobésité. Évitez la tentation d’être sur tous les fronts. Les écrans, notifications, news permanentes finissent par grignoter l’attention et amplifier la fatigue. Pensez à instaurer des moments “off” : une soirée sans smartphone, une journée “déconnexion”. Radical ? Peut-être. Mais salutaire.

5. Évitez l’auto-médication. Beaucoup, lassés, tentent de tenir avec l’alcool, les somnifères, ou des “boosters”, pensant résoudre le problème. Faux ! Cela aggrave, au contraire, et retarde la vraie reprise. Osez préférer la consultation, le dialogue. C’est long, mais c’est durable.

6. Identifiez vos valeurs. Le burn-out, parfois, révèle une fracture intérieure. Qu’attendez-vous vraiment de votre vie ? Où sont vos envies, vos valeurs profondes ? En thérapie, on travaille beaucoup ce point : il guide les choix et prévient la rechute.

Dans la pratique, pour éviter de retomber dans le même schéma d’épuisement, il faut sanctuariser son temps. S’accorder, par exemple, chaque semaine un moment rien qu’à soi (musique, sport doux, écriture, bricolage…). Parler, régulièrement, avec ses proches, quitte à se faire aider pour expliquer la situation (un psychologue peut vous accompagner pour en discuter en couple ou en famille). Pour aller plus loin sur le sujet “liens entre stress et intimité”, lisez l’article sur le stress et la sexualité.

Enfin, ne culpabilisez pas. L’épuisement est un signal, pas une sanction. Votre vie vaut plus qu’une réussite professionnelle. L’important demeure d’agir à temps, de demander conseil. Si le doute persiste, ou pour aborder la question plus en profondeur, informez-vous sur quand consulter une psychologue à Liège.

L’expérience du burn-out, quand elle est accompagnée, peut devenir un puissant rempart. Certains patients découvrent, après la tempête, une nouvelle voie : recul, philosophie de vie différente, projets plus personnels. La consultation, c’est l’espace pour oser imaginer autre chose, loin de la dictature du “toujours plus vite”.

En conclusion, rappelez-vous : l’épuisement professionnel n’est pas une fatalité. Il n’est pas une faute, ni un échec personnel. Avec un soutien psychologique adapté, il peut devenir le point de départ d’un vrai renouveau. Osez en parler.

Pour prolonger la réflexion sur d’autres difficultés proches de l’épuisement, découvrez aussi notre article interne sur les troubles anxieux chroniques chez l’adulte.

FAQ – Questions fréquentes

Comment reconnaître les premiers signes d’un burn-out chez l’adulte ?

Les premiers signes sont souvent une fatigue persistante, des troubles du sommeil, un manque d’enthousiasme, une irritabilité inhabituelle et des difficultés de concentration. Si vous remarquez que vous n’arrivez plus à récupérer même après du repos et que chaque jour ressemble à une montagne, c’est peut-être le moment de demander de l’aide.

Pourquoi consulter un psychologue en cas d’épuisement professionnel ?

La consultation permet de poser un diagnostic précis, d’identifier les causes de l’épuisement et de recevoir un accompagnement personnalisé. Un psychologue vous aide à prendre du recul, à comprendre vos mécanismes de stress et à bâtir des solutions adaptées pour prévenir les rechutes.

Quand un arrêt de travail est-il recommandé lors d’un épuisement professionnel ?

En cas de souffrance majeure et de symptômes physiques ou psychiques importants, il est conseillé de s’arrêter. Cela permet une vraie coupure, nécessaire pour se reconstruire et éviter des complications comme la dépression sévère.

Faut-il redouter la rechute après un burn-out ?

La rechute est possible si les causes profondes ne sont pas traitées et si l’on reprend les mêmes habitudes nocives. Avec un suivi psychologique et l’intégration de nouvelles routines, il devient tout à fait possible de prévenir et d’éviter le retour du burn-out.

Références scientifiques

Maslach, C., & Leiter, M. P. (2016). Burnout. In Stress: Concepts, Cognition, Emotion, and Behavior. Elsevier. Une revue complète sur les mécanismes du burn-out et ses conséquences.

Bridgeman, P.J., Bridgeman, M.B., & Barone, J. (2018). Burnout syndrome among healthcare professionals. American Journal of Health-System Pharmacy, 75(3), 147-152. Article expliquant le burn-out professionnel et ses impacts sur la santé mentale des soignants.

Schaufeli, W.B., & Enzmann, D. (1998). The burnout companion to study and practice: A critical analysis. CRC Press. Ouvrage de référence sur l’évaluation et la prévention du burn-out.

Grossi, G., Perski, A., Osika, W., & Savic, I. (2015). Stress-related exhaustion disorder – Clinical manifestation of burnout? A review of assessment methods, sleep impairments, cognitive disturbances, and neuro-biological and physiological changes in clinical burnout. Scandinavian Journal of Psychology. Tour d’horizon des symptômes physiques et psychiques du burn-out.

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