Psychologue – Mme Delphine Gilman
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0494 54 96 32
Aux yeux de leur entourage professionnel, les dirigeants, entrepreneurs, managers et cadres de la région de Liège incarnent bien souvent la réussite et l’autorité. Pourtant, derrière une façade confiante et des réalisations concrètes, nombre d’entre eux sont hantés par un trouble psychologique discret et insidieux : le syndrome de l’imposteur. Ce mal-être silencieux les fait douter en permanence de leurs compétences, de leur légitimité, et nourrit la peur – irrationnelle mais omniprésente – d’être « démasqués » comme des imposteurs. Si ce phénomène a fait couler beaucoup d’encre dans la sphère académique depuis son identification dans les années 1970, il reste encore tabou, pourtant ses conséquences sur la santé mentale et la performance peuvent s’avérer majeures, particulièrement chez les décideurs exposés à une forte pression à Liège et dans les entreprises de la province.
Le syndrome de l’imposteur – ou « impostor phenomenon » selon la terminologie scientifique – décrit un ensemble de pensées, d’émotions et de comportements où une personne qui rencontre objectivement du succès attribue systématiquement ses réussites à des facteurs externes (hasard, circonstances, aides extérieures…), refuse d’intégrer ces succès à son identité et redoute constamment d’être démasquée comme étant incompétente, frauduleuse ou illégitime dans son poste.
Repéré initialement chez des femmes à haut potentiel par Pauline Clance et Suzanne Imes en 1978, ce phénomène touche aujourd’hui sans distinction d’âge ou de genre, et s’observe fréquemment chez les entrepreneurs, managers ou cadres – particulièrement dans le tissu économique de Liège connu pour son dynamisme et l’innovation constante qui placent les leaders sous le feu des projecteurs.
Ce sentiment d’imposture ne se limite pas à des doutes passagers ; il structure les modes de pensée, colore en permanence les perceptions des dirigeants touchés, et influence leur rapport au travail, à la réussite, à leurs responsabilités. Ils redéfinissent chaque victoire comme une suite de circonstances favorables ou une erreur de jugement de la part de ceux qui les entourent. Les stratégies de compensation, comme le perfectionnisme, l’overworking ou au contraire l’évitement de certains challenges, viennent alors renforcer le cercle vicieux de l'auto-sabotage et du doute obsessionnel.
La province de Liège, reconnue pour la vitalité de son tissu entrepreneurial et industriel, offre un terrain propice à l’apparition du syndrome de l’imposteur chez ses décideurs : pression compétitive, attentes élevées, recherche d’innovation, nécessitent une adaptabilité et une confiance de chaque instant. Pourtant, l’isolement décisionnel, les exigences d’exemplarité, la crainte de perdre la face auprès de partenaires ou d’équipes, exacerbent le malaise psychologique chez certains dirigeants de la périphérie liégeoise ou du centre-ville.
Ce trouble, trop souvent banalisé ou confondu avec une simple humilité, se révèle avec acuité en séance de psychologie du travail à Liège, notamment dans des consultations menées au cabinet de professionnels tels que Psychologue – Mme Delphine Gilman, spécialisée dans l’accompagnement des managers, cadres et dirigeants de la région.
Psychologue – Mme Delphine Gilman
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Parmi les symptômes les plus courants du syndrome de l’imposteur chez les dirigeants à Liège et dans ses environs, on observe :
Ces manifestations plongent le manager ou le dirigeant dans un état de stress chronique, générant fatigue, insomnies, épuisement émotionnel et un rapport dysfonctionnel à la performance.
Ce paradoxe – paraître maître de soi et tout contrôler, tout en se sentant illégitime – est au cœur de la réalité psychologique des dirigeants confrontés au syndrome de l’imposteur. Les études scientifiques soulignent que le niveau de responsabilité influence directement la prévalence et l’intensité du phénomène (Kumar S, Jagacinski CM., 2006). Les dirigeants en région liégeoise, évoluant dans un environnement concurrentiel et fortement médiatisé, sont ainsi particulièrement exposés, d’autant plus lorsque la culture d’entreprise valorise l’excellence, la compétition ou l’« héroïsme » individuel.
Le syndrome de l’imposteur n’apparaît pas ex nihilo : il s’ancre dans l’histoire personnelle et professionnelle. Les psychologues du travail à Liège remarquent que plusieurs facteurs contribuent à son émergence :
Les impacts du syndrome de l’imposteur vont bien au-delà du simple doute. À moyen et long terme, il détériore la qualité de vie des dirigeants, affecte leur performance décisionnelle et peut même menacer la santé des organisations.
En premier lieu, la santé mentale des managers et cadres est mise à rude épreuve. Les insomnies, l’anxiété chronique, l’épuisement émotionnel, voire des épisodes dépressifs, sont fréquemment observés par les psychologues du travail de la région liégeoise. Le recours à des stratégies de surcompensation (travailler 60 heures/semaine, micro-manager, refuser de déléguer…) entrave la récupération, épuise les ressources cognitives et émotionnelles, et provoque parfois un burn-out sévère.
À l’échelle de l’entreprise, le syndrome de l’imposteur peut générer un climat d’instabilité, une surcharge due à la rétention de l’information et des tâches par des dirigeants réticents à déléguer, une moindre créativité, et une démobilisation de l’équipe, privée d’un leadership authentique et confiant. Le dirigeant, se croyant « usurpateur », évitera d’initier certains projets, de demander du feedback, ou s’isolera des autres cadres, perdant ainsi en efficacité collective.
Ce sentiment d’inadéquation peut aussi déborder sur la vie privée, car le dirigeant « imposteur » craint d’être déçu ou rejeté par ses proches s’il avoue ses doutes. Ce stress chronique impacte la qualité de vie à la maison et les relations familiales, favorisant le retrait social et l’appauvrissement des réseaux de soutien aux alentours de Liège.
Il n’existe pas de « test » formel validé pour le diagnostic du syndrome de l’imposteur, mais des échelles d’auto-évaluation psychométriques sont utilisées en psychologie du travail : échelle de Clance, échelle de Young, questionnaires d’auto-perception... Les psychologues spécialisés en province de Liège, comme Psychologue – Mme Delphine Gilman, combinent ces outils à des entretiens cliniques poussés pour mettre au jour :
Prendre conscience du syndrome, le nommer et en parler constitue déjà une étape majeure du chemin vers l’apaisement.
S’il n’existe pas de solution miracle ou instantanée, la recherche en psychologie du travail converge vers plusieurs stratégies thérapeutiques remarquablement efficaces dans la prise en charge du syndrome de l’imposteur chez les dirigeants, comme démontré par Bravata DM, et al. (2019) dans leur revue systématique.
Un travail approfondi sur l’auto-reconnaissance des compétences et des succès aide peu à peu à « reprogrammer » les schémas cognitifs automatiques. En consultation ou à travers des exercices d’écriture, le dirigeant apprend à repérer, valoriser et s’approprier ses contributions réelles dans les réussites collectives ou individuelles.
L’accompagnement psychologique, notamment en thérapies cognitivo-comportementales (TCC) ou en coaching individuel, permet de déconstruire les croyances dysfonctionnelles : par exemple, « Je ne dois jamais échouer », « Tout doit être sous contrôle » ou « Si je demande de l’aide, je suis un incapable ». Ces croyances internalisées dès l’enfance, ou renforcées par une culture managériale normative à Liège, se travaillent pas à pas jusqu’à générer de nouveaux scripts cognitifs plus sains.
Parler ouvertement du syndrome avec ses pairs, dans des groupes de dirigeants ou des groupes d’analyse de pratiques, contribue à déstigmatiser ce mal-être. Découvrir que d’autres dirigeants, mêmes chevronnés, traversent des épisodes similaires, allège considérablement le fardeau d’isolement psychologique. En région liégeoise, plusieurs clubs d’entrepreneurs et réseaux professionnels organisent désormais des ateliers sur la vulnérabilité leadership et l’emotional intelligence, offrant des espaces d’écoute essentiels.
Les personnes sujettes au syndrome de l’imposteur ont souvent du mal à déléguer, pensant qu’elles imposent inutilement leur décision ou qu’elles ne sont pas légitimes pour distribuer les tâches. Un accompagnement spécifique aide à développer une posture de leadership participatif : apprendre à s’appuyer sur les compétences de l’équipe, à partager responsabilités et succès, réduit la pression individuelle et favorise l’intégration du sentiment de valeur propre.
Instituer dans l’entreprise une culture favorisant les retours réguliers, honnêtes et constructifs, permet au dirigeant de recevoir des balises extérieures sur ses compétences. Le feedback positif bien formulé l’aide à identifier, à chaque étape, ce qui relève vraiment de ses talents, de son style, de ses choix pertinents.
L’un des biais majeurs du syndrome de l’imposteur est la sous-estimation de la normale de l’erreur dans le processus entrepreneurial. Encourager des espaces où l’échec est reconnu comme une étape naturelle, valoriser le cheminement plutôt que la seule réussite, favorisent une réduction du sentiment de danger constant et l’apprivoisement des moments de doute.
De nombreux cadres, managers ou entrepreneurs hésitent encore à solliciter un psychologue du travail par crainte du jugement ou du regard des autres. Pourtant, un accompagnement discret, bienveillant et basé sur les évidences scientifiques s’avère un levier de développement personnel et professionnel inestimable. Que ce soit en cabinet individuel à Esneux, Forêt ou Lisbée, ou dans le cadre de formations collectives proposées en entreprise à Liège ou à sa périphérie, il existe des solutions adaptées à tous les profils de dirigeants.
Au sein du cabinet Psychologue – Mme Delphine Gilman, les consultations ciblées pour les managers et dirigeants de la région de Liège permettent entre autres :
La prise de conscience constitue un premier pas crucial. Le syndrome de l’imposteur ne doit plus être un tabou chez les leaders, dirigeants et entrepreneurs liégeois. Loin d’être un « défaut de fabrication », il s’agit d’un phénomène psychologique courant, documenté, et désormais pris en charge efficacement grâce à l’évolution des pratiques en psychologie du travail. En consultance individuelle ou dans des dispositifs collectifs, des milliers de cadres à Liège et en Belgique francophone amorcent une transformation profonde et durable de leurs schémas d’auto-évaluation, développent une confiance en soi stable et une capacité nouvelle à savourer leur propre réussite.
Dans un monde où les organisations évoluent vite, où l’exigence et la visibilité sont plus élevées que jamais, il est essentiel de briser le cycle de la « fausse modestie » et de l’auto-dépréciation. Les bénéfices sont multiples : pour la santé psychique du dirigeant, pour la cohésion et la performance de l’équipe, pour l’innovation et la pérennité de l’entreprise en province de Liège.
Rien ne vous condamne à vivre dans le doute, même si ce dernier a longtemps constitué un moteur. Oser reconnaître sa valeur tout en restant ouvert à l’apprentissage, accepter la vulnérabilité sans la confondre avec l’incapacité, sont les nouveaux marqueurs de force du dirigeant moderne dans la région liégeoise.
Diverses études à dimension internationale permettent d’approfondir la question et de se familiariser avec les dernières avancées scientifiques sur le syndrome de l’imposteur chez les dirigeants, managers et cadres :
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Le syndrome de l’imposteur ne discrimine pas : quel que soit le succès, l’ancienneté ou la renommée acquise à Liège, il peut toucher n’importe quel dirigeant, entrepreneur ou cadre à un moment crucial de son parcours professionnel. Loin d’être une faiblesse, reconnaître et traiter ce syndrome témoigne d’un engagement fort envers soi-même, son équipe et l’avenir de l’entreprise. Grâce à une approche structurée, basée sur les avancées scientifiques en psychologie du travail, il est désormais possible de se libérer progressivement des chaînes de l’imposture, de renforcer son leadership, et de réconcilier performance et bien-être dans la dynamique entrepreneuriale propre à la région liégeoise.
Sortir du silence, c’est redonner du sens au succès : osez franchir ce pas vers la sérénité professionnelle et personnelle, et découvrez un leadership plus authentique, plus aligné et surtout, plus durable au cœur de la province de Liège.